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1. Il existe des effets secondaires graves
ET des décès
Le gouvernement et les médias veulent convaincre la
population que des effets graves post-vaccinaux sont si rares dans la population,
que leur message est à peu près: "ça n'arrive jamais, ou si rarement que vous
n'avez rien à craindre, donc venez vous
faire vacciner !" C'est pourtant faux parce que ce n'est pas vrai
qu'il n'y a rien à craindre. Certaines personnes sont mortes après
avoir pris le AstraZeneca, mais aussi le Pfizer-BioNTech et le Moderna.
Certaines autres vont développer des maladies chroniques ayant un impact
sur le restant de leur vie. Certaines personnes ont vu leur vie basculer
après le vaccin, et leur témoignage indique qu'elles pensaient que les
effets secondaires graves n'existaient pas, qu'elles pensaient que ça ne
pouvait pas arriver. En ce sens, elles ont été mal informées.
Voici un document qui vient du Centers for Disease Control
(CDC) et de la Food and Drug Administration
(FDA), le régulateur américain qui approuve les vaccins et les médicaments
(équivalent de Santé Canada ou l'Agence européenne du médicament) :
Ce document est très clair et montre que tous ces effets
secondaires sont potentiellement attendus après les vaccins covid. La seule question est
selon quelle proportion (combien de cas par nombre de vaccins).
Cela veut dire que les vaccinés ayant subi des dommages à
la suite du vaccin n'ont somme toute pas de recours légaux. Certains
vaccinés victimes commencent déjà à s'organiser et se coaliser ! Par
exemple, sur ce site anglophone :
https://www.c19vaxreactions.com aussi ici les victimes peuvent remplir
un formulaire au haut de la page à gauche :
https://www.icandecide.org/
Une information connexe à celle-ci est que la FDA
américaine, chargée de l'approbation des vaccins et médicaments, ne rendra
pas publics les documents ayant servi à autoriser en urgence les vaccins,
selon Reuters :
Les États-Unis ont un système nommé le VAERS, donc le Vaccine Adverse Event Reporting System.
Ce système compile les effets secondaires des vaccins. En date du 6 janvier 2022, voici les effets graves recensés aux
États-Unis seulement :
21002 DEATHS (morts)
110609 HOSPITALIZATIONS (hospitalisation, admission à l'hôpital)
109245 URGENT CARE (visites à l'urgence - hôpital)
156456 OFFICE VISITS (visites à l'urgence - clinique médicale)
8673 ANAPHYLAXIS (choc allergique)
12532 BELL'S PALSY (paralysie)
Total Heart Attacks: 10640 crises cardiaques
Total Miscarriages: 3435 fausses-couches
Total Severe Allergic Reaction: 36492 réactions allergiques sévères
Total Thrombocytopenia: 5011 thrombocytopénies (grave problème de
coagulation des plaquettes sanguines)
Total Myocarditis: 22117 myocardites (inflammation grave du coeur
pouvant causer le décès ou entraîner des dommages irréversibles au
coeur)
On a appris récemment un fait très étonnant et
inquiétant : le système VAERS a compté autant de morts des vaccins
DANS LES CINQ PREMIERS MOIS DE 2021
que le nombre de morts de tous les vaccins en 20 ans avant 2021 !!! Voir ce graphique,
qui date du 2 juin 2021.
(Note du 6 janvier 2022 : Pour garder l'info à
jour, le point de 2021 qui oscille autour de 4000 ci-dessous est maintenant
situé autour de 21 000.)
Dans le graphique ci-dessus, on voit un nombre stable d'environ 160 morts par année de
1990 à 2020, puis on voit clairement à droite le pic époustouflant de morts
en 2021, montant jusqu'à ~4000 en cinq mois seulement (janvier à mai 2021) !
* À propos de la fiabilité du système VAERS :
• Le Vaccine Adverse Event Reporting System
(VAERS) est un système de surveillance directement lié au Centers for
Disease Control (CDC) et à la Food and Drug Administration (FDA)
aux États-Unis. C'est donc une structure du gouvernement fédéral
américain. (En ce sens, ça lui donne une crédibilité, par contre:
il ne faut pas oublier qu'il n'est pas parfaitement indépendant.) • Les professionnels de la santé
ont l'obligation légale (même si certains ne le font pas) de rapporter
un effet secondaire de vaccin. • Un rapport
VAERS peut être rempli par un professionnel de la santé ou par la
personne qui a elle-même subi un effet secondaire. •
Les rapports VAERS sont vérifiés après la déclaration • Une fausse
déclaration au VAERS est passible d'une amende ou d'une peine
d'emprisonnement car constituant une violation de la Loi Fédérale (18 U.S.
Code § 1001). (Source :
https://vaers.hhs.gov/reportevent.html)
De plus, en 2011, le Harvard Pilgrim Health Care (affilié
à la Harvard Medical School de l'Université Harvard) a déposé
un rapport (titre : "Electronic Support for Public Health–Vaccine
Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS)") à la Agency for
Healthcare Research and Quality (AHRQ) du gouvernement américain où
elle conclut ceci :
"Fewer than 1% of vaccine adverse events are
reported. Low reporting rates preclude or slow the identification of
“problem” drugs and vaccines that endanger public health. New
surveillance methods for drug and vaccine adverse effects are needed.
Barriers to reporting include a lack of clinician awareness,
uncertainty about when and what to report, as well as the burdens of
reporting: reporting is not part of clinicians’ usual workflow,
takes time, and is duplicative."
Traduction : Moins de
1% des effets secondaires des vaccins sont rapportés [au VAERS].
Ce taux bas ralentit l'identification de problèmes avec des médicaments
ou des vaccins et met en danger la santé publique. De nouvelles méthodes
de surveillance des effets secondaires des médicaments et vaccins sont
requises. Les limites à une surveillance adéquate inclues un manque de
connaissance du système par les cliniciens, l'incertitude du quand et du
quoi rapporter, en plus du fardeau de faire le rapport car faire ce
genre de rapports ne fait pas partie du travail quotidien des
cliniciens, cela prend du temps et comme un double-emploi.
Ça, c'est juste le système de surveillance des États-Unis, ça n'inclut pas
le reste du monde. En Europe, voici les données (ATTENTION: tableau en date du 23 février
2021. Ces chiffres ont beaucoup augmenté depuis, mais étaient déjà trop
élevés.) :
Il est bien important de comprendre que ces cas rapportés
n'incluent pas les gens qui vont développer des effets plus tard, dans des
semaines, des mois ou des années. Lorsqu'on observe la liste des effets
secondaires possibles, on se rend compte qu'il y a par exemple des maladies
autoimmunes et des maladies aigues de la démyélinisation des neurones dans
la liste de la FDA, mais on sait que la sclérose en plaque par exemple est une
maladie de la démyélinisation des neurones et peut avoir
des causes autoimmunes. Ces vaccins sont beaucoup trop récents pour qu'on
ait assez de recul pour savoir s'il y a ce genre d'effets à long terme. On
ne sait pas encore combien de gens vont mourir ou développer des conditions
médicales chroniques à la suite de ces vaccins.
Il y a des exemples réels de personnes
décédées dû aux vaccins Pfizer-BioNTech, AstraZeneca et Moderna.
Pour consulter des
exemples de décès réels à cause des vaccins, cliquer ici. On constate qu'il y
a beaucoup de jeunes qui sont morts des suites du vaccin (en âge, dans la
vingtaine
jusqu'à
la cinquantaine).
2. Docteurs et
scientifiques des vaccins sonnant l'alarme
Extrait : "In our view, the EMA and national authorities should
instigate a safety review into the safety database of COVID-19 vaccines
and governments should carefully consider their policies in light of
these data. Ideally, independent scientists should carry out thorough
case reviews of the very severe cases, so that there can be
evidence-based recommendations on who is likely to benefit from a
SARS-CoV2 vaccination and who is in danger of suffering from side
effects. Currently, our estimates show that we have to accept four fatal
and 16 serious side effects per 100,000 vaccinations in order to save
the lives of 2–11 individuals per 100,000 vaccinations, placing risks
and benefits on the same order of magnitude."
Résumé : Il devrait y avoir une notice de sécurité avec les vaccins.
Les gouvernements devraient revoir leurs politiques vaccinales. Nos
estimations actuelles placent les risques et les bénéfices dans le même
ordre de grandeur.
(Cet article a été rétracté par la revue Vaccines.)
9 juin 2021 : Royaume-Uni (UK), Avis de The
Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd., compagnie de recherche médicale
indépendante
Le Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd. a
publié un rapport urgent qui appelle
à la cessation immédiate des vaccins covid chez les humains.
2 avril 2021 : France. Avis du Centre Territorial
d'Information Indépendante et d'Avis Pharmaceutiques (CTIAP) affilié au
Centre hospitalier de Cholet
Le Centre territorial d'information indépendante et d'avis
pharmaceutiques a émis un avis au début d'avril 2021 disant:
Il faut que dans tous les pays où ces vaccins
contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés »
soient retirés immédiatement ; et que ces AMM (autorisations d'urgence) qui
ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à
nouvel ordre. Cet avis concerne les 4 vaccins (Pfizer-BioNTech,
Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson).
Note : Pour vous rendre compte que ces docteurs et
scientifiques ne sont pas du tout des personnages de second plan ou des gens qui
n'y connaissent rien, j'ai pris le soin d'inclure un lien vers leur CV
quand je les présente. On se rend alors compte qu'ils sont des gens
sérieux, parfois même des sommités dans leur domaine.
5 mars 2021 : Lettre du Dr. Van den Bossche :
Une lettre a été écrite
de
toute urgence par le Dr. Geert Van den Bossche (voir
son CV - archivé ici), un
expert des vaccins et virologue ayant travaillé pour la Global
Alliance for Vaccination and Immunization (GAVI) fondée par Bill
Gates, et la fondationBill & Melinda Gates (nous reparlerons de
Bill Gates).
Le Dr. Van den Bossche y explique que les vaccinés pourraient être
des "bombes à retardement" à cause du phénomène appelé le "virus
immune escape" (échappée immunitaire) qui les ferait éventuellement produire des
variants, et qui en même temps désactiverait leur système immunitaire inné et
acquis. C'est un résumé très sommaire et il faut lire son texte. Enfin, il
explique que les vaccins pourraient dans quelques temps produire l'inverse de ce
qu'on veut qu'ils fassent.
Quelqu'un a fait un résumé de ses propos en format vidéo pour les gens
qui ne veulent pas lire la lettre :
Le texte du Dr. Geert Van den Bossche est consultable ici en format PDF:
2 décembre 2020 : Extrait d'entrevue du microbiologiste
et professeur émérite retraité Dr. Sucharit Bhakdi (voir son CV), directeur de l'Institut
médical de microbiologie et d'hygiène 1990-2012 (C4-Professor am Institut
für Medizinische Mikrobiologie und Hygiene der Johannes
Gutenberg-Universität in Mainz) :
"Si vous prenez ce vaccin, vous allez à votre perte." ("If you
go along these lines, you are going to go to your doom.") :
Dr. Bhakdi est l'un des chercheurs qui expliquent ne pas
savoir d'où provient l'idée d'une proportion de 70-75-80-90% de vaccination
pour atteindre l'immunité collective ("herd immunity").
C'est pour lui un chiffre farfelu sorti de nulle part ("what utter
nonsense").
Parlant de "herd immunity", je voulais juste montrer
cette définition du dictionnaire Larousse anglais-français. Cela porte à réflexion.
Le professeur Luc Montagnier, virologiste, professeur
émérite, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus VIH (voir son CV), s'est exprimé très clairement sur les
vaccins :
Décembre 2020 : l'immunologiste et biologiste moléculaire de premier plan,
professeure au University College de Dublin en Irelande, Dr. Dolores
Cahill (voir son CV
- archivé ici) a aussi sonné l'alerte. Elle pense que des gens vont commencer à mourir des
mois et des années après avoir reçu le vaccin.
28 février 2021 : Lettres urgentes d'un collectif de médecins sur des risques
potentiellement extrêmement graves :
Dans cette lettre des "Doctors
for Covid Ethics", notamment les chercheurs Sucharit Bhakdi et
Michael Yeadon
demandent à l'Agence européenne du médicament d'arrêter la vaccination parce
qu'ils pensent que le risque de microthromboses dans tout le corps est
possible selon les informations scientifiques qu'ils ont et pourrait être
catastrophique. Cette lettre peut être lue ici (traduite en français) :
https://archive.is/iWB0h
(en anglais ici : https://archive.is/JFyT5)
28 février 2021: Dr. Richard
Marchand, infectiologue à l'Institut de cardiologie de Montréal (voir
son CV - lien archivé
ici) passe en entrevue à Paul
Arcand et exprime des réserves quant au vaccin.
27 mai 2021 (ajouté ici le 2 juin
2021) : Le professeur associé Byram W. Bridle (PhD) (voir
son CV) à l'Université Guelph
en Ontario (Canada) qui est immunologiste (viral immunologist), a donné une
entrevue à
l'émission On Point with Alex Pierson au média GlobalNews de Toronto, où il dit
en gros que :
Selon des études révisées par les pairs, on
s'est rendu compte que la protéine S (spike, ou "de
spicule") est elle-même toxique. Si on injecte des
morceaux de protéines S dans un animal de laboratoire, il développe des
problèmes cardiovasculaires, cela peut traverser la barrière
hémato-encéphalique et endommager le cerveau. Cela n'a pas l'air grave
car on injecte le vaccin dans le muscle de l'épaule (le deltoïde).
Jusqu'à maintenant, on pensait que le vaccin restait dans le site
d'injection (le deltoïde). Sauf que c'est ici les nouvelles découvertes
notamment du Japon (étude de biodistribution), on a pu voir où le
contenu du vaccin se rend dans le corps. On a trouvé qu'il ne reste pas
dans l'épaule. La protéine S se rend dans le sang et circule dans le
corps plusieurs jours après la vaccination. Elle s'accumule dans
certains organes comme la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes
surrénales, et très
préoccupant : les ovaires, en grande concentration. Ils ont
retrouvé la protéine S dans le sang des patients. La protéine S peut se
lier aux plaquettes sanguines, si cela arrive, il peut arriver des
caillots sanguins et des saignements, et des problèmes au coeur et au
cerveau. Une étude en attente de validation a travaillé sur les bébés
allaités, où le lait maternel transmettrait au bébé et causerait des
saignements internes chez le bébé. Il explique aussi que ces problèmes
pourraient aussi aller dans le sens d'éventuelle
infertilité chez les jeunes.
La protéine S est toxique selon les études que cet
immunologiste et professeur d'université cite. C'est justement cette
protéine S qui est "produite" par les vaccins. Ce qui est vraiment très
problématique.
L'un des
inventeurs en 1989 de la technologie thérapeutique à base de mRNA
(utilisée dans les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna), Robert W Malone
(voir son CV
-
voir un article de 1990),
s'est également exprimé sur un réseau social :
1er décembre 2020 : Inquiétudes des Dr. Michael Yeadon et Dr. Wolfgang Wodarg
à propos de l'ADE et de la syncytine, nécessaire à la fertilité des
femmes
Michael Yeadon, ancien "chief scientific
officer" chez Pfizer, dans les domaines de recherche respiratoire et
allergique, avec le Dr. WolfgangWodarg,
épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la
Santé du Conseil de l'Europe, ont écrit à l'Agence européenne du médicament
(l'équivalent européen de la FDA ou de Santé Canada), une motion d'urgence
visant à arrêter toute la vaccination parce qu'ils se sont rendus compte de
quelque chose n'allait pas.
Dans le document ci-dessous au point C no. XI (page 5), ils ont identifié une
similitude entre les caractéristiques du coronavirus et donc ces
caractéristiques que le vaccin devrait imiter, avec une protéine naturelle
du corps nommée "syncytine" qui est essentielle pour mener une
grossesse à terme. Ils redoutent l'idée que le vaccin pourrait "apprendre" au corps à
se défendre contre le coronavirus mais qu'en plus cela déclenche un effet
pervers : une réaction à la syncytine (un peu comme la réaction auto-immune
du médecin décédé en Floride avec ses plaquettes sanguines). Si cela
s'avérait être le cas, les femmes concernées par ce genre de réaction
pourraient devenir stériles et ne plus pouvoir enfanter.
Ils expliquent aussi beaucoup d'autres points
problématiques dans leur lettre.
Ils ont envoyé cet avis urgent à l'Agence européenne du
médicament pour arrêter l'autorisation d'utilisation d'urgence de la vaccination
le 1er décembre 2020.
11 décembre 2020 : L'Université de Miami fait aussi des essais cliniques se
terminant le 14 juin 2021 (estimé) sur les impacts potentiels des vaccins
covid sur la fertilité humaine : COVID-19 Vaccine and Impact on Fertility
Study
https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04665258
Inquiétudes sur l'Antibody-Dependant Enhancement (ADE)
Il y a une raison pour laquelle aucun vaccin
contre les coronavirus n'a jamais été commercialisé. Voici une vidéo
où une médecin, Dr. Lee Merritt, explique son point de vue sur le
sujet.
Dr Lee Merritt parle des tentatives de faire
des vaccins pour les anciens coronavirus (le SRAS de 2004, le MERS
de 2012) qui ont toutes échouées. Les essais étaient faits sur des
chats et des furets. Les animaux sont morts d'une condition appelée
Antibody-Dependant Enhancement (ADE,
ou en français: Amplification anticorps-dépendante) ou Immune Enhancement
(amplification immunitaire).
Ce phénomène arrive après la prise du vaccin, vaccin qui entraîne une
réaction du corps. Pour résumer l'ADE, c'est quand le corps
réagit encore plus mal lorsqu'il croise le virus après le vaccin que
s'il n'était pas du tout vacciné. Résultat dans le cas des chats et des
furets: la mort des animaux par septicémie ou crise cardiaque.
J'ai recensé deux articles scientifiques qui
corroborent l'explication de la Dr. Lee Merritt, c'est-à-dire cette
question d'un lien potentiel entre le phénomène ADE et les
vaccins contre les coronavirus (comme le SARS-CoV2 du covid-19, ou
le SARS-CoV du SRAS) :
Avoiding pitfalls in the pursuit of a COVID-19 vaccine,
Lynne Peeples (journaliste scientifique), PNAS (Proceedings of
the National Academy of Sciences of the USA),
https://www.pnas.org/content/117/15/8218
3. Les vaccins sont encore en phase expérimentale, mais
plusieurs personnes ne le savent
pas
La situation au Canada (avec Santé Canada) se résume ainsi: autorisation
par intérim en décembre 2020 jusqu'à expiration de l'autorisation en
septembre 2021 pour Pfizer et Moderna. "Renouvellement" des autorisations en septembre 2021, mais
toutefois en approuvant les vaccins: Pfizer, Moderna, puis AstraZeneca, et
Johnson & Johnson en novembre 2021 ! Ils sont approuvés en tant que "Drogue nouvelle", selon
le Règlement sur les aliments et les drogues du gouvernement
canadien. Il faut aussi dire que tout ceci se fait sous l'arrêté ministériel
d'urgence qui le permet (cela ressemble un peu au régime dit
d'"autorisations d'utilisation d'urgence" aux USA).
Aux États-Unis, la FDA a approuvé (full approval) un seul vaccin: le "Pfizer
Comirnaty", qu'on ne doit pas confondre avec le "Pfizer-BioNTech COVID-19
vaccine", qui se trouve à être la "version EUA" (autorisée en urgence, mais
non "approuvée") de Comirnaty. Interchangeables selon la FDA et Pfizer, mais
pas juridiquement. C'est-à-dire que le vaccin en autorisation d'urgence est
encore donné aux Américains, qui implique un cadre juridique différent (pas
les mêmes "liabilities", recours potentiels, etc.) D'ailleurs, une
chose est très étrange : un vaccin a reçu le "full approval" de la FDA. Les
Emergency Use Authorizations accordées aux autres vaccins
non-approuvés expérimentaux (Moderna, Johnson & Johnson) ne sont pas
automatiquement tombées après l'approbation de Comirnaty? Pourtant, c'est ce
qui est écrit dans le texte de la FDA elle-même. Que ces vaccins
expérimentaux sont un "pis-aller" parce qu'il n'y a rien d'autre d'approuvé,
mais que dès qu'il y a une approbation, leur autorisation d'urgence tombe.
Je suis très étonné de cela.
Qu'arrive-t-il si la FDA (et consorts) donne une approbation complète
aux vaccins, (comme c'est par exemple le cas pour le vaccin Comirnaty de
Pfizer) ? Pas grand chose. Pourquoi ? À cause de ce que j'ai
appris dans la section plus bas dans cette page intitulée "Les
pharmas corrompent" (section à lire absolument), puis aussi à cause de ces
deux articles :
On a pu constater depuis plusieurs années que les produits
approuvés par la FDA présentent souvent des défauts et blessent des
patients, avant d'être finalement retirés quelques années plus tard. Une
approbation de la FDA ne signifie pas que le médicament ou le vaccin n'a
aucun défaut et est tout à fait inoffensif, loin de là.
Attention, le contenu
de cette boîte bleue date d'avant août 2021, et il est
laissé ici dans une volonté d'archivage de l'information. Une partie du
contenu est encore valide, mais comme je le dis ci-haut, la situation aux
États-Unis et au Canada a évolué depuis août-septembre 2021. Prendre donc le
paragraphe ci-dessus en considération.
Il y a quelque chose que les gens
ne semblent pas bien comprendre. Ce vaccin n'est pas comme les vaccins qu'on
connaît depuis des années. Il s'agit de nouvelles technologies qui
n'ont jamais été essayées massivement sur des humains. Elles demeurent donc à ce
titre encore expérimentales, et ont été autorisées en urgence seulement, ou
"par intérim" dans le jargon de Santé Canada, comme on le voit sur
les
images suivantes.
Voici d'abord le document de la Food and Drug
Administration (FDA) américaine (l'équivalent plus puissant de Santé Canada
ou Agence européenne du médicament) pour le vaccin Janssen/Johnson &
Johnson. Les documents des autres vaccins disent la même chose
(ci-dessous). Voici des
extraits du document :
Traduction du surlignage : "Ce vaccin pourrait
prévenir". "Il n'y a pas de vaccin approuvé contre la covid19."
"Un vaccin non-approuvé qui pourrait empêcher la covid19." "Il
n'y a pas de vaccin approuvé par la FDA contre le covid19."
"Autorisation d'utilisation d'urgence (EUA)." "Les essais cliniques qui
ont court en ce moment." "Il pourrait y avoir plus
d'effets secondaires du vaccin Janssen que ceux recensés dans ce
document. Des effets sérieux et imprévus pourraient arriver." "Le
vaccin Janssen est encore en phase d'essai clinique."
Traduction du surlignage : En ce moment, il n'y a pas
d'alternative au vaccin Janssen approuvée par la FDA. Les autres vaccins
sont aussi disponibles seulement en Autorisation d'utilisation d'urgence
(EUA)." "Qu'est-ce que l'Autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) ? La FDA
des USA a rendu le vaccin Janssen disponible selon un mécanisme appelé l'EUA.
L'EUA est supportée par une déclaration du Secrétariat de la Santé et des
services sociaux (HHS) quand les circonstances existent pour justifier
l'utilisation d'urgence d'un médicament et de produits biologiques durant la
pandémie covid19. Le vaccin Janssen
n'a pas passé à travers le même genre de vérifications qu'un produit accepté
et approuvé par la FDA. L'EUA peut être
accordée quand des critères sont
remplis : quand il n'y a pas d'alternative adéquate, approuvée ou
disponible. En plus, la décision de la FDA est basée sur de la preuve
scientifique disponible qui montre que le produit pourrait être efficace
pour empêcher la covid19 pendant la pandémie de covid19 et que les bénéfices
connus du produit dépassent les risques connus du produit. Tous ces critères
doivent être remplis pour accepter que le produit soit utilisé dans une EUA
en pandémie covid19. L'EUA pour Janssen est effective
pendant la durée de la déclaration
covid19 qui justifie l'urgence de ces produits, sauf si terminée ou révoquée
(après quoi les produits ne pourraient plus être utilisés).
Voici maintenant l'autorisation de Santé Canada "sous un
ordre par intérim", où ils disent que les patients devraient être avisés
de la nature de ce type d'autorisation qui n'est pas habituel, et donc
ça veut dire que les processus normaux d'évaluation et les tests d'innocuité
n'ont pas été menés comme d'habitude.
Il est très important de spécifier que dans cette
autorisation "par intérim" (d'urgence) de Santé Canada, aux pp. 21-22) il est
écrit :
Carcinogénécité (cancérigène) : Le potentiel cancérigène de ce
vaccin n'a pas été évalué, parce qu'il a été jugé que les études de
carcinogénécité n'étaient pas nécessaires.
Génotoxicité (toxicité pour les gènes / l'ADN) : Le potentiel
de génotoxicité de ce vaccin n'a pas été évalué, parce qu'il a été jugé
que les études de génotoxicité n'étaient pas nécessaires.
Toxicité sur le développement et la reproduction : Les études
de toxicité sur le développement du foetus et de la reproduction des
animaux n'ont pas été complétées.
En somme, ça veut dire que la compagnie pharmaceutique et
Santé Canada acceptent de n'avoir aucune idée des effets potentiellement
cancérigènes, toxiques pour le code génétique, ou toxiques pour la
possibilité d'enfanter normalement.
Les essais cliniques des
vaccins sont en cours et se poursuivront jusqu'en 2023
Les "vaccins COVID-19" sont des
médicamentations expérimentales dont les études cliniques (clinical
trials) n'ont pas été menées à terme ! Effectivement, les
études cliniques sont encore en cours, et ce, jusqu'en octobre 2022,
janvier 2023 et février 2023 ! Ces vaccins ne seraient jamais autorisés en l'état
dans une situation normale, car
les tests normaux d'innocuité
n'ont pas été menés jusqu'au bout! Il faudrait attendre début
2023 pour que ce soit le cas. Ils ont seulement reçu "une autorisation
d'urgence" en ce moment. Ce que ça signifie, c'est que :
les gens qui acceptent de se faire vacciner avec ça en ce moment
ne
comprennent pas ce qu'on leur injecte (en fait de sécurité du
médicament)
ou ignorent
carrément ce qui leur est injecté (ne savent pas c'est
quoi)
ou bien acceptent littéralement
de jouer les rats de laboratoire (cobayes) !
ou, encore pire... ces gens le
font parce qu'ils sont entraînés malgré eux par une vague de
conformisme social qui les
pousse dans une certaine direction, sans plus de discernement, à
adhérer aveuglément aux commandes médiatiques-politiques. "50 000
people can't be wrong!" "La TV m'a dit que c'est bon."
(As seen on TV!)
Voici
les documents venant de ClinicalTrials du gouvernement
américain, ceux qui administrent les études cliniques.
Vaccin Pfizer/BioNTech (nom commercial
Comirnaty, autres noms: Tozinameran ou BNT162b2)
Date de fin de l'étude clinique estimée :
31 janvier 2023
Novavax/CEPI (autres noms : NVX-CoV2373
ou SARS-CoV-2 rS) : (recombinant protéine spike) nanoparticule avec
Matrix-M1 - Date de fin de l'étude clinique estimée :
30 décembre 2022,
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04611802
Et il y a les autres vaccins dont on entend
très peu parler ici : les vaccins russes Sputnik V, EpiVacCorona et
CoviVac, le vaccin CureVac (CVnCoV), le vaccin chinois du Beijing
Institute of Biological Products, Wuhan Institute of Biological
Products (BBIBP-CorV), les vaccins chinois CoronaVac et Ad5nCoV,
le vaccin indien BBV152. Et il y en a d'autres, comme entre autres un vaccin
éventuel de la compagnie québécoise Medicago hautement financé (7
millions $) par le gouvernement du Québec
et du Canada (173 millions $).
Lorsque le gouvernement sur son site web dit que les vaccins ont été "approuvés" comme
tous les autres vaccins traditionnels, c'est un mensonge car comme on l'a vu plus
haut
: ces vaccins ont reçu une
"autorisation d'urgence", pas une approbation
normale. Ils sont encore en phase expérimentale qui se termine en fin 2022 - début 2023.
Lorsque le gouvernement dit "événements indésirables" pour
faire référence à des décès purs et simples, il utilise une figure de style
appelée l'euphémisme, et ce faisant dans le cas présent il occulte une réalité et
ment par omission. C'est excessivement grave car le gouvernement a le devoir de
tenir les gens bien au courant, nous donner l'heure juste. D'ailleurs dans la liste
des effets indésirables que le gouvernement produit, il n'est fait nulle mention
de la possibilité de la mort (des gens sont morts DU vaccin) ni de la
possibilité de développer à court, moyen ou long terme des maladies ou
conditions médicales plus ou moins graves (comme dans la liste de la FDA ci-haut). Et je ne vais pas
commenter la vidéo incluse sur la page du gouvernement, où le pharmachien
millionnaire (lui aussi membre de l'Union des artistes, son émission oblige),
nous lit le panneau qu'il a devant lui sous la caméra, qui explique exactement
ce que le site explique: "vaccins approuvés avec toutes les étapes, parfaitement
inoffensif, efficace... mais on garde les mesures sanitaires!"
"Déshabiller Paul pour habiller Jacques"
Enfin sur la sécurité des vaccins, on sait que des gens
meurent ou sont marqués parfois à vie à cause du vaccin. On sait que des
gens meurent à cause du virus. La question est de savoir lequel est le pire.
Pour le virus, la moyenne d'âge des décès est de 82 ans. La grande majorité
des décès a eu lieu en CHSLD (équivalent de EHPAD, ou nursing homes)
et en résidences pour aînés (RPA). Qu'en est-il des décès du vaccin ? Et des
maladies graves chroniques ? Les vaccinés sont en moyenne plus
jeunes que 82 ans et, si ça se passe mal pour eux, auront soit des années de
vie perdues, soit une perte de leur qualité de vie pour leur avenir.
Surtout... qu'on le verra plus bas, depuis mars 2020,
on a compris que la mortalité (les Case Fatality Rate et Infection Fatality
Rate selon le CDC américain sont beaucoup plus bas que ce qu'on
imaginait au début) et il y a en plus de plus en
plus de façons de réduire la mortalité des gens qui attrapent le
virus avec des traitements ou des techniques hospitalières
améliorées (comme
l'oxygène OptiFlow HFNC).
Un vaccin est supposé être la voie thérapeutique
choisie quand on n'a pas de traitements ou de techniques pour rendre la
mortalité d'une maladie très faible.
Ce qui semble être le problème au Québec, c'est que le système de santé
n'offre absolument aucun traitement aux malades avant de tomber dans du très
lourd (réanimation, intubation sous coma provoqué avec respirateur
artificiel, ECMO, etc.). Qu'en est-il de l'oxygène haut-débit ? Des
traitements qui semblent avoir une efficacité et qui sont utilisés de par
le monde ? Des anticoagulants ou des corticoïdes, etc. ? (J'en reparle à
la section "Traitements") Ce qui fait qu'au Québec, on se retrouve devant
une situation ubuesque qui ressemble à "vaccin ou rien".
Plusieurs
scientifiques et pays dans le monde sont convaincus qu'il y a des
traitements efficaces. Omerta dans nos médias.
Car... the show must go on!
3a. La deuxième dose est pire
que la première
Dans l'autorisation par intérim de Santé Canada que j'ai citée au
point 3 ci-dessus, il est présenté des tableaux des
essais cliniques, pour la "Dose 1" et la "Dose 2". Voici l'un de ces
tableaux, où on constate les résultats de l'étude sur les plus de 56 ans :
On remarque que dans l'étude clinique même soumise à Santé Canada, les
chiffres à la Dose 2 sont augmentés par rapport à la Dose 1.
Voici le tableau pour l'étude des 18-55 ans, où l'on observe le même
phénomène :
Pour les gens qui pensent que la deuxième dose sera la même chose que la
première, c'est faux. Certaines personnes sont mortes ou sont devenues très
malades après la deuxième dose. (Et le reste des éléments présentés
sur cette page quant aux potentiels effets à long terme, etc. sont toujours
valides!)
Quant à une 3ème ou 4ème dose... À l'origine, les essais
cliniques des vaccins n'ont même pas prévu évaluer l'effet de doses au-delà
de 2 doses.
3b. Ingrédients des vaccins "For Research
Use Only"
Pfizer-BioNTech
D'emblée, répondons à la question suivante: est-ce qu'il y a de la
nanotechnologie dans les vaccins? La réponse est OUI. (Au moins
pour Pfizer-BioNTech et Moderna.)
Dans les vaccins ARNm (Pfizer-BioNTech et Moderna), il y a des "LNP" (nanoparticules
lipidiques) qui servent à encapsuler le brin de modRNA pour faire de la
"livraison génique" (j'en reparle au point 5 de
cette section). (Source :
https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/nat.2018.0721)
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, une de ces nanoparticules s'appelle ([(4-hydroxybutyl)azanediyl]di(hexane-6,1-diyl)
bis(2-hexyldecanoate)), ou plus simplement ALC-0315 (Source :
https://www.fda.gov/media/144414/download). C'est un lipide
cationique qui a été breveté en 2019
(extrêmement récent) : WO2019202035A1 - sous le "compound III-3"
(selon la fiche de MCE, prochain lien). Sur
le site de MedChemExpress (MCE), un fabricant, on peut télécharger la
fiche signalétique ("datasheet") du produit :
https://file.medchemexpress.com/batch_PDF/HY-138170/ALC-0315-DataSheet-MedChemExpress.pdf
BREVETS : (Parlant de brevet, c'est intéressant de voir que JUSTE avant la pandémie (2019), c'est à ce
moment que le nombre de brevets dans le champ de "mRNA vaccines" a explosé,
selon cet article de Nature :
https://www.nature.com/magazine-assets/d41573-020-00119-8/18122018)
Sur MedChemExpress (MCE), il est écrit :
"ALC-0315 is used to form lipid nanoparticle for the research of
vaccination. MCE has not independently confirmed the accuracy of these
methods." Traduction : "ALC-0315 est utilisé dans la
recherche vaccinale. MCE n'a pas confirmé l'efficacité de ces méthodes de
façon indépendante."
À la dernière page du PDF, on peut lire textuellement :
"Caution: Product has not been fully validated for medical
applications. For research use only." Traduction :
"Le produit n'a pas été validé pour des applications médicales réelles. Pour
recherche seulement." Mais... c'est exactement ce produit qui est injecté
dans les bras des gens en ce moment.
"For Research Use Only" labelling : The use of "For
Research Use Only" labelling applies to a medical device in the laboratory
research phase of development. It's not intended for a device represented
for use in clinical trial or clinical diagnosis, screening or surveillance."
Traduction : "La catégorie "Pour une utilisation de recherche seulement"
s'applique aux produits médicaux de la recherche de laboratoire en phase de
développement. Cela n'est pas pour des fins d'essais cliniques, diagnostics
cliniques, dépistages ou de la surveillance."
On comprend que les molécules ou produits médicaux qui entrent dans la
catégorie "For Research Use Only" ne doivent pas être utilisés dans
des contextes commerciaux ou "réels", comme par exemple, dans une
vaccination de masse.
Note : "APnews" (ou plutôt
Béatrice Dupuy,
qui écrivait encore récemment pour Teen Vogue), a fait un "fact-check"
pour essayer de "débunker" la fiche de CaymanChem (ci-dessus), en disant que
les "effets nocifs" reportés dans la fiche étaient liés au chloroforme
contenu dans le produit. Pourtant, quand on lit la fiche, on voit "For
Research Use Only". Le chloroforme, agissant seulement comme
solvant dans cette solution, est un produit chimique connu depuis
des lustres (~1831 !), alors ce n'est certainement pas de ça dont il s'agit.
L'étiquette "For Research Use Only" concerne forcément le SM-102
lui-même.
Pfizer-BioNTech ET Moderna
Dans les deux vaccins, il y a une substance appelée DSPC (1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine).
Voici ce que la fiche signalétique de CaymanChem en dit : "For research
use only, not for human or veterinary use." (Traduction : Pour
recherche seulement, pas pour utilisation humaine ou vétérinaire.)
Un lipide "cationique" est un lipide ionisé (donc ayant une charge
ionique donc électrique, un ion, comme dans "cation / anion"). Une étude révisée par les pairs dit
ceci : "cationic
lipids still have the problem of toxicity, which has become one of the main
bottlenecks for their applications." Traduction : "Les lipides
cationiques ont encore un problème de toxicité, ce qui en a fait le
principal obstacle à leur mise en application réelle."
"Le diable est dans les détails quant aux
nanoparticules lipidiques." -Giuseppe Ciaramella, ex-directeur maladies infectieuses de Moderna. Les lipides cationiques n'existent pas dans la
nature. Ce sont des produits chimiques synthétiques :
Maintenant, voici ce que Radio-Canada Information (RDI) dit sur
les composantes des vaccins, le 8 mai 2021 :
J'ai lu son article au complet et elle passe extrêmement vite sur les
SM-102 et ALC-0315. En fait, elle fait juste dire que ce sont des "lipides"
en mettant vite l'accent sur le polyéthylène glycol. Elle n'explique pas du
tout les SM-102 et ALC-0315. Quand on dit que les médias endorment les gens,
ce n'est vraiment pas une blague.
AstraZeneca (ChAdOx1)
Même si cet ingrédient n'est pas "for research use only",
puisqu'on parle d'ingrédients et de leur toxicité, voici l'un des ingrédients du ChAdOx1
: le Magnesium chloride hexahydrate.
(Source :
https://www.fda.gov.ph/wp-content/uploads/2021/04/Package-insert-v3.0.pdf)
Voici la fiche signalétique ("datasheet") :
https://fscimage.fishersci.com/msds/13365.htm La fiche dit qu'il peut
être dangereux pour les reins, et dangereux si avalé. Le chlorure de
magnésium hexahydraté est en fait un sel lié à six molécules d'eau (MgCl
2.6H2O). C'est le frère du sel
qu'on met sur les routes l'hiver (MgCl2
chlorure de magnésium). C'est vrai qu'on s'en sert pour transformer le lait
de soya en tofu, ou pour d'autres applications du quotidien. Pourtant, la
fiche signalétique met en garde. Ce n'est pas un sel de table comme le
chlorure de sodium (NaCl). Encore une fois,
la question qu'on doit se poser c'est : quel potentiel de toxicité peut-il
demeurer à une infime dose comme dans le vaccin ? Pour celui-ci,
probablement pas grand chose mais je trouve que la question mérite d'être
posée quand même.
4. L'anesthésiste-réanimateur Dr. Louis Fouché s'exprime très
clairement
sur les vaccins
Voici maintenant des segments d'entrevues importantes
d'un médecin vraiment inspirant, le Dr. Louis Fouché (~42 ans), anesthésiste-réanimateur
(ces médecins qui endorment des patients quand vient le temps
de l'intubation sur les respirateurs artificiels) qui a sauvé des
vies de patients intubés avec forme grave de covid19. Il a été sur le
terrain depuis mars et voici le vidéo que j'ai monté (incluant un
segment sur le conseil scientifique en France et Jean-François
Delfraissy) :
Dr. Louis Fouché : "Le niveau de sécurité d'un
vaccin doit être maximal, parce que vous ne devez pas rendre malades des gens qui
ne sont pas malades."
Il y a un petit extrait audio aussi
de Fouché invité au média CNews en France qui revient sur le cas de Pfizer
condamné à 2,3 milliard:
Dr. Fouché n'est pas "anti-vaccin". Tout comme
être 100% contre les vaccins ou 100% pour les vaccins est aussi
absurde qu'être 100% anti-médicaments ou 100% pour les médicaments.
Il y a des bons médicaments, et il y a des mauvais médicaments. Il y
en a des très sécuritaires, et il y en a des dangereux. Même chose
pour les vaccins. Il faut rester nuancés et ne pas tomber dans le
piège de la simplification à outrance avec des étiquettes douteuses
qui n'ont finalement pour effet que d'empêcher de se poser des
questions très importantes.
J'ai assisté virtuellement à un séminaire
vraiment très intéressant de Dr. Louis Fouché, où on le voit
s'exprimer dans un contexte médical professionnel. C'était le 7
octobre 2020 et ça s'appelle "Réanimation
et COVID - quelques points saillants!" et c'est possible de
l'écouter sur
YouTube en cliquant ici :
https://www.youtube.com/embed/r1hOyShXHak
Voici d'ailleurs un extrait important de ce
séminaire. Dr. Fouché et Pr. Didier Raoult (voir
son CV), PhD,
Directeur de l'Institut Hospitalo-universitaire (IHU)
Méditerranée-Infection et spécialiste en microbiologie et maladies
infectieuses, expliquent comment ils
sauvent maintenant des gens: "on a sauvé des gens qu'on
n'aurait pas sauvé il y a 1 mois", en changeant la prise en charge, en
évitant d'utiliser la respiration artificielle pour plutôt prioriser
l'oxygénation à haut-débit OptiFlow (60 litres).
Peu de gens sont au courant que la technologie mRNA est
une technologie encore nouvelle et selon plusieurs scientifiques de premier
plan dans le monde, il est trop tôt dans le développement de cette
technologie pour l'étendre à une population entière. Voici ce qu'en dit le
Pr. Montagnier :
J'ai trouvé quelque chose de très intéressant sur la
technologie mRNA utilisée dans les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna.
ADN : Premièrement, nous savons que l'acide désoxyribonucléique
(l'A.D.N.), ce grand code génétique, "ce plan de la vie", qui détermine qui
nous sommes et ce que nous sommes, est composé de 4
"bases", soit A C G T : les purines Adénine et Guanine, puis les pyrimidines
Cytosine et
Thymine.
ARN : Pour l'acide ribonucléique (l'A.R.N.), c'est un peu
différent. La pyrimidine Thymine n'y est pas, c'est plutôt l'Uracile (U)
qui prend la place. En résumé, ADN = A C G T, ARN = A C G U. Ça, c'est dans la nature.
Voici un tableau à deux colonnes pour comparer les caractéristiques de
l'ADN, à gauche, et les caractéristiques de l'ARN, à droite :
On remarque que l'ADN a une structure en double hélice (bicaténaire),
contrairement à l'ARN (simple hélice, monocaténaire). (Il y a des
exceptions comme des virus ADN à simple brin, ou des molécules ARN
double-brin, mais règle générale ce n'est pas ça qu'on retient.)
Ci-dessous une autre représentation. Attention, ici, à gauche c'est la
structure de l'ARN, à droite celle de l'ADN (inversé par rapport au
tableau précédent).
Donc, si l'ADN "génomique" (notre ADN) est la longue chaîne moléculaire qui contient
notre code génétique et qui siège dans
le noyau de nos cellules et a bâti notre corps et le maintient en harmonie
(par exemple, les cancers viennent entre autres de cellules où l'ADN a été abîmé,
déréglé), l'ARN quant à lui est un code plus simple, qu'on retrouve souvent
dans des organismes moins complexes, comme les virus (* je connais la
théorie des exosomes mais ce n'est pas le moment d'en discuter ici).
L'ARN se retrouve par contre aussi sous forme d'ARN
messager dans nos propres cellules naturellement, dont l'ADN de nos cellules
se sert comme d'un signal -ou message- aux ribosomes intracellulaires (des
organites -ou petits organes- dans la cellule) pour les faire synthétiser
des protéines qui seront utiles à notre organisme. En d'autres mots, l'ARN
messager agit comme une recette, et le ribosome comme le chef cuisinier qui
prépare le plat : la protéine.
Dans les recherches de compagnies comme Moderna, certains
se sont dit qu'en manufacturant des ARN messagers artificiels, on pourrait
"hacker" les cellules pour les faire produire les protéines qu'on voudrait.
(Source ci-dessous, ScienceMag)
Comme ça, par exemple en thérapie génique, dans des maladies où le corps
produit mal ou pas du tout certaines protéines à cause de maladies
génétiques, on pourrait "guérir" la personne comme ça. Bien.
Les chercheurs se sont rendus compte que la cellule était capable d'identifier que l'ARN
messager artificiel était un corps étranger. Résultat : apoptose (mort) de
la cellule hôte et fin du processus. Échec.
Leur "hack" (piratage) du corps, c'est qu'ils ont alors altéré la composition d'un ARN messager
naturel pour en faire un "ARN messager modifié", ou un MODified
RNA... MODeRNA. Moderna... et oui! Qu'a-t-il de spécial ce modRNA ? À
la place d'utiliser les bases Guanine, Adénine, Cytosine et Uracile, ils
ont littéralement dénaturé une des bases, l'Uracile, remplacé par la "Pseudo-Uridine"
(abrégé par la lettre grecque psi, qui ressemble à un trident, un
chandelier de la fête juive de Hannouca, ou encore une fourche de démon : Ψ),
un "analogue" de l'Uracile.
Par exemple, voici le début de la séquence du code génétique du modRNA
de Pfizer-BioNTech :
On note qu'il y a des Adénines, des Guanines, et des
Cytosines, jusque-là normal. Mais on voit qu'il
est plein de Pseudo-Uridines ( Ψ ) partout
(qui remplacent l'Uracile qu'on trouverait naturellement).
C'est cette pseudo-base qui n'est pas naturelle, et elle est vraiment partout dans la
séquence.
Parenthèse, c'est fou à quel point ça me
fait penser à un code hexadécimal en programmation informatique.
Ci-dessous, le programme explorer.exe ouvert dans un éditeur hexadécimal
dans ce qui semble être Microsoft Windows XP en "style classique" :
Cette modification a permis à Moderna de "hacker" la
cellule pour qu'elle ne détecte pas que le code est artificiel pour qu'elle
traite ce modRNA comme un ARN messager normal, et qu'elle produise des
protéines que le modRNA lui dit de produire.
Quand on entend dans les médias que "le vaccin c'est juste
un ARN messager qui nous fait produire une protéine de surface du virus pour
que notre système immunitaire développe des anticorps contre cette protéine
de surface", c'est faux. Ce n'est pas un ARN messager, c'est un ARN messager
modifié. C'est une technologie nouvelle, qui utilise une pseudo-base
nucléique (la Pseudo-Uridine), et ça, personne n'en parle jamais. Personne
le sait dans le grand public.
Comme on l'a vu plus haut, plusieurs chercheurs de premier
plan sont très inquiets pour la suite des choses quant à ces vaccins qui
utilisent une technologie émergente qui n'a jamais été utilisée avant
massivement, et qui n'a jamais été couronnée de succès jusqu'à date.
Le même article (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1525001618305847) de ScienceDirect
du 10 avril 2019
aborde aussi les vaccins à adénovirus ADN ou "viral vector vaccines" comme
le AstraZeneca/Oxford ChAdOx1, et le Janssen/Johnson & Johnson, en tant
que différentes méthodes de "livraison génique" (thérapie génique).
On observe dans cette image une comparaison entre la
technologie Modified mRNA ["modRNA"] (Pfizer-BioNTech, Moderna) dans le milieu et
Adeno-Associated Virus (AAV) en bas.
Les virus adéno-associés ne sont pas des adénovirus à
proprement parler : ils cohabitent avec des adénovirus. Ce n'est donc pas
exactement la même chose que par adénovirus (comme AstraZeneca/Johnson &
Johnson). On peut quand même constater que pour les AAV, dans les inconvénients, il y
a "intégration génomique", ce qui veut dire que le code génétique compris
dans le vaccin est intégré dans le génome de la personne. Autrement dit, une
altération de l'ADN. * Il faut investiguer davantage cette question. Vous
avez des informations sur ce point? Écrivez-moi.
Nouveauté des technologies modRNA et adénovirus
Voici un autre segment de la discussion entre Eugenio Derbez et Anthony Fauci le 10 mars 2021, sur les vaccins mRNA
[modRNA] (Pfizer-BioNTech, Moderna) et à adénovirus (AstraZeneca, Johnson & Johnson) :
(Pour info, le New York Times dit que le
tout premier vaccin à technologie adénovirus (comme AstraZeneca et Johnson &
Johnson) a été approuvé en juillet 2020 (contre Ebola), donc le "longtemps" de Fauci est à relativiser : "AZD1222 comes out of decades of research on
adenovirus-based vaccines. In July, the first one was approved for
general use — a vaccine for Ebola, made by Johnson & Johnson. Advanced
clinical trials are underway for other diseases, including H.I.V. and Zika"
Source :
https://www.nytimes.com/interactive/2020/health/oxford-astrazeneca-covid-19-vaccine.html)
Il y a aussi ces scientifiques qui, le 12 février 2020,
disaient dans cet article de Pharmaceutics (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7076378/) : "Même
si des obstacles de taille ont été résolus par la modification chimique des
mRNA, la livraison intracellulaire des mRNA représente encore un défi
colossal."
Parenthèse Les gens qui disent "Oui mais ça
fait 30 ans que ça existe", chaque fois j'ai le goût de leur répondre :
"C'est comme l'automobile à essence, ça fait 500 ans que ça existe ! Ben
oui : on avait inventé la roue depuis longtemps, la charrette aussi, on
savait extraire le pétrole depuis longtemps aussi." C'est le même genre
de "glissement sémantique". Car effectivement : ce n'est pas
parce que cette technologie a pu être à l'état embryonnaire et de
recherche fondamentale pendant de nombreuses années qu'on vaccine avec
ça depuis des années! C'est simplement un glissement dangereux et
inexact!
Aussi, voici ce que le journaliste d'investigation depuis 30 ans
et nominé pour un prix Pulitzer, John Rappoport, a écrit le 6 février
2020 sur ce sujet : "New vaccines will permanently alter your DNA",
https://blog.nomorefakenews.com/2020/02/06/new-vaccines-permanently-alter-your-dna/
(Même si Rappoport est à contre-courant de la doxa des médias,
étant journaliste d'enquête, j'inclus son analyse. Au lecteur de se
positionner quant aux éléments et aux faits présentés. Biographie de Rappoport :
https://nomorefakenews.com/aboutjon.html) Il est important de savoir que
Rappoport cite des travaux qui parlent d'un vaccin "immunoprophylactique de
transfert génique" qui n'est pas précisément (selon ce que je comprends) un
vaccin modRNA, mais s'y rapprochant.
Dans le même ordre d'idée, voici ce que le Professeur
Didier Raoult dit de la transcriptase inverse, responsable de l'intégration
d'un code génétique d'ARN dans le code génétique ADN d'un être humain, par exemple :
On a appris plus haut que le modRNA se rend jusque dans
les gonades (les ovaires ou testicules) où se trouvent les cellules
germinales (qui donnent les ovules et spermatozoïdes), et on apprend
maintenant qu'il y a un risque existant qu'ils s'impriment dans le code génétique
par transcriptase inverse. On sait aussi que les modRNA sont des
produits industriels contenant de la pseudo-uridine ( Ψ ).
Logiquement, le pire scénario qui pourrait donc arriver avec ces paramètres est que
ce modRNA (RNA modifié) s'imprime dans le code génétique d'un futur embryon et que cet
humain à naître ait ce nouveau code génétique en lui.
Je le dis maintenant parce que ça m'y fait penser, mais je
sais que ce qu'ils ont commencé à appeler ce qui suit la "génération Z", la
génération "Alpha", comme "le renouveau". Je sais que la génération
précédent la "Z" s'appelle "les milléniaux", jamais les "Y", donc c'était
pas nécessaire de nommer les "Z" comme ça. Donc, je me pose vraiment la
question c'est quoi l'affaire avec le nom "génération Alpha". Niveau
coïncidence, il y a quelque chose. Je n'ai pas plus d'information à ce
sujet, mais j'aimerais bien en avoir, si quelqu'un a quelque chose
là-dessus. (Pas nécessaire de me dire "parce que ça suit Z".)
6. Concernant les enfants et les
jeunes
Voici une petite section ajoutée début juin 2021 puisqu'on
en entend beaucoup parler ces temps-ci, avec des ressources spécifiques sur
ce sujet.
7. Des éléments qui font se poser beaucoup de
questions
Deux nouvelles compagnies qui promettent de
révolutionner la médecine, et "une
ruée vers l'or" : Moderna et BioNTech
Aviez-vous entendu parler de Moderna ou BioNTech avant
2020 ? Moi jamais. Et c'est bien normal : ces compagnies n'existaient tout
simplement pas encore assez récemment.
En faisant une recherche sur ces compagnies
pharmaceutiques, leurs personnages-clés, et leurs "produits", je me suis
rendu compte que certaines choses ne vont pas du tout.
Moderna, fondée en 2012
par Stéphane Bancel (un Français) à Cambridge, Massachussetts (USA), se
situe juste à côté du MIT et de Harvard.
Moderna
n'a jamais pu faire autoriser aucun de ses produits pharmaceutiques par la
FDA avant son vaccin covid19 de 2020. Notons
comme on l'a déjà dit que c'est une autorisation d'utilisation d'urgence
(EUA) et non pas une approbation. (Source : 16 décembre 2020,
https://www.marketwatch.com/story/moderna-nears-its-first-ever-fda-authorization-for-its-covid-19-vaccine-11608134670)
Voilà ce que disait en 2017 NewsStat (fondé par l'un des
dirigeants du Boston Globe) :
"SAN FRANCISCO — Moderna Therapeutics, the most highly valued
private company in biotech, has run into troubling safety problems
with its most ambitious therapy, STAT has learned — and is now banking
on a mysterious new technology to keep afloat its brash promise of
reinventing modern medicine." Moderna avait l'ambition de réinventer
la médecine moderne mais n'arrivait pas à approuver un de ses produits :
problèmes de sécurité.
BioNTech, fondée en 2008
avec un investissement des frères Strüngmann (Mainz, Allemagne), des "serial
entrepreneurs", est la petite entreprise à laquelle la big pharma Pfizer
s'est associée. BioNTech développe la technologie modRNA tandis que Pfizer
se charge des tests et de la logistique (montage du vaccin en masse).
De ce que j'ai recherché avec les termes ("biontech
approved drugs") entre autres, je n'ai pas pu trouver un seul médicament
ou vaccin de BioNTech approuvé avant l'autorisation d'utilisation
d'urgence du vaccin covid19 en 2020.
De toute l’histoire de la vaccination, AUCUN autre vaccin n’a été administré
massivement à des populations générales sous le statut « Emergency Use
Authorization » (autorisation d’urgence seulement). Il avait toujours été approuvé (même pour le H1N1 de 2009). (https://www.immunize.org/timeline/)
Aucun candidat-vaccin contre les coronavirus (notamment dans les cas du SRAS en 2003-2004 et du
MERS en 2012) n’a jamais été approuvé. Ils ne passaient pas les tests de
sécurité !
Et on a vu plus haut dans cette section (au point 1.) que
les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement ne sont pas "légalement
responsables" s'il arrive malheur aux vaccinés.
Il me semble qu'absolument toutes les lumières du
tableau de bord clignotent en rouge dans cette affaire !
- Anthony Fauci
(le directeur du NIAID américain et celui qui est en charge de la gestion de la pandémie
du coronavirus aux États-Unis, l'équivalent de Horacio Arruda au Québec ou Jérôme Salomon/Olivier
Véran en France) et,
- Jerome Adams (le
Surgeon General américain),
disent que les vaccins-covid auraient un effet pour les gens qui
développeraient des symptômes sévères, mais les vaccins n'empêchent
pas l'infection et donc la contagion et la contamination. Les compagnies
pharmaceutiques affirment seulement que les symptômes des cas graves
(donc certaines personnes âgées ou avec comorbidités) seront moins sévères. Les
gens qui seront vaccinés pourront quand même "mourir du coronavirus".
(Je cite des sources américaines parce que de toute façon
c'est les mêmes vaccins. De plus, il y a une telle coordination dans le monde
occidental que c'est du pareil au même. Arruda dit la même chose, en France
aussi, etc.)
Dans la logique des compagnies pharmaceutiques, si l'effet
protecteur "à 90 %" du vaccin consiste en ce
qu'il diminuerait les symptômes graves et les visites en salle de
réanimation des personnes faisant des cas graves (rares), alors
ce vaccin ne
concerne pas la grande majorité de la populationpuisque ce virus est tout à
fait bénin chez la grande majorité des gens. Répétons-le : selon Fauci et
Adams eux-mêmes, le vaccin n'empêche pas l'infection ni la contagion et
contamination. L'idée donc, qu'on entend souvent, de le prendre "pas pour moi, mais pour ne pas le
donner aux autres" est absurde, vraiment absurde, parce que ce n'est pas ce
qu'ils disent que ce "vaccin" fait ! Voici un segment de discussion entre Anthony Fauci et
l'acteur Eugenio Derbez qui a pu poser des questions à Fauci le 10 mars
2021, où c'est exactement ce qu'ils disent :
Lorsqu'on dit que le vaccin ne marche pas, c'est que normalement
un vaccin qui marche, c'est supposé briser la transmission entre les gens. Ici, la seule
chose qu'il fait (selon les essais cliniques réalisés par les compagnies pharmaceutiques), c'est probablement diminuer la gravité des
symptômes des rares personnes qui développent un cas grave, donc les
"personnes à risque" (comorbidités, 70 ans et plus, diabète,
alzheimer, etc.).
(Source : 21 octobre 2020 : Dr. Peter Doshi, Will covid-19 vaccines save lives? Current [clinical] trials aren’t designed
to tell us The British Medical Journal, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037/
Étant donné que les essais cliniques ont été
faits pour évaluer une diminution des symptômes graves pour les populations
à risque, il serait difficile de statuer sur le "bris de transmission" entre
les personnes puisque comme le Dr. Doshi le dit, les essais n'ont pas été
faits pour évaluer ça. Faire de la science autour de ça supposerait au minimum
d'avoir des groupes de patients qu'on expose aux mêmes facteurs
environnementaux et sociaux, dans le même état de santé (mêmes comorbidités,
même énergie générale) et le même groupe d'âge, et qu'un groupe serait
vacciné tandis que l'autre ne le serait pas. Cette étude devrait évidemment
être faite par des équipes qui n'ont tout à fait aucun conflit d'intérêts,
aucun lien avec l'industrie pharmaceutique ou autre organisation ayant un
agenda envers ses actionnaires ou autres motivations qui sortent de la
science pure.
Un peu comme avec Edward Jenner et son expérience du 14
mai 1796 sur le garçon de 8 ans avec la vaccine et la variole (la vaccine [cowpox]
est une maladie de la vache qui ressemble à la variole, que les humains
peuvent attraper mais qui est assez bénigne chez l'humain comparée à la
variole). Pour vérifier si son "vaccin" fonctionnait, il a littéralement
exposé le garçon à des fluides biologiques (du pus infecté) d'abord
d'une femme ayant contracté la vaccine, puis ensuite d'un variolique plus
d'un mois plus tard. Lorsqu'il s'est rendu compte que le garçon ne tombait
pas malade et ne transmettait pas, il a pu conclure à une certaine
efficacité dans le bris de transmission. Il faut toutefois rappeler que la
variole avait un tableau clinique très caractéristique, avec un taux de
mortalité de 30%. C'est-à-dire qu'on n'aurait pas pu la confondre avec une
mauvaise grippe (mais on a pu confondre avec la syphilis, autrement nommée
grande vérole. La variole elle, petite vérole). (Source :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1200696/)
Attention,
le contenu de cette boîte bleue date du début juin 2021, et il est laissé ici
dans une volonté d'archivage de l'information.
Rien n'est valide
ci-dessous parce qu'il est absolument évident à l'orée de 2022 que le vaccin
ne stoppe pas l'épidémie du tout et que l'"immunité collective" à 75%, 80%,
85% du taux de vaccination est un mensonge éhonté. La seule possibilité
d'immunité collective passera par une immunité naturelle, mais pas par ces
"vaccins".
Par exemple,
fin mai 2021, il y a de plus en plus d'"études"
qui sortent pour dire que le vaccin brise la transmission virale. Ces
"études" proviennent surtout d'Israël et du Royaume-Uni (UK).
Ce qui est intéressant dans ce tweet de ce médecin
employé du gouvernement du Québec, c'est que :
ces "études" proviennent pour les plus
grosses directement des organes de
santé publique des gouvernements israéliens et anglais (ministère de la
santé, santé publique), qui cherchent le plus d'arguments possible pour
que les gens se fassent vacciner. Ils ne sont donc pas indépendants dans
le processus (conflits d'intérêt).
(Voici l'article du Dr. Kamran Abbasi,
executive
editor du British Medical Journal (BMJ) :
Covid-19:
politicisation, “corruption,” and suppression of science - The BMJ
(version
française annotée ici)
ces "études" dans la vie réelle, comme je l'ai dit
plus haut, ne sont pas randomisées, double aveugle, effectuées dans des
conditions de laboratoire. Ce sont des chiffres récoltés dans la
population générale dans un environnement réel, sujet à une foule de
variables incontrôlables. La validité de ce genre d'études est relative
et on doit donc en tenir compte. Je le redis, comme Dr Doshi : les
essais cliniques n'ont pas été faits pour déterminer s'il y avait un
bris de transmission.
Ce n'est pas avec des "études" faites sur le tas en
population réelle par des gens ayant des conflits d'intérêt qu'on fait de la
bonne science.
Au Québec
Mi-juillet 2020.
Lorsqu'on regarde les directives du gouvernement du Québec
sur son site (https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/coronavirus-2019/reponses-questions-coronavirus-covid19/isolement-symptomes-traitements-covid-19#c59083
- (info introuvable sur leur site après octobre 2021,
archivé ici) Questions "Sur quelles études se base le gouvernement pour obliger le port
du masque ou du couvre-visage?" et "Est-ce que le port du masque ou du
couvre-visage peut protéger contre la covid?"), et qu'on tente de savoir
sur quoi il se base pour recommander et obliger le masque, il dit
qu'il se base sur des "organismes de référence" dont l'OMS, le CDC américain
et l'Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ). Il cite cet
avis (commandépar le gouvernement qui à ce moment-là ne se
cache pas de considérer rendre les masques obligatoires !) de 60 pages de l'INSPQ
datant du 16 juillet 2020 (soit deux jours avant le début du décret
rendant le masque obligatoire, le 18 juillet 2020) :
https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/covid/2972-couvre-visage-population-covid19.pdf
Le gouvernement du Québec dit :
Le port du masque
d’intervention (masque de procédure) confère une protection au porteur et
aux personnes autour de lui lorsque le masque est bien positionné et
recouvre le nez et la bouche. Consultez l’avis produit par l’Institut
national de santé publique pour obtenir plus d’information.
Dans le dit avis de l'INSPQ, il est écrit que :
L’efficacité du port du
masque médical (chirurgical ou de procédure) par la population générale à
prévenir l’acquisition de maladies respiratoires a été peu étudiée et est
débattue dans la littérature scientifique depuis plusieurs décennies. La qualité méthodologique des études disponibles est jugée
faible et les résultats apparaissent très hétérogènes.
Ça part mal !
Alors que le gouvernement du Québec écrit sa phrase avec une grande
certitude (confère une protection), l'avis de l'INSPQ sur
lequel il se base pour dire ça, sur le même sujet utilise les mots :
peu étudié, débattu, qualité des études jugée faible. L'INSPQ ajoute :
Le port d’un couvre-visage ou d’un masque peut également
entraîner des effets indésirables, particulièrement lorsqu’il doit être
porté sur de longues périodes. On peut observer des difficultés
respiratoires, des problèmes cutanés et des problèmes de
communicationpouvant être critiques pour certaines
populations (par exemple, les jeunes enfants, les aînés ayant des
troubles cognitifs [...]
Enfin, au Québec, le gouvernement
recommande fortement le port du couvre-visage dans les lieux publics,
particulièrement lorsque la distanciation physique n'est pas possible
et impose le port obligatoire dans les transports en commun, dès la
mi-juillet 2020. En plus des actions gouvernementales, la mairesse de
Montréal a imposé le port du masque obligatoire dans tous les lieux publics
fermés, une mesure similaire à celles prises par d’autres villes
canadiennes. Les autorités réitèrent que le port du couvre-visage
dans les lieux publics doit obligatoirement s’accompagner des autres mesures
de protection, comme l’application des mesures d’hygiène et de distanciation
physique.
J'ai trouvé intéressant de constater une forme de "boucle
infinie" entre le document de l'INSPQ et les directives du gouvernement, où
chacun renvoie la balle à l'autre.
Rappelons que même si Arruda-Legault-Dubé vantent sans
cesse l'indépendance de l'INSPQ, cet institut est quand même dans
l'organigramme de la santé et des services sociaux du gouvernement, et est
pleinement subventionné par le gouvernement. Il y a indépendance et
indépendance.
À la question Est-ce que le port du masque ou du couvre-visage peut protéger contre la covid?, le gouvernement répond sur son
propre site d'information :
Le port du couvre-visage (masque artisanal),
pourrait[l'utilisation
de la forme conditionnelle indique une incertitude] permettre de
diminuer la transmission du virus de la COVID‑19 d’une personne infectée
qui a peu ou qui n'a pas de symptômes à d’autres personnes.
Il n’y a pas de données
probantes qui prouvent que le port du couvre-visage dans la
communauté protège la personne qui le porte.
21 septembre 2020.
L'Institut national de la santé publique (INSPQ) a publié une méta-analyse le
21 septembre 2020 s'intitulant : « Efficacité des
méthodes barrière pour protéger contre la COVID-19 dans les environnements
de travail et personnels : revue systématique de la littérature scientifique
avec méta-analyses », disponible au :
C'est important de dire pour ceux qui ne le savent pas
qu'une méta-analyse consiste à comparer des résultats d'une multitude
d'études sur le sujet qu'on étudie afin d'en faire ressortir des conclusions
significatives. Dans cette méta-analyse, il est dit ceci en conclusion,
textuellement : « Il
manque de données scientifiques fiables pour juger de l’efficacité ou de
l'inefficacité du couvre-visage dans la population générale. »
Bernard Drainville a réagi à cette étude lors de son
émission de radio sur les ondes du 98.5 FM à Montréal le 21 septembre 2020 :
Novembre 2020. Étude scientifique au Danemark
En novembre 2020, l'étude danoise DANMASK-19 a étudié
l'effet du port du masque sur 6000 personnes. Saluée par les Professeur Carl
Heneghan et Dr Tom Jefferson de l'Université Oxford en Angleterre, les
savants ont répété leur inquiétude quant au manque de preuve sur
l'efficacité des masques contre le COVID-19 en population générale. (Daily
Mail UK, 19 nov. 2020, "Masks DON'T stop the spread of covid" :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8966883/Masks-DONT-stop-spread-Covid-experts-criticise-troubling-lack-evidence.html)
Début 2021. Étude allemande, masque chez
les enfants
Une étude allemande sortie début 2021 nommée "Co-Ki" a
analysé les conséquences du port du masque chez les enfants sur un
échantillon de plus de 20 000 personnes. 68 % des parents ont rapporté un
effet néfaste sur leur enfant. L'étude a conclu les effets suivants du port
du masque sur les enfants: irritabilité (60%), mal de tête (53%), problèmes
de concentration (50%), moins heureux (49%), pas le goût d'aller à
l'école/la maternelle (44%), malaise (42%) difficultés d'apprentissage (38%)
étourdissements, fatigue (37%). L'étude conclut aussi ceci : « La
COVID-19 est rare chez les enfants. Il n'y avait pas de preuve convaincante
que les enfants sont une source significative d'infection au SARS-CoV2, ni
que les enfants courent un risque important. »
Dans une autre étude parue en mai 2020 dans le
journal scientifique New England Journal of Medicine, il est dit : "Nous
savons que porter un masque en-dehors du système hospitalier n'offre que
très peu, voire pas du tout, de protection." (Source :
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372)
Une publication du Center for Disease Control (CDC) des
États-Unis a donné lieu à cet article du California Globe, journal
indépendant : "New CDC Study Finds Majority of Those Infected with
COVID-19 ‘Always’ Wore Masks" (Source :
https://archive.is/TdoCu)
La
publication dit que la majorité des gens qui ont contracté le coronavirus
portaient toujours un masque, mais l'ont contracté quand même. Ça et
tout ce que j'ai présenté avant, en
simple, ça veut dire que ceux qui disent sans cesse que si tout le monde
portait un masque 100% on arrêterait net la pandémie disent juste n'importe
quoi.
Le 25 mai 2021, département de biologie,
université de Louisville, Kentucky (USA). Un article scientifique en
pre-print (non vérifié par les pairs) a été publié : "Mask mandate
and use efficacy in state-level COVID-19 containment",
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.18.21257385v1
Avec le recul des derniers mois, et avec notamment le cas
remarquable des États-Unis (où, la pandémie est gérée état par état, comme
au Canada province par province), il est possible de comparer des états
américains ensemble, notamment ceux qui ont eu un "mask mandate"
(obligation du port du masque) avec ceux qui n'en ont pas eu. Ce qui en
ressort est affligeant.
Premier graphique, de novembre 2020 à mars 2021 :
Second graphique, de mai 2020 à avril 2021 :
(Les sources sont inscrites sur les graphiques.)
On constate aux États-Unis que les courbes des états sans
masques obligatoires et les états avec masques obligatoires obéissent aux
mêmes tendances ascendantes ou descendantes, en même temps.
Voici un autre graphique similaire mais pour la situation
au Japon :
D'autre part. Ce qui est intrigant, c'est que les "études qui montrent que
le masque fonctionne" sont bien
souvent faites par des
chercheurs en dynamique des fluides ou des aérosols qui sont en fait des physiciens ou des
chimistes qui font des modélisations, mais pas des virologues ou des épidémiologistes
qui regardent les résultats finaux dans le monde réel de gens qui tombent
malades ou qui décèdent.
Exemples de ces études de physiciens et chimistes :
Hydrating the respiratory tract: An alternative
explanation why masks lower severity of COVID-19, (Biophysj, 120 (2021)
994-1000. doi:10.1016/j.bpj.2021.02.002)
Can face masks offer protection from airborne sneeze
and cough droplets in close-up, face-to-face human interactions? (Phys.
Fluids 32, 127112 (2020); doi:10.1063/5.0035072)
En fait, ces chimistes, ils
sont capables de modéliser et montrer que les gouttelettes sont plus stoppées par un "écran"
devant le visage (un masque, un couvre-visage), que sans écran. Jusque-là... c'est
assez logique. C'est que le problème n'est pas de savoir si des gouttelettes
sont bloquées. Le problème, c'est de savoir si les courbes épidémiques sont
très différentes avec ou sans masque : donc si le port du masque est capable
de tuer une épidémie ou empêcher une courbe de monter. La réponse, selon les
études, est non.
D'ailleurs, revenons à l'étude de l'INSPQ du 21 sept. 2020 juste pour
l'entrée en matière du prochain sujet, en montrant la réaction de Arruda,
peu après le 21 septembre 2020 :
Ce qui est vraiment intéressant, c'est qu'en fait
contrairement à ce que dit Arruda, on a
des exemples réels dans le monde, comme l'exemple ci-dessous.
La Suède, pays sans masques depuis des mois
Le meilleur exemple est la Suède qui n'a
pas rendu obligatoire le masque, n'a pas fait de confinement et de
couvre-feu. Ce qui est aussi super avec la Suède, c'est que c'est un pays
occidental qui vit exactement comme nous, avec un climat similaire, une
densité de population urbaine similaire, et une démographie similaire (même
espérance de vie de 82 ans). La pyramide des âges de la Suède nous indique
que comme le reste de l'Occident, c'est un pays où il y a beaucoup d'aînés.
En gros, on compare des pommes avec des pommes quand on regarde la situation
québécoise vis-à-vis de la situation suédoise.
Ce n'est pas vrai que
culturellement, les Suédois sont des "protestants austères qui vivent
d'ascétisme cloîtrés et abstinents" comme voudraient nous le faire croire
certains crack-pots. Les Suédois vont au resto, vont dans des clubs,
sortent, font la fête, vivent. Et eux, ils y vont encore parce qu'il n'y a
pas de mesures.
Les seules mesures que le gouvernement a mises en place depuis
mars 2020 en Suède ont été la limitation du nombre maximum de personnes dans
certaines activités (la pire mesure pour les Suédois est genre de ne pas
être plus de 8 personnes dans une habitation privée) et la recommandation de
la distanciation sociale. Tout continue de fonctionner, sans masque, sans
confinement, sans couvre-feu. Et devinez quoi, il n'y a pas eu d'hécatombe
et la moitié du pays n'est pas morte.
Voici les données de mortalité coronavirus pour la Suède :
Voici les données de mortalité coronavirus pour le Québec :
Dans la courbe de la Suède comme celle du Québec, on voit
deux bosses, la première en mars 2020, puis la seconde commençant vers
octobre jusqu'à maintenant : les "deux vagues". Dans la première vague au
Québec, le jour recensé avec le plus grand nombre de morts est le 29 avril
avec 152 morts pour cette journée (ont-ils compté des morts d'autres
journées dans ce jour, je ne sais pas) et la pire journée dans la deuxième
vague est le 13 janvier 2021 avec 68 décès. En Suède, les deux vagues ont
des sommets pour les pires journées autour de 120 décès (28 décembre, pire
journée avec 121 morts). Il faut dire que la
Suède a 10,4 million d'habitants contre 8,5 millions au Québec, donc 2
millions de moins de personnes au Québec. Sans toutes les mesures sanitaires
excessives et inefficaces imposées au Québec, la Suède n'a pas connu
d'hécatombe et on y observe des chiffres similaires à ceux de pays
occidentaux qui vivent des mesures sévères.
La Suède a à peu près le même nombre de morts par million
d'habitant (1 324 en Suède) que le Québec (1 256) ! Pour comparaison, en
République tchèque c'est de 2 464 et en Belgique c'est de 1 975. Dans cette
catégorie, la Suède est en 27ème place mondiale, bien après la
France, le Brésil, les États-Unis, le Mexique, l'Italie, l'Angleterre,
l'Espagne, le Portugal. Si le Québec était un pays, il serait
à la 28ème place juste après la Suède. (Selon les chiffres de Worldometers du
31 mars 2021,
https://www.worldometers.info/coronavirus/) Selon ces mêmes chiffres, si
on prend les chiffres du R.O.C. (Rest of Canada) sans
le Québec, le Canada quant à lui arriverait à la 73ème place avec
seulement 415 morts par million d'habitants !
Pour ceux qui disent "Oui mais au Québec on a eu
l'anomalie majeure des CHSLD et de la semaine de relâche" : croyez-vous
sincèrement que la "semaine de relâche" existe seulement au Québec? J'espère
que non. Pour les CHSLD, nos "nursing homes (care homes)" au Québec,
voici quelques actualités de la situation suédoise :
19 mai 2020 : Coronavirus: Qu'est-ce qui ne va pas dans les maisons
des aînés suédoises? (Coronavirus: What's going wrong in Sweden's
care homes?)
https://www.bbc.com/news/world-europe-52704836
On constate que la Suède a aussi eu son "problème de CHSLD".
Voici une Québécoise en Suède qui raconte ce qu'elle y a
vécu :
On remarque, évidemment, la note négative du média Le Devoir,
en parlant d'approche "controversée" (mot ayant définitivement une
connotation péjorative à l'époque actuelle).
Autrement sur les masques en général, le 25 janvier 2021, l'expert des États-Unis Dr. Anthony Fauci a dit:
"Si tu mets 2 masques à la place de 1 masque, c'est juste le gros bon
sens ("it's common sense") que ça rend ça plus efficace" (Source : https://www.webmd.com/lung/news/20210126/double-masking-makes-common-sense-fauci-says) En disant ça, il a avoué donc ne se
baser sur aucune science mais sur "le gros bon sens" pour formuler cette
énième "recommandation". C'est la même chose aussi en janvier avec Arruda-Legault-Dubé
pour le couvre-feu, alors qu'au début ils justifiaient tout en disant que :
la science dit, donc nous on suit. J'en reparle plus bas.
Le 8 avril 2021, le gouvernement du Québec a proclamé que
le port du masque extérieur serait obligatoire dans les activités sportives
lorsqu'on est "en groupe de 2 personnes et plus n'habitant pas à la même
adresse". "Cela inclut jouer dehors, marcher, courir, jouer au golf,
faire du jogging ensemble dans la rue, faire du vélo, etc." (Sources :
https://www.journaldequebec.com/2021/04/09/nouvelle-regle-sanitaire-quand-faut-il-porter-le-masque-a-lexterieur
Toutefois, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a été
claire que les gens ne devraient PAS porter le masque lorsqu'ils font de
l'exercice. Oui, tout simplement parce que l'exercice demande au corps une
respiration plus exigeante que la respiration au repos. Lorsque l'OMS parle
de "respirer confortablement", c'est un euphémisme pour dire... respirer
tout court.
Donc notre gouvernement suit l'OMS une fois, et cette
fois-ci, va contre l'OMS. Bizarre non?!
Voilà ce qu'un médecin chirurgien français, le Dr. Éric Loridan pense du port du masque (qu'il porte depuis des décennies) dans
cette vidéo datant de août-septembre 2020 :
Dr. Loridan explique en fait que l'air du bloc opératoire
est renouvelé et rafraîchi constamment par des systèmes de filtration d'air
efficaces. D'autant plus les chirurgiens sont statiques :
ils ne vont pas faire un marathon ou
marcher. Ils restent debout ou assis, seuls leurs bras bougent. "Il n'y a pas
beaucoup d'énergie physique demandée et réclamée à notre organisme".
Donc pas trop d'oxygène non plus. Dr Loridan dit qu'ils sont tous en bonne santé
cardiaque et respiratoire au bloc opératoire. Sitôt l'intervention chirurgicale terminée, ils
baissent le masque spontanément. Dr. Loridan explique que le masque sert
surtout à protéger les chirurgiens de projections de sang ou autres matières
dans le visage. Il souligne que le masque ne protège pas des virus et
bactéries et que si quelqu'un connaît une étude qui prouve cela, alors que
cette personne le lui dise.
Un article scientifique de l'université de Leipzig est paru le 6 juillet 2020 dans le
Clinical Research in Cardiology, s'intitulant : "Effects of
surgical and FFP2/N95 face masks on cardiopulmonary exercise capacity"
Il y est dit ceci :
Ventilation, cardiopulmonary exercise capacity and comfort are
reduced by surgical masks and highly impaired by FFP2/N95 face masks in
healthy individuals. These data are important for recommendations on wearing
face masks at work or during physical exercise. [...] Medical face masks
have a marked negative impact on cardiopulmonary capacity that
significantly impairs strenuous physical and occupational activities. In
addition, medical masks significantly impair the quality of life of
their wearer. These effects have to be considered versus the potential
protective effects of face masks on viral transmissions.
(Traduction :
La respiration / ventilation, les
capacités d'exercice cardiorespiratoire et le confort sont réduits par les
masques chirurgicaux et grandement compromis par les masques FFP2/N95 chez
les individus en bonne santé. Ces données sont importantes pour les
recommandations de porter un masque au travail ou durant l'activité
physique. [...] Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur les
capacités cardiorespiratoires et compromettent de façon significative les
activités physiques et de travail demandant un effort. De plus, les masques
médicaux réduisent significativement la qualité de vie de ceux qui les
portent. Ces effets doivent être considérés versus les potentiels
effets protecteurs des masques quant à la transmission virale."
Une étude scientifique de l'université Manipal College
of Health Professions en Inde publiée le 22 juin 2020 s'intitulant : "Exercise
with facemask; Are we handling a devil's sword?", aborde les mêmes
problèmes que l'étude de Leipzig. Les figures de l'étude sont éloquentes :
Voici une figure à propos des conséquences physiologiques
induites par l'exercice avec port du masque.
Il est vraiment très important de rappeler que :
plus l'exercice est intense et plus le masque est étanche, plus ces effets
physiologiques seront importants. Par exemple, une marche soutenue avec un
masque artisanal fait en tissu très aéré aura énormément moins d'effets
qu'une course rapide avec un masque N95. Logique.
Parlant du N95, voici une vidéo du déballage de masques N95 (N95 est comme
KN95 ou FFP2), avec les directives du fabricant.
Voilà les directives exactes :
Lorsqu'il n'est pas utilisé, retirer le masque du visage
et le laisser suspendre autour du cou.
Si la respiration devient difficile
lors du port du masque ou si le masque est endommagé, cesser immédiatement
l'utilisation.
Mises en garde :
1) N'éliminera pas les risques possibles de contracter des infections
ou une maladie.
2) Il est nécessaire de suivre toutes les instructions d'utilisation
afin de s'assurer de l'efficacité de cet article. Ne pas suivre
correctement pourrait causer des blessures ou même la mort.
3) Pour des raisons de santé, il est recommandé que vous communiquiez
avec les agences relatives aux normes du travail afin de confirmer que
cet article répond aux normes de sécurité spécifiques à votre emploi.
4) Cet article n'est pas un masque à oxygène. Utiliser en tout temps
dans un endroit bien aéré où les niveaux d'oxygène ne sont pas
inférieurs à 19,5%.
5) En cas de contact avec des contaminants qui pourraient poser une
menace immédiate, et qu'une menace immédiate pour la santé ou la vie est
possible, cesser l'utilisation.
6) Si, au moment de l'utilisation de cet article,
la respiration est
compromise ou si vous éprouvez des étourdissements, quitter l'espace de
travail et se rendre où il y a de l'air frais. Retirer le masque.
7) Prière de noter que les poils de barbe ou de moustache peuvent
réduire l'efficacité générale du masque.
8) Le respirateur et le masque ne devraient pas être altérés ou
modifiés.
9) Jeter le masque après utilisation. Utilisation unique seulement.
* Tenir à l'écart de la lumière directe du soleil.
Je trouve très intéressant que le fabricant dise
explicitement sur les directives d'un masque N95 qu'il n'élimine pas les
risques de contracter des infections ou une maladie. Pourquoi? Et bien parce
que c'est précisément ce masque qui nous est présenté comme le "top of
the top" depuis des mois maintenant, (le bas de l'échelle étant le "couvre-visage
artisanal", ensuite le "masque chirurgical / de dentiste", et enfin le
super-ultra masque N95). Et bien, apparemment non, en tout cas pas selon ce
fabricant. Et je spécifie qu'il n'est pas écrit quelque chose comme "Vous
protège contre 95% des virus et bactéries!" Non, absolument rien de ça. Le
fabricant n'a pas du tout l'air de présenter son produit comme étant une
solution contre les infections bactériennes ou virales.
Le fabricant dit aussi que dès le
moment où on ressent que notre respiration devient difficile ou est
compromise on doit retirer le masque et aller dehors, à l'air frais.
Chronologie du masque imposé
aux enfants toute la journée
Le gouvernement Legault a dit qu'au retour de la semaine
de relâche (première semaine de mars, les enfants du primaire auraient à
porter toute la journée (pendant 8 heures) deux masques fournis par le gouvernement, un
l'avant-midi, un l'après-midi.
Voici ce que Paul Arcand en dit le 28 février 2021, quelques jours
avant la semaine de relâche :
Quelques jours après, vers le 10 mars 2021, ce que
François Legault dit à propos des parents qui trouvent cela excessif pour
leurs enfants :
Il dit : "Beaucoup d'autres endroits dans le
monde : en Ontario, en France." (...)
Et voici enfin ce qu'on apprend, quelques jours plus tard, fin mars
2021, que parmi ces masques distribués aux enfants, certains sont rappelés
parce qu'ils sont toxiques... Je n'imagine pas le genre de feeling
des parents à l'écoute de cette nouvelle.
Le masque peut évidemment être nocif s'il s'avère
qu'il est toxique (contenant du graphène par exemple, qui est une nanoparticule
de carbone produite depuis 2004, ou autre matériau toxique)...
Une autre étude fait état de présence de formaldéhyde
(du formol ! très
cancérigène) dans les masques, et de plastiques reliés à des dermatites :
"Surgical mask dermatitis caused by formaldehyde (releasers) during the
COVID-19 pandemic" (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/cod.13626)
(un article compilé d'autres substances est disponible ici :
https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2374 je n'ai pas lu
et vérifié ce texte d'un bout à l'autre, mais il y a des hyperliens
vers les sources sérieuses pour recouper l'information.)
Ensuite, il ne faut pas oublier qu'au début en février-mars
2020, il y a un peu plus qu'un an seulement, Arruda disait que le masque offrait un faux sentiment de sécurité, en plus que les gens auraient de la
difficulté à bien le manipuler et pourraient se contaminer en y touchant ou
en le déposant sur des zones contaminées. Ce que le monde fait
abondamment, d'ailleurs ! Le voici le 4 mars 2020 :
Il faut croire que les paroles de Arruda
étaient copiées de l'OMS :
Pourtant c'est cette même Organisation mondiale de la santé
(OMS, organe de l'ONU) qui s'est "revirée de bord" le 8 juin 2020, son
directeur ayant dit :
"In areas with community transmission, we advise
that people aged 60 years or over, or those with underlying conditions,
should wear a medical mask in situations where physical distancing is not
possible.[...] WHO advises that governments should encourage the general
public to wear masks where there is widespread transmission and physical
distancing is difficult, such as on public transport, in shops or in other
confined or crowded environments." -Tedros Adhanom
Ghebreyesus.
(Traduction: Donc, la recommandation de l'OMS était les masques pour les 60 ans
et plus ou ceux à risque mettent le masque seulement quand la distanciation
sociale est difficile. La recommandation était aussi le port du masque où la
distanciation est difficile, comme les transports en commun, les commerces
ou les lieux où il y a foule.)
Arruda-Legault-McCann ont bien suivi l'OMS sur ce coup-là,
non seulement en "recommandant fortement" mais pire, en obligeant,
non seulement aux 60 ans et plus et ceux à risque mais d'abord à tous les 12
ans et plus sauf aux conditions médicales. Arruda
avait dit vers juin qu'il pensait que juridiquement, ce serait très
difficile rendre le masque obligatoire alors ils n'iraient pas là. Quelques
semaines plus tard pourtant, ils ont marché sur leur parole et sont allés
là. (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1702481/coronavirus-covid-quebec-legault-arruda-masque-couvre-visage)
Ils suivent l'OMS quand ça les arrange, c'est-à-dire en
d'autres mots, quand c'est le pire des scénarios pour notre qualité de vie
quotidienne.
Au Québec, un couvre-feu a été imposé depuis le 9
janvier 2021 à l'ensemble(/majorité) de la population. Depuis un genre
de « déconfinement »,
après la mi-mars (avec le changement d'heure), c'est passé à 21h30 en "zone
rouge"repassé à 20h le 11 avril 2021à Laval et Montréal,
repassé le 3 mai 2021 à 21h30
(reste à 21h30 à Longueuil/rive-sud). Le couvre-feu a été enlevé
par le gouvernement du Québec le vendredi 28 mai 2021 à 5h. La population
n'a pas repris elle-même sa liberté. 139 jours de couvre-feu. Legault avait
parlé au début de "28 jours".
Le couvre-feu a été réinstauré par Legault
depuis le 30 décembre 2021, sur tout le territoire du Québec, de 22h à 5h du
matin. Nouveauté : il est même dorénavant interdit de prendre une marche
avec son chien. *Mise à jour : Le couvre-feu de 2022 a été enlevé de nouveau
le 17 janvier 2022, donc d'une durée de presque 3 semaines.
Les confinements (en
anglais: "lockdowns" ou "stay-at-home orders") sont des
mesures d'exception particulièrement draconiennes. Le couvre-feu l'est
d'autant plus. Ces interdictions partielles ou totales de sortir de chez
soi, d'être "assigné à résidence" (on house arrest) chaque soir,
faire ses activités quotidiennes (même le sport) est un empiètement majeur
sur nos droits et libertés les plus fondamentaux. C'est un fait.
Une partie de la population consent de bonne grâce à ces mesures
d'exception parce qu'elle les croit : efficaces, motivées, fondées sur la
"science", et surtout, nécessaires face à la "gravité de la
situation". Si la population n'était pas convaincue de tout cela, alors elle
aurait accepté de subir quelque chose de grave sans raison valable,
peut-être par lâcheté ou conformisme crasse, mais en se disant que ça
finirait par passer de toute façon. Mais il y a aussi une immense partie de
la population qui rumine dans son coin, car il faut dire ce qui
est :
Dans « Couvre-feu, données probantes et analyses
comparatives » de la Commission de l'éthique en science et
technologie du Québec, ils disent : « Dr Arruda, de son côté, a
avoué qu’il n’y avait pas "d’étude contrôlée" qui démontre l’efficacité
des couvre-feux pour limiter la propagation du virus. [...] Des
chercheurs en France ont d’ailleurs tenté de mesurer les effets du
couvre-feu sur la propagation de la COVID-19. [...] Serait-il possible
de justifier le déploiement d’une mesure au Québec en évoquant
l’efficacité de celle-ci dans un autre pays? La réponse longue est
complexe et nuancée, mais la
réponse courte penche plutôt du côté du "non". »
Arruda au point de presse du 6 janvier 2021 dans
lequel l'annonce du couvre-feu a été faite a dit :
"Les mesures qu'on
met pour la COVID sont cumulatives les unes avec les autres. Y a pas de
science qui va être capable de vous dire que telle mesure va avoir tel
pourcentage d'effet. [...] Si vous me demandez est-ce qu'il y a une
étude contrôlée qui démontre ça, la réponse est non." (CPAC:
https://youtu.be/bQA6djSN5WY?t=1672) Ce qui est ahurissant
dans cette histoire, c'est que Arruda s'est toujours défendu depuis le
début (mars 2020) de suivre scrupuleusement la sacro-sainte Science,
pour formuler ses recommandations, et Legault lui-même disait qu'il
suivait la sacro-sainte Science de Arruda. Maintenant quoi?
Le même argument a été avancé par Legault pour
justifier le couvre-feu disant que, "par principe de précaution",
en ajoutant
des mesures sur des mesures, ça ne peut que contribuer à augmenter les
chances de ne pas se passer le virus entre nous. Cependant, le principe de précaution consiste
justement à faire l'inverse: si on n'est pas absolument certains de
l'innocuité d'une mesure ou de l'immense bénéfice d'une mesure
contraignante, alors par précaution, on ne doit pas la faire. C'est
exactement l'inverse de ce qu'ils font. Là ils disent quelque chose comme : "Bon, on sait pas,
mais ça va peut-être faire quelque chose, donc allons-y." C'est fou et
inacceptable parce que logiquement ça ouvre la porte à tout.
Jacques Lapierre, un virologue retraité a dit à TVA/LCN le 18 avril 2021 : "On
ne prendra jamais assez de précautions contre la covid". Cet état
d'esprit est extrêmement dangereux et est précisément l'inversion du
principe de précaution. Pourquoi ?
Parce que n'importe quoi peut être empilé sur les mesures déjà existantes
"parce que ça pourrait avoir un effet potentiel". Surtout compte tenu de
l'immense contrainte que cela impose sur chaque personne au Québec et sur
leurs libertés fondamentales, depuis 4 mois! "Oui mais ça va peut-être
sauver des vies." Par exemple, pourquoi ne pas porter deux masques tout le
temps, dans la maison avec nos proches, et tant qu'à y être partout, avec
une visière, et au diable la visière pourquoi pas une combinaison hermétique
pour être vraiment certain, puis avec ça un couvre-feu de 15h à 6h pour
vraiment s'assurer que personne ne prenne même une collation ensemble, puis
pourquoi ne pas déployer dans les rues des drones, des militaires, etc. ?
Voyez-vous ce que je veux dire ? Dans cette avenue du "peut-être que ça aidera", il n'y a pas de fin.
C'est surtout sans compter la
détresse psychologique que ça entraîne dans une immense proportion de la
population de tous âges, qui craignent la police après 20h ou 21h30 (ou ne
veulent tout simplement pas à avoir à se justifier), ne doit pas être écartée de l'équation comme cela
semble trop être le cas. La qualité de vie d'un très grand nombre de personnes
est très fortement menacée par cette mesure (ce n'est pas tout le monde qui
se couche à 20h ou passe ses soirées entouré de ses chats ou hypnotisé devant sa TV depuis
déjà des années).
Au Québec, c'est une mesure arbitraire donc
tyrannique, improvisée, garochée, en fait... copiée sur
le gouvernement Macron en France qui impose un couvre-feu depuis l'automne 2020 en
France.
Le couvre-feu est une fantaisie qu'on n'avait plus vue
depuis les années de guerre (ironiquement, il était souvent imposé par
l'occupant à la population occupée pour mieux contrôler les risques
d'insurrection nocturne), sauf dans de rares cas d'émeutes dans certains
pays. Et encore! que ça ne durait pas des mois. Voici une carte des pays où
il y a effectivement eu un couvre-feu. Rappelons que "couvre-feu" est différent de "confinement": le couvre-feu est une période la nuit où il est
interdit de se trouver dehors, même pour prendre une marche, même pour faire
une promenade seul dehors. On est littéralement enfermés en-dedans ! Alors
sur la carte, en vert, c'est où il n'y a pas du tout eu de couvre-feu. En
orange et rouge, c'est où il y en a un en ce moment. En jaune verdâtre,
c'est où il y en a eu un court mais ils l'ont ôté.
Il y a un nombre impressionnant de pays dans le
monde, surtout parmi ceux qu'on considère dans nos médias des
"dictatures", qui n'ont pas osé empiéter à ce point sur les libertés
fondamentales de leurs citoyens, pour quelque raison que ce soit. Ça
a fait maintenant plus de 12 semaines qu'on a vécu avec la crainte de la police dans les rues à
partir de 20h. Je suis estomaqué de constater qu'on est
les seuls en Amérique du Nord qui avons subi un couvre-feu pendant
~5 MOIS !!! Quoi qu'en dira Legault, les chiffres bougent partout à peu près à la même vitesse,
même où il n'y a pas de couvre-feu (https://www.theglobeandmail.com/canada/article-why-the-number-of-covid-19-cases-is-dropping-globally/
archivé ici:
https://archive.is/V0nLs).
Cette mesure doit être enlevée, MAINTENANT.
Cette mesure a été enlevée.
Pour mémoire, voici ce que François Legault et Arruda
disaient d'eux-mêmes sur la notion de "couvre-feu" le 16 mars 2020 en
conférence de presse :
Les confinements, ou lockdowns, sont non seulement nocifs,
mais en plus ils sont inutiles.
Le 5 janvier 2021, une équipe dirigée par un éminent
chercheur de l'Université Stanford, l'épidémiologiste John Ioannidis (voir
son CV), l'un des scientifiques les plus cités au monde (en 52ème
place, toutes disciplines confondues, https://www.webometrics.info/en/hlargerthan100), a publié
un article scientifique
qui a prouvé qu'il n'y a eu aucun avantage dans les endroits où il y a eu
confinement par rapport aux endroits où il n'y en a pas eu : les
confinements sont inutiles. Voici ce qu'ils disent : "We do not
find significant benefits on case growth of more restrictive NPIs. Similar
reductions in case growth may be achievable with less restrictive
interventions." (traduction :
Nous n'avons trouvé aucun bénéfice aux "interventions non-pharmaceutiques
sévères". Des réductions de nombre de cas peuvent être atteintes avec des
interventions moins sévères.)
Couvre-feu, confinement, etc. Il n'y a pas de bénéfice
significatif. Rien d'étonnant dans ce que les endroits qui n'ont rien fait de
tout ça comme
la Suède, la Biélorussie et un nombre important de pays n'aient pas connu
d'hécatombe puisque ça ne change pas les bilans de coronavirus.
Une autre étude scientifique a été publié dans Nature Scientific Reports, intitulé : "Stay-at-home policy
is a case of exception fallacy: an internet-based ecological study"
(Source :
https://doi.org/10.1038/s41598-021-84092-1), où ils disent : "With
our results, we were not able to explain if COVID-19 mortality is reduced by
staying at home in ~98% of the comparisons" (traduction :
Incapables de constater que la
mortalité covid serait réduite par le confinement dans 98 % des cas.)
Une autre étude scientifique s'appelle : “A country
level analysis measuring the impact of government actions, country
preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related
health outcomes” Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir,
Justyna Bartoszko, Sheila Riazi. EClinicalMedicine (The Lancet) 25 (2020)
100464, 21 juillet, 2020 qui a dit : “Full lockdowns and wide-spread
COVID-19 testing were not associated with reductions in the number of
critical cases or overall mortality.” (traduction: "Les
confinements et les tests covid19 effectués à grande échelle n'ont pas été
associés à des réductions du nombre de cas critiques ou de la mortalité en
général."
Il a dit, le 24
septembre 2020 : "C'est la santé qui est la priorité numéro 1."
(Conférence de presse 24sept 2020)
En tant que directeur de la santé publique de toute
la population, Arruda
pense-t-il simultanément à la santé physique et mentale, immédiate et à long
terme, des 8,5 millions de personnes qui habitent au Québec ? Est-il trop
concentré sur les "décès covid" en oubliant tout le reste de ce qui fait
"la
santé publique" ? Quand il parle des "effets pervers", les voici :
1. Confinement = moins d'activité physique =
augmentation du stress
On sait que les mesures sanitaires ont eu des
conséquences très importantes sur l'activité physique et le stress des gens. (Sources :
On sait que le stress (stress chronique) est le produit d'une réponse du système
nerveux sympathique (relié au système endocrinien) qui peut engendrer à long terme de la
haute pression, des maladies cardiaques, une inhibition de la croissance,
des problèmes de santé mentale, et un dysfonctionnement du système
immunitaire. (Source : Carlson, Neil R. (2013). Physiology of
Behavior (11th ed.). Boston: Pearson. pp. 602–6)
Bref, le stress
chronique éloigne de la santé. Toutes ces mesures sanitaires ont eu l'effet
d'augmenter le stress chez les gens. On sait qu'elles ont aussi empêché les
gens de faire autant d'activités sportives qu'avant.
On peut ici conclure que ces mesures sanitaires ont eu un effet
très négatif sur notre bien-être immédiat et peut-être à long terme. Compte tenu de la gravité de
ces faits, si elles n'ont pas été justifiées (en étant tout à fait certains
que ça aurait un impact global positif réel), alors c'est encore bien pire.
16 avril 2021, selon une étude menée aux États-Unis et
parue dans le British Journal of Sports Medicine : "Bouger,
faire de l'activité physique permet d'éviter les formes graves de covid19."
(Source :
https://bjsm.bmj.com/content/early/2021/04/07/bjsports-2021-104080)
Statistique Canada a publié ceci le 10 mars 2021 :
"Au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre
hebdomadaire de décès en surnombre et celui des décès causés par la COVID-19
étaient étroitement liés et touchaient principalement les populations plus
âgées, ce qui laisse penser que la COVID-19 elle-même a joué un rôle
important dans la surmortalité au Canada. Toutefois,
plus récemment, le
nombre de décès en surnombre a été plus élevé que celui des décès
attribuables à la COVID-19. Ces décès touchent des populations plus jeunes,
ce qui laisse supposer que d'autres facteurs, y compris les effets indirects
possibles de la pandémie, entrent en jeu. [...] au cours de l'automne 2020,
les jeunes ont été plus durement touchés par la surmortalité puisque 35 % de
ces décès concernaient des personnes de moins de 65 ans, en hausse par
rapport aux 14 % enregistrés au printemps. [...]
Étant donné que ces
changements entraînent une augmentation du nombre de décès qui ne sont pas
directement causés par la COVID-19, il est important de noter que certains
décès peuvent être attribuables aux répercussions indirectes de la pandémie.
[En tout,] le Québec n'a pas enregistré de surmortalité significative depuis
juin [2020]."
Les effets dont ils parlent sont attribuables aux mesures
sanitaires et à la gestion chaotique gouvernementale : éloignement les uns des autres (ne pas se toucher, s'embrasser,
se donner des câlins), des faillites, un accroissement des inégalités
sociales, etc. etc.
Ce n'est qu'une moyenne, car certaines personnes ont pris
bien plus que 5lbs. D'autres ont pu trouver le moyen de ne pas prendre une
livre.
Le plus grave derrière ceci, c'est le manque d'activité
physique comme on en a parlé précédemment, car cela induit souvent une
"spirale de déconditionnement" :
Ce document a d'abord été écrit pour la situation chez
l'enfant ou l'adolescent, mais en fait, il s'applique tout aussi bien à la
réalité des adultes. On parle de la biologie du corps humain.
Chaque étape de cette spirale amène à l'étape d'après, qui
fait que le corps se déshabitue, en perd et en perd encore plus jusqu'à
finalement être essoufflé au moindre effort. Essoufflé au point que certains
efforts un peu plus intenses puissent même devenir dangereux (le coeur qui
lâche, etc.)
La question de santé publique que je poserais ici est :
combien sur les 8,5 millions de personnes au Québec sont entrées ou se sont
enfoncées encore plus dans cette spirale de déconditionnement, à cause des
mesures ?
Ce qui est intéressant, c'est quand même que cette spirale
peut être inversée, en allant étape par étape dans le chemin inverse, sans
sauter les étapes (possiblement même consulter un médecin avant de
s'entraîner à moyenne-haute intensité, si ça fait longtemps que vous avez
fait de l'exercice) :
C'est certain qu'avec le gouvernement qui interdit une
bonne partie des activités physiques, ça devient effectivement très
difficile pour la population.
31 décembre 2020. Selon cet article, aux USA le taux de divorce est un des
plus bas depuis des décennies (tendance déjà amorcée avant 2020 par
contre) :
https://ifstudies.org/blog/number-1-in-2020-the-us-divorce-rate-has-hit-a-50-year-low
Est-ce qu'en comparant par exemple 2020, 2021 à 2017-2019, on verrait une
accélération, peut-être. Enfin, ce n'est pas clair si le
confinement a fait augmenter drastiquement le nombre de divorces, même si
certains couples se sont divorcés à cause du confinement qui a donné le coup
final à leur relation.
Et bien sûr pour les gens qui veulent rencontrer, c'est
beaucoup moins évident qu'avant (pas de resto, pas vraiment de cinéma, tout
ferme à 19h30-20h, etc.)
Tout ça a un immense impact sur la qualité de vie des
gens.
4. Confinement = impact négatif
sur les finances
= stress
Le confinement a des effets désastreux sur les inégalités
sociales et sur la santé financière des plus pauvres et de la classe
moyenne.
On sait que les mesures sanitaires ont eu des
conséquences sur les habitudes de vie, les capacités à
socialiser, les capacités à faire de l'argent de beaucoup de gens.
Beaucoup d'entre eux ont pourtant tout de même perdu de
l'argent en comparant aux années précédentes. Ils se sont encore plus
appauvri. Certains sont littéralement dans la misère. En
Colombie-Britannique par exemple au niveau provincial, les plus pauvres ont
eu droit à un paiement de 500 $. (Source :
https://www2.gov.bc.ca/gov/content/covid-19/info/benefits)
Aux États-Unis, les plus pauvres qui avaient fait leurs
impôts avaient droit à 1000 $. Au Québec ? Zéro.
Plusieurs personnes ont subi une baisse de revenus
substantielle à cause des mesures sanitaires. Le nombre d'itinérants à
Montréal a doublé passant de 3000 à 6000.
Tout le monde qui a fait un cours ou deux en santé
publique connaît les 12 déterminants de la santé. On sait que dans notre
type de société, le déterminant de santé le plus important, le numéro 1,
c'est le revenu. Les gens qui n'ont vraiment pas assez d'argent en subissent
les conséquences sur leur santé, sont souvent plus malades et meurent
souvent plus jeunes. (Source :
https://quebec.huffingtonpost.ca/jacques-benoit/le-revenu-est-le-premier-determinant-de-la-sante_a_23340492/)
Lorsque Arruda parle de protéger la santé comme objectif
numéro 1, je constate qu'en tant que directeur de la santé publique qui
devrait avoir une vision d'ensemble de la santé (avec les 12 déterminants),
avec toutes les mortalités au Québec, en n'évaluant pas juste les morts coronavirus mais les morts de toutes causes, l'état général de la
population, les maladies mentales. ("Selon une enquête effectuée au
début de septembre par des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un
Québécois adulte sur cinq affiche des symptômes tenant d’une dépression
majeure ou d’un trouble d’anxiété généralisé. À Montréal, c’est une personne
sur quatre.",
https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2020-10-05/sante-mentale/l-epidemie-silencieuse.php
Les gens n'en regagnent pas plus les jours passent. J'ai la vive impression que Arruda n'a pas une
vision d'ensemble.
Je veux aussi absolument dire que c'est possible de mourir de
peur, ou mourir d'un trop grand stress soudain (surtout quand on est vieux et
affaibli) :
"Pouvons-nous vraiment mourir de peur? La réponse:
Oui. En fait, n'importe quelle réaction émotionnelle très forte peut
enclencher une quantité fatale de substances telles que l'adrénaline. Ce
risque est rare mais arrive le plus souvent aux gens avec des conditions
préexistantes." -Encyclopedia Britannica (https://www.britannica.com/story/can-you-really-be-scared-to-death)
Est-ce que des gens, par exemple au mois de mars 2020, ont
pu avoir disons très très peur avec la situation de confinement, d'isolation
sociale, de "fermeture de la société" (et fermeture encore plus dans les
CHSLD, allant jusqu'à l'interdiction même de sortir de sa propre chambre) ?
J'en suis profondément convaincu.
C'est aussi
possible de finir par mourir ou devenir très malade d'un manque d'affection.
Et surtout d'un manque de toucher les autres et se faire toucher
soi-même. Sources :
"Tout ce qui promeut l'amour, l'intimité amène la guérison; tout ce
qui promeut l'isolation, la séparation, la solitude, la perte,
l'hostilité, la colère, le cynisme, la dépression, l'aliénation, et les
sentiments reliés à ça amène souvent la souffrance, la maladie, et la
mort prématurée de toute cause."
Original: "Anything that promotes feelings of love and intimacy is
healing; anything that promotes isolation, separation, loneliness, loss,
hostility, anger, cynicism, depression, alienation, and related feelings
often leads to suffering, disease, and premature death from all causes"
(Dean Ornish, chercheur et médecin, Love and Survival, 1998,
p. 29).
4 octobre 2020. La Déclaration de Great Barrington (Massachusetts)
donne la solution : la protection focalisée
La Déclaration de Great Barrington est une déclaration
écrite et signée le 4 octobre 2020 par les épidémiologistes renommés suivants:
Le Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à
l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé
dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies
infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
Le Dr. Sunetra Gupta, professeure à l’université
d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le
développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies
infectieuses.
Le Dr. Jay Bhattacharya, professeur à l’Ecole
Médicale de l’université de Stanford, un médecin, épidémiologiste,
économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des
maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations
vulnérables.
Ces trois experts épidémiologistes de Harvard, Oxford et
Stanford, préconisent la "protection focalisée" plutôt que les confinements.
Ils constatent en tant qu'experts des résultats désastreux et alarmants des
confinements sur la santé générale de la population, et
proposent que la
majorité des gens vivent normalement immédiatement, étant donné que la majorité des gens
n'est à risque de rien. La majorité ne serait pas en contact avec le virus
de toute façon ou ferait donc sa petite forme
asymptomatique et une petite portion tomberait un peu malade avec un peu de
fièvre et de toux. Les gens auxquels il faudrait offrir une "protection
focalisée" seraient les aînés aux
multiples comorbidités et les personnes à risque, selon leur volonté
individuelle d'être beaucoup ou peu protégés. Mais pour prendre connaissance
de la Déclaration exacte, le site est :
https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
Un médecin albertain de Edmonton, le Dr. Roger Hodkinson,
diplômé de Cambridge en Angleterre et pathologiste certifié du Royal
College du Canada, entre autres
(voir son CV) a pris la parole à la mi-novembre 2020 en parlant de la
déclaration de Great Barrington, notamment. Il n'y est pas allé de main
morte avec les autorités de santé publique.
9 octobre 2020: L'OMS elle-même a recommandé
d'éviter au maximum le confinement
L'envoyé spécial sur le coronavirus de l'OMS, Dr. David Nabarro, a
donné une entrevue à Andrew Neil du journal britannique The Spectator, où il dit ceci :
Même TVA/LCN (!) a fait un topo sur ce
sujet :
Chronologie du
"confinement no. 2" non-assumé au Québec
Arruda-Legault-Dubé ont d'abord annoncé les nouveaux
"codes de couleur par région" (comme en France et en Angleterre), et ensuite
le "défi 28 jours" de Dubé pour le mois d'octobre en date du 24 septembre 2020 :
"J'pense que si on réussit ça là, la maudite courbe on va y donner un grand
coup. [...] C'est pas si long que ça 28 jours quand on y pense. Une journée
à la fois. [...] J'aimerais mieux qu'on aille pas au restaurant mais faut y
aller pour garder un certain contact." (https://www.journaldequebec.com/2020/09/25/en-direct-covid-19-le-ministre-christian-dube-fait-le-point)
On a pu ensuite constater que le gouvernement a voulu ramener honteux,
par la porte d'en arrière, un autre "confinement", sans jamais le nommer. Encore pire que la première fois : avec un couvre-feu cette
fois-ci. Avec la fermeture des gyms, des restos, etc. bref, de tout ce qui
met de la couleur dans la vie.
Puis des promesses (un "contrat moral") pour Noël, puis
finalement pas de contrat mais campagne de peur pour dire qu'on va défoncer
avec un télé-mandat les portes des maisons qui oseront quand même recevoir à
Noël avec des amendes très salées. Bref, une séquence mars-avril-mai 2020 x2, mais
de début octobre 2020 à
~début juin 2021 environ,
avec en plus couvre-feu, masques aux enfants, etc. Beaucoup de
souffrance inutile, selon ce qu'on a pu lire depuis le début de ce texte.
Un mot ou deux sur la "distanciation sociale"
C'est le New York Times (NYT) itself qui le dit.
"The idea
has been around for centuries. But it took a high school science fair,
George W. Bush, history lessons and some determined researchers to overcome
skepticism and make it federal policy. [...] And it had some unexpected
detours, including a deep dive into the history of the 1918 Spanish flu and
an important discovery kicked off by
a high school research project pursued by the daughter of a scientist
at the Sandia National Laboratories. [...] In February
2007, the C.D.C. made their approach
— bureaucratically called Non-Pharmaceutical Interventions, or NPIs —
official U.S. policy."
En gros selon le NYT, l'idée de la
distanciation sociale vient d'une "découverte importante" faite par une ado
dans son projet à l'école secondaire, repris par des chercheurs du
gouvernement américain. Le CDC a inclus cette "mesure d'intervention
non-pharmaceutique" au code américain en février 2007. Et nous voici
maintenant en 2020-2021.
Autre chose intéressante sur la "distanciation sociale", saviez-vous
qu'elle est variable dans le monde? Des endroits, c'est 6 pieds (ou 1,8
mètre, aux USA), d'autres c'est 1 mètre (recommandation de l'OMS), d'autres
c'est 2 mètres (au Québec), d'autres 1,5 mètre (Allemagne, Australie,
Belgique Grèce, Italie, Espagne, Portugal). Et oui.
N'oublions pas non plus qu'un bon nombre de pays n'ont jamais
formellement dit à leur population d'appliquer la "distanciation sociale".
Le test-covid, ou le "test avec le long bâton dans le nez"
(ou dans la gorge, etc.),
s'appelle en fait un test PCR (ou RT-PCR). PCR veut dire Polymerase Chain
Reaction en anglais. Au Québec, il est aussi appelé le TAAN pour Test
d'Amplification des Acides Nucléiques.
C'est l'invention de cette méthode
(la PCR) qui a valu au chercheur et biochimiste américain Kary Mullis son prix Nobel
(voir son CV). Kary
Mullis a lui-même déclaré : "PCR is just a process that allows you to
make a whole lot of something out of something. It doesn’t tell you that
you are sick, or that the thing that you ended up with was going to hurt you
or anything like that." (traduction: "La PCR fait juste
multiplier une quantité de quelque chose. Ça ne va pas vous dire si vous
êtes malade ou si ce que vous avez en vous va vous faire du mal." Extrait ici : https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/)
Voici ce que Kary Mullis a dit sur Anthony Fauci (le "Horacio
Arruda" des États-Unis) :
Voici en gros ce que dit Kary Mullis dans ce vidéo :
"Fauci, je lui dirais devant sa face : il ne sait rien de rien. Le gars pense
qu'on peut prendre un échantillon de sang, le mettre dans un microscope
électronique et s'il y a un virus dedans on le saura. Il ne comprend pas la
microscopie électronique, il ne comprend pas la médecine et il ne devrait
pas être dans la position où il est. La plupart de ces gars au sommet sont
totalement des gens d'administration et ils ne savent rien de ce qui se
passe au bas de l'échelle. Ces gars ont un agenda, qui n'est pas celui qu'on
voudrait qu'ils aient, considérant qu'on les paye pour qu'ils prennent soin
de notre santé. Ils ont un agenda personnel, font leurs propres règles à
mesure, les changent quand ils veulent. Ça ne dérange pas Fauci d'aller à la télévision et mentir en direct devant la caméra, aux
téléspectateurs qui payent son salaire.
Vous ne pouvez pas vous attendre que
les moutons (the sheep) respectent les meilleurs et les plus brillants (the
best and the brightest)... ils ne savent
pas faire la différence. J'aime les humains, ne vous méprenez pas, mais
en gros, il y a une grande majorité des gens qui ne possèdent pas la
capacité de juger (départager) qui est, de
qui n'est pas un bon scientifique. C'est un problème majeur avec la science
de ce siècle parce que la science est jugée et financée par des gens qui ne
comprennent pas. À qui faire confiance, Fauci? Fauci ne sait pas assez, vous
savez... Si Fauci voulait aller à la télévision avec quelqu'un qui en sait
un peu sur ce sujet pour débattre, il le pourrait parce qu'il se l'est fait
proposer. Plusieurs personnes, dont le président de l'Université de Caroline
du Sud, ont demandé que Fauci se rende à l'université pour débattre avec moi
(Kary Mullis) sur la scène devant le corps étudiant. Je voulais quelqu'un
qui débattrait, quelqu'un de l'autre côté de la médaille. Fauci ne voulait
pas le faire."
Dans la littérature scientifique qui aborde ce test PCR et sa
fiabilité, on en vient toujours à parler du nombre de cycles
d'amplification, ou "cycle treshold" ("la valeur CT", ou
"le CT"). C'est-à-dire que lorsque je prends par
exemple un échantillon de substance biologique et que je l'amplifie une
fois, je lui ai fait faire un cycle. Deux fois, deux cycles. L'amplification
est exponentielle à chaque cycle. Les chercheurs ont déterminé qu'en bas d'un
certain seuil de cycles, lorsqu'on voit une
trace du virus qu'on recherche, c'est qu'alors la personne est très
infectieuse. En haut d'un certain seuil, les tests ne détectent à peu près plus
rien ou des fragments, et il y a alors beaucoup de faux-positifs. Au Québec, les
tests sont calibrés à 45 cycles.
Voici un document préparé par un médecin de laboratoire
(Dr Bertrand Pellegrin, laboratoire BIO-VSM LAB le 16 novembre 2020) à
propos de l'intérêt de la valeur du CT dans le test PCR du SARS-CoV2 :
http://www.biovsm.fr/bim.asp?page=45 Il y est dit qu'une valeur CT plus
grande que 25
donne lieu à des résultats où la quantité d'ARN viral est très faible.
Dans Paris Match, voici un article du 24 novembre 2020 du Dr. Phillippe Gorny :
"Les tests PCR contestés."
Cet article commence avec la phrase suivante : "La validité de ces
tests est de plus en plus critiquée par les experts car ils produisent un
grand nombre de faux positifs."
Il poursuit avec plusieurs éléments très importants :
La polymérisation en chaîne [crée] des millions de copies
de ces fragments viraux, jusqu’à les rendre détectables.
Mais attention,
trop de cycles génèrent des faux positifs ! [...]
Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a fait savoir à la terre
entière qu’il avait secrètement envoyé des échantillons provenant d’une
papaye, d’un mouton et d’une chèvre à un laboratoire de dépistage du Covid.
Tous sont revenus positifs! [...]
L’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère
un grand nombre de résultats inexacts. [...]
Un laboratoire bostonien a suspendu ses tests de dépistage
après la découverte de 400 faux positifs en une seule journée. [...]
Le docteur Mike Yeadon, qui fut directeur scientifique de
Pfizer pendant seize ans, a récemment déclaré : «
Plus de la moitié des
positifs sont susceptibles d’être des faux, voire potentiellement tous. »
[...]
Des scientifiques de la Harvard T.H. Chan School of Public
Health (Boston) [ont] dénoncé l’inutilité des tests PCR tels qu’ils sont
pratiqués actuellement [...]
[Des] personnes testées
positives n’avaient que des traces infimes d’ARN viral, en aucun cas
infectantes. On imagine les
conséquences que le confinement inutile de telles personnes peut avoir sur
l’économie et leur vie professionnelle ou sociale [...]
Le 30 octobre dernier, lors d’une interview, le célèbre
docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des
allergies et maladies infectieuses (une branche des National Institutes of Health), a expliqué qu’au-delà de 35 cycles d’amplification, tous les PCR
sont des faux positifs, liés à des débris viraux, non cultivables en
laboratoire et non contagieux. [...]
Aux Etats-Unis, pourtant, la routine
pousse souvent l’amplification au-delà de 40 cycles, et c’est la même chose
en France ! [...]
Certains experts s’en inquiètent : la PCR serait-elle
intentionnellement utilisée pour multiplier le nombre de cas ? Et si oui,
dans quel but ? [...]
Le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for
Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a déclaré : « Avec la
pratique des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse
jamais. »
« En partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se
peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. » (même phrase que dans
l'article de Paris Match, recoupage)
Il voulait dire par là que tant qu'il y aura un nombre
résiduel de faux-positifs, donc de ces "cas asymptomatiques", on ne
retombera jamais à zéro.
C'est-à-dire que considérant qu'il y a un bon nombre de
faux-positifs par nombre de tests effectués, plus on teste, plus il y a des
faux positifs, qui sont en fait des faux cas. Si on effectue par
exemple 30 000 tests, on pourrait facilement trouver 1000 faux positifs. Si
on n'y fait pas attention, on pourrait crier partout qu'on a "1000 cas
malades" alors que finalement ces personnes sont des faux positifs, donc pas
du tout malades.
Il y a aussi le New York Times qui a sorti l'article : "Your
Coronavirus Test Is Positive. Maybe It Shouldn’t Be."
https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html où on
peut lire entre autres : "Any test with a cycle threshold above 35 is too
sensitive, agreed Juliet Morrison, a virologist at the University of
California, Riverside. “I’m shocked that people would think that 40 could
represent a positive,” she said."
En 2007, le New York Times a publié un article "Faith in Quick Test
Leads to Epidemic That Wasn’t" où il est dit qu'un test inadéquat a été
utilisé pour diagnostiquer des cas qui finalement se sont avérés tous
faux-positifs. Enfin, on a cru à une épidémie et c'était faux. Oui c'est
déjà arrivé dans le passé. "In their 2007 story the New York Times cited
a prescient quote from Dr. Elizabeth Talbot, deputy state epidemiologist for
the New Hampshire Department of Health and Human Services, who said: "One
of the most troubling aspects of the pseudo-epidemic is that all the
decisions seemed so sensible at the time."
Une femme "atteinte d'une condition rare" qui s'est faite
faire le test coronavirus nasal s'est faite percer la plaque cribriforme (juste
avant la barrière hémato-encéphalique) qui
sépare les sinus du cerveau, avec fuite du liquide céphalorachidien. (https://medicalxpress.com/news/2020-10-covid-brain-fluid-leak-patient.html)
Donc si vous vous demandiez si le test nasal peut endommager votre cerveau?
La réponse est : c'est au moins arrivé une fois!
Parlant de test nasal qui va profond dans la tête, voici
des articles assez mystérieux du 21 octobre 2020 où il est dit qu'on a découvert un
nouvel organe dans la tête (!), justement dans la région où le test nasal
est inséré.
Avec tout ça, je me pose une question, surtout avec
l'avènement des tests salivaires ou de culture de gorge :
Pourquoi on continue malgré tout à utiliser ce test nasal si on a des tests beaucoup moins
désagréables et souffrants, et qui ont une "fiabilité" similaire ?
Par exemple, pour le test de la culture de gorge, on utilise aussi un
écouvillon, on ne l'insère juste pas au même endroit. Il existe même un test
salivaire.
Nanoparticules sur le test nasal ?
J'ai lu ça-et-là que l'écouvillon (le q-tips) du test PCR qu'on
entre profondément dans le nez pouvait lui-même être rempli de
nanoparticules et que c'est ça qu'on déposait dans le fond sur la plaque
cribriforme pour que ces nanoparticules - peut-être des puces ou des
robots - passent dans le cerveau. Honnêtement, je n'ai pas trouvé de
source convaincante sur ce sujet. Si vous en avez, veuillez me
contacter. (Notez que, bien évidemment, si c'était par exemple un
vrai projet mais classé secret militaire, ce serait très difficile de
trouver des sources là-dessus.)
Cependant, j'ai trouvé un texte de janvier 2021 où on
parle d'un test nasal fabriqué avec des nanofibres : "Ultra-absorptive
Nanofiber Swabs for Improved Collection and Test Sensitivity of
SARS-CoV-2 and other Biological Specimens",
https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.nanolett.0c04956 Ce n'est fort
probablement pas ce test qui est utilisé depuis mars 2020. Cette
recherche spécifique mériterait un approfondissement.
Il y a un texte du 25 novembre 2020 de l'Université
Johns Hopkins, intéressant, sur une nanotechnologie appelée "theragrippers"
capable de livrer des molécules :
https://hub.jhu.edu/2020/11/25/theragripper-gi-tract-medicine-delivery/
On y voit une image de ces nanoparticules sur le bout d'un coton-tige
(écouvillon). Ça ne prouve aucunement qu'il y ait des nanoparticules sur
les écouvillons des tests covid. Néanmoins, c'est intéressant de
constater que, à l'époque actuelle, tout ceci n'est plus du tout de la
science-fiction.
Test nasal et oxyde
d'éthylène
On a su récemment que le test nasal covid est stérilisé
avec de l'oxyde d'éthylène (ETO), une substance reconnue comme étant très
cancérigène. Certains sont partis en peur là-dessus, d'autres tempèrent en
disant que l'oxyde d'éthylène après la stérilisation ne s'est pas accumulé
sur l'écouvillon (le bâton q-tip) et que donc c'est sans danger. Enfin, je
n'ai pas trouvé un endroit où un labo aurait fait le test indépendant
d'ouvrir un écouvillon pour faire l'analyse de quantités restantes d'oxyde
d'éthylène. Je pense que c'est quand même une information valide, sans
partir en peur. Le CDC donne la procédure de stérilisation avec l'ETO ici :
https://www.cdc.gov/infectioncontrol/guidelines/disinfection/sterilization/ethylene-oxide.html
en recommandant bien que l'instrument stérilisé devrait être aéré un bon
moment pour que le gaz ETO se dissipe complètement :
ETO is absorbed by many materials. For this reason,
following sterilization the item must undergo aeration to remove
residual ETO. Guidelines have been promulgated regarding allowable ETO
limits for devices that depend on how the device is used, how often, and
how long in order to pose a minimal risk to patients in normal product
use. [...] ETO toxicity has been established in a variety of animals.
[...] ETO has been linked to spontaneous abortion, genetic damage, nerve
damage, peripheral paralysis, muscle weakness, and impaired thinking and
memory."
La question que je me pose sur ce point est : est-ce que
les usines qui stérilisent ces écouvillons respectent la procédure à 100 %
en prenant bien soin de laisser se dissiper l'ETO complètement, ou ils
emballent les produits à la va-vite ? C'est d'autant plus envisageable
puisqu'une pléthore d'autorisations d'urgence ont été accordées dans les
derniers mois, augmentant de beaucoup les risques d'anomalies et
défectuosités dans les produits. On l'a vu notamment au Canada avec des gels
hydroalcooliques qui se sont avérés finalement toxiques et plus récemment
des masques aussi. (Gels hydroalcooliques, 145 items dans la partie 1...
https://canadiensensante.gc.ca/recall-alert-rappel-avis/hc-sc/2020/73385a-fra.php
http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2020-07-30/gels-hydroalcooliques-toxiques-avis)
On a appris de cet article (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1745029/cout-prix-test-depistage-covid-quebec)
que : "Chaque test de COVID-19 coûte, au bas mot, entre 55 et 102 $ au
Trésor public." On peut observer sur les données ci-dessous de l'INSPQ
que le nombre de tests en laboratoire est maintenant de 3 346 523. Si on
multiple par 55 ou par 102$ par test,
les tests covid au Québec ont un coût total allant
d'environ 184 à 341 millions de dollars à date (ceci au début avril 2021). (Et dire qu'en 2005,
les étudiants s'étaient battus collectivement pendant des mois et des
semaines de grève générale illimitée pour un montant de... 103 millions.)
Vers le 20 décembre 2021, des tests rapides (pas
PCR) sont disponibles dans les pharmacies gratuitement (programme du
gouvernement qui paye les pharmaciens) Les tests PCR sont supposés à partir
de début janvier 2022 être réservés à certains cas de figure, et moins à la
population générale.
Le 28 janvier 2020, Anthony Fauci directeur du NIAID en
charge de la réponse au coronavirus aux États-Unis, a dit que
dans toute
l'histoire des virus respiratoires,
les asymptomatiques n'ont jamais été la
cause des éclosions épidémiques. ("In all the history of
respiratory-borne viruses of any type, asymptomatic transmission has never
been the driver of outbreaks. The driver of outbreaks is always a
symptomatic person.")
Le 8 juin 2020, dans une conférence de presse de l'OMS, une
experte du coronavirus (Maria Van Kerkhove, cheffe de l'unité des maladies
émergentes et zoonoses de l'OMS) a dit que les cas asymptomatiques ne transmettent à
peu près jamais ("très rare"), ne sont pas contagieux.
Le lendemain, il y a eu un tollé
dans les médias chez certains "experts" parce que tout le monde avait
compris que si les "asymptomatiques" étaient vraiment inoffensifs, ça
voudrait dire : absolument aucune justification pour la distanciation
sociale, l'isolement social, le confinement, les
masques pour tous, la peur collective et tout le branle-bas de combat. Donc
le retour à la normale, car il ne faudrait cibler
que les symptomatiques avec les mesures, autrement dit, les malades (comme
on le fait habituellement).
Voici un étrange passage de Karl Weiss à TVA réagissant à
cela avec Mario Dumont :
L'OMS, le 9 juin a fait "volte-face", selon les médias. À
vrai dire, l'experte de l'OMS a juste précisé que ce qu'elle avait dit
n'était pas "une recommandation officielle de l'OMS" mais qu'elle ne faisait
que répondre à une question de conférence de presse. C'est là le point
important : pourtant, ce qu'elle a dit n'en demeurait pas moins exact.
(Source :
https://www.cbc.ca/news/health/who-covid-19-asymptomatic-spread-1.5604353)
Août 2020, l'étude A study on infectivity of
asymptomatic SARS-CoV-2 carriers a été publiée dans Respiratory Medicine,
qui statuait : "Infectivity of some asymptomatic SARS-CoV-2 carriers
was probably weak." (Traduction : "Le potentiel infectieux des porteurs
asymptomatiques du SARS-CoV2 était probablement faible.") (Source :
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0954611120301669)
De août, les mois ont passé jusqu'au 20 novembre 2020, où
une étude chinoise a été publiée dans la revue scientifique Nature,
avec un échantillon de 10 millions de personnes, dont le titre est : "Post-lockdown
SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan,
China". (Source :
https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w)
Cette étude conclut qu'après avoir analysé les allées et
venues de 10 millions de personnes, en suivant les malades,
les asymptomatiques ne sont pas
contagieux donc ne propagent pas le virus. ("There were no
positive tests amongst 1,174 close contacts of asymptomatic cases."
C'est-à-dire: il n'y a pas eu de cas positifs parmi les 1 174
contacts rapprochés des asymptomatiques.")
Cette étude aurait dû faire grand bruit comme une bonne
nouvelle importante et qui change tout. Mais... the show must go on.
Petit bonus intéressant
L'hebdo d'information Forum de l'Université de
Montréal sorti le 5 décembre 2005 contenait un article où des médecins comme
le médiatique Karl Weiss ou l'infectiologue Denis Phaneuf s'expriment
s'intitulant : "Faut-il éviter les baisers à Noël ?" Pour l'histoire, c'est
un peu plus d'un an après le dernier cas de coronavirus du SRAS recensé
(vers la mi-2004). Il y avait encore de petites chances qu'il coure, donc.
Voici ce qu'ils disent :
«Ne vous privez pas de ce plaisir, répond le Dr Karl Weiss,
infectiologue et immunologiste à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. On ne
vit pas dans un monde stérile et c’est tant mieux.» [...]
Même réaction du Dr Denis Phaneuf, microbiologiste et infectiologue
au CHUM: vivre, c’est prendre des risques, dit-il. [...]
Relatant une étude menée à l’Université du Michigan dans les années
80, le Dr Phaneuf affirme que même le baiser mouillé (french kiss) est
un assez mauvais vecteur du rhume. «Seule
1 personne sur 15 avait contracté le rhume après un tel baiser, alors
que 13 sur 15 en avaient été atteintes après un échange tactile.»
[...]
L’expérience menée à Ann Arbor s’appuyait sur l’expérimentation en
conditions contrôlées d’un rhinovirus bien identifié chez une jeune
adulte. La personne infectée devait tenter de transmettre son rhume de
trois façons: par les mains, la bouche ou les airs. Dans une pièce
fermée, trois groupes de 15 hommes se sont succédé auprès d’elle. Avec
le premier, elle devait mettre un masque et frotter les mains de chacun
de ses invités pendant une minute. Ceux-ci, masqués aussi, devaient se
toucher les yeux et le nez après le contact. Dans le deuxième groupe,
les invités portaient des gants de caoutchouc, mais ils devaient, tour à
tour, embrasser longuement la jeune fille. Enfin, dans le dernier
groupe, il n’y avait aucun contact direct: les sujets se limitaient à
jouer aux dames. «Cette étude
démontre que le nez et les yeux sont des portes d’entrée idéales pour le
virus du rhume, alors que la bouche ne l’est que rarement.
Quant à la
transmission par l’air, c’est un facteur négligeable», explique
le Dr Phaneuf. [...]
Le médecin croit qu’on peut limiter la propagation des virus et
bactéries en adoptant des mesures très simples. «Il faut se laver les
mains plus souvent qu’à l’ordinaire, car le risque d’infection augmente
en proportion du nombre de contacts. [...]
Le ministère de la Santé et des Services sociaux a récemment
distribué des informations sur la «politesse respiratoire» visant à
prévenir la prolifération des maladies infectieuses. Mais ces mesures se
heurtent à une culture de l’individualisme. «Au Japon, dès qu’une
personne se croit contagieuse, elle fait le nécessaire pour ne pas
infecter ses concitoyens. Ici, les gens ne se préoccupent que des
risques qu’ils courent.»
On sait que parmi les virus qui causent le rhume (common
cold), figurent entre autres les coronavirus humains communs. La phrase
disant que la "transmission par l'air est un facteur négligeable" m'a
particulièrement
interpellé.
Les compagnies pharmaceutiques ("big pharmas") sont tellement puissantes qu’elles font elles-mêmes les tests
d’innocuité de leurs médicaments et vaccins, les essais cliniques, et qu’elles ont assez de
pouvoir de lobbying pour influencer les agences de régulation
gouvernementales, des chercheurs et des médecins.
Ce n'est pas moi qui le dit c'est Dr. Marcia Angell dans
son texte "Big Pharma, mauvaise médecine. Comment les dollars des pharmas
corrompent la recherche et l'éducation". J'en reparle dans les
prochaines lignes.
Les big pharmas sont les entreprises aux plus hautes
marges de profit.
En science, lorsqu'on a deux médecins en face de nous et
que les deux disent quelque chose, si on sait que l'un est un professeur
émérite dans une grande université, puis que l'autre en est à sa première
année avec son permis de médecine, les deux ont beau être médecins mais
rapidement on saura qui a quelle crédibilité. Cela devrait couler de source,
pour tout le monde. De la même manière, lorsqu'on se rend compte que
quelqu'un qu'on met en position de critiquer, disons Pfizer, fait lui-même
partie de "la Chaire de recherche Pfizer en ...", alors de grandes lumières
rouges devraient nous allumer. C'est un conflit d'intérêt.
Entrevue de Dr. Turcotte
Avant tout, je veux présenter
une entrevue très importante du docteur
québécois Fernand Turcotte au micro de Franco Nuovo à
Dessine-moi un dimanche, le dimanche 17 mai 2015 au 95.1 FM à
Montréal, donc il y
a déjà presque six ans! Dr. Turcotte, mort en 2020 à 78 ans, était
expert en santé publique, professeur émérite et cofondateur du
Département de médecine sociale et préventive de l'Université Laval
créé en 1971.
Je suggère d'arrêter momentanément la lecture de mon texte pour
écouter l'entrevue en y accordant toute votre attention parce
qu'il y a beaucoup d'idées vraiment très importantes.
Suite à l'entrevue
de Dr. Turcotte, toujours le 17 mai 2015, Normand Baillargeon a fait
sa chronique en lien
direct avec "big pharma", le lobbying et l'idée
que nos institutions démocratiques se fassent tordre le cou, et que
c'est très grave.
(Quand je réécoute cette entrevue en 2022, j'ai
peine à imaginer que c'est le même chroniqueur Baillargeon qui a pu
dire des choses si justes sur les pharmas en 2015. Le climat
délétère de censure actuelle et de pensée unique a pourri énormément
de monde.)
Docteurs Marcia Angell et Arnold Relman, éditeurs du New England Journal of Medicine
Maintenant,
intéressons-nous aux docteurs Arnold Relman et Marcia Angell, encore sur
le sujet de la corruption de la science par l'industrie
pharmaceutique.
«Ce n'est tout simplement plus
possible de croire la plupart des recherches cliniques publiées, ou
se fier sur le jugement de médecins de confiance ou des lignes
directrices faisant autorité en médecine. Je n'éprouve aucun plaisir
à tirer cette conclusion, à laquelle je suis arrivée lentement et
avec dédain, après avoir passé deux décennies en tant qu'éditrice du
New England Journal of Medicine.»
(Original en anglais: It is simply
no longer possible to believe much of the clinical research that is
published, or to rely on the judgment of trusted physicians or
authoritative medical guidelines. I take no pleasure in this
conclusion, which I reached slowly and reluctantly over my two
decades as an editor of The New England Journal of Medicine.)
Voici deux textes de Marcia Angell,
MD (ancienne rédactrice en chef du New England Journal of
Medicine, NEJM. Membre du Department of Global Health and
Social Medicine et Faculty associate au Center for
Bioethics deHarvard) dont les titres sont très
évocateurs :
"Is Academic
Medicine for Sale?" (2000) New England Journal of Medicine,
Voici un texte de Arnold Relman, MD (editor du
New England Journal of Medicine de 1977 à 1991, et professeur
émérite à la Harvard Medical School), et un texte le citant,
celui-là de Joseph S. Alpert, MD, et rédacteur en chef du
American Journal of Medicine:
Arnold Relman, "Dealing with Conflicts of Interest" (1984) New England Journal of Medicine,
Dans le premier
article de Dr. Angell (Is Academic Medicine for Sale?, 2000), elle
dit quelque chose qui m'a frappé tellement c'est important:
«Pourquoi les
chercheurs cliniques ne devraient-ils pas avoir de liens étroits
avec l'industrie? Une préoccupation évidente est que ces liens vont
biaiser la recherche, à la fois sur le type de travail effectué et
sur la manière dont il est présenté. Les chercheurs peuvent
entreprendre des études en se demandant s'ils peuvent obtenir un
financement de l'industrie, et non si les études sont
scientifiquement importantes. Cela signifierait davantage de
recherches sur les médicaments et les dispositifs et moins conçues
pour mieux comprendre les causes et les mécanismes de la maladie.
Cela fausserait également la recherche vers la découverte de
différences insignifiantes entre les médicaments, car ces
différences peuvent être exploitées à des fins de marketing. La
possibilité que les liens financiers puissent influencer les
résultats des études de recherche est encore plus préoccupante.»
Un autre nom de premier plan, Richard Horton,
l'éditeur scientifique de la revue médicale britannique The Lancet
justement, a écrit
ceci en 2015 dans le texte "What Is Medicine’s 5 Sigma?’, The
Lancet 385: 1380":
«L'argument contre la science est l'évidence même : la majorité de la
littérature scientifique, peut-être la moitié, est probablement
fausse. Affligée par des études aux petits échantillonnages, aux
petits effets, aux analyses non valides, et aux conflits d'intérêts
flagrants, avec une obsession pour les tendances de l'heure qui
restent d'une importance très relative, la science a pris un
tournant dans la noirceur.»
(Original en anglais: The case against science is straightforward:
much of the scientific literature, perhaps half, may simply be
untrue. Afflicted by studies with small sample sizes, tiny effects,
invalid exploratory analyses, and flagrant conflicts of interest,
together with an obsession for pursuing fashionable trends of
dubious importance, science has taken a turn towards darkness.)
Il y a tellement d'autres médecins et scientifiques, même des députés, qui ont
sonné l'alarme. En voici quelques autres.
Le 18 mai 2021, donc très récemment, voici ce que la députée
('congresswoman' à la Chambre des représentants du Congrès américain) Katie Porter
avait à dire à ce gestionnaire de la compagnie pharmaceutique AbbVie :
Voici un petit aperçu d'un documentaire de journalisme
d'enquête du média Arte
(une chaîne de télévision franco-allemande) sur le lobbying
"tout-puissant" des compagnies pharmaceutiques :
Voici un segment de l'émission C à vous
(émission rarement pertinente) à France5
(une des chaînes de télévision de l'État français), où un médecin ne
mâche pas ses mots dans ce qu'il a à dire sur les dynamiques de
l'industrie pharmaceutique :
Voici un segment très important d'un discours du
Professeur Didier Raoult, directeur de l'Institut
hospitalo-universitaire de Marseille, sur le rôle des
pharmaceutiques aujourd'hui :
Voici une petite synthèse proposée par le média en
ligne AJ+, présentant notamment des médecins (le Dr. Even) et
pharmaciens :
Autre exemple, en 2018, CNBC a sorti un article au
titre absolument abracadabrant : "Goldman Sachs asks in biotech
research report: ‘Is curing patients a sustainable business model?’"
(traduction: "Goldman Sachs se demande si guérir les patients
représente un modèle d'affaires viable") Désolé je me rassois parce
que je viens de tomber en bas de ma chaise. En passant, Goldman
Sachs est une des plus grosses banques d'affaire du monde. (Source :
https://www.cnbc.com/2018/04/11/goldman-asks-is-curing-patients-a-sustainable-business-model.html)
Bonus : En faits de scandales pharmaceutiques, voici un
article très intéressant publié le 23 septembre 2019 dans le journal
français Les Echos intitulé : "Mediator, Distilbène, sang contaminé… ces
scandales sanitaires qui ont marqué la France",
https://www.lesechos.fr/amp/1133993
Et pendant ce temps
... pendant que ces docteurs
et chercheurs courageux disent ce qui est, voici un exemple de ce
qui est dégueulé dans la face de nos concitoyens à journée longue
sur le média TVA (LCN), par
exemple :
C'était un extrait de Caroline Quach qui parlait
sur TVA/LCN le 15 janvier 2021, une
pédiatre aux milles affectations dans le réseau québécois de la
santé. En plus d'être sur tous les plateaux télé et radio (Radio-Canada,
TVA), elle est à Sainte-Justine, l'UdeM, McGill, l'INSPQ, etc. Elle
est même dans le bottin de l'Union des artistes! Mais le plus grave,
c'est qu'elle est présidente
du Comité consultatif national de l'immunisation du Canada (CCNI),
organe fédéral qui donne son feu vert (ou non) pour les vaccins
covid-19!
Je pense que si on avait à faire un genre de
synthèse de toutes ces informations, c'est que nous le peuple, on
est quand même assez dans la merde. C'est la pensée conséquente qui
nous l'impose : à la lumière de toutes ces informations de très
grande qualité, on ne peut plus faire aveuglément confiance aux
instances de régulation en santé, ni évidemment pas aux compagnies
pharmaceutiques, ni aux trop nombreux professionnels qui sont en
conflits d'intérêts, incluant les médias qui sont ceux dont la
responsabilité se situe au niveau de transmettre ces informations
tronquées, trompeuses, influencées. Il faut donc dorénavant
devenir vigilants et se faire notre propre tête sur ces sujets.
C'est ce pourquoi j'essaie de contribuer, à la hauteur de toutes mes
capacités en écrivant ces mots. Comme Dr. Kamran Abbasi l'a dit
(dans Covid-19:
politicisation, “corruption,” and suppression of scienceversion
française annotée ici):
"Quand la bonne science est supprimée par le complexe médico-politique, les gens meurent". Cela doit cesser.
Il y a aussi des scandales de corruption, avec de lourdes condamnations
notamment avec Pfizer, Johnson & Johnson, AstraZeneca, etc.
Lorsque j'ai vu cette campagne la première fois, sachant ce que je sais
notamment après avoir pris connaissance des informations dans cet énoncé sur
les big pharmas, un immense sentiment de malaise m'a traversé le
corps.
"Science will win" : la science va gagner. On a compris que les
big pharmas ont tout retourné et corrompu le système, alors en
définitive ils sont l'inverse de la science, ils sont la "bad science"
mauvaise science, c'est-à-dire la science dévoyée au service du gros fric
(ou la "$cience").
Ces multinationales qui sont capables de manipuler des gouvernements, des
universités, des médias, avec du lobbying, des enveloppes.
Je reste optimiste en me disant que la science va gagner, oui, mais pas
celle que Pfizer croit. La science, la vraie, va reprendre sa place.
Voici un autre exemple écoeurant impliquant Pfizer :
Comprenne qui pourra. (Indice: conflit d'intérêts. Pfizer finance une émission, met de l'argent dans une émission. Comment cette émission pourrait-elle être authentiquement critique envers Pfizer? Surtout quand il s'agit de "combattre la méfiance envers la science"!!! C'est tellement ridicule que ça a l'air trop gros pour être vrai.)
Depuis janvier 2020, certains comme Fauci ont déjà commencé
à parler de vaccination mRNA (Moderna) et de remdesivir, etc.
Mais, depuis le mois de février 2020, on a eu des
espérances de trouver un traitement qui diminuerait massivement les cas
graves de la maladie et amènerait le taux de mortalité à environ zéro. Un
médicament a fait grand bruit fin février et durant le mois de mars : l'hydroxychloroquine
(le Plaquenil, nom commercial).
Petit aparté : il y a aussi des techniques hospitalières
améliorées depuis le début de 2020. Les protocoles de réanimation ont été
revus et on intube moins les gens qu'au début (ce qui faisait mourir
certains). Plutôt, l'oxygène à très haut-débit (à 60 litres) est préféré
(voir la section sur les explications de l'anesthésiste-réanimateur Dr.
Louis Fouché ici).
Hydroxychloroquine (hcq)
Dans le monde francophone, le Professeur Didier Raoult
(voir
son CV), PhD,
Directeur de l'Institut Hospitalo-universitaire (IHU)
Méditerranée-Infection et spécialiste en microbiologie et maladies
infectieuses, a
rapidement dit avoir soigné des malades à son centre hospitalier et constaté
une récupération beaucoup plus rapide chez ses patients traités à l'HCQ. L'HCQ
est dérivée de la quinine, elle-même une molécule naturelle provenant de
l'écorce du quinquina, un arbre. (On la retrouve d'ailleurs en petite
quantité dans l'eau tonique qu'on met dans les gin tonic!) Remède connu depuis des siècles, efficace
dans bien des maladies, il a déjà été considéré comme une panacée (un
médicament qui guérit à peu près tout).
Dr. Raoult a découvert que l'HCQ prise avec de l'azythromycine
(l'antibiotique, ne pas confondre avec l'AZT aussi appelée zidovudine
!) et du zinc (l'HCQ est un ionophore du zinc), donnait des
résultats très encourageants. Le protocole du Dr. Zelenko de la communauté
juive orthodoxe de New York est à peu près le même. L'équipe du Dr. Raoult a
fait une méta-analyse de dizaines d'études et il a pu montrer que les études
sans conflit d'intérêt avec les pharmaceutiques donnaient toutes des
résultats positifs avec l'HCQ. Parmi les études qui disaient que l'HCQ ne
donnait rien, la majorité étaient financées par la pharmaceutique Gilead
(qui fabrique le remdesivir, molécule concurrente).
Ce qui est ironique et triste dans cette
histoire, c'est que Dr. Angell (que j'ai citée dans l'énoncé sur
big
pharma) dénonce dans le New England
Journal of Medicine un phénomène qu'elle voit grandir, et que
c'est le New England Journal of Medicine (et surtout The Lancet)
qui sont embourbés 20 ans plus tard en 2020 dans un scandale
d'article scientifique frauduleux qui a menti sur l'hydroxychloroquine
pour la discréditer (aussi parfois appelé le "Lancet Gate").
Voici ce que le Professeur Luc Montagnier (virologiste,
professeur émérite, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus VIH,
voir son CV ici) pense, sur le même sujet :
Pour ceux que les grands médias ont fait douter de la
crédibilité et de l'expertise du Professeur Didier Raoult, directeur de
l'Institut hospitalo-universitaire de Marseille (IHU) spécialisé en maladies
infectieuses, voir cette vidéo
de l'IHU de Marseille du 28 février 2020 où il explique bien ce qu'est un expert :
https://www.youtube.com/embed/mJl2nPHAo2g où il dit :
"Un expert pour une télévision ou pour un groupe c'est
une chose. Un expert pour la science c'est une autre chose. Je suis
indifférent au fait que les uns les autres pensent qu'ils sont des
experts, cela m'indiffère. Cela étant, il y a des manières de quantifier
le niveau scientifique des gens qui est facile à évaluer. Il suffit de
regarder qui est quoi dans un domaine donné scientifique."
Je suis allé consulter ExpertScape pour confirmer que le
Pr. Raoult est bien l'expert numéro 1 le 27 février 2020 :
En plus de cela, le Professeur Raoult a été honoré par
l'Académie française, entre autres, pour ses travaux.
Dr Raoult, fin novembre-début décembre 2020, a fait une
entrevue sur Sud Radio où il donne son avis sur l'idée d'un "vaccin covid" :
« J’ai dit que le vaccin relevait de la science fiction pour moi ; je
ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées mais prenez
l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à
le stabiliser et encore à l’heure actuelle il n’est pas fiable à 100%.
Et là, pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains
laboratoires nous sortent des résultats à plus de 90% ! Non mais
franchement, qui peut croire une chose pareille ? D’ailleurs où sont les
études sur ces vaccins parce que je cherche et je n’ai rien trouvé !
Non ce n’est pas sérieux du tout, certains vont devenir milliardaire
avec cette connerie qui est rabâchée par les médias alors quand on me
demande ce que je pense du vaccin et de sa réussite, je dis que je ne
joue pas en Bourse, je pense que les Français comprendront, ils sont
moins bêtes que ce que les Politiques veulent croire… »
Dr. Raoult a été fait le 31 mars 2021 Commandeur de
l'Ordre national du Lion au Sénégal par le président :
https://twitter.com/raoult_didier/status/1377193289212964865 une façon
de le remercier de ses recherches sur l'HCQ notamment, abondamment utilisée
en Afrique contre le paludisme depuis des lustres.
Carte de l'utilisation de l'hydroxychloroquine dans le monde :
On remarque que l'usage de l'HCQ est massif dans le monde.
Il est limité ou interdit
dans les Five Eyes (UK, USA, Canada, Australie/Nouvelle-Zélande,
Afrique du Sud), la France, la Suède et le Chili.
L'ivermectine fait beaucoup l'actualité début 2021 parce
que son efficacité serait très élevée. Le Professeur Satochi Omura,
biochimiste japonais, également prix Nobel pour ses travaux, a
comparé l'ivermectine à la pénicilline à l'époque où ce médicament a été
une découverte très importante dans la lutte contre certaines maladies. ("There
are few drugs that can seriously lay claim to the title of ‘Wonder drug’,
penicillin and aspirin being two that have perhaps had greatest beneficial
impact on the health and wellbeing of Mankind. But ivermectin can also be
considered alongside those worthy contenders, based on its versatility,
safety and the beneficial impact that it has had."
Source :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3043740/pdf/pjab-87-013.pdf)
Carte de l'utilisation de l'ivermectine dans le monde :
Artémisia (à Madagascar)
L'artémisia a été étudiée par l'Institut Malgache de
Recherche Appliquée (IMRA) pour ses propriétés actives contre le coronavirus.
Elle est administrée en tisane sous le nom de
COVID-Organics.
À propos de l'artémisia et ses grandes vertus contre le
paludisme, France 24 a fait un documentaire s'intitulant : "Malaria
business, les laboratoires [pharmaceutiques] contre la médecine naturelle"
(Voir :
https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ)
Le COVID-Organics a été critiqué par la BBC ou CTV News, même si les
Malgaches sont convaincus d'une efficacité de leur traitement. N'en reste
pas moins que d'une façon ou d'une autre, Madagascar enregistre seulement 14
décès par million d'habitants, ce qui fait que ce pays est à la 171ème
place sur environ 220 pays et territoires. Ce qui est très enviable.
Plusieurs pays ont fait des ententes avec Madagascar pour se procurer le
traitement :
La Tanzanie, la Guinée-équatoriale, la République centrafricaine, République
du Congo, la République démocratique du Congo, le Libéria, la Guinée-Bissau
ont déjà reçu des milliers de doses de COVID-Organics sans frais, (https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-madagascar-idUSKBN22K1HQ)
en plus du Sénégal, Nigéria, Chad, le Niger, le Ghana, Haïti, les Comores.
Renforcer l'immunité et
s'éloigner des immunosuppresseurs
1. Bien manger : Certains aliments sont bourrés de bonnes choses, d'autres
non. Certaines activités, certaines attitudes aussi.
2. Éviter toute carence en nutriments, vitamines et
minéraux
(sans surdoser!) : Des taux normaux de toutes les vitamines, mais en
particulier :
la vitamine D et la vitamine C, assurent le bon fonctionnement
du système immunitaire. Il est important de ne pas abuser de la vitamine D
car une hypervitaminose est possible (une dose normale quotidienne est de 1 000 UI, à
4 000 UI selon le document ci-dessous).
Assez de Zinc, de Fer, de Magnésium, etc.
Les légumes ont une foule de
propriétés protectrices et réparatrices pour l'organisme alors il est bon
d'en manger souvent, de toutes les couleurs. (Concombre, poivron, laitue,
épinards, cresson, ail, oignons, carottes, patates, betteraves, céleri,
etc.) Il est aussi important de manger assez de protéines. (Attention.
Pour les gens qui ont des problèmes de coagulation, évitez de prendre de la
vitamine K avant d'avoir parlé à votre médecin car elle s'appelle K pour
Koagulation en allemand. Elle joue un rôle dans la
coagulation.)
3. Déstresser! On sait que le stress est immunosuppresseur (car il
active dans le corps le système nerveux sympathique - dont je parle dans l'énoncé
sur le confinement). Le contraire du stress est la
méditation : savoir respirer profondément, oublier tous les soucis, se
recentrer, faire le vide. Tout ceci active l'autre système : le système
parasympathique. Un sommeil suffisant aide aussi à ce que le corps se répare
durant le sommeil et le système immunitaire soit en forme pour affronter la
multitude de microbes qu'il croise chaque jour.
Concrètement, ça peut passer par : s'accorder des
moments de détente, de déconnexion, de relaxation, de méditation,
s'écouter un de nos films préférés, une de nos activités préférées,
jaser avec quelqu'un avec qui on adore jaser, etc.
4. Arrêter de s'en faire pour tout, tout le temps.
Éteindre son angoisse et son anxiété perpétuelle. Bien dormir.
Autres médicaments potentiels
Il y a aussi eu
l'étude sur la colchicine à Montréal (Colcorona) qui s'est apparemment
soldée avec des résultats assez encourageants mais qui a tout de même été
rapidement étouffée. Une étude sur la quercétine (un flavonoïde présent dans
l'ail et les oignons entre autres) par le Dr. Michel Chrétien est aussi apparemment tombée dans
l'oubli.
Il y a aussi plus récemment le laboratoire Phytobôkaz, fondé en
2005 qui a travaillé avec l'herbe à pic en Guadeloupe et qui semble
efficace, qui bloquerait la réplication virale du coronavirus.
Il y a aussi
des médicaments corticoïdes comme la doxaméthasone qui permettent de calmer
la tempête cytokinique qui arrive chez les malades très aggravés. (Source :
https://www.nature.com/articles/d41586-020-01824-5)
Dès le mois de mai 2020, le budesonide (nom commercial : Pulmicort), une pompe à
asthme dite "de traitement" à corticostéroïde, a été identifié
comme ayant un potentiel par le docteur Richard Bartlett du Texas (USA).
Début 2021, il a été découvert qu'il avait le potentiel de réduire les
admissions à l'hôpital de 90 % et raccourcir les temps de convalescence,
selon des chercheurs de l'Université d'Oxford.
Il y a aussi eu des recherches sur des champignons aux propriétés
antivirales au Népal (https://www.nepjol.info/index.php/NJST/article/view/29767).
Il y a eu des tas de recherches sur des tas de substances prometteuses et
souvent naturelles.
Mais... si ces traitements avaient été reconnus comme ayant une
efficacité suffisante, ça aurait été la "fin de la pandémie".
Et... "la fin des vaccins".
Sauf que... the show must go on!
La grippe saisonnière (influenza) a complètement disparu
depuis le mois de mars 2020. Au Québec : aucun cas, zéro, pendant la saison 2020-21.
"L'administratrice en chef de la santé publique du Canada, la Dre Theresa
Tam, affirme que les mesures de santé publique en place pour ralentir la
propagation de la COVID-19 ont aidé à éloigner la grippe. [...]
À cette période de l'année, le Canada enregistre normalement
en moyenne plus de 43 000 cas confirmés de grippe.
Mais cette année, l'Agence de la santé publique du Canada
affirme qu'il n'y avait eu au total que 66 cas confirmés en date
du 20 mars."
Arruda a même dit le 6 janvier 2021 "Actuellement, y a
pas de grippe au Québec.
Si vous avez des symptômes qui s'apparentent à la grippe, c'est probablement
du covid19."
La déclaration de Theresa Tam et de Arruda, rien de plus
fou et mensonger. Pourquoi ? Parce que ça n'a rien à voir avec les mesures
sanitaires, et la grippe n'a pas pu "disparaître" comme ça. On n'a jamais vu
ça ! La grippe revient chaque hiver, bon an mal an. Si la grippe a "disparu" cette année, c'est
tout simplement parce qu'ils ont
arrêté de tester le monde pour la grippe en mars 2020 et ça continue depuis.
Dans le graphique ci-dessous, on constate que les tests au Québec sont
passés à ~0.
Comme Arruda le dit, "c'est probablement
du covid". Il est fort à parier en fait que tous les "syndromes d'allure
grippale" ont été classés "covid" et non "grippe" cette année. À ce sujet, voici ce qu'un médecin français dit sur un plateau de télévision
(Cnews en direct) :
Puisque le tableau clinique du coronavirus ressemble beaucoup
au tableau de la grippe (le "syndrome d'allure grippale"), on peut se dire
que plusieurs cas qui auraient été classés "grippe" les années passées ont
cette année été classés "covid-19".
Il y a eu somme toute zéro cas de grippe, pas 10, pas 100,
non, ZÉRO. Comme dans "nulle".
À l'hiver 2021-2022, début janvier 2022, moment de l'année
où habituellement la saison grippale est au plus fort, la page du
gouvernement indique encore "activité grippale nulle".
Même chose en France, dans le journal
Le Parisien le 8 décembre 2020, alors que normalement la saison de
grippe saisonnière commence à être très active (pic vers le Jour de l'An),
6 cas selon ce journal :
Aux États-Unis, le CDC a inventé une nouvelle catégorie
statistique de décès, le "PIC" (Pneumonia,
Influenza, Covid19), où ils comptent dans la même catégorie ces
trois maladies, depuis 2020. Pourtant officiellement, le nombre de morts de
la grippe (influenza) est autour de zéro depuis mars 2020.
On remarque par contre qu'à droite, pour la première fois, il
y a un pic inexistant : la saison grippale 2020-2021 n'existe pas, c'est
plat, nul. On remarque aussi qu'en 2009, il y a un gros pic, c'est la
"pandémie" de la grippe "porcine" AH1N1 de 2009. On remarque que la H1N1 est
revenue chaque hiver depuis 2009, et on n'en a pas fait une pandémie pour
ça. Elle est restée parmi nous et continue de rester, et c'est rendu banal.
On ne l'a pas éradiquée. Pourtant la "pandémie" de 2009 est finie depuis
longtemps...
Enfin, ce qui est paradoxal, c'est que le pic de 2017 est
beaucoup plus élevé que celui de 2009 ! Pourtant... il n'y a pas eu de
pandémie en 2017.
Chaque année au Québec, les urgences débordent toujours
l'hiver (Voir l'énoncé Les hôpitaux peinent depuis
des décennies). La grippe est en partie responsable, mais il y a, en démographie
un phénomène dit "le pic de décès hivernal" : l'hiver plus de gens meurent car la santé est
moins forte dans ces mois froids et sombres.
Effectivement, il y a des années où la grippe frappe
plus fort. Au Québec, on a pu le ressentir justement dans la saison grippale
2014-2015, comme Le Soleil le dit :
«Décembre et janvier ont fracassé les records. C'était au
plus fort de l'attaque du virus de l'influenza A-H3N2. [L]e démographe
Frédéric F. Payeur [écrit:] Le sommet de 223 décès par jour atteint en
janvier 2015, pour un total de 6900 décès durant le mois, représente
d'ailleurs le plus grand nombre de décès enregistré en un seul mois dans
l'histoire récente du Québec.»
Attention, rappelons que 223 décès par jour
toutes causes confondues, pas de la grippe seulement. Pourtant, c'est vrai
que 6900 décès pour le mois de janvier c'est beaucoup en 2015 (il faut
toujours rapporter au nombre de population de l'année en cours, donc 6900 en
2015 c'est plus gros qu'en 2021).
Pourtant, on n'en a pas fait tout un plat en 2015 de ces
grands chiffres. C'était "normal".
Par contre quand on regarde les stats de l'Institut de la
statistique du Québec (ISQ) ci-dessous, on se rend bien compte que ça fluctue d'une année à l'autre
et que chaque nombre a un "domaine d'incertitude" assez élevé, dans lequel
on considère qu'il n'y a pas beaucoup d'excès de décès, ou en tout cas, dans
une marge qui reste "normale" et non "pandémique".
Il y a quelque chose de louche dans les données de
l'ISQ ceci dit. Lorsqu'on observe les stats de décès de 2020 ET 2021 (2
ans!) on se rend compte que ça reste des "estimations provisoires" en
attente des chiffres exacts. Hum... 2 ans (2020), c'est long non ? (Il
faut que je dise que les données définitives pour 2019 ont été finalisées
vers la fin de 2021.)
*Même si ce sont des chiffres dits "provisoires", c'est certain qu'on demeure
quand même dans ces ordres de grandeur, donc ces chiffres demeurent fiables.
Une autre chose à remarquer est le nombre de décès en 2019.
Habituellement, le nombre de décès augmente chaque année. En 2019, le
chiffre provisoire dit qu'il y a eu environ 1000 morts de moins qu'en 2018 !
(En 2016 il y a eu 500 morts de moins qu'en 2015 aussi). Mais le 74 550
provisoire de 2020 s'en trouve comme encore plus gonflé parce qu'on passe de
68K à 74K d'un coup, à la place par exemple de passer de 71K à 74K. Ce que
je remarque dans ces chiffres, c'est que c'est 74 000 décès, mais pas 740
000 décès. Il y a un certain excès de décès, mais assez proche des années
précédentes encore. Une chance que "la grippe a disparu".
Ces chiffres nous montrent en tout cas une chose, et confirment
ce que Stat Can dit dans son rapport (j'en parle dans l'énoncé "Même
le confinement ne marche pas",
cliquez
ici pour aller directement là où je parle du rapport), à l'effet qu'il n'y a pas eu de
surmortalité depuis le mois de juin 2020, donc en fait, pas de deuxième
vague de décès.
Voici les chiffres des hospitalisations pour pneumonie-grippe
dans les hôpitaux du Québec pour la saison 2017-2018.
Le chiffre le plus élevé de grippe en 2017-2018 arrive à la
Semaine 1 (vers le Jour de l'An), à 1500 hospitalisations, puis tournant
autour de 1250 jusqu'au mois de mars. Le chiffre le plus élevé
d'hospitalisations pour le covid19 saison 2020-2021 a été le 13 janvier 2021
avec... 1525 hospitalisations, à peu près le même sommet qu'en 2018. Voir le graphique ci-dessous de l'INSPQ
où on voit les deux vagues d'hospitalisations (avril 2020 et 2020-2021):
Covid-19 versus Grippe (Influenza)
Covid long, mais grippe longue aussi
Un des arguments qui revient souvent est cette histoire de "covid
long", par exemple : "Les jeunes, oui ils n'en meurent peut-être pas mais il
y en a beaucoup qu'on sait pas ce qu'il va arriver dans des mois ou des
années, et il y en a qui ne reviennent pas comme avant, qui restent
faibles."
Il faut absolument dire que souvent, pour le covid19 comme
pour la grippe, ce qui menace la santé pulmonaire à long terme est l'attaque
sévère des poumons, donc souvent quand on atteint la pneumonie (virale ou
bactérienne). Lorsque le corps se répare et cicatrise, il y a un risque de
fibrose pulmonaire. Ce sont des séquelles temporaires ou permanentes. (https://poumonquebec.ca/maladies/fibrose-pulmonaire/)
Évidemment, lorsque les poumons ont une fonction amoindrie,
l'énergie vitale est amoindrie aussi parce que les échanges gazeux (oxygène
/ dioxyde de carbone) se font moins efficacement. L'essoufflement arrive plus vite
et la fatigue aussi. Cet état de "maladie allongée" peut durer plus ou moins
longtemps. Il y a probablement des façons d'aider à remonter la pente. Mon
point n'était pas ici de faire cette recherche en particulier, mais simplement de dire que
des séquelles à plus ou moins long terme, ça existait déjà avec la grippe, avant le "covid
long".
Voici ce que dit la fiche-ressource de la compagnie
pharmaceutique Merck sur l'anosmie (perte d'odorat) : "Une infection
des voies respiratoires supérieures, notamment l’influenza (grippe) est une
autre cause fréquente d’anosmie. La grippe est responsable de près d’un
quart des hyposmies ou des anosmies".
Il y a des gens qui n'ont plus retrouvé leur odorat comme
avant, après une grippe.
Ce qui me pose problème, c'est que depuis le mois de
mars-avril 2020, on nous terrifie avec la perte d'odorat, comme si ça
n'avait jamais existé avant. C'est une erreur, puisque la grippe qu'on
côtoie depuis qu'on est petits occasionne des anosmies elle aussi. Qu'on se
le dise.
Les autres coronavirus
Il y a au moins 4 coronavirus dits "coronavirus humains
communs" (CHC, common human coronaviruses) appelés OC43, HKU1, 229E
et NL63, qui sont responsables de petits rhumes (common cold), ou
infections respiratoire des parties supérieures la grande majorité n'étant pas
graves. (Le SARS-CoV1 et le MERS ne circulent plus.) Le scientifique Michael Yeadon entre autres, et l'article cité
ci-dessous, expliquent que ceux qui ont été infectés récemment par un CHC
ont fait un covid19 beaucoup moins sévère parce que le CHC leur avait
conféré une certaine immunité.
Pour beaucoup d'experts, il n'est plus vraiment envisagé
d'éradiquer le coronavirus SARS-CoV2 de la surface de la planète. Ils
s'attendent plutôt à ce que ce coronavirus devienne "endémique" et devienne
banal comme les 4 autres qui nous donnent des rhumes de temps en temps.
Je sais qu'on nous a pas mal bassinés avec les mots "new
normal", "nouvelle normalité", "le monde d'avant c'est fini", "on ne
retournera jamais à la normalité" (Je reparle de ces citations, avec
sources, dans une prochaine page de ce site. Restez à l'antenne!), bref, ces
idées qui impliqueraient un changement dans notre façon de vivre ! On nous a aussi
laissé parfois entendre que les masques étaient là pour rester des années. Certains
ont même dit que ça resterait pour toujours. Un espèce de monde d'humains-bulles
ne se touchant plus, ne s'approchant plus jamais (ou six mois par année) dans les pires scénarios. Bref, j'ai pu tomber sur
une entrevue à Radio-Canada, sur la
"disparition" de la grippe ! J'ai fait un lien, mais qui
reste au stade de l'hypothèse. L'émission était le 16 mai 2021, Les années
lumières à Radio-Canada. Sophie-Andrée Blondin, Gino Harel. (https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/les-annees-lumiere/episodes/533121/rattrapage-du-dimanche-16-mai-2021/4)
L'"invité" était Vincent Gosselin Boucher (~30 ans), candidat au doctorat en psychologie, affilié au centre de médecine
comportementale (behavioral medicine) de Montréal, qui a fait avec la
médiatique Kim Lavoie, entre autres, une "étude" de psychologues
essentiellement :
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2021.628479/full
Vincent Gosselin Boucher, pour savoir qui qui parle.
Bon maintenant qu'on a fait les présentations, voici ce qu'il a dit à Gino
Harel :
Il dit "afin d'optimiser et de garder les comportements de la
population" Gino : "Il faudrait peut-être considérer le recours à certaines
pratiques ["mesures sanitaires"] pour lutter contre l'influenza." Il redit :
"L'idée de garder ces comportements-là, dans certains lieux, d'avoir des
règles sanitaires précises et les garder."
N'oublions pas que Gosselin Boucher orbite dans le monde de
la médecine comportementale, donc de la "modification des comportements vers
une meilleure santé" si on peut dire. Modifier. Comportements. On se
comprend?
Gino ajoute à la fin : "Une des raisons, c'est peut-être
qu'il s'est fait moins de tests pour l'influenza en raison de la covid19,
les laboratoires ont peut-être eu des priorités qui ont été modifiées et il
faut en tenir compte, mais ça ne peut pas tout expliquer." Peut-être,
tu dis ? Plutôt dire : certainement !
Et bien, oui, justement, ça peut tout expliquer, les tests.
Pas de tests, pas de grippe. Pour en avoir le coeur net, il faudrait avoir
pris une cohorte et l'avoir testée pour la covid-19 et pour l'influenza
(avec des tests aussi fiables qu'en 2016-2017-2018-2019), pour voir
l'évolution des chiffres. Difficile de dire quoi que ce soit sans ça. Et
pourtant, il y a des places dans le monde où il y a eu très peu de mesures,
voire pas du tout de mesures sanitaires. FluNet donne quand même une "courbe
mondiale" d'environ zéro (voir plus haut). Bizarre non ?
Sinon selon la santé publique suédoise, en Suède où il n'y avait pas
de masque, pas de restrictions abusives comme au Québec, même
genre de courbe qu'ici. Je dirais la même courbe. (Encore) bizarre non ?
Donc enfin mon hypothèse, c'est quoi ? C'est autour de la
raison pour laquelle on nous martèle depuis des mois que "la grippe a
disparu"! C'est tout simplement qu'il est en train d'être sécrété de la
mauvaise science pour faire "entrer dans les moeurs" (psychologie
comportementale) les cochonneries de masques, distanciation et tout le
reste, durant les mois froids voire plus. "Ouiiiii mais on pourrait sauver
des vies en maintenant les mesures!" Vincent, Kim et al., désolé mais
c'est non. Et Radio-Canada évidemment encore dans le coup.
Avant de parler de covid, d'abord un mot sur les chiffres de
décès normaux
Dans le monde entier : En ~2019, chaque jour, il y a eu
161 644 décès dans le monde (environ 59 millions de décès
dans l'année). (Source : OurWorldInData+Université Oxford :
https://ourworldindata.org/births-and-deaths)
Comme on peut le constater ici, il y a pas mal de monde qui
nous quittent chaque jour. Il faut avoir ça à l'esprit quand on pense aux
chiffres covid. Il faudrait toujours penser à ces chiffres quand on se fait
annoncer "le bilan quotidien des décès covid". Par exemple : "Ok oui il y a
eu 4 morts au Québec aujourd'hui mais il y en a aussi eu 182 morts d'autre
chose, et en plus, 'ZÉRO morts de la grippe' !" Ou en France : "Oui
il y a eu 250 morts covid aujourd'hui mais aussi 1 429 d'autres causes."
Etc.
Le taux de létalité du coronavirus
Grosso modo, le taux de létalité est notre chance de mourir
lorsqu'on est
malade.
La valeur du taux de létalité, ou en anglais l'Infection Fatality Rate
(IFR), est de 0,05 % pour les 70 ans et moins, et de 0.23 %
pour les 70 ans et plus. Autrement dit, toujours pour les 70 ans et moins, le taux de survie (survival
rate) est de 99,95%. Le taux de survie pour les 70 ans et plus est de
99,77 % (source ci-dessous).
* L'Infection Fatality Rate (IFR) est différent du
Case Fatality Rate (CFR) en ce que l'IFR compte les malades, alors que
le CFR compte les asymptomatiques aussi et les cas "non-détectés". L'IFR est
donc toujours plus élevé que le CFR.
Voici un extrait d'un article recensé par la Santé publique
Ontario et l'OMS : "The median infection fatality rates of COVID-19,
after adjusting for variations in sample size, was estimated at 0.23%
overall (range = 0.00%–1.54%); and at 0.05% for people <70 years of
age (from 40 locations with data)."
TRÈS IMPORTANT : Ces données ont été
compilées avant l'arrivée des variants. Le britannique (ou alpha),
vers le mois de mars-avril 2021 au Québec, le variant indien (ou Delta),
vers juillet jusqu'à décembre 2021, et Omicron (d'Afrique du Sud) vers la
fin décembre 2021 début 2022. Ces variants ont tous en commun le fait d'être
moins dangereux que le virus original de 2020. Le taux de létalité
s'en trouve donc encore davantage diminué !!!
Est-ce que le taux de létalité du coronavirus est plus élevé que pour la
grippe saisonnière ?
Pour l'éminent chercheur médical Peter C Gøtzsche : "Le
taux de létalité (IFR)
semble être à peu près le même que pour la grippe."
(Original: "The infection fatality rate seems to be about the
same as for influenza") (Source :
https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4509/rr)
Donc à la lumière de ces informations : est-ce que le
coronavirus tue des gens? Oui. Est-ce que le coronavirus tue
extraordinairement ? Non.
Au début en mars 2020, avec les chiffres qui nous arrivaient
de Chine depuis janvier 2020, on pensait avoir à faire à une mortalité de 3 à
5 %, ce qui était effrayant. Par exemple, un article de Vox rapportait ceci le 5
mars 2020 :
Environ 3,4 % des cas de covid-19 sont décédés dans le monde, selon le
directeur de l'OMS.
On s'est bien rendus compte que ces chiffres étaient
inexacts. Tout le branle-bas de combat qui a eu lieu depuis mars 2020 était
plutôt justifié au début pour ce genre de chiffres.
Maintenant qu'on sait que les
chiffres sont beaucoup plus bas, cela aurait logiquement dû avoir des
conséquences dramatiques sur notre rapport au virus et notre façon de
"gérer" la pandémie. En effet, les mesures auraient dû être automatiquement
amoindries voire abrogées. Il n'en a pourtant été rien. The show
must go on!
(Contradicteur untel : "Oui mais c'est parce qu'on a fait toutes les mesures qu'on a eu des chiffres bas finalement!"Réponse : Ça n'a rien à voir, parce que le taux de
létalité est une proportion établie parmi des gens qui sont malades
seulement, donc indépendamment du nombre de malades par rapport à la population
générale. Aussi, cliquez ici pour se rendre compte de l'exemple suédois, entre autres exemples
qui démontre que les mesures sanitaires n'ont rien à voir.
Voir aussi les sections sur le masque, le confinement, le
couvre-feu, etc. ci-haut.)
Les nombres de décès pour 2020 et l'excès de décès
Mars 2021 : Au Québec, pas de surmortalité significative depuis juin 2020
selon Statistique Canada. La deuxième vague
(environ novembre 2020 à janvier 2021) était donc une vague de "cas" (a "casedemic"). (Voir
la section "Même le confinement ne marche pas", où je cite un rapport du 10
mars 2021 de Statistique Canada qui dit : "Le Québec n'a pas enregistré de
surmortalité significative depuis juin." Source :
https://www150.statcan.gc.ca/n1/fr/daily-quotidien/210310/dq210310c-fra.pdf
en moitié de la page 2.)
31 janvier 2021 : Pierre Brisson, ancien consultant et
expert-formateur à l'Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ,
voir l'un de ses rapports ici), ancien chargé de cours à l'université de
Sherbrooke (voir
son CV), a analysé les chiffres de la mortalité en 2020. Il a pu
conclure qu'il n'y a pas eu de surmortalité significative en 2020. Je vous
suggère de regarder son explication qui dure un peu plus de 6 minutes.
Fin novembre 2020 : Aux États-Unis, Geneviève Briand, PhD,
chercheure de l'université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, USA) (http://omba.wsu.edu/briand/https://advanced.jhu.edu/directory/genevieve-briand/) a fait un
travail sur les données de mortalité de mars 2020 jusqu'au début de
l'automne 2020. Elle a surtout travaillé sur les mois d'avril 2020 et de mai
2020, où
la mortalité covid est visible.
Elle a analysé les données de mortalité mois par mois, pour
se rendre compte qu'en fait, comme Arruda l'avait annoncé au Québec, il y a
des "morts covid" qui ont été comptés comme tels, alors qu'ils auraient dû
être comptés dans d'autres catégories. (Arruda :
https://www.youtube.com/watch?v=ysH40P8MiTE) Cela a eu pour effet sur
les chiffres de diminuer anormalement d'autres catégories de décès. Mme
Briand explique tout ça ici :
https://youtu.be/3TKJN61aflI?t=2015
Après avoir fait ce séminaire, l'université John Hopkins a
censuré le travail de Mme Briand, invoquant un prétexte de divergence. Après
avoir suivi le raisonnement de Mme Briand, qui est valide, à partir de
sources officielles, on ne peut conclure qu'à de la censure. Triste époque
pour la liberté académique.
D'autres causes que le covid menant à une augmentation des chiffres de mortalité
pour les mois de avril et
mai 2020
1) Le gros choc psychosomatique initial
Étant donné que dans toute l'histoire récente une telle situation
n'était jamais arrivée, et s'est ensuivie d'une "épidémie de peur" à partir du
13 mars 2020, cet espèce de choc psychologique a été tellement fort que je
suis certain que plusieurs personnes plus fragiles ont claqué à cause de ça
(les plus fragiles physiquement sont les personnes âgées, surtout dans les
maisons de soins). Le simple fait de troubler leur routine quotidienne peut les rachever.
Combien sont-ils morts de ça?
2) Les morts évitables de la tragédie des CHSLD
Au Québec, près de 6700 morts étaient évitables selon
une étude (si les
gens avaient été soignés, nourris, avaient pu boire de l'eau, être lavés) :
"Le Québec aurait pu épargner près de 6700 vies fauchées par la COVID-19, si
le gouvernement Legault n’avait pas décidé de transférer les patients des
hôpitaux vers les CHSLD en sous-effectif chronique." (https://www.journaldemontreal.com/2021/04/08/pres-de-6700-morts-evitables-au-quebec-1),
Il est intéressant de se rendre compte que selon les chiffres de l'Institut
de la statistique du Québec (le tableau est disponible dans la section "La
grippe a disparu", cliquez ici pour aller au tableau
directement), la différence de mortalité entre 2019 (de 67 800) et 2020
(de 74 550)
est de 6 750 décès (une hausse sous 3 000 est considérée normale). Ça
coïncide parfaitement avec les 6 700 décès de l'étude !
C'est-à-dire que sans la tragédie des CHSLD (en avril-mai 2020) et de ces
"morts évitables", il n'y a LITTÉRALEMENT AUCUN EXCÈS DE DÉCÈS AU QUÉBEC.
ZÉRO.
3) La directive de non-réanimation
Cette directive a duré six mois,
de avril 2020 à septembre 2020. Pendant ces six mois, la directive approuvée
par Danielle McCann a été de laisser mourir quelqu'un qui était en
arrêt cardiaque depuis plus de deux minutes. Normalement, les procédures de
réanimation sont pratiquées par les ambulanciers jusqu'à 10 minutes après
l'arrêt cardiaque. Pendant six mois au Québec, la directive était en bas de
2 minutes. Combien de gens sont-ils morts de ce genre de mesure, ajoutant à
la mortalité ?
25 novembre 2020 : "Le ministre de la Santé,
Christian Dubé, a été informé de la directive il y a «quelques jours»,
selon son attaché de presse. Et ce, même si la directive est restée en
vigueur jusqu’au 21 septembre, soit trois mois après son arrivée en
poste."
"Légalité mise en doute
L’avocat spécialisé dans la défense des droits des patients, Me
Jean-Pierre Ménard, remet quant à lui en question la légalité même de la
directive controversée, qu’il juge contraire aux principes défendus par
la Loi sur les services de santé et les services sociaux. « On a fait
fausse route. Ça oblitère le droit de tous les patients à recevoir les
mêmes services de santé, où qu’ils soient dans le réseau de la santé, à
moins qu’ils n’y renoncent », fait-il valoir.
Selon ce dernier, ce protocole exceptionnel n’aurait pu être défendable
que dans le seul cas où les
unités de soins intensifs étaient bel et bien débordées, ce qui n’a
jamais été le cas dans la métropole [Montréal], même au plus fort
de la pandémie."
C'est cette peur, surtout d'attraper le coronavirus
qui a fait se détourner du chemin des urgences des hôpitaux près d'une
personne sur trois en 2020 (par rapport à 2019).
« Le ministère de la Santé et des Services
sociaux (MSSS) a enregistré une baisse de 906 039 visites dans les
urgences du Québec entre avril 2020 et février 2021, comparativement à
la même période l’année précédente, a appris Le Devoir. De
3 164 862, le nombre de visites a dégringolé à 2 258 823. Une diminution
de 29 %, qui est loin de signifier que les Québécois sont en meilleure
santé.
Trop de patients ont tardé à se présenter aux
urgences, de peur de contracter la COVID-19, selon la Dre Annie
Lavigne, intensiviste à l’hôpital Charles-Le Moyne, situé à Greenfield
Park. Comme cette dame, victime d’une douleur à la poitrine, décédée en
fin de semaine, malgré les soins intensifs qui lui ont été prodigués,
raconte-t-elle. "On a réussi à débloquer son artère, mais son état avait
trop dégénéré. Elle ne s’est jamais réveillée après l’opération." »
Au début, Caroline Quach a laissé entendre aux gens que le "modèle épidémiologique"
prévoyait 400 000 hospitalisations au Québec, 200 000 aux soins
intensifs :
Il était aussi dit que la courbe serait exponentielle
(doublement du chiffre chaque 2-3 jours.) Mais c'était faux finalement.
C'était "vrai" juste un peu après la mi-mars 2020, quelques jours.
Ensuite, on a dit que le système pourrait finir par lâcher
sous la pression de l'afflux de malades. C'était faux, et ce même si le
système de santé du Québec peine depuis des décennies (voir la section "Les
hôpitaux peinent depuis des décennies", ci-dessous)
"En résumé, la semaine dernière, on comptait moins de
personnes de moins de 60 ans admises à l’hôpital à cause de la COVID-19 que
dans la semaine du 19 avril 2020, celle où a été enregistré le pic des
hospitalisations de la première vague. Pour ce qui est de la tranche d’âge
de 0-29 ans, on compte seulement une personne de plus.
Quand notre premier ministre tente de faire peur
aux plus jeunes en sous-entendant des faits erronés, ça va vraiment trop
loin."
Dans la même veine de cette "fake news" reprise par
nombre de "médecins-médiatiques", et dont certains de mes proches m'ont rabâché les
oreilles bien trop souvent alors que je savais pertinemment que c'était
peanuts : "Non, il n'y a pas beaucoup plus de jeunes hospitalisés",
Journal de Montréal,
https://www.journaldemontreal.com/2021/04/17/non-il-ny-a-pas-beaucoup-plus-de-jeunes-hospitalises
J'ai trouvé un petit tableau très intéressant sur les étapes
de la peur dans cette pandémie depuis mars 2020. Je vous le mets ici, vous
l'acceptez ou pas, libre à vous. Moi j'ai trouvé ça éclairant.
Intéressant non ? Pourtant il ne faut jamais se résigner. Il
faut se lever. Entrer dans l'action. Gueuler fort, sortir les poubelles, et
surtout, en finir avec la peur et l'injustice. Se dire d'abord que tout est
possible. Tout peut changer. Jamais se résigner.
En somme, il suffit de manipuler notre épicerie comme on
le fait normalement (comme en 2019 et avant), donc laver nos fruits et
légumes avant de les manger, c'est tout.
Le 15 janvier 2021, Radio-Canada s'est rétracté (peut-être
avant, mais ce que j'ai trouvé date du 15 janvier) :
"Le gouvernement du Québec et Santé Canada abondent dans
le même sens. Selon leurs recommandations, il n’est pas nécessaire de
désinfecter nos achats lorsqu’on revient de l’épicerie. C’est le lavage des
mains qui prévaut sur toutes les autres mesures. On se lave les mains
lorsqu’on rentre à la maison, on range les aliments et on se relave les
mains en terminant. Et, par-dessus tout, on évite en tout temps de se
toucher le visage."
Ça, c'est l'argument majeur du justificatif des décrets du
gouvernement : "nos anges gardiens, les infirmières, les préposés, les
médecins des hôpitaux sont fatigués. Ils sont au bout du rouleau donc pour
l'amour, aidez-les et respectez nos mesures sanitaires."
Ça fait au
moins 15 ans que j'entends ça périodiquement en boucle dans l'actualité. Dans mes
cours à l'université, j'ai côtoyé des infirmières qui m'ont expliqué la
situation de long en large.
Les professionnels de la santé des hôpitaux qui doivent
travailler sur des horaires de jour, de soir, de nuit, de fin de semaine,
qui doivent souvent faire du temps double. On entend qu'ils travaillent
parfois 16 heures et plus par quart. Pensez-vous que cette situation soit
nouvelle ? Pas du tout. Le système de santé est "à bout'" depuis des
années.
Ça fait maintenant des années que les médias disent que
les urgences débordent l'hiver :
Vous ne le savez certainement pas, mais selon les données
de la Banque mondiale (la Banque mondiale est un des grands organismes de
l'ONU et compile des données réputées) et du CIA World Factbook,
en nombre de lits d'hôpitaux par
1000 habitants dans le monde en 2020, le Canada est à la 96ème
place avec seulement 2,5 lit pour 1000. Par contre, en comparaison et
toujours selon la Banque mondiale, la Corée du Nord est l'un des premiers
pays avec 13,2 lits pour 1000, le Japon avec 13 p. 1000, la Corée du Sud
avec 12,4 p. 1000, la Biélorussie avec 10,8 p. 1000, l'Allemagne avec 8 p.
1000, et la Russie avec 7,1 p. 1000. La France est à 5,9 p. 1000, l'Italie
avec 3,1 p. 1000, les États-Unis à la 85ème place avec 2,9 p.
1000.
Pour les lits au Canada (donc ça inclut le Québec),
l'historique depuis les années '60 montre que le nombre n'a fait que
diminuer, encore et encore, comme on le voit sur ce graphique :
Au Canada, on observe clairement le sommet vers 1970
avec 7 lits par 1000 habitants. C'est en 1990 que ça baisse abruptement,
en passant de 6 lits pour 1000, 3,6 lits pour 1000 en l'an 2000, et 2,5
lits pour 1000 vers 2015.
Dans le monde en général, de 1970 à 2021, le nombre de
lits a atteint son sommet vers 1985 avec 4,1 lits pour 1000, puis a baissé
pour atteindre un genre de plateau se situant autour de 2,7 pour 1000 depuis
l'an 2000 :
La même logique a eu lieu dans plusieurs pays occidentaux, avec dans les
années 1980 le virage "néolibéral" et les idéologies de la privatisation.
Voici ce que Patrick Pelloux, médecin urgentiste à l'APHP
samu de Paris en France, a dit à
propos de ça :
« Les Français doivent savoir qu’en 10 ans, les gouvernements successifs ont
supprimé 100 000 lits d’hôpitaux. Voilà la vraie raison de nos difficultés à soigner et à sauver des vies
aujourd’hui. » (Source : Cnews 27/03/2020, 11h30)
D'ailleurs en France, voici ce que le Canard enchaîné
publiait le 17 février 2021 :
Selon le Canard, aucun nouveau lit de réanimation n'a été
ouvert depuis mars 2020, presque un an plus tard.
Autrement dit, les gouvernements occidentaux expliquent
actuellement que
la population doit suivre des mesures sanitaires parce qu'il faut "sauver le
système de santé" ("Save the NHS" comme dit le britannique Boris Johnson).
En fait, si le système de santé est en train de couler depuis des années,
c'est aucunement la faute de la population, mais celle de ces mêmes
gouvernements qui sont là maintenant.
L'idée même de remettre cette charge sur le
peuple est donc non seulement révoltante, mais est une insulte à
l'intelligence. La décence voudrait que ces gouvernements fassent un mea
culpa et réinvestissent massivement, même dès mars 2020, dans le
système de santé aux bonnes places. L'ont-ils fait ? Non. Quand je
dis "aux bonnes places", une des questions centrales des débats politiques
en santé dernièrement était d'augmenter le salaire des médecins spécialistes
qui étaient déjà immensément surpayés en comparaison avec le reste de
la population. C'est vraiment un monde sans dessus dessous.
N'oublions jamais que, par exemple, François Legault a été ministre de la santé et des
services sociaux du Québec en 2002-2003 après avoir été ministre de
l'éducation de 1998 à 2002.
Un document de la Commission européenne est disponible sur
Internet, qui a été publié dans le "Q3 2019", donc vers la fin de l'été ou
en automne en 2019. Le problème, c'est qu'à ce moment-là, personne ne savait
qu'il y aurait une pandémie en janvier 2020.
Selon cet URL d'archivage (https://web.archive.org/web/20190528070711/https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf), le premier "backup" de ce PDF a été effectué le 28 mai 2019. C'est donc
dire qu'au moins SEPT mois avant le début du coronavirus (qui a commencé au
début janvier 2020), la Commission européenne avait le projet d'implanter un
passeport vaccinal dans les pays européens à l'horizon 2022. Question : sans
une "pandémie", comment aurait-elle pu avoir le momentum pour essayer
d'implanter ce genre de mesure liberticide ? Mais une "pandémie" est
arrivée! Qui aurait pu dire ça en mai 2019 ?
Ce qui est très intéressant, c'est qu'en ce moment, ils
poussent le passeport vaccinal et comptent sur l'adhésion de la population
justement dans le cadre de la pandémie de coronavirus. "Pour le temps de la
pandémie" disent-ils. Pourtant, la Commission européenne avait déjà un agenda
pour l'implantation d'un passeport vaccinal européen commun, sans demander l'avis
de la population comme toujours. C'est ça, la démocratie !
Ça commence à sentir "le complotisme" pas à peu près.
Comme le plan échafaudé à l'ombre dans les coulisses.
Et pourtant la preuve, le document officiel est juste là, devant votre face.
Le passeport vaccinal est une véritable boîte de Pandore. Mettre la
main là-dedans libérerait tous les fléaux. Il ne doit jamais voir le jour
parce qu'il créerait, dans notre société libre et démocratique, des castes
sociales ayant droit à des privilèges selon leur capacité, en premier, de se
faire vacciner ou non. Ensuite, pourquoi pas, on ajouterait des critères
dans ce "passeport" comme les informations personnelles, et pourquoi pas
comme en Chine, un crédit social, avec des notes accordées aux citoyens pour
bonne conduite ? C'est non.
D'ailleurs, pour ceux qui s'imaginaient qu'un petit vaccin
et allez hop!
c'était fini, puis qu'on annulerait le passeport vaccinal une fois la
pandémie terminée, voici des articles très à propos :
(Oui oui, c'est littéralement le même article.
Convergence des médias.)
M. Bruno Leclerc, président du Comité d'éthique sur la santé publique à
l'Institut national de santé publique (INSPQ) a dit en entrevue à
Radio-Canada que "de toute façon le passeport immunitaire serait temporaire"
et qu'il serait enlevé après la pandémie. Il a aussi dit que de grandes
organisations internationales comme l'OMS ou l'Union européenne donnent le
la. (https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/premiere-heure/segments/entrevue/349756/passeport-immunitaire-vaccinal-covid-inspq) Foutaise. Quand on prend connaissance justement du document de la
Commission européenne (de l'Union européenne) ci-dessus, on se rend bien compte que ce
plan en est un qui n'a rien de temporaire et qui est plutôt planifié depuis
déjà un moment.
Rappelons que par le passé lorsque le gouvernement a parlé
de "temporaire", de "projet-pilote", ça s'est souvent avéré permanent. Des
exemples :
- 1917 au Canada : instauration d'un impôt sur le revenu temporaire.
En 2017, on a "célébré" le 100ème anniversaire de cet impôt sur le
revenu. Aujourd'hui, bon nombre de gens croient tout à fait acceptable
l'existence de cet impôt sans jamais le remettre en question. La pilule
a bien passé. Pourtant, quand on y pense... (Radio-Canada
International :
https://www.rcinet.ca/en/2017/07/25/canada-history-july-25-100-years-of-temporary-tax/)
- 1971 aux États-Unis : le président Nixon dit que la
convertibilité du dollar sera suspendue temporairement. En 2021, cette
"suspension" est encore en vigueur.
- 2001 aux États-Unis : le PATRIOT Act, mesure d'état d'urgence
"temporaire" donnant des pouvoirs démesurés au gouvernement quant la
violation des droits fondamentaux de tous les citoyens quant à leur vie
privée et à l'habeas corpus. Ce PATRIOT Act est encore en vigueur.
- 2015 en France : état d'urgence "temporaire" dans la foulée des
attentats de janvier et novembre, loi Renseignement, et volonté de
Macron d'incruster ces mesures d'exception dans "la loi normale".
Je vais m'arrêter là mais il y a d'autres exemples.
Nos droits nous protègent contre le passeport vaccinal
Étant donné que
notre démocratie nous protège avec
un contre-pouvoir qui s'appelle La Constitution (du Canada, en plus
de la Charte des droits et libertés du Québec), en plus du droit
international de la Charte universelle des droits de l'homme, et la
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 à la Révolution
française, et qui donc limite le champ d'action du gouvernement,
nous sommes protégés contre ce genre de dérives totalitaires. En Israël par
exemple, qui est systématiquement pris comme exemple pour vanter le
passeport vaccinal, il n'y a pas de constitution et il n'y a donc pas
de charte des droits et libertés gravée dans la constitution. (Source :
https://knesset.gov.il/constitution/ConstIntro_eng.htm archivé ici :
https://archive.is/PozDv)
Ici, il y en a une.
Notre gouvernement n'a pas le
pouvoir, ni l'autorité, ni la légitimité, de créer un régime d'apartheid
avec deux classes de citoyens, la première classe ayant le droit de
fréquenter certains lieux, la seconde n'ayant pas le droit de fréquenter ces
lieux. Les "juges" ou les juristes qui approuveraient une telle chose
seraient complices de la dérive tyrannique du gouvernement, parce que
nos droits et libertés sont
inaliénables : ils ne peuvent
pas nous être enlevés.
(Pour ceux qui disent "oui mais j'ai le droit
à la vie", notre droit à la vie ne peut pas annuler durablement les autres
droits et libertés, entendu? Rendez-vous bien compte de l'absurdité du
truc. D'autant plus que ceux qui sont
morts du vaccin ont été beaucoup privés de leur droit à la vie aussi.)
Le principe de la liberté thérapeutique, le code du
Tribunal de Nuremberg, les règlements de l'ONU, nous protègent contre le
fait d'être forcés ou contraints à une médication ou un vaccin auquel on ne
consent pas clairement et de façon éclairée (le consentement éclairé ne peut
se faire qu'en étant pleinement informé de tous les aspects du médicament,
incluant qui le fait, comment il a été fait, comment il a été autorisé, et
surtout quels risques réels ou probables y sont associés). Le passeport
vaccinal est une méthode de coercition de la population. En clair, le
gouvernement veut tordre le bras des gens pour les forcer à se faire
vacciner, d'abord. Ensuite, une fois le système implanté, le gouvernement
pourrait tordre le bras de toute la population, chaque année, d'aller se
faire faire sa petite piqûre. On ne peut pas imaginer le genre d'avenir
fucké que ça donnerait, la porte que ça ouvre. En gros, ça donne au
gouvernement sur nos corps le pouvoir d'y injecter périodiquement quelque
chose auquel on n'aurait plus le choix de consentir. (Mon corps mon choix.)
En 2019...
Rappelons-nous de l'actualité en 2019 au Québec. Que se passait-il au Québec
en 2019 ? Et d'ailleurs, pas qu'au Québec, puisque c'est le genre de projet
qui est amorcé à peu près en même temps à travers l'Occident. Alors, vous
savez ? Oui, ça vous dit quelque chose, "le grand chantier de l'identité
numérique" ? Éric Caire ? Une identité numérique pour tous les citoyens
québécois. Mais, ça mange quoi en hiver, ça ? En fait, c'est une
centralisation des données des gens : données de santé, données
d'automobiliste, données d'impôts, données d'emploi, sky's the limit.
(Source : "Une identité numérique pour les Québécois d'ici 2021", 11
décembre 2019, Radio-Canada,
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1427120/identite-numerique-citoyens-quebec-fraude-vol-cybersecurite-eric-caire)
Le ministre caquiste Éric Caire avait l'ambition d'un identifiant unique
pour se connecter à tout le système du gouvernement aussi. Une
centralisation, où toutes les branches du gouvernement s'échangent nos
informations personnelles, qui repose sur une infrastructure de IBM ou les
big techs américains (Amazon Web Services, etc.) Évidemment, que les
données soient ouvertes à ce point-là les rend, quoi qu'en disent les big
techs, vulnérables à toutes les attaques et hack possibles, ce qui se
fera sans aucun doute. "Hon, désolés." Le délire a fait les manchettes en
août 2020 avec ce titre : "Québec veut attirer les pharmaceutiques avec
les données de santé de la RAMQ", 21 août 2020, Le Devoir, (https://www.ledevoir.com/politique/quebec/584542/quebec-veut-attirer-les-pharmaceutiques-avec-les-donnees-de-la-ramq)
On parle de nos données personnelles de santé, ici.
Tout ce système, qui viole allègrement notre vie privée
donc notre liberté (et qui en fait la grande célébration de ce qu'il appelle
"le big data"), qui veut se mettre en place insidieusement, n'était
évidemment pas bien vu par un bon nombre de gens. Les autres sont rendus
trop lavés pour même savoir vraiment la valeur de la notion de vie privée,
hélas. Ceci étant dit, je ne peux pas m'empêcher de voir l'ombre atroce de
ce projet d'identité numérique dans le passeport vaccinal, car c'est ce dont
il s'agit. Une identité numérique (sous forme de QR code) qu'on porte sur soi et qui nous permet
d'aller et venir (ou pas) dans la société. En passant, le code QR est juste
une itération japonaise plus récente d'un autre type de code bien connu, le
"code barre" :
On nous prend vraiment pour des débiles. Pour beaucoup d'entre nous
malheureusement, nous le sommes. Moi-même j'ai déjà été débile, quelqu'un
qui ne s'intéresse pas, qui ne veut pas savoir, surtout qui ne remet pas
en question, mais un jour j'ai décidé
d'arrêter. J'ai décidé de me poser des questions, parce que je trouvais que
les choses ne pouvaient plus continuer comme ça. La seule façon d'arrêter d'être
débile c'est
de vouloir constamment s'en sortir. C'est Jacques Brel qui disait que la
connerie (être stupide) vient d'abord de la paresse.
J'ai juste besoin de dire une chose sur ces gens-là :
toutes
les informations que j'ai énoncées dans cette page web que vous êtes en
train de lire, ils l'occultent, ils la dissimulent, n'en parlent pas, ou quand ils sont forcés
d'en parler alors ils la banalisent, ils font comme si c'était rien, c'était pas
grave ou encore pire s'en moquent, la ridiculisent. Parfois même c'est
encore pire, ils vont jusqu'à insinuer que certains grands scientifiques qui
ont consacré leur vie à la science sont des moins que rien ou indignes
d'être entendus.
Logiquement,
comprendre et réaliser cela, vous informe que les
médias sont soit des vendus, soit des idiots. C'est une déduction
purement logique. (Si... Alors... [if, then]) Des vendus parce que si c'est
volontaire, alors ils sont des traîtres et travaillent directement dans le
sens des
intérêts des multinationales (pharmaceutiques et autres corporations) et des intérêts qui
ne sont pas ceux de la population parce que nos intérêts c'est de savoir les
choses graves et importantes quand il y a des choses graves et importantes,
surtout qui peuvent avoir un impact sur notre santé et notre vie tout court.
Des idiots, parce que s'ils ne savent pas ces informations, c'est parce
qu'ils ne savent pas faire leur métier et chercher comme il faut, et se
poser les questions qu'il faut se poser.
L'un ou l'autre, ça importe peu parce que pour les deux
cas, la solution est simple et est la même :
il faut
impérativement, profondément et immédiatement se débrancher de ces gens
vendus ou idiots.
Ce qui les trahit, c'est qu'ils ne
parlent jamais, jamais, jamais des études qui vont à l'encontre de leur
parti pris (du "cherry-picking", tel que mentionné dans l'article du Dr. Kamran Abbasi que je mentionne dans l'énoncé sur les big pharmas). Le
public-captif de ces médias[un "public-captif" est un public
qui n'a absolument pas d'autres bases pour se représenter le monde réel que
celle qui leur est proposée par les médias]n'est même pas au courant de
l'existence même de ces études, de leur importance et de la
crédibilité de celles et ceux qui les signent.
Jim Morrison (1943-1971) le chanteur des Doors, avait dit : "Celui qui
contrôle les médias contrôle les esprits." ("Whoever controls
the media, controls the mind.")
Malcolm X (1925-1965) disait aussi : “Les médias sont l'entité la
plus puissante sur terre. Ils ont le pouvoir de transformer un innocent en
coupable, et un coupable en innocent. C'est du pouvoir, parce qu'ils
contrôlent les esprits des masses [populaires]."
("The media's
the most powerful entity on earth. They have the power to make the innocent
guilty and to make the guilty innocent, and that's power. Because they
control the minds of the masses.”)
Nicolas Machiavel (1469-1527), considéré comme l'un des
fondateurs de la science politique moderne, aurait dit dans son opus
magnum Le Prince : "Celui qui contrôle la peur des gens devient le
maître de leurs âmes."
« Ce n’est pas que le citoyen raisonne mal avec des
informations justes. C’est que le citoyen raisonne bien mais avec des
informations erronées. » - ?
Toutes ces citations amènent au moins deux questions fondamentales :
a)
Comment exactement fonctionnent les médias (comment est trouvée, triée et filtrée
l'information qu'ils traitent?), et surtout, b)
QUI contrôle les médias ?
Voici quelques segments de ce qu'en pense Julian
Assange, le célèbre lanceur d'alerte fondateur de WikiLeaks (attention,
ne pas confondre avec Wikipédia, les deux n'ont aucun lien) :
Parlant de médias vendus (convergence des médias par les
multinationales de la finance), voici une compilation inquiétante :
* Il est important de noter que ce sont des réseaux concurrents (ABC, NBC,
Fox, etc.)
Et ce n'est pas parce qu'ils ne font plus leur job que les
médias n'ont pas déjà fait (au moins un peu) leur job dans le passé, tel
qu'en témoigne ce segment de TVA (!) vers 1994-1995 :
Quand on regarde aller Sophie Thibault et Pierre Bruneau
ces temps-ci, il y a un monde... Il faut dire que c'était avant la
convergence des médias, et avant que Quebecor rachète TVA en 2001 (et
Vidéotron en l'an 2000 avec l'aide de la Caisse de dépôt).
Ce qu'on pourrait me dire : "Oui mais comment ça se fait
que tu cites abondamment les médias dans ton texte si tu les exècres tant ?"
Réponse : souvent, je les cite pour mieux les critiquer. Mais parfois, c'est
qu'ils laissent couler certains petits morceaux qui ont de l'allure ! C'est
ça leur technique. S'ils mentaient à 100 % tout le temps, ce serait facile
éventuellement de s'en rendre compte, donc ils mélangent de la merde avec
des pierres précieuses. Mon travail est de repérer ces pierres précieuses.
Mais toujours, ils commettent la faute logique appelée de "non sequitur",
c'est-à-dire qu'ils prennent des arguments, des faits, qui logiquement nous
amèneraient à conclure quelque chose, alors qu'ils finissent par donner une
conclusion fallacieuse. Exemple de non sequitur : l'étude du
Lancet/NEJM démolissant l'hydroxychloroquine était finalement une fraude
grossière dans laquelle tous les médias et les gouvernements ont embarqué.
Pourtant, malgré que ça ait été reconnu comme une fraude, l'effet
"démolissant" continue quand même après. Les éléments factuels auraient dû
logiquement influencer la conclusion. Mais, non sequitur.
2. Le rideau de fer médiatique et le rôle des médias
La situation que
l’on vit actuellement au Québec n’est pas de tout repos bien sûr, et
je dirais qu’en bonne partie ce qui se passe dans notre beau
presque-pays est très préoccupant. Comme le rappelle gravement une
phrase célèbre qu'on attribue à George Orwell : « En période de
tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».
Et un autre suivait en disant que « la révolution ne sera pas
télévisée ».
Les médias sont un élément important de la
construction de la réalité, du moins de notre façon de la percevoir
et de la comprendre. C’est après tout ce « quatrième pouvoir »
(quand il fonctionne) qui nous renseigne sur ce qu’il se passe, qui
ose critiquer, dénoncer, bref, dévoiler la vérité aux citoyens. Or, au
Québec, notamment avec la « convergence des médias » qui a eu lieu
depuis le début des années 2000, puis de la "crise des médias" qui
s'en est suivi, les médias sont devenus de plus en
plus frileux et ont couvert de moins en moins de sujets, en disant
toujours de plus en plus les mêmes choses en chœur. Ce phénomène
malsain et dangereux pour la démocratie – il faut bien le dire – est
arrivé à son apogée dans la crise actuelle, où au Québec, le pouvoir
exécutif gouvernemental est devenu comme tout-puissant, parfaitement
supporté par ces médias en chœur, rabrouant vigoureusement la pensée
critique, les vraies questions. Il faut aussi dire que les médias
ont été subventionnés à coups de dizaines de millions de dollars par
le gouvernement ces quelques dernières années.
On peut même poser
l'hypothèse que si le gouvernement décidait de couper ses publicités
ou les subventions à un média, celui-ci ne survivrait peut-être pas,
ou alors avec des salaires misérables. Mécaniquement, cela a pour
effet logique d'entraîner une plus grande soumission des médias au
gouvernement, une moins grande indépendance, parce que sous une
épée de Damoclès en permanence.
À l'émission Mordus de politique à Radio-Canada (RDI), Dimitri Soudas a
lancé à Jean-François Lisée le 14 avril 2021 "On va perdre les revenus de publicité,
Jean-François" parce que Lisée disait que de
toute façon cet été les gens vont se remettre à se voir et manger ensemble
d'une façon ou d'une autre :
Ne dit-on pas que derrière une blague il y a un fond de vérité ? Ça a au
moins le mérite de nous renseigner un peu sur le climat qui règne dans la
tête de ces gens-là.
Parlant de ça, il y a quelques rares médias au Québec qui osent critiquer
ou seulement remettre en question le récit gouvernemental, dont le plus
connu est Radio X à Québec. Le 26 septembre 2020, le gouvernement du Québec
voulait faire passer une publicité "anti-complotiste" sur Radio X
(pub faite pour Radio X seulement).
Radio X a refusé, et le 28 septembre 2020, le maire de Québec Régis Labeaume
a retiré son contrat publicitaire, suivi du gouvernement du Québec,
Mercedes-Benz de Québec (selon qui Radio X ne "respecte pas les valeurs de
l'entreprise" !), Paquet Nissan, Industrielle Alliance, Desjardins, Hydro-Québec, Pizza royale. Sol Zanetti député
de Québec Solidaire, a incité à boycotter Radio X. Pourtant, lorsqu'on prend
le temps d'écouter 2 ou 3 minutes Dominic Maurais ou Jeff Fillion entre
autres, on se rend compte qu'ils sont à peu près
les seuls à parfois inviter des gens qui "pensent différemment" (du récit au
Québec), des pointures de la trempe du Dr. Louis Fouché par exemple comme le
Dr. Jean-François Toussaint, épidémiologiste du sport en France reçu le 7
octobre 2020. C'est un des rares médias où on pense un peu différemment. La
"meute" veut le faire fermer!
Autrement, le Dr.
Lawrence Rosenberg, médecin PDG du CIUSSS du
Centre-Ouest-de-l’île-de-Montréal a formulé l’idée
que selon les données scientifiques maintenant disponibles, on sait depuis
au moins cet
automne qu’on a à faire statistiquement à une maladie qui a un taux
de mortalité qui ressemble à peu près à celui de la grippe saisonnière.
(Ce qu'il a dit exactement à l'antenne de CTV News Montréal
(Source :
https://montreal.ctvnews.ca/video?clipId=2034958 à la
mi-septembre vers le 15-16 sept. 2020) : “It
is a respiratory virus much like the seasonal flu,” “What we've
learned is it probably isn't much more dangerous than seasonal flu.
It's probably equally as transmissible as seasonal flu.”
traduction : "C'est un virus respiratoire qui ressemble beaucoup
à la grippe saisonnière. On a pu apprendre qu'il n'est probablement
pas vraiment beaucoup plus dangereux que la grippe saisonnière.
C'est probablement à peu près autant contagieux que la grippe
saisonnière.")
Christian Dubé, ministre de la Santé de Legault, l'a pris à partie personnellement!
Le Journal de Québec a mis sous presse avec le titre: "Dubé
dénonce les propos «complètement inappropriés» du PDG d’un CIUSSS."
Pour moi, c'est absolument une campagne d'intimidation de la part
d'un ministre, une ingérence, un faux-pas. C'est aussi ignorer qui
s'exprime. Si un médecin PDG de CIUSSS dit ce qu'il pense, et ce,
avec la documentation qui est la sienne, alors un ministre, même de
la Santé, ne doit pas sortir pour qualifier d'inappropriée
l'expression des idées de ce médecin. Il y a la liberté
d'expression, et il y a aussi la liberté académique, la liberté de
la science. Quand le politique contrôle le discours scientifique, on
est foutus. Rappelons que M. Dubé n'a qu'une formation de comptable,
n'est en aucun cas médecin ni chercheur. Il aurait eu le droit de
faire une sortie critique, mais autrement.
Au chapitre des
gens à qui l'on brime la parole, il y a un autre
exemple récent, pas clair, celui de l'animateur Daniel Melançon de
Salut Bonjour à TVA, qui a été remercié vers le 23 octobre 2020. Il a
fait une sortie pour expliquer que ce n'était pas sa décision. Il
est aussi l'un des très rares dans les médias actuellement qui
posait de timides questions.
Enfin, il y
a eu plusieurs exemples réels tels que ceux-ci ces derniers mois.
Par conséquent, quelque chose de
très grave se passe au Québec : le pluralisme des avis et des
arguments ne passe pas l’espèce de rideau de fer médiatique hissé
autour du Québec. Le Québec est dans une bulle ! Pour avoir accès à
l'extérieur de la bulle, il faut vraiment savoir où aller sur
Internet (principalement dans les médias internationaux et les
médias plus indépendants). Alors en
dépassant le rideau de fer, on se rend compte qu’il y a de vrais
docteurs, de vrais scientifiques très sérieux, bardés de diplômes et
parfois de Nobel, des Américains, Français, Anglais, Allemands, Belges,
etc. qui disent des choses qu’on n’entend jamais au Québec. On comprend
rapidement que ce n’est pas parce que nos journalistes n’ont pas
accès à ces informations puisque moi j’y ai accès. C’est sans doute
parce que le gouvernement et/ou les gestionnaires des médias ne veulent pas que ça passe dans les médias
parce que ça va carrément à l’encontre du récit qu’ils veulent
entretenir à tout prix. Logiquement, je ne vois pas d’autre explication, parce
qu’autrement ils lanceraient au moins ces arguments dans le débat.
Là, c’est l’omertà pure et simple.
Depuis mars
2020 la façon de procéder des médias est simple : répéter en choeur
quelque chose sans amener la contradiction et sans vraiment donner
de sources scientifiques exhaustives (c'est simple, tous leurs
"experts" penchent toujours du même bord, et ce bord est
toujours en adéquation avec les intérêts pharmaceutiques et les
ordres -décrets- gouvernementaux!).
Les médias au Québec, à la suite des gouvernements caquiste
québécois et trudeauiste canadien, ont convaincu une partie de la population d'une telle
chose: l'ultime gravité de la situation, et aussi de l'ultime efficacité
des mesures. Le pire, c'est que les gens qui tentent de comprendre et de
penser ces questions sont
pointés du doigt comme des idiots ("covidiots", ce néologisme passera à
l'histoire comme le témoignage du crétinisme en phase terminale de nos
spin-doctors médiatiques). Donc, le gouvernement et les médias se
gardent toujours de citer des études, des chercheurs, lorsqu'ils ventent les
mérites des mesures. Ils se basent plutôt sur leurs "experts maison" (des
gens qui sont sur le pay-roll, disons, toujours les 4-5 mêmes "experts
médiatiques" qui sont invités sur tous les plateaux) qui eux-mêmes disent se
baser sur "la Science", qui en deviennent presque l'incarnation. On a pu
constater dans cette page web que certaines études -très scientifiques- leur font la vie dure.
Il est facile de tomber dans
une espèce de transe en écoutant ou lisant ces chroniqueurs ou ces bulletins de nouvelles
quotidiennement sans avoir d'appel d'air extérieur. Il ne faut pas
oublier que ces animateurs et chroniqueurs des médias ne sont pas des
scientifiques et qu'ils sont empêtrés eux-mêmes dans des problématiques
d'obéissance bien
décrites dans ce texte.
Il ne faut jamais oublier que les médias comptent beaucoup
sur l'un des plus grands défauts de l'être humain: sa mémoire s'efface trop
rapidement et est écrasée par la nouveauté. Par la "nouvelle". Ce qu'il fait
que la suite des actualités s'enchaîne à une vitesse telle que les médias
(et les gouvernements) ne sont jamais redevables
de rien! Ils ont fait une erreur? Dit quelque chose de faux? Pour eux, pas
grave, parce que c'est déjà de l'histoire ancienne. Il faut absolument arrêter cette
impunité, cette déresponsabilisation.
L'une de leurs méthodes les plus efficaces est de mettre intensément le
focus sur un autre sujet, ce qui fera oublier le premier sujet, l'important.
C'est la technique de l'écran de fumée. Par exemple, lorsqu'on devrait
parfaitement être concentrés sur les déboires des mesures sanitaires, on se
met à nous parler du péril du français, ou de la loi sur la laïcité. Ce
n'est juste pas le temps. Mais ça va faire oublier les mesures sanitaires
aux gens. C'est là cette technique je dirais assez malhonnête.
En effet, en n'y prenant pas garde, les vérités énoncées dans ce
texte vont s'effacer de votre mémoire dans quelques jours ou semaines
et seront remplacées par ce que les médias disent à l'unisson du
matin au soir si vous les laissez vous remplir. Ils pratiquent le
matraquage, ils martèlent sans arrêt les mêmes mots-clés. C'est pour ça que je suggère de
garder cette page web proche et la relire encore, quitte à en faire un outil
de référence,
et de faire de la "distanciation critique"
face aux médias. Et surtout, arrêter de les regarder sans esprit
critique. Arrêter de les regarder et les écouter tout court, en
fait, serait le mieux.
3. Totalitarisme et délire collectif
Rarement mais
parfois, il y a encore une éclaircie dans les médias. Voici une
entrevue rafraîchissante à l'émission "Bien entendu" du 30 décembre
2020 à la première chaîne de Radio-Canada
avec l'animateur Stéphan Bureau et Ariane Bilheran, née en 1978 et
diplômée de l'École normale supérieure, docteure en psychologie
clinique et psychopathologie, qui a enseigné à l'Université
Aix-Marseille et donné des conférences à l'Université de Montréal.
Ils y parlent du "totalitarisme étant le moment où le collectif
entre dans un délire paranoïaque" entretenu par le gouvernement et
les médias. C'est une entrevue extrêmement importante.
Mme Bilheran démontre concrètement que certaines des actions posées
par le gouvernement et les médias ces derniers mois entrent dans la
catégorie du totalitarisme.
Parlant de délire et de totalitarisme, le lieutenant-gouverneur
du Québec s'est inquiété de la tangente empruntée depuis mars 2020,
qui rapidement le 22 avril 2020 a publié un article où il dit que la
covid19 est dangereuse pour notre démocratie. Dans le texte, il dit
notamment : « Big Brother de 1984 de Orwell, il est chez nous, il est
arrivé. »
Un des marqueurs importants de l'installation d'une dictature
ou du totalitarisme est la censure des oppositions. L'une des oppositions ou
des agoras critiques de la société québécoise en 2012 sont les réseaux
sociaux, où les gens, parfois maladroitement, expriment leurs
critiques. Le 22 avril 2021, un article fait état du fait que le
gouvernement Legault "nettoie" les commentaires critiques sur ses pages :
https://www.journaldequebec.com/2021/04/22/des-messages-qui-critiquent-le-gouvernement-sont-effaces-sur-le-facebook-de-francois-legault
« Les monstres
existent, mais ils sont trop peu nombreux pour être vraiment dangereux ;
ceux qui sont plus dangereux, ce sont les hommes ordinaires, les
fonctionnaires prêts à croire et à obéir sans discuter. »
— Primo Levi, 1947
« C'est
tellement incroyable, je n'aurais jamais cru que j'aurais à me battre à
nouveau contre les mêmes personnes que j'ai combattues il y a 80 ans... »
— Vera
Sharav, survivante de l'Holocauste à propos des événements de 2020-2021
« Le
monde ne sera sauvé, s'il peut l'être, que par des insoumis. »
— André
Gide
3a. Des personnages médiatiques sont en train de
perdre le nord
Benoît Dutrizac a interviewé Éric Duhaime vers le 16
avril 2021. Dutrizac a tenu des
propos absolument dégueulasses. Il traite le gouverneur De Santis (Floride,
USA) de
réactionnaire mais à l'écouter on n'est clairement pas devant un
"progressiste".
Richard Martineau, ancien acolyte de l'autre (Dutrizac), a lui aussi été très
"démocratique" :
Sophie Durocher, la femme de l'autre (Martineau), poursuit la
tradition "démocratique" familiale. Avec la diaphane Caroline St-Hilaire,
ex-mairesse de Longueuil recyclée comme tant d'autres dans le tordeur médiatique, toujours parfaitement consensuelle :
Guy A Lepage avec Rachid Badouri avec Jean-Philippe Wauthier à
Bonsoir Bonsoir vers le 26 mai 2020 qui encouragent la dénonciation.
Rachid Badouri qui dit aux gens de "mettre un masque, fermer leur
"yeule" (gueule), ça va aller plus vite" (pour éviter la 2ème vague), vers le 21 juillet
2020, trois jours après l'entrée en vigueur de l'obligation (attention ça crie) :
Un autre "humoriste", Arnaud Soly, est aussi magnanime que Badouri quelques jours avant le 18 juillet 2020 (attention ça crie) :
Mario Dumont avec Jean-François Guérin le 15 mai 2020, a utilisé des mots
comme "en bas de la lie de l'humanité", "n'en laissez plus passer, si c'est
votre frère, votre beau-frère quitte à couper les liens dans la famille,
barrez-le sur twitter, sur facebook, dites-lui consulte, fais-toi soigner."
"Des gens qui vont pas bien." Jean-François Guérin, un autre diaphane, de
renchérir : "Qui ont le monopole de la vérité souvent, faut peut-être se remettre en
question des fois, ptsk."
C'est vraiment spécial parce que je croyais que ceux qui adoraient avoir "le
monopole de la vérité" en la "produisant" jour après jour, c'était justement
les médias. Et ceux qui ne se remettent à peu près jamais en question, c'est
justement... les médias.
Dumont a aussi écrit deux semaines avant, le 1er mai 2020, un texte où il dit
ceci :
"Mais les tragédies provoquées par ce damné virus sont trop
lourdes pour qu’on accepte de laisser courir, magasiner et travailler parmi
nous ceux qui refuseraient le vaccin.
Rouvrir Gagnon pour leur créer un habitat en circuit fermé ? Je blague à
peine. Dans le difficile équilibre entre libertés individuelles et
obligations envers la collectivité, le cas présent est extrême. [...]
Quelle patience aurons-nous pour le beau parleur qui dira non au
vaccin en jouant à l’intéressant informé ? Celui qui a lu sur internet une
histoire saugrenue sur le site d’un Américain détraqué qui écrit des
conspirations dans son sous-sol.
Apprendre que son voisin de bureau croit que la Terre est plate, ça
peut être comique. Apprendre que son voisin de bureau refuse le vaccin de la
COVID-19 dû à ses croyances bizarres, ça risque de moins bien passer."
Pour Mario Dumont, quelqu'un qui refuse le vaccin parce qu'il a des
appréhensions a des "croyances bizarres". Mario Dumont propose une
ségrégation, avoir des citoyens de seconde zone, et carrément d'ouvrir un camp de concentration (un lieu
isolé où on concentre des gens). Ces deux interventions de Mario Dumont
confirment que c'est une personne carrément dangereuse, et/ou délirante.
Yves Boisvert, de La Presse :
D'autres interventions dans les médias, tout aussi
préoccupantes, comme lorsque les intervenants médiatiques sont plus
catholiques que le Pape. Autrement dit, quand au lieu de tempérer,
critiquer, analyser, ils en redemandent, ils en veulent encore plus! Ils se font encore plus sadiques. Mi-avril 2021 avec les masques extérieurs, voici ce que ça donne avec
Sébastien Bovet, Françoise Boivin, Jean-François Lisée,
Pierre Moreau, Dimitri Soudas le 14 avril 2021 à Radio-Canada :
(La "lettre en F", c'est "frencher" (comme french kiss). Mme Boivin
pète un câble en appelant ça "la lettre en F".) Donc au diable les
considérations scientifiques, Bovet, Boivin et Lisée! "On va y aller avec le
gros bon sens, la simplification". On en a rien à foutre de la qualité de
vie des gens! "Ça peut aider, pis même si ça fait rien dans le fond, au
moins ça aura été préventif". Non! Qu'en disent les études? Qu'en dit la
population? Les gens sont PU capables! Cette belle brochette n'en a rien à faire.
Puis les autres délirants, qui parlant de "nouvelle normalité" (Sophie
Durocher), "civilisation post-covid", retour à la normale en 2025-2026 (le
médecin médiatique Karl Weiss) avec le très consensuel Patrice Roy,
avec à la carte fake news carabinée :
2025-2026... imaginez.
Mais c'est le genre de manipulation classique : par exemple, s'ils
veulent mener ça jusqu'en 2022, alors ils disent 2025 pour que 2022 semble
raisonnable. La vérité, c'est que même 2021 n'est pas raisonnable.
4. Analyse des médias, Noam Chomsky, conformisme
Voici ce que Noam Chomsky (que je n'aime pas
toujours mais là c'est cristallin) a à dire sur ces
chers médias (je traduis en français après l'image):
Toute la page est importante en fait, mais voici ma traduction de ce que j'ai souligné et entouré :
«Le truc est de ne
pas être isolé - si vous êtes isolé comme Winston dans 1984, alors
tôt ou tard vous allez craquer, et il a finalement craqué. C'était
là le point de toute l'histoire de Orwell. En fait...
...toute la tradition de contrôle de la population
est exactement ceci : garder les gens isolés les uns des autres,
parce que si vous pouvez les garder isolés assez longtemps, vous
pouvez leur faire croire n'importe quoi. Par contre, quand les gens
se mettent ensemble, alors toutes sortes de choses deviennent
possibles. [...]
Souvenez-vous que les médias ont deux fonctions
de base. L'une d'elles est d'endoctriner l'élite, de s'assurer
qu'ils ont les "bonnes" idées et qu'ils sachent comment servir le
pouvoir. En fait, habituellement les élites sont les plus
endoctrinées du corps social parce qu'elles sont celles qui sont
les plus exposées à la propagande et prennent part aux processus de
la prise de décision. Pour celles-ci, il y a le New York Times, le
Washington Post, le Wall Street Journal, etc. Mais autrement, il y a aussi les
médias de masse dont la fonction principale est juste de se
débarrasser du reste de la population - de les marginaliser et les
éliminer, comme ça ils n'interfèrent pas avec la prise de décision.
La presse qui remplit cette fonction n'est pas le New York Times ou
le Washington Post, mais plutôt les téléséries à la télévision, le
National Enquirer, le sexe et la violence, les bébés à trois têtes,
le football, bref ce genre de choses.»
Lorsque Chomsky parle des '"élites" qui sont les plus
endoctrinées, on comprend qu'il parle de cette caste de larbins
serviteurs du pouvoir. Ceux qui sont proches du haut de la pyramide,
mais qui pour bon nombre demeurent des outils. Les personnages
médiatiques font partie de ces "élites" décrites par Chomsky. Un de
leur point commun est souvent d'être partis d'une famille ordinaire
et faire maintenant beaucoup d'argent.
Les médias, au Québec, c'est quoi... deux-cent
personnes sur 8 millions et demi de personnes? Je veux dire, ceux
qu'on voit et qu'on entend à journée longue, surtout les journalistes, chroniqueurs
et humoristes (parfois les trois en même temps) Céline Galipeau, Guy A. Lepage, Mario Dumont,
Patrice Roy, Anne-Marie Dussault..., (les "A", comme Pierre Lapointe
les appelle...
...lors de son passage à Tout le monde en parle le 24 avril 2016) c'est à
peu près deux-cent personnes. Disons qu'en arrière, il y ait encore deux-cent
"journalistes" et chroniqueurs. Le reste, c'est des dépêches d'agences de presse
étrangères : Agence France Presse, Reuters, Associated Press (AP),
etc. C'est-à-dire que pour former l'esprit de 8,5 millions de personnes,
ça n'en prend qu'une infime poignée, en proportion.
Ça veut donc dire qu'on peut,
à leur insu, convaincre des millions de personnes qu'en majorité,
elles pensent ci ou ça. Si par exemple il y a un dysfonctionnement
majeur disons dans le système médiatique et qu'il dévie de
sa mission fondamentale d'informer rigoureusement et honnêtement au
meilleur de ses capacités, alors si les deux-cent s'y mettent fort, ils peuvent convaincre
des millions d'une inexactitude.
Ils peuvent donner l'illusion
qu'ils
constituent une opinion majoritaire, voire manipuler la représentation de la réalité. C'est-à-dire qu'ils peuvent
convaincre une majorité, malgré elle, qu'elle penserait en majorité
quelque chose alors que la réalité est tout le contraire. Comment
donc cette minorité ferait-elle ça?
En invitant systématiquement des gens qui disent à
peu près la même chose, et en n'invitant jamais, systématiquement
aussi, les gens qui disent tout le reste.
5. L'expérience de Solomon Asch sur le conformisme social
L'expérience de Solomon Asch (publiée
en 1951) en sociopsychologie est
vraiment révélatrice. Voici une courte vidéo sur le sujet.
Résumé de l'expérience : un participant doit répondre ce qu'il croit être
vrai, par exemple en donnant la longueur d'un trait sur une feuille. Il est
entouré de ce qu'il croit être d'autres participants. Ce sont des gens recrutés
par le chercheur qui sont payés pour mentir et systématiquement donner la même
réponse ensemble. Le participant sent rapidement la pression de la conformité
sociale, et finit par répondre comme le groupe aux réponses, en allant avec le
groupe, plutôt qu'avec sa conscience quitte à être en rupture avec le groupe.
Dans le cas par exemple des vaccins, ce serait qu'une personne se pose
des questions, mais face à ce qu'elle ressent être la pression de conformité
du groupe (où les "participants payés" seraient des personnages médiatiques
surtout), alors elle aura tendance à taire les objections légitimes qu'elle
aurait eu, comme : Oui mais, c'est une nouvelle technologie jamais utilisée,
c'est un vaccin encore expérimental, on ne sait pas ce que ça provoquera
dans le corps des gens d'ici des mois ou des années. C'est ça aussi
l'expérience de Asch, c'est en quelque sorte d'enfermer le participant seul
avec une gang de corrompus. Si le participant avait eu un complice qui avait
répondu comme lui, ça aurait été plus facile pour lui. Des complices comme
des médecins ou scientifiques, comme ceux que j'ai présentés dans cette page
web.
Dr. Louis Fouché connaît lui aussi l'expérience de Asch et a dit quelque chose de très beau à ce sujet
(sur les Gardiens).
L'expérience de Asch est donc une expérience de conformité (aveugle) au groupe social. Beaucoup de gens, comme on le voit dans
l'expérience de Asch, vont suivre ce qu'ils perçoivent être "la
majorité" des avis des médias, même si cette majorité, comme dans
l'expérience de Asch, est fausse: les gens sont payés pour donner la
même réponse dans l'expérience. De la même façon, la structure des
médias de masse est ainsi faite qu'il y a une "ligne de pensée"
indépendante des employés des médias qu'ils doivent suivre malgré
eux. Leur liberté de penser et leur authentique individualité ne
leur appartient plus, ils se confondent dans ce qu'ils perçoivent
comme une norme stricte et parfois tacite de leur groupe social.
Autrement dit, une bonne façon de se sortir de
ce trait de l'esprit grégaire humain est premièrement d'en prendre
conscience, et deuxièmement de se souvenir de cette phrase de Samuel
Langhorne Clemens, dit Mark Twain (1835-1910) :
"À chaque
fois que vous vous retrouvez du côté de la majorité, il est temps de
faire une pause, et de réfléchir."
Une autre phrase très à propos est celle-ci:
"Les gens ordinaires font des choses complètement folles quand les
choses complètement folles deviennent ordinaires" (c'est le titre
d'une chanson du groupe punk Propaghandi sortie le 6 février 2001:
Ordinary People Do Fucked-Up Things When Fucked-Up Things Become
Ordinary). Cessez d'être des gens ordinaires, maintenant!
Reprenez votre sens critique. Remettez les choses en question!
Cessez de donner votre confiance aveuglément à ce que vous
considérez l'autorité! Obéissance aveugle, autorité: ce sont des
concepts très limites en démocratie!
Je pense qu'il est maintenant temps d'appliquer
cet adage : "Incarne le changement que tu veux voir arriver
dans le monde" (en
anglais : "Be the change you want to see in the world.")
Autrement dit: il faut se changer soi-même pour que le monde change.
Je suis profondément convaincu que ce monde peut changer si les gens
changent eux-mêmes: arrêter d'être si passifs face au monde réel. Si les pharmaceutiques ont pu corrompre autant le système,
je crois que c'est parce que la plupart des gens sont littéralement
ignorants de ce qui se passe dans le monde réel. Ils sont hypnotisés
par des préoccupations secondaires: des téléséries de fiction
dont ils se gavent, des téléromans, des documentaires médiocres,
bref, du contenu largement abrutissant des grands médias (quand ce
n'est pas des émissions de cuisine, c'est des jeux télévisés ou des
téléréalités. Où sont les vrais débats? Les avis contradictoires?). Quand
les médias ne "divertissent" pas, leur plus
grande préoccupation est d'éteindre la pensée, endormir le
téléspectateur : "circulez - y'a rien à voir". Oui, les grands
médias. J'en veux pour preuve : s'ils faisaient vraiment leur job, tout ce que j'ai écrit dans mon
texte, tout le monde serait au courant. Au cas où ils l'auraient
oublié, leur job c'est être le 4ème pouvoir, par nature un
contre-pouvoir, qui surveille les trois autres pouvoirs (exécutif,
législatif, judicaire). Donc, si job était faite, la population serait au
courant, aurait une pensée structurée, serait capable de penser avec
nuance à
ces questions. Non. Actuellement, il y a rarement un documentaire-dilué par
ci par là, quelque chose de furtif, rapide comme un flash, qui fait qu'on s'indigne
pendant une heure le mardi ou le jeudi soir et après, ça s'évanouie dans
l'oubli du divertissement. Ça ne doit pas fonctionner comme ça, les gens doivent
prendre leur monde en mains. Et ce monde est situé dans le monde
réel et ses problèmes. Ils doivent pour de bon refuser de se
faire servir la soupe par les médias, refuser d'obéir, de rentrer
dans leur petite case de consommateur-passif, pour devenir un
citoyen-actif. On le sait, ce genre de dossier de corruption, quand on
laisse faire, ça se termine en queue de poisson après une commission
d'enquête qui dure une éternité. Rien ne change jamais, personne
n'est inquiété. Il n'y a jamais de responsable clair, et tout recommence
quelques mois ou années plus tard!
Les gens doivent se lever debout pour tenir les escrocs en respect,
et surtout, ne plus jamais arrêter de les surveiller et les
sanctionner. C'est en posant ce genre d'actions dans nos vies
personnelles, ce genre de choix, que je pense que ce n'est comme ça qu'on peut avancer.
Quelqu'un de normalement constitué ne se fait pas berner deux
fois en en redemandant. "Si tu m'exploites une fois, honte à toi. Si tu m'exploites
une deuxième fois, honte à moi." ("Fool me once, shame on you.
Fool me twice, shame on me.") Les gens doivent apprendre à ne
plus donner leur confiance à n'importe qui. Une fois qu'on se rend
compte qu'on a été berné, alors on n'y retourne pas: on ne redonne
pas notre confiance à celui qui nous a mené en bateau. Les médias ne
méritent manifestement plus notre confiance. Personnellement, eux et
moi, pour ce qui est de la confiance aveugle ou à peu près, c'est fini à vie. Lorsque je les consulte maintenant, c'est rapidement, du
coin de l'oeil, et seulement que pour les critiquer. Oui c'est vrai, il arrive
qu'il y ait de rares pépites comme un diamant égaré dans une bouse
de vache. On est entré au Québec dans un univers médiatique vraiment
malsain depuis la "convergence des médias" où Quebecor a racheté la
moitié des médias, où Radio-Canada est l'autre gros morceau, avec
l'empire Bell (qui a mangé Astral et TQS-V maintenant), et Cogeco ou
Corus de l'autre côté. Il ne faut pas oublier que même Le Devoir a
un temps été sauvé par Québécor (Source :
https://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/280782/la-naissance-du-devoir-inc) ! Je pense qu'il faut se rappeler
que ces empires corporatifs, et ces empires de subventions, ne
devraient pas avoir le statut qu'on leur donne dans nos têtes. À
l'époque, il y a longtemps, un média était financé par ses lecteurs
qui achetaient leur abonnement ou leur édition du jour en argent
comptant. Les lecteurs faisaient vivre le journal (avant que les
publicitaires éventuellement, eux aussi, se mettent à exercer des
pressions indues sur les rédacteurs en chef). Bref, c'était une
autre façon de voir les médias. Aujourd'hui au Québec, on voit nos
médias comme des "éternels", des structures qui ne peuvent plus
disparaître. Comme le journal Montréal-Matin (1930-1978), ou même le
Allô-Police (1953-2003).
Je pense que si un média devient pourri de
corruption, jusqu'à nous embobiner à longueur de temps, il est juste
logique que les lecteurs le désertent, et qu'il disparaisse. Bref ce
que je veux dire, c'est qu'il faut recommencer à avoir le gros bout
du bâton en tant que peuple et choisir nos médias. Et donc, choisir qu'on n'en écoutera
plus certains. Radio-Canada dit: "Il n'y a pas de diffuseur public
sans public." La réaction qui vient naturellement est: "Il n'y aura
pas de public tant que vous ne serez pas à la hauteur de votre
mission. On voit ce que vous faites." Être à la hauteur de la
mission, c'est inviter tous les experts et les gens qui ont une
opinion sérieuse (documentée, recherchée) sur les
plateaux, pas juste les experts d'un côté de la question. C'est
laisser libre cours au débat, le vrai, la libre expression, la libre
pensée, bref, celle qui fait qu'on échange des idées réellement
contradictoires, qu'on est pas d'accord du tout et que ça vient nous
chercher profondément. Pas un show en surface où tout le monde finit
d'accord à la fin parce que tout le monde était d'accord au début.
(Ah,
vous ne le saviez sûrement pas, parce que Radio-Canada fait l'omertà
sur ça, mais il y a un mouvement de citoyens qui demandent à Radio-Canada de faire un débat public sur
tout ce qui entoure le coronavirus où justement il y aurait les
experts (et même des citoyens sérieusement documentés) de tous les côtés (des gens comme Dr. Didier Raoult, Dr.
Louis Fouché), Radio-Canada refuse ce débat
public.)
Comme Dr. Louis Fouché l'a proposé dans son
"ordonnance" : il est temps de fermer la télé et le cellulaire, et
de se reconnecter aux humains. Ou du moins, dire NON!, refuser de se
laisser remplir sans discernement par les médias, reprendre sur nous
cette faculté de penser, d'être intelligents, de se poser TOUTES les
questions qu'on doit se poser, avec autant de nuances qu'il le
faudra.
6. Pierre Falardeau sur les médias
Il y a quelques années je n'aurais jamais cru dire cela,
et j'ai de la peine en le disant, mais les séquences suivantes sont une représentation
parfaite de la situation actuelle :
Dans le film Elvis Gratton 3 (2004), Gratton a fondé Télé-Égout
et a pu avec ses
amitiés avec Jean Chrétien et Paul Desmarais, mettre la main à prix d'ami sur
Radio-Canada, La Presse et une multitude d'autres magazines et médias. Dubuc est
selon moi un clin d'oeil direct à André Pratte, ancien éditorialiste de La
Presse (les deux se ressemblent beaucoup physiquement).
Ça me fait penser qu'en 2021, à "Radio-Cadenas", La Presse, Le
Devoir, l'empire Quebecor (Journal de Montréal TVA etc.), tout le monde à qui
est donnée la parole est ultra "pro-vaccin", "pro-mesures", pro tout ça. "5-0"
comme dit Gratton. Ce qui est de plus en plus inquiétant, c'est que de plus en
plus ils disent que ceux qui ne sont pas "alignés" sur ces diktats sont juste
"fous" ou "complotistes". Ils ne supportent plus la contradiction, pour eux tout
le monde doit marcher dans une pensée unique sans débat. Mais je vais en
reparler.
"S'agit de bien les choisir et les dompter jeunes. Y'a
toujours quelques-uns enragés dans le lot mais on arrive généralement à les
faire plier. Ceux qui se rebiffent on les casse."
"La qualité première d'un journaliste c'est pas
l'intelligence, c'est la capacité de marcher au pas."
"Pour les dompter, on s'assure qu'ils aient de la bouffe
en permanence dans leur écuelle. [...] Le fouet c'est nécessaire au début
seulement. Ensuite juste avec la bouffe, ils obéissent au doigt et à l'oeil.
[...] Font toutes les pirouettes demandées."
"Nommer les bonnes personnes aux bons postes".
"À partir de rien, on fabrique du solide, du réel, même à
partir du vide le plus abyssal."
"Pendant qu'on parle de ça [les jeux gay, etc. etc.], on a
le beau jeu si vous me passez l'expression de laisser dans l'ombre des
sujets comme les scandales à répétition autour de M. Gagliano, les
magouilles de la mafia, le monopole des compagnies de pétrole américaines en
Afghanistan."
"Si on n'en parle
pas, c'est que ça n'existe pas. C'est ça, le pouvoir des médias."
Cette phrase résume bien l'idée que les médias ont le
pouvoir de créer un monde artificiel qui n'existe pas si on n'y fait pas
attention, mais qui a l'air bien réel dans la conscience de leur public. La
seule façon de vérifier le caractère artificiel de ce monde inventé par les
médias, c'est avec des faits confirmés, comme ce que nous faisons dans ce
texte. En montrant qu'ils ne montrent pas ce qu'ils ne montrent pas, on les
disqualifie.
Sinon dans le dernier extrait, on comprend que dès 2004 Falardeau critiquait déjà la
montée lentement mais sûrement du mouvement "woke" et l'une
de ses "utilités" dans le
débat public : occuper l'espace médiatique, occulter le reste. Tout le monde en parle, ce qui fait qu'à côté de ça, il y a
une foule de choses dont on ne parle jamais.
"Ça fait des années qu'on est dans marde. [...] Est dans ta
tête la marde."
"Ta caméra est plein de marde, ton micro est plein de
marde, pis toi avec té plein de marde."
"La TV le câble le satellite cé juste d'la marde. Toutes
vos journaux vos radios vos magazines là, c'toute d'la coliss de marde. Tout
c'que vous faites cé d'la marde. C'que vous dites cé d'la marde c'que vous
montrez cé d'la marde de l'asti de marde du matin au soir 24h par jour 7
jours par semaine 365 jours par année cé d'la marde en canne criss d'la
marde en bâton d'la grosse marde en spray. Une osti de montagne de marde."
"Ce qui est rassurant, c'est qu'un jour vous allez crever
dans votre marde. Vous allez vous neyer dedans. Vous allez mourir étouffés
par votre propre marde."
C'était donc des extraits du film de Pierre Falardeau
(Elvis Gratton 3, 2004) avec Julien Poulin.
7. Suggestions et bouffées d'oxygène
"OK mais... on va faire comment pour écouter les nouvelles?"
Bonne question, mais il faut aller sur Internet. Multiplier les sources
d'information, remettre en question ce que les gens vous disent, demander
des sources. Par exemple moi maintenant, disons si j'écoute une émission de
média traditionnel, à chaque sous-sujet je me demande en quoi la tournure du
sujet pourrait être propagandiste.
Il faut aller sur des sites ou des "comptes" qui
présentent toute l'information, pas une version édulcorée ou biaisée de
l'information. (Je suggère de boycotter les GAFA apple, facebook (et instagram), twitter et
youtube (de google) amazon, parce qu'ils sont tombés ces derniers temps dans une
censure de l'information et on ne doit jamais, jamais accepter ça, sinon
c'est la fin de notre liberté de nous exprimer et de penser.)
Vous pouvez venir sur mon site (www.lecture-importante.com). Je vais continuer les
mises à jour périodiquement.
Je vais tenter de faire une liste de ressources en ligne à
consulter pour mieux s'informer.
Je peux déjà en donner quelques-unes maintenant à
consulter périodiquement :
Je suggère aussi de se tourner vers des documentaires
sélectionnés. (S'éloigner le plus possible des documentaires qui ne sont pas
indépendants, en tout cas rester vigilant)
Voici des
documentaires à écouter absolument, ce soir tout de suite maintenant
et avec un carnet pour noter les informations importantes ! Dès que vous
pouvez, cliquez dessus pour aller écouter. Peu importe ce que vous avez pu
entendre sur ces documentaires, la majorité est fausse pour vous
désintéresser de les écouter. Écoutez-les, en silence, attentivement, avec
une feuille et un crayon. Ces documentaires font appel à un grand nombre de
personnalités. Ce qui est important, c'est de rester attentif aux arguments,
aux idées, et rester critique.
Je suggère aussi de lire des livres en papier. Plus c'est
vieux, mieux c'est.
Si vous voulez écouter des divertissements mais qui vous feront aussi
réfléchir, je vous conseille ces films :
V pour Vendetta (2005, couvre-feu, pouvoir central autoritaire,
virus, notre monde
ressemble dangereusement à ça en ce moment)
La constance du Jardinier (2005, histoire vraie, corruption
des compagnies pharmaceutiques Pfizer et Apotex)
La Matrice (la trilogie, sujet monde faux / monde réel)
Terminator 2 (1991, sujet robots et IA)
Erin Brockovich (2000, tiré d'une histoire vraie sur de la
corruption corporative et de la dissimulation de preuves sur
l'empoisonnement de toute une population)
L'avocat du diable (1997, un jeune avocat arriviste, assoiffé
par l'argent et l'ascension sociale, finit par raser de vendre
littéralement son âme au diable)
Demolition Man (1993, société "utopique" qui est finalement un enfer
sur terre, passé sur les ondes de Télé-Québec en 2020)
i Robot (2005, sujet robots et IA)
Idiocratie (2006 sur le crétinisme, ressemble beaucoup à où on
est rendus en ce moment)
Le Seigneur des Anneaux (la trilogie)
2001 l'odyssée de l'espace (1968, le monolithe, et quand une
IA déconne)
La belle verte (beau film français, belles leçons, années '90)
Amélie Poulain (film français, 2001, beau film sur l'altruisme et la bonté
et la belle vie)
1984 (film de 1984, tiré du livre de George Orwell de 1949)
Élysium (2013, dystopie où les ultra-riches règnent
sur la planète à partir d'une station orbitale en forme de pentacle)
Bienvenue à Gattaca (1997, dystopie eugéniste/génétique où il
y a deux classes d'humains, les modifiés ayant les privilèges, et les
naturels, laissés pour compte.)
À la poursuite de demain (Tomorrowland) (2015,
Disney, il n'y a pas qu'un futur sombre possible.)
Les femmes de Stepford (1975 ou 2004, dystopie technologique
dans une communauté fermée)
Antitrust (2001, film sur de jeunes programmeurs qui
finissent dans une grosse corporation, où il se passe des choses
"étranges". Plusieurs critiques ont vu dans ce film une allusion directe
à Microsoft et Bill Gates, - que certains appellent Micro$oft -
aux pratiques concurrentielles discutables)
La famille Jones (2006, cette famille a quelque chose de très
étrange. L'apogée du concept "quasi-social" et de l'horrible cauchemar
du néolibéralisme où vraiment tout se marchande.)
La plupart de ces films ont quelque chose en commun. Ils
décrivent parfois des histoires vraies, parfois des univers de fiction, mais
tous sont très, très proches d'une façon ou d'une autre de notre monde
actuel, soit parce qu'ils le décrivent presque exactement, soit parce qu'ils
sont de graves mises en garde à ne pas ignorer.
Quand on fait une recherche, la question du pourquoi est la plus difficile des
questions entre le "quoi", le "comment", le "quand"
et le "où". Le "pourquoi"
est la pire des cinq questions parce qu'elle est plus abstraite. Elle implique
des motivations personnelles, et il faut nécessairement demander directement à la
personne ou l'organisation (et avoir confiance en cette personne ou
organisation qu'elle nous dise la vérité), donc le vrai pourquoi, la vraie
raison. Si cela n'est pas possible, il est aussi possible d'hypothétiser le pourquoi, quand on
ne peut pas demander à la personne ou l'organisation. En logique, c'est avec
le raisonnement par abduction : qu'est-ce qui serait le plus plausible,
en se basant sur des éléments fiables qu'on possède déjà ? De la même façon que l'abduction
est utilisée en médecine pour établir un diagnostic, on peut l'utiliser en
sociologie, etc. Il faut cependant avoir des faits fiables sur lesquels se
baser en pour établir la cause la plus vraisemblable.
Alors "pourquoi le gouvernement fait ce qu'il fait" ? La question la plus criante que je me pose souvent depuis
des mois en observant la situation aller, c'est : est-ce qu'il y a un
gouvernement au Québec ? En effet, j'ai souvent l'impression que notre
triumvirat (notre "aigle à trois têtes") n'est qu'un fusible, un relais de transmission de
directives qui viennent d'ailleurs (instances de décision
internationales/transnationales, dont l'ONU et autres). Je n'ai pas l'impression qu'on a un
gouvernement qui décide vraiment au Québec : c'est-à-dire qui pourrait
réellement dire librement soit oui soit non à telle ou telle mesure
si démocratiquement c'était la volonté. C'est
plutôt comme un poisson mort qui va et vient au gré du courant mondial. J'ai plutôt
l'impression d'une équipe qui copie tantôt en
France, en Ontario, en Californie, à New York, en Allemagne, en Angleterre.
Je sais en tout cas qu'il n'y a plus vraiment de députés ni de parlement
parce que quand ça, ça existe, il y a des débats et des gens en désaccord et ça,
ça n'existe plus en ce moment. Ils sont tous en rang, bien dociles. Il n'y a
qu'un exécutif avec des décrets. Et à la tête de cet exécutif, Legault. Qui
est à la tête de Legault?
Je ne peux pas m'empêcher de penser à des articles sur Legault, qui s'est
fait immensément critiquer par d'autres politiciens avant qu'il prenne le
pouvoir, comme des mises en garde :
François Legault lui-même avait dit de la CAQ que ce serait le parti d'un
seul mandat et qu'il quitterait le pouvoir après un mandat.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/528393/francois-legault-outaouais
Fait intéressant : Macron en 2017 a dit la même chose que Legault.
Comme quelqu'un qui a une job à faire pour ensuite se tailler
rapidement.
Alors s'il y a une once de vraisemblance dans les propos de deux anciens
premiers ministres, Landry et Charest, on pourrait se
demander si Legault est un arriviste (qui veut se
rendre au sommet à tout prix, pour se rendre au sommet), dans un ego trip
d'ambition, et qui peut poser des gestes brutaux et radicaux. Très mauvais
pour nous et pour la démocratie québécoise. Un arriviste, pour monter,
cherche à plaire à ceux à qui il faut plaire pour monter, c'est logique. Legault serait donc surtout bon à plaire aux pouvoirs des coulisses et des
lobbys.
Il y a d'autres institutions de la société québécoise qui
pourraient débattre, émettre des critiques, analyses, réserves, objections,
comme par exemple le Collège des médecins. Mais niet, comme ce
docteur retraité le dit dans cet article du 29 mars 2021 (je n'aime pas La Presse mais
exceptionnellement elle a publié un texte de Robert Béliveau (attention de
ne pas confondre avec le médecin-médiatique Richard Béliveau ! Pas du tout
la même chose.), un médecin retraité qui a de l'allure
donc voici) :
https://plus.lapresse.ca/screens/b70dbbd5-4ad6-4cc6-8614-cfac48066d81__7C___0.html
Voici une entrevue radio du 30 mars 2021 de ce même docteur Robert
Béliveau :
Dr. Robert Béliveau a cité cette étude du New England
Journal of Medicine du Dr. Cohen en 1991 sur l'effet du stress sur
l'efficacité des défenses immunitaires et sur le fait que des gens stressés,
lorsqu'ils croisent le virus de la grippe, ont plus de chances de tomber
malades (les autres ont plus de chances de ne rien développer) :
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM199108293250903
Tant que le pouvoir legauïste exerce ses décrets sans le
moindre contre-pouvoir, alors pourquoi quoi que ce soit arrêterait ? Chaque
semaine, ils nous sortent de nouveaux éléments, des nouvelles raisons de toujours plus reconfiner.
Pourtant quand on regarde les mesures qui ont court dans le reste du monde,
le Québec est un ilôt où la vie est arrêtée, où une immense portion des gens
est dans une psychose hypnotique, pendant qu'ailleurs, eh bien, on vit.
Juste penser ça me rend malade. Ce n'est pas ce genre de société distincte
que je voulais, cette société du pire des politiquement corrects et d'un
gouvernent tellement préoccupé par notre sécurité que c'est en train de nous rachever toute la gang.
Le gouvernement refait la même
chose qu'avec la grippe H1N1 en 2009
"La folie est de toujours
se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat
différent."
– Albert Einstein
Pourquoi cette
phrase de Einstein ? On va le comprendre dans un instant. Dans un article paru dans le Journal de Québec le
8 février 2010 intitulé "Fausse pandémie et conflits
d'intérêt", dans lequel on peut lire ceci:
«Des
experts québécois et européens accusent l'Organisation
mondiale de la santé (OMS) d'avoir exagéré l'importance de la grippe
A (H1N1) et d'avoir favorisé volontairement l'enrichissement de
l'industrie pharmaceutique.
Nullement épargné par cette controverse,
le gouvernement du Québec
est blâmé d'avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.
Dans une
étude parue lundi dans le
magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de
l'éclosion du virus, l'OMS aurait allégé sa définition de pandémie,
laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui
auraient profité de cette «hystérie pandémique»
«C'est cette modification qui a rendu
possible la transformation d'une banale grippe en pandémie
mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang
Wodarg,
épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de
l'Europe.»
Selon Pierre Biron, ex-professeur de
pharmacologie en médecine :
Voici un article du 2 septembre 2010 publié dans La Presse
intitulé : "A-t-on crié au loup pour rien?".
Extrait :
Et il était temps, car plus on regarde les bilans mondiaux,
plus on réalise que notre campagne coûteuse et générale était
en fait exagérée. La France, qu'on peut citer en contre-exemple, a en effet
adopté une attitude totalement différente en laissant ses
citoyens choisir eux-mêmes s'ils voulaient se faire vacciner, ce
qui fait que seulement 10% de la population l'a été.
Et y avez-vous observé une déferlante de décès évitables?
Non.
Ce qu'on voit plutôt en Europe, en ce moment, ce sont des
interrogations au sujet des vaccins et de leurs effets
secondaires. [...]
Cela n'empêche personne, toutefois, d'avoir l'humilité
d'admettre aujourd'hui, collectivement, qu'il y a eu un
élément de panique dans notre réaction. Le gros bon sens, admettons-le, a parfois été écarté.
Et bien des appels au calme qui auraient dû être lancés ne l'ont
jamais été. Appels au calme et nuances, aussi. [...]
Car en réagissant aussi fortement devant une maladie qui
n'a jamais été aussi grave que prévu, les autorités de la santé
publique ont perdu, malheureusement, un peu de leur force
d'impact auprès du public. Et le cynisme, lui, s'est trouvé de
nouveaux clients.
Comme dans la bonne vieille histoire du gars qui criait au loup
trop souvent.
Le Devoir a publié le 12 juin 2010 un texte intitulé : "Pseudo-pandémie
d'A(H1N1), alarmisme et gaspillage de fonds publics.", où il est écrit :
"Plusieurs scientifiques, surtout en Europe, ont
sévèrement critiqué cet alarmisme: l'ancien
patron de la Croix-Rouge française, Marc Gentilini, a parlé d'une
«pandémie de l'indécence». Plus récemment, la gestion de ce
dossier par l'OMS a été durement critiquée dans un éditorial publié dans
le British Medical Journal
et dans un rapport déposé le 4 juin dernier à l'Assemblée parlementaire
du Conseil de l'Europe. En présentant ce rapport,
le député britannique Paul Flynn
a affirmé que «cette pandémie n'a jamais vraiment existé». [...]
Médiatisation indécente
Selon la firme Influence Communications, le poids médias de cette grippe
fut en 2009 de 6,7 % au Québec, de 2,4 % au Canada et de 1,4 % dans
l'ensemble de 159 pays. Presque 7 % des nouvelles, pendant un an, c'est
énorme et sans précédent dans le domaine de la santé!
On a eu droit à une
médiatisation indécente de la mort de toute personne infectée par
l'A(H1N1) 2009, comme s'il s'agissait du seul agent infectieux en
circulation au Québec. On a
assisté à une psychose collective qui a été alimentée par la Direction
de la santé publique, qui tenait à la réussite de sa mégacampagne de
vaccination. Les médias, pour la plupart, ont agi comme des
amplificateurs d'une perception du risque totalement déformée: c'était
comme si la mort venait d'être inventée!"
Personnellement, j'ai l'impression de lire un texte qui aurait pu être
écrit ce matin. Vous ?
Alors, pourquoi tout ça ? Pourquoi avoir déclenché une fausse pandémie ?
Pourquoi le gouvernement du Québec et du Canada ont-ils suivi comme des
petits chiens de poche ?
Juin 2013 : Un article de recherche intitulé "Risques
sanitaires et crises politiques au Canada : La pandémie de H1N1, les
politiques de santé publique au Canada et la gouvernance globale de la santé" publié par le chercheur Gabriel Blouin Genest de
l'Institut québécois des hautes études internationales en juin 2013 met le
doigt sur le bobo.
Le bobo, c'est le Règlement
sanitaire international adopté en 2005 (https://www.who.int/ihr/9789241596664/fr/), donnant depuis des pouvoirs
extraordinaires à l'OMS. Non seulement ce nouveau règlement permet de
déclencher une pandémie avec des critères beaucoup moins stricts qu'avant
2005, mais il permet aussi à l'OMS d'exercer un pouvoir démesuré sur les
décisions des États-nations. Voici quelques extraits :
Voici un segment de l'émission de radio "Bouchard en parle" de 2010 qui fait un retour sur le
fiasco de la fausse pandémie de grippe porcine A(H1N1) :
En 2009, lorsque ce fiasco est arrivé, Yves
Bolduc était le ministre libéral de la Santé au Québec. Voici Bolduc
avec son bras droit :
Et oui. Horacio Arruda, en 2009. Encore lui,
celui qui permet au gouvernement d'agir en "légitimité scientifique",
celui dont la responsabilité dans l'action est engagée au plus haut
point. Celui qui rend tout cela possible, la courroie de
transmission. Alors si Einstein a raison et que la folie est de se
comporter de la même manière et attendre un résultat différent, alors
on a un beau cas de figure au Québec. Ce qui s'est passé en 2009,
dans toute son exagération, a passé par Arruda, par les politiciens,
et aussi par des médias à la botte. C'est-à-dire qu'ils n'ont fait
que relayer docilement le message sans distanciation, sans
s'arrêter, prendre une grande respiration, réfléchir, se poser
de questions, quitte à faire différemment. Tout a coulé tranquillement avec ce que l'on sait
maintenant, une "pandémie" en 2009 qui a été surestimée, qui a coûté
très cher, et a surtout occasionné un branle-bas de combat inutile
coûteux et souffrant pour pas grand chose. Étant donné que depuis 2009-2010
on n'a pas modifié le système pour qu'à l'avenir on s'épargne ce
genre de débordements, alors il n'y a absolument aucune raison de
penser que ça ne recommence pas! Qui plus est, en gardant des gens
comme Arruda aux commandes, le cirque de 2009 ne peut que revenir,
c'est Einstein qui le dit !
Parlant de Arruda...
Je sais aussi que la "pin" (épinglette) que Arruda arbore avec fierté
depuis le tout début sans à peu près jamais y déroger est vraiment plus que suspecte.
J'y vois un "statement" certain. Elle représente les "Buts globaux du
développement durable de l'ONU" signés en 2015. C'est une référence au
pouvoir de l'ONU, pas au Québec, et ça n'a directement rien à voir avec
l'OMS ou la santé publique, et c'est pour ça que la question se pose. Mais je
vais en reparler.
Pour ceux qui pensent que les gouvernements occidentaux
sont des gentils nounours inoffensifs qui ne veulent que le bien de la
population, et bien, c'est faux.
Pour ces personnes, vous ne connaissez sans doute pas ces
faits :
- L'expérience MK-Ultra de la CIA qui s'est déroulée en
partie à l'université McGill à Montréal au Québec. MK-Ultra était un
programme secret qui a enrôlé de force des gens pour faire des expériences
sur le contrôle mental, la programmation mentale, le brainwashing (MK
pour Mind Kontrol, aussi appelé le projet monarque.)
(Voir aussi les films: The Manchurian Candidate
(2004) ou Salt (2010))
- L'expérience de Tuskegee aux États-Unis. De 1932 à 1972,
600 hommes noirs ont été enrôlés dans une expérience supposée durer 6 mois
au début, qui a finalement duré 40 ans. La Santé publique leur a
menti en leur cachant qu'il existait un traitement efficace dès 1947, les
observant aller à leur mort jusqu'en 1972.
- L'opération Northwoods en 1962 : Le Joint Chiefs of
Staff de l'armée américaine avait envisagé de couler (donc abattre) un bateau plein de
Cubains,
orchestrer une campagne de propagande de peur dans la région de Miami en
parlant de terroristes communistes, tout ça pour avoir une justification
pour une intervention militaire à Cuba.
Il y a beaucoup d'autres cas de ce genre dans l'histoire
récente, mais je ne ferai pas une liste exhaustive, je voulais juste montrer
quelques exemples avérés et bien réels pour étayer mon affirmation. Ceci n'a
strictement rien de farfelu et c'est tout ce qu'il y a de plus sérieux. Ça
ne date pas de l'an passé mais les gouvernements n'ont pas du tout été
"purgés" de ce genre de pratiques depuis 50-60 ans et leurs méthodes, s'il
en est, n'ont pu que s'affiner à ces niveaux-là. En fait, il n'y a
absolument aucune raison logique pour que ces pratiques se soient arrêtées
d'elles-mêmes. Les exemples ci-haut visent
des civils sur les territoires du Canada et des États-Unis. Autrement, un
exemple militaire plus récent qui me vient spontanément sont les prisons
secrètes de la CIA ou le scandale des tortures odieuses de déshumanisation à
la prison militaire américaine de Abou Ghraïb en 2004 en Irak.
N'oublions pas que pendant que ces opérations souvent top
secrètes ont cours, la population qui en souffre n'en sait la plupart du
temps absolument rien. C'est des années plus tard que les documents sortent,
quand le mal est fait depuis longtemps. Et ceux qui saventpendant
que ça se passe, pendant que c'est le moment de faire quelque chose dont qui
ont un pouvoir d'arrêter ça, se font appeler "complotistes".
Tout ça a été fait soit directement par le gouvernement,
par la santé publique elle-même, et par des universités prestigieuses. Arrêtez
de croire qu'il n'y a que des nounours gentils au gouvernement et qu'ils ne
veulent que votre bien. C'est le plus grand des cadeaux que vous pourrez vous
offrir depuis longtemps.
Alors en conclusion,
Imaginez si le vaccin ne marche pas, le vaccin n'est pas
sécuritaire, le masque ne fonctionne pas, le masque peut être nocif, le couvre-feu ne
sert à rien, même le confinement ne marche pas, le test-covid produit
des faux cas, les asymptomatiques ne sont pas dangereux, les
big pharmas corrompent, il existe des médicaments qui aident, la grippe a
"disparu", les hôpitaux sont sur le bord de s'effondrer depuis des
décennies, le passeport vaccinal était planifié à notre insu, les médias
sont soit des vendus ou des idiots...
Alors en tant que peuple, ça commencerait pas à être le
temps de faire quelque chose ? Genre, se sortir la tête du sable ? S'impliquer?
C'est Legault lui-même qui le dit vers l'an 2000 :
Voici un résumé des promesses brisées et mensonges
perpétuels de Legault :
Voici ce que l'humoriste Fabien Cloutier disait en entrevue en 2016. Je trouvais sa phrase très à propos en cet instant.
On ne peut plus accepter ça sinon on ne s'en sortira plus
jamais. On doit rapidement se mobiliser et arrêter cette folie. Qui dure
pour certains points depuis trop d'années. Comment on a pu laisser faire
ça en restant aussi passifs ? Les émissions genre America's Got Talent
(et toutes les autres) nous ont bien endormis hein!
Nous devons arrêter direct ce cirque.
Ce que nous devons faire concrètement, par étapes :
Nous devons accepter, dans notre propre esprit,
personnellement, que notre monde est pourri de corruption
Nous devons barrer les
médias de nos vies, parce que c'est eux qui sont responsables de nous
donner une version des faits qui est tronquée, biaisée, mensongère, qui
dissimule, et qui finit par nous endormir tranquillement mais sûrement
Nous devons réapprendre à
être des citoyens vigilants et libres, arrêter de nous complaire dans
des émissions de télé, de radio, ou de magazines et livres qui nous
rendent stupides et nous empêchent de réfléchir
Nous devons nous mettre
ensemble et agir collectivement, nous devons jaser ensemble même si nous
n'avons pas tous les mêmes idées, nous devons confronter nos idées,
chercher la vérité, être ouverts aux autres idées, rester rationnels
mais aussi empathiques et altruistes et accepter que personne n'est
parfait et n'a la vérité absolue
Il faut absolument arrêter de chercher ce qui nous
divise entre nous au Québec. Nous devons nous unir pour dire NON à tout
ça
Ensuite nous devons définir un plan de sortie.
Et le meilleur plan pour se sortir de tout ça est comme je
l'ai dit d'abord de changer nos mentalités d'humains serviles et obéissants,
sans courage, et comprendre où notre monde est rendu en ce moment. Ce qu'est
la réalité ! Tant qu'autant de gens vont continuer à "dormir" (être ignorants de tant de
morceaux de la réalité), ça bougera jamais.
Un des plus gros problème des gens qui ne dorment pas (ceux qui savent
plus de faits que les autres sur notre monde), c'est qu'ils gardent ces
informations pour eux-mêmes et n'osent pas en parler à leur entourage,
souvent par manque de courage pour éviter la confrontation. On s'entend que
ça à partir de tout de suite, C'EST FINI !
C'est super grave ce qui est en train de se passer ! Si vous avez des infos
cruciales : partagez-les, oui sur Internet mais surtout dans le monde réel à
des vrais gens que vous côtoyez ! MAINTENANT ! Parlez-en à vos
parents, vos enfants, vos frères vos soeurs, vos oncles vos tantes, vos
amis, vos collègues. "Là faut qu'on se parle j'ai quelque chose de vraiment
important à te dire et ça peut pas attendre." Avec des sources sérieuses,
pour être audible !
Et avec des photocopies et des DVD aux gens qui n'aiment pas les ordinateurs.
Il est temps d'en finir avec ça, il faut briser cet espèce
de barrage
qui existe entre nous tous, il faut libérer les eaux. Il faut que chaque
personne qui soit éveillée à ces réalités se tienne debout et dise haut et
fort ces réalités à ceux qui ne veulent rien savoir sur rien de rien. Il faut
dénoncer, il faut crier. Sources à l'appui ! Il faut le faire avec beaucoup
de sérieux, et beaucoup d'honnêteté. Il faut surtout arrêter d'être
indulgents avec nos proches qui veulent se vautrer dans l'ignorance crasse
des problèmes de notre monde, qui disent que ça ne les intéresse pas. On est
tous concernés, on a tous besoin de s'impliquer maintenant. Pas dans 10 ans.
Il faut montrer aux "dormeurs" que "c'est eux qui vivent
dans un putain de rêve". Je tire cette phrase de ce film :
Sarah Connor dans le film Terminator 2 (1991), où
effectivement, c'est elle qui a raison mais se fait enfermer en psychiatrie
pour ça. C'est elle qui a raison.
Si vous n'avez pas encore acquis la certitude que les
sources que j'ai présentées dans ce document sont vraies et démontrent qu'on
vit dans un cirque, alors relisez mon texte. Au complet.
Évidemment :
tout ça
doit se faire absolument sans violence. La violence (symbolique et
physique) est systématiquement utilisée
contre nous le peuple par l'État.
Enfin, ce qu'il faut faire, après avoir compris
mentalement ce qui arrive, c'est reprendre notre liberté collectivement,
sans demander son reste à MM. Legault-Arruda-Dubé. Comment? Ça ne peut pas
se faire sans une adhésion massive et collective.
Il faut qu'une immense partie des gens, après avoir cessé
d'écouter aveuglément les médias et leur campagne de peur, refassent des liens sociaux entre eux. C'est-à-dire qu'un nombre immense,
massif de gens :
vont sortir de l'emprise des médias et vont
s'informer autrement à partir de maintenant
vont développer une vigilance accrue et permanente face au
gouvernement, aux médias et aux pharmaceutiques
ne vont pas accepter ce vaccin expérimental
Ça c'est la première étape du plan de sortie. D'abord,
réveiller le monde. Ça doit se faire maintenant par contre. La suite du plan
viendra après.
Si MM. Arruda-Legault-Dubé veulent continuer leur cirque
de la peur et du contrôle absolu, grand bien pour eux.
Qu'ils se rendent donc compte que leurs
conneries sont en train de nous tuer de toute façon. À moins que ce soit ça
qu'ils veulent ? Avec toutes les informations que j'ai amassées, je suis rendu que je pourrais penser
que c'est une hypothèse pas si folle que ça.
La seule façon de gagner l'adhésion massive des gens est en leur
présentant des arguments fondés, sourcés, logiques. Ne pas faire dans
l'émotif, dans l'égo. Rester dans les sources, les arguments, et aussi le
raisonnement abductif : identifier les failles et les incohérences
pour montrer l'absurdité de la situation.
Ensuite il n'y aura qu'à déterminer une date où on recommence à vivre
comme avant... mais en version plus solidaires et humains les uns des
autres.
Il faut réveiller nos entourages pour de bon.
Allez. Au travail. Aujourd'hui.
Moi dans cette histoire ce n'est pas très important, ce qui est important
c'est les grands noms scientifiques que je cite et leurs argumentaires.
Mais en gros :
Je suis diplômé universitaire des cycles
supérieurs (les cycles sup. = maîtrise/doctorat).
J'ai eu des cours de santé publique, d'éthique de la
recherche scientifique, d'épistémologie de la recherche, des formations
en recherche documentaire (rigueur dans le choix des sources), de
biologie dont biologie humaine. Je me suis pleinement impliqué dans mes
études et j'ai acquis une pensée critique totale. Je questionne tout et
je fais bien attention pour ne pas tomber dans des dogmes ou des
paranoïas. Le critère de démarcation (falsifiabilité de la science) est une de mes
boussoles.
Je ne suis affilié à rien
: aucun parti politique, aucune
association, aucune organisation. La seule chose que je veux au fond,
c'est le bien de mon peuple. Et des autres peuples.
Je suis très, très loin
d'être riche. J'ai en ce moment un petit boulot à temps plein sans lien
avec mon diplôme qui me vole beaucoup de mon temps, m'empêchant donc de
mettre mes énergies à la bonne place.
J'aimerais vous inviter
à réfléchir au fait que des gens comme moi mettent des centaines
d'heures (plus de 500 à date sur ce site) gratuitement à travailler
d'eux-mêmes sur des projets comme cette page web. Je pense que le fait
que des gens comme moi (diplômé et intellectuel) aient tant de
difficulté à survivre économiquement n'est pas étranger au climat
absolument toxique, médiatiquement et intellectuellement, de
l'époque actuelle où, pour avoir un bon salaire, il faut être stipendié
par le gouvernement ou les grosses corporations et alors dire des choses
qui vont dans leur sens quitte à piler sur notre intégrité. "On a les
'élites' qu'on mérite." C'est pour ça que le peuple doit absolument
encourager financièrement de son argent personnel les gens
"intellectuels", pour leur acheter l'indépendance de penser et de dire
les choses.
Aidez-moi, aidez-nous tout le monde, en partageant cette
page web, ou les informations de cette page web. Recopiez-les, vérifiez-les,
recoupez-les, bref, les gens doivent être mis au courant car... ce qui m'a poussé à mettre toutes mes énergies à créer ce site et écrire ce texte, c'est
que les gens connaissent les documents des médecins et des scientifiques qui
disent que ce qui se passe n'est pas exactement ce que notre gouvernement et
nos médias en disent. Les gens ont le droit d'avoir toute l'information, pas
seulement "une version de l'histoire", et "ils ont le droit d'être intelligents"
(comme le dit le Pr. Raoult).
(Comme il y a deux côtés à une médaille, il y a deux côtés -et plus- à une
histoire. Always two sides to a story.) Le Québec (et la France, les USA) sont des endroits où
le peuple est souverain et libre. Il n'y a pas de roi ici, les députés ne sont pas
nos boss et ils ne sont que nos représentants (ils nous représentent,
nous et nos intérêts).
Et puisqu'ils nous représentent si mal ces derniers temps, il faut se lever,
et le dire. Et surtout, surtout, quand on a des sources sérieuses pour le
démontrer.
"Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : polissez-le sans cesse et
le repolissez ; ajoutez quelquefois, et souvent effacez."
- Nicolas Boileau, L'Art poétique
(1674)
J'ai relu des dizaines de fois mon texte, à tête reposée.
Toutefois, je reste humain donc imparfait, alors si vous avez croisé une
information inexacte, une faute de français, ou vous pensez qu'une de mes analyses est
tendancieuse, alors s.v.p. dites-le moi en me montrant le passage de mon texte et la
source concernés, avec votre argument logique. N'oubliez jamais que parmi
les centaines d'informations contenues dans ce texte, si l'une d'entre elles
n'est pas exacte, cela n'annule pas les autres. Je réitère quand même que
selon mes recherches rigoureuses, toutes les informations montrées ici sont exactes.