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Imaginez si...

 

Dans cette section  :

 

1. Il existe des effets secondaires graves ET des décès

Le gouvernement et les médias veulent convaincre la population que des effets graves post-vaccinaux sont si rares dans la population, que leur message est à peu près: "ça n'arrive jamais, ou si rarement que vous n'avez rien à craindre, donc venez vous faire vacciner !" C'est pourtant faux parce que ce n'est pas vrai qu'il n'y a rien à craindre. Certaines personnes sont mortes après avoir pris le AstraZeneca, mais aussi le Pfizer-BioNTech et le Moderna. Certaines autres vont développer des maladies chroniques ayant un impact sur le restant de leur vie. Certaines personnes ont vu leur vie basculer après le vaccin, et leur témoignage indique qu'elles pensaient que les effets secondaires graves n'existaient pas, qu'elles pensaient que ça ne pouvait pas arriver. En ce sens, elles ont été mal informées.

 

Voici un document qui vient du Centers for Disease Control (CDC) et de la Food and Drug Administration (FDA), le régulateur américain qui approuve les vaccins et les médicaments (équivalent de Santé Canada ou l'Agence européenne du médicament) :

(Source : https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf archivé ici : https://web.archive.org/web/20210508034640/https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-10/COVID-Anderson-508.pdf archivé aussi ici : https://archive.vn/NhFd1)

Ce document est très clair et montre que tous ces effets secondaires sont potentiellement attendus après les vaccins covid. La seule question est selon quelle proportion (combien de cas par nombre de vaccins).

 

Les compagnies pharmaceutiques ont réussi à se rendre légalement non responsables des effets secondaires. Les gouvernements (en tout cas celui des États-Unis, selon l'article) ne payeront vraisemblablement pas non plus : https://www.cnbc.com/2020/12/16/covid-vaccine-side-effects-compensation-lawsuit.html

Cela veut dire que les vaccinés ayant subi des dommages à la suite du vaccin n'ont somme toute pas de recours légaux. Certains vaccinés victimes commencent déjà à s'organiser et se coaliser ! Par exemple, sur ce site anglophone : https://www.c19vaxreactions.com aussi ici les victimes peuvent remplir un formulaire au haut de la page à gauche : https://www.icandecide.org/

 

Une information connexe à celle-ci est que la FDA américaine, chargée de l'approbation des vaccins et médicaments, ne rendra pas publics les documents ayant servi à autoriser en urgence les vaccins, selon Reuters :

Wait what? FDA wants 55 years to process FOIA request over vaccine data, Reuters, 18 novembre 2021, https://www.reuters.com/legal/government/wait-what-fda-wants-55-years-process-foia-request-over-vaccine-data-2021-11-18/

We'll all be dead before FDA releases full COVID vaccine record, plaintiffs say, Reuters, 14 décembre 2021, https://www.reuters.com/legal/government/well-all-be-dead-before-fda-releases-full-covid-vaccine-record-plaintiffs-say-2021-12-13/

Dans un jugement rendu, un juge a ordonné à Pfizer de publier toutes les pages des documents dans un délai de moins de 2 ans. 7 janvier 2022 : https://www.reuters.com/legal/government/paramount-importance-judge-orders-fda-hasten-release-pfizer-vaccine-docs-2022-01-07/

 

 

Les États-Unis ont un système nommé le VAERS, donc le Vaccine Adverse Event Reporting System. Ce système compile les effets secondaires des vaccins. En date du 6 janvier 2022, voici les effets graves recensés aux États-Unis seulement :

  • 21002 DEATHS (morts)
  • 110609 HOSPITALIZATIONS (hospitalisation, admission à l'hôpital)
  • 109245 URGENT CARE (visites à l'urgence - hôpital)
  • 156456 OFFICE VISITS (visites à l'urgence - clinique médicale)
  • 8673 ANAPHYLAXIS (choc allergique)
  • 12532 BELL'S PALSY (paralysie)
     
  • Total Heart Attacks: 10640 crises cardiaques
  • Total Miscarriages: 3435 fausses-couches
  • Total Severe Allergic Reaction: 36492 réactions allergiques sévères
  • Total Thrombocytopenia: 5011 thrombocytopénies (grave problème de coagulation des plaquettes sanguines)
  • Total Myocarditis: 22117 myocardites (inflammation grave du coeur pouvant causer le décès ou entraîner des dommages irréversibles au coeur)
  • Total Disabled: 35650 handicapés

(Source: https://www.openvaers.com/covid-data)

 

On a appris récemment un fait très étonnant et inquiétant : le système VAERS a compté autant de morts des vaccins DANS LES CINQ PREMIERS MOIS DE 2021 que le nombre de morts de tous les vaccins en 20 ans avant 2021 !!! Voir ce graphique, qui date du 2 juin 2021.

(Note  du 6 janvier 2022 : Pour garder l'info à jour, le point de 2021 qui oscille autour de 4000 ci-dessous est maintenant situé autour de 21 000.)

(Source : https://wonder.cdc.gov/vaers.html)

Dans le graphique ci-dessus, on voit un nombre stable d'environ 160 morts par année de 1990 à 2020, puis on voit clairement à droite le pic époustouflant de morts en 2021, montant jusqu'à ~4000 en cinq mois seulement (janvier à mai 2021) !

* À propos de la fiabilité du système VAERS : Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est un système de surveillance directement lié au Centers for Disease Control (CDC) et à la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis. C'est donc une structure du gouvernement fédéral américain. (En ce sens, ça lui donne une crédibilité, par contre: il ne faut pas oublier qu'il n'est pas parfaitement indépendant.) Les professionnels de la santé ont l'obligation légale (même si certains ne le font pas) de rapporter un effet secondaire de vaccin. Un rapport VAERS peut être rempli par un professionnel de la santé ou par la personne qui a elle-même subi un effet secondaire. Les rapports VAERS sont vérifiés après la déclaration • Une fausse déclaration au VAERS est passible d'une amende ou d'une peine d'emprisonnement car constituant une violation de la Loi Fédérale (18 U.S. Code § 1001). (Source : https://vaers.hhs.gov/reportevent.html)

 

De plus, en 2011, le Harvard Pilgrim Health Care (affilié à la Harvard Medical School de l'Université Harvard) a déposé un rapport (titre : "Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS)") à la Agency for Healthcare Research and Quality (AHRQ) du gouvernement américain où elle conclut ceci :

"Fewer than 1% of vaccine adverse events are reported. Low reporting rates preclude or slow the identification of “problem” drugs and vaccines that endanger public health. New surveillance methods for drug and vaccine adverse effects are needed. Barriers to reporting include a lack of clinician awareness, uncertainty about when and what to report, as well as the burdens of reporting: reporting is not part of clinicians’ usual workflow, takes time, and is duplicative."

Traduction : Moins de 1% des effets secondaires des vaccins sont rapportés [au VAERS]. Ce taux bas ralentit l'identification de problèmes avec des médicaments ou des vaccins et met en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets secondaires des médicaments et vaccins sont requises. Les limites à une surveillance adéquate inclues un manque de connaissance du système par les cliniciens, l'incertitude du quand et du quoi rapporter, en plus du fardeau de faire le rapport car faire ce genre de rapports ne fait pas partie du travail quotidien des cliniciens, cela prend du temps et comme un double-emploi.

(Source : https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf)

Ça, c'est juste le système de surveillance des États-Unis, ça n'inclut pas le reste du monde. En Europe, voici les données (ATTENTION: tableau en date du 23 février 2021. Ces chiffres ont beaucoup augmenté depuis, mais étaient déjà trop élevés.) :

(Source : Base de données européenne d'effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments http://www.adrreports.eu/fr/index.html)

Il est bien important de comprendre que ces cas rapportés n'incluent pas les gens qui vont développer des effets plus tard, dans des semaines, des mois ou des années. Lorsqu'on observe la liste des effets secondaires possibles, on se rend compte qu'il y a par exemple des maladies autoimmunes et des maladies aigues de la démyélinisation des neurones dans la liste de la FDA, mais on sait que la sclérose en plaque par exemple est une maladie de la démyélinisation des neurones et peut avoir des causes autoimmunes. Ces vaccins sont beaucoup trop récents pour qu'on ait assez de recul pour savoir s'il y a ce genre d'effets à long terme. On ne sait pas encore combien de gens vont mourir ou développer des conditions médicales chroniques à la suite de ces vaccins.

 

Il y a des exemples réels de personnes décédées dû aux vaccins Pfizer-BioNTech, AstraZeneca et Moderna. Pour consulter des exemples de décès réels à cause des vaccins, cliquer ici. On constate qu'il y a beaucoup de jeunes qui sont morts des suites du vaccin (en âge, dans la vingtaine jusqu'à la cinquantaine).

 

 

2. Docteurs et scientifiques des vaccins sonnant l'alarme

* Ce segment a son propre URL: www.lecture-importante.com/docteurs 

 

24 juin 2021 : Article scientifique publié dans la revue Vaccines

Harald Walach, Rainer J. Klement, Wouter Aukema, The Safety of COVID-19 Vaccinations—We Should Rethink the Policy, Vaccines, https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/693/htm

Extrait : "In our view, the EMA and national authorities should instigate a safety review into the safety database of COVID-19 vaccines and governments should carefully consider their policies in light of these data. Ideally, independent scientists should carry out thorough case reviews of the very severe cases, so that there can be evidence-based recommendations on who is likely to benefit from a SARS-CoV2 vaccination and who is in danger of suffering from side effects. Currently, our estimates show that we have to accept four fatal and 16 serious side effects per 100,000 vaccinations in order to save the lives of 2–11 individuals per 100,000 vaccinations, placing risks and benefits on the same order of magnitude."

Résumé : Il devrait y avoir une notice de sécurité avec les vaccins. Les gouvernements devraient revoir leurs politiques vaccinales. Nos estimations actuelles placent les risques et les bénéfices dans le même ordre de grandeur.

(Cet article a été rétracté par la revue Vaccines.)

 

9 juin 2021 : Royaume-Uni (UK), Avis de The Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd., compagnie de recherche médicale indépendante

Le Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd. a publié un rapport urgent qui appelle à la cessation immédiate des vaccins covid chez les humains.

(Sources : Rapport ici : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf - https://www.e-bmc.co.uk/)

 

2 avril 2021 : France. Avis du Centre Territorial d'Information Indépendante et d'Avis Pharmaceutiques (CTIAP) affilié au Centre hospitalier de Cholet

Le Centre territorial d'information indépendante et d'avis pharmaceutiques a émis un avis au début d'avril 2021 disant: Il faut que dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM (autorisations d'urgence) qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. Cet avis concerne les 4 vaccins (Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson).

(Sources : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html https://www.ch-cholet.fr/vigilances-sanitaires/pharmacovigilance/)

 

Note : Pour vous rendre compte que ces docteurs et scientifiques ne sont pas du tout des personnages de second plan ou des gens qui n'y connaissent rien, j'ai pris le soin d'inclure un lien vers leur CV quand je les présente. On se rend alors compte qu'ils sont des gens sérieux, parfois même des sommités dans leur domaine.

 

5 mars 2021 : Lettre du Dr. Van den Bossche :

Une lettre a été écrite de toute urgence par le Dr. Geert Van den Bossche (voir son CV - archivé ici), un expert des vaccins et virologue ayant travaillé pour la Global Alliance for Vaccination and Immunization (GAVI) fondée par Bill Gates, et la fondation Bill & Melinda Gates (nous reparlerons de Bill Gates).

Le Dr. Van den Bossche y explique que les vaccinés pourraient être des "bombes à retardement" à cause du phénomène appelé le "virus immune escape" (échappée immunitaire) qui les ferait éventuellement produire des variants, et qui en même temps désactiverait leur système immunitaire inné et acquis. C'est un résumé très sommaire et il faut lire son texte. Enfin, il explique que les vaccins pourraient dans quelques temps produire l'inverse de ce qu'on veut qu'ils fassent.

Quelqu'un a fait un résumé de ses propos en format vidéo pour les gens qui ne veulent pas lire la lettre :

Le texte du Dr. Geert Van den Bossche est consultable ici en format PDF:

https://mcusercontent.com/92561d6dedb66a43fe9a6548f/files/bead7203-0798-4ac8-abe2-076208015556/Public_health_emergency_of_international_concert_Geert_Vanden_Bossche.01.pdf (archivé ici: https://archive.is/Wr9du)

 

2 décembre 2020 : Extrait d'entrevue du microbiologiste et professeur émérite retraité Dr. Sucharit Bhakdi (voir son CV), directeur de l'Institut médical de microbiologie et d'hygiène 1990-2012 (C4-Professor am Institut für Medizinische Mikrobiologie und Hygiene der Johannes Gutenberg-Universität in Mainz) : "Si vous prenez ce vaccin, vous allez à votre perte." ("If you go along these lines, you are going to go to your doom.") :

Dr. Bhakdi est l'un des chercheurs qui expliquent ne pas savoir d'où provient l'idée d'une proportion de 70-75-80-90% de vaccination pour atteindre l'immunité collective ("herd immunity"). C'est pour lui un chiffre farfelu sorti de nulle part ("what utter nonsense").

Parlant de "herd immunity", je voulais juste montrer cette définition du dictionnaire Larousse anglais-français. Cela porte à réflexion.

Le Dr. Bhakdi a aussi écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande Merkel le 26 mars 2020 : https://swprs.org/covid-19-lettre-ouverte-du-professeur-sucharit-bhakdi-a-la-chanceliere-allemande-dre-angela-merkel/

 

Le professeur Luc Montagnier, virologiste, professeur émérite, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus VIH (voir son CV), s'est exprimé très clairement sur les vaccins :

 

Décembre 2020 : l'immunologiste et biologiste moléculaire de premier plan, professeure au University College de Dublin en Irelande, Dr. Dolores Cahill (voir son CV - archivé ici) a aussi sonné l'alerte. Elle pense que des gens vont commencer à mourir des mois et des années après avoir reçu le vaccin.

(Source : https://principia-scientific.com/professor-dolores-cahill-people-will-start-dying-after-covid-vaccine/) (Séminaire où Dr. Cahill entre dans des explications scientifiques : https://www.bitchute.com/embed/Dxjp6nkwhWn8/)

 

18 janvier 2021 : l'immunologiste J. Bart Classen, MD, "COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease" https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf (Même si cet article est "moins solide que les autres", il est tout de même très référencé, voir ses références 4,5,6,7, donc je le mets ici pour référence. Les gens ont le droit de savoir qu'il existe et se faire leur propre idée. Dr. Classen a aussi écrit une lettre à Trump : https://www.prnewswire.com/news-releases/president-trump-challenged-by-immunologist-j-bart-classen-md-of-classen-immunotherapies-to-stop-dangerous-vaccine-policies-300481652.html et a un site http://www.vaccines.net/)

 

28 février 2021 : Lettres urgentes d'un collectif de médecins sur des risques potentiellement extrêmement graves :

Dans cette lettre des "Doctors for Covid Ethics", notamment les chercheurs Sucharit Bhakdi et Michael Yeadon demandent à l'Agence européenne du médicament d'arrêter la vaccination parce qu'ils pensent que le risque de microthromboses dans tout le corps est possible selon les informations scientifiques qu'ils ont et pourrait être catastrophique. Cette lettre peut être lue ici (traduite en français) : https://archive.is/iWB0h (en anglais ici : https://archive.is/JFyT5)

 

28 février 2021 : Dr. Richard Marchand, infectiologue à l'Institut de cardiologie de Montréal (voir son CV - lien archivé ici) passe en entrevue à Paul Arcand et exprime des réserves quant au vaccin.

(M. Marchand parle de 23 %, mais ailleurs d'autres sondages disent qu'on a des 76 % de refus. https://www.lci.fr/sante/covid-19-dans-les-ehpad-des-soignants-hostiles-au-vaccin-selon-un-sondage-de-la-fehap-2173144.html D'une façon ou d'une autre il faut se méfier des sondages car ils finissent souvent par n'être que des outils d'influence, au pire un appel au conformisme bête.

Ailleurs encore, TVA Gatineau avait appris le 5 mars 2021 que 60 % des employés du CISSS de l'Outaouais admissibles refusaient le vaccin au https://tvagatineau.ca/blogue/article/cissso-60-des-employés-refusent-le-vaccin, mais ont supprimé l'article. On peut quand même le retrouver ici : https://web.archive.org/web/20210306033020/https://tvagatineau.ca/blogue/article/cissso-60-des-employ%C3%A9s-refusent-le-vaccin)

 

11 mai 2021 : Le chercheur Hervé Seligmann (voir son CV) a fait un rapport d'expert sur les effets de la vaccination Pfizer-covid19 : télécharger le PDF ici, archivé ici : https://archive.is/ryHIM)

 

27 mai 2021 (ajouté ici le 2 juin 2021) : Le professeur associé Byram W. Bridle (PhD) (voir son CV) à l'Université Guelph en Ontario (Canada) qui est immunologiste (viral immunologist), a donné une entrevue à l'émission On Point with Alex Pierson au média GlobalNews de Toronto, où il dit en gros que :

Selon des études révisées par les pairs, on s'est rendu compte que la protéine S (spike, ou "de spicule") est elle-même toxique. Si on injecte des morceaux de protéines S dans un animal de laboratoire, il développe des problèmes cardiovasculaires, cela peut traverser la barrière hémato-encéphalique et endommager le cerveau. Cela n'a pas l'air grave car on injecte le vaccin dans le muscle de l'épaule (le deltoïde). Jusqu'à maintenant, on pensait que le vaccin restait dans le site d'injection (le deltoïde). Sauf que c'est ici les nouvelles découvertes notamment du Japon (étude de biodistribution), on a pu voir où le contenu du vaccin se rend dans le corps. On a trouvé qu'il ne reste pas dans l'épaule. La protéine S se rend dans le sang et circule dans le corps plusieurs jours après la vaccination. Elle s'accumule dans certains organes comme la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales, et très préoccupant : les ovaires, en grande concentration. Ils ont retrouvé la protéine S dans le sang des patients. La protéine S peut se lier aux plaquettes sanguines, si cela arrive, il peut arriver des caillots sanguins et des saignements, et des problèmes au coeur et au cerveau. Une étude en attente de validation a travaillé sur les bébés allaités, où le lait maternel transmettrait au bébé et causerait des saignements internes chez le bébé. Il explique aussi que ces problèmes pourraient aussi aller dans le sens d'éventuelle infertilité chez les jeunes.

La protéine S est toxique selon les études que cet immunologiste et professeur d'université cite. C'est justement cette protéine S qui est "produite" par les vaccins. Ce qui est vraiment très problématique.

Vous pouvez écouter l'entrevue ici :

(Sources :

https://omny.fm/shows/on-point-with-alex-pierson/new-peer-reviewed-study-on-covid-19-vaccines-sugge

https://globalnews.ca/toronto/program/on-point-with-alex-pierson-640/ -

https://www.docdroid.net/xq0Z8B0/pfizer-report-japanese-government-pdf#page=20

https://www.nature.com/articles/s41593-020-00771-8

https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab465/6279075

https://news.northeastern.edu/2021/02/08/covid-19-can-affect-the-blood-its-spike-protein-may-be-the-culprit/

 

https://www.salk.edu/news-release/the-novel-coronavirus-spike-protein-plays-additional-key-role-in-illness/) (Cette source provient de l'Institut Salk for Biological Studies, fondé en 1960 par Jonas Salk, découvreur du vaccin contre la poliomyélite. L'ironie est que c'est ce même institut qui en 1989 a commencé à s'intéresser à la technologie mRNA pour faire synthétiser des protéines. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC297778/)

 

L'un des inventeurs en 1989 de la technologie thérapeutique à base de mRNA (utilisée dans les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna), Robert W Malone (voir son CV - voir un article de 1990), s'est également exprimé sur un réseau social :

(Source : https://twitter.com/RWMaloneMD/status/1406777926855671811)

 

 

1er décembre 2020 : Inquiétudes des Dr. Michael Yeadon et Dr. Wolfgang Wodarg à propos de l'ADE et de la syncytine, nécessaire à la fertilité des femmes

Michael Yeadon, ancien "chief scientific officer" chez Pfizer, dans les domaines de recherche respiratoire et allergique, avec le Dr. Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe, ont écrit à l'Agence européenne du médicament (l'équivalent européen de la FDA ou de Santé Canada), une motion d'urgence visant à arrêter toute la vaccination parce qu'ils se sont rendus compte de quelque chose n'allait pas.

Dans le document ci-dessous au point C no. XI (page 5), ils ont identifié une similitude entre les caractéristiques du coronavirus et donc ces caractéristiques que le vaccin devrait imiter, avec une protéine naturelle du corps nommée "syncytine" qui est essentielle pour mener une grossesse à terme. Ils redoutent l'idée que le vaccin pourrait "apprendre" au corps à se défendre contre le coronavirus mais qu'en plus cela déclenche un effet pervers : une réaction à la syncytine (un peu comme la réaction auto-immune du médecin décédé en Floride avec ses plaquettes sanguines). Si cela s'avérait être le cas, les femmes concernées par ce genre de réaction pourraient devenir stériles et ne plus pouvoir enfanter.

Ils expliquent aussi beaucoup d'autres points problématiques dans leur lettre.

Ils ont envoyé cet avis urgent à l'Agence européenne du médicament pour arrêter l'autorisation d'utilisation d'urgence de la vaccination le 1er décembre 2020.

(Source : https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned_with_Exhibits.pdf archivé ici aussi : https://archive.vn/nEWGU)

 

Voici des sources reliées à la fertilité humaine qui ne vont pas dans le bon sens :

1er juin 2020 : Dans l'American Journal of Physiology, Is there an impact of the COVID-19 pandemic on male fertility? The ACE2 connection https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpendo.00183.2020

2 décembre 2020 : Pfizer COVID jab warning: No breastfeeding, avoid pregnancy for 2 months, unknown fertility impacts, https://www.lifesitenews.com/news/pfizer-coronavirus-vaccine-not-safe-for-pregnant-or-breastfeeding-mums-potential-danger-for-fertility

11 décembre 2020 : L'Université de Miami fait aussi des essais cliniques se terminant le 14 juin 2021 (estimé) sur les impacts potentiels des vaccins covid sur la fertilité humaine : COVID-19 Vaccine and Impact on Fertility Study https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04665258

Mars 2021 : Autre essai clinique sur l'impact sur les ovaires : "COVID-19 Vaccine and Ovarian Reserve", https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04748172

7 avril 2021 : Daily Mail UK, Certaines femmes ont rapporté avoir des menstruations plus souffrantes après avoir eu le vaccin, https://www.dailymail.co.uk/femail/article-9446907/Some-women-report-heavier-painful-PERIODS-getting-COVID-19-vaccine.html

15 avril 2021 : Les ARNm vaccinaux peuvent atteindre les organes reproducteurs dans les études de biodistribution (sourcé avec documents de l'Agence européenne du médicament), https://reinfocovid.fr/science/les-arnm-vaccinaux-atteignent-les-organes-reproducteurs/

20 avril 2021 : New study shows in-vitro fecondation (IVF) less effective after coronavirus, https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/304673

7 juin 2021 : COVID-19: les femmes ressentent plus d’effets secondaires du vaccin, https://www.journaldemontreal.com/2021/06/07/les-femmes-ressentent-plus-deffets-secondaires

20 juin 2021 : 4,000 women report period problems after Covid jab, https://www.thetimes.co.uk/article/4-000-women-report-period-problems-after-jab-3sdgwgx8v
 

 

Inquiétudes sur l'Antibody-Dependant Enhancement (ADE)

Il y a une raison pour laquelle aucun vaccin contre les coronavirus n'a jamais été commercialisé. Voici une vidéo où une médecin, Dr. Lee Merritt, explique son point de vue sur le sujet.

Dr Lee Merritt parle des tentatives de faire des vaccins pour les anciens coronavirus (le SRAS de 2004, le MERS de 2012) qui ont toutes échouées. Les essais étaient faits sur des chats et des furets. Les animaux sont morts d'une condition appelée Antibody-Dependant Enhancement (ADE, ou en français: Amplification anticorps-dépendante) ou Immune Enhancement (amplification immunitaire). Ce phénomène arrive après la prise du vaccin, vaccin qui entraîne une réaction du corps. Pour résumer l'ADE, c'est quand le corps réagit encore plus mal lorsqu'il croise le virus après le vaccin que s'il n'était pas du tout vacciné. Résultat dans le cas des chats et des furets: la mort des animaux par septicémie ou crise cardiaque.

J'ai recensé deux articles scientifiques qui corroborent l'explication de la Dr. Lee Merritt, c'est-à-dire cette question d'un lien potentiel entre le phénomène ADE et les vaccins contre les coronavirus (comme le SARS-CoV2 du covid-19, ou le SARS-CoV du SRAS) :

 

 

3. Les vaccins sont encore en phase expérimentale, mais plusieurs personnes ne le savent pas

* Ce segment a son propre URL: http://www.lecture-importante.com/nonapprobation 

 

La situation au Canada (avec Santé Canada) se résume ainsi: autorisation par intérim en décembre 2020 jusqu'à expiration de l'autorisation en septembre 2021 pour Pfizer et Moderna. "Renouvellement" des autorisations en septembre 2021, mais toutefois en approuvant les vaccins: Pfizer, Moderna, puis AstraZeneca, et Johnson & Johnson en novembre 2021 ! Ils sont approuvés en tant que "Drogue nouvelle", selon le Règlement sur les aliments et les drogues du gouvernement canadien. Il faut aussi dire que tout ceci se fait sous l'arrêté ministériel d'urgence qui le permet (cela ressemble un peu au régime dit d'"autorisations d'utilisation d'urgence" aux USA).

(Sources : https://vaccin-covid.canada.ca/info/pdf/vaccin-astrazeneca-contre-covid-19-autorisation.pdf

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/medicaments-produits-sante/covid19-industrie/medicaments-vaccins-traitements/vaccins/pfizer-biontech.html#a6

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/medicaments-produits-sante/covid19-industrie/medicaments-vaccins-traitements/vaccins/moderna.html#a6

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/medicaments-produits-sante/covid19-industrie/medicaments-vaccins-traitements/vaccins/astrazeneca.html#a6

https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/medicaments-produits-sante/covid19-industrie/medicaments-vaccins-traitements/vaccins/janssen.html#a6

 

Aux États-Unis, la FDA a approuvé (full approval) un seul vaccin: le "Pfizer Comirnaty", qu'on ne doit pas confondre avec le "Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine", qui se trouve à être la "version EUA" (autorisée en urgence, mais non "approuvée") de Comirnaty. Interchangeables selon la FDA et Pfizer, mais pas juridiquement. C'est-à-dire que le vaccin en autorisation d'urgence est encore donné aux Américains, qui implique un cadre juridique différent (pas les mêmes "liabilities", recours potentiels, etc.) D'ailleurs, une chose est très étrange : un vaccin a reçu le "full approval" de la FDA. Les Emergency Use Authorizations accordées aux autres vaccins non-approuvés expérimentaux (Moderna, Johnson & Johnson) ne sont pas automatiquement tombées après l'approbation de Comirnaty? Pourtant, c'est ce qui est écrit dans le texte de la FDA elle-même. Que ces vaccins expérimentaux sont un "pis-aller" parce qu'il n'y a rien d'autre d'approuvé, mais que dès qu'il y a une approbation, leur autorisation d'urgence tombe. Je suis très étonné de cela.

(Source : https://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=14472 - https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-covid-19-vaccine)

 

Qu'arrive-t-il si la FDA (et consorts) donne une approbation complète aux vaccins, (comme c'est par exemple le cas pour le vaccin Comirnaty de Pfizer) ? Pas grand chose. Pourquoi ? À cause de ce que j'ai appris dans la section plus bas dans cette page intitulée "Les pharmas corrompent" (section à lire absolument), puis aussi à cause de ces deux articles :

Des problèmes de sécurité du médicament arrivent souvent après une approbation de la FDA, selon une nouvelle étude, (Drug safety issues often arise after FDA approval, new study finds), CBS, https://www.cbsnews.com/news/drug-safety-issues-common-after-fda-approval-new-study/

Un tiers (1 sur 3) des nouvelles médicamentations approuvées par la FDA ont des problèmes de sécurité, (One-Third Of New Drugs Had Safety Problems After FDA Approval), NPR, https://www.npr.org/sections/health-shots/2017/05/09/527575055/one-third-of-new-drugs-had-safety-problems-after-fda-approval

On a pu constater depuis plusieurs années que les produits approuvés par la FDA présentent souvent des défauts et blessent des patients, avant d'être finalement retirés quelques années plus tard. Une approbation de la FDA ne signifie pas que le médicament ou le vaccin n'a aucun défaut et est tout à fait inoffensif, loin de là.

 

Attention, le contenu de cette boîte bleue date d'avant août 2021, et il est laissé ici dans une volonté d'archivage de l'information. Une partie du contenu est encore valide, mais comme je le dis ci-haut, la situation aux États-Unis et au Canada a évolué depuis août-septembre 2021. Prendre donc le paragraphe ci-dessus en considération.

 


 

Il y a quelque chose que les gens ne semblent pas bien comprendre. Ce vaccin n'est pas comme les vaccins qu'on connaît depuis des années. Il s'agit de nouvelles technologies qui n'ont jamais été essayées massivement sur des humains. Elles demeurent donc à ce titre encore expérimentales, et ont été autorisées en urgence seulement, ou "par intérim" dans le jargon de Santé Canada, comme on le voit sur les images suivantes.

Voici d'abord le document de la Food and Drug Administration (FDA) américaine (l'équivalent plus puissant de Santé Canada ou Agence européenne du médicament) pour le vaccin Janssen/Johnson & Johnson. Les documents des autres vaccins disent la même chose (ci-dessous). Voici des extraits du document :

 

Traduction du surlignage : "Ce vaccin pourrait prévenir". "Il n'y a pas de vaccin approuvé contre la covid19." "Un vaccin non-approuvé qui pourrait empêcher la covid19." "Il n'y a pas de vaccin approuvé par la FDA contre le covid19." "Autorisation d'utilisation d'urgence (EUA)." "Les essais cliniques qui ont court en ce moment." "Il pourrait y avoir plus d'effets secondaires du vaccin Janssen que ceux recensés dans ce document. Des effets sérieux et imprévus pourraient arriver." "Le vaccin Janssen est encore en phase d'essai clinique."

Traduction du surlignage : En ce moment, il n'y a pas d'alternative au vaccin Janssen approuvée par la FDA. Les autres vaccins sont aussi disponibles seulement en Autorisation d'utilisation d'urgence (EUA)." "Qu'est-ce que l'Autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) ? La FDA des USA a rendu le vaccin Janssen disponible selon un mécanisme appelé l'EUA. L'EUA est supportée par une déclaration du Secrétariat de la Santé et des services sociaux (HHS) quand les circonstances existent pour justifier l'utilisation d'urgence d'un médicament et de produits biologiques durant la pandémie covid19. Le vaccin Janssen n'a pas passé à travers le même genre de vérifications qu'un produit accepté et approuvé par la FDA. L'EUA peut être accordée quand des critères sont remplis : quand il n'y a pas d'alternative adéquate, approuvée ou disponible. En plus, la décision de la FDA est basée sur de la preuve scientifique disponible qui montre que le produit pourrait être efficace pour empêcher la covid19 pendant la pandémie de covid19 et que les bénéfices connus du produit dépassent les risques connus du produit. Tous ces critères doivent être remplis pour accepter que le produit soit utilisé dans une EUA en pandémie covid19. L'EUA pour Janssen est effective pendant la durée de la déclaration covid19 qui justifie l'urgence de ces produits, sauf si terminée ou révoquée (après quoi les produits ne pourraient plus être utilisés).

(Source de ce document du vaccin Janssen/Johnson & Johnson, site de la FDA : https://www.fda.gov/media/146305/download

Source du même document pour Moderna : https://www.fda.gov/media/144711/download

Source du même document pour Pfizer-BioNTech : https://www.fda.gov/media/144819/download)

Voir ici une capture archivée du site de Pfizer en date du 29 mai 2021 où il est dit que le vaccin n'est pas approuvé :

(Source : https://archive.is/tmijj Lien original : https://www.pfizer.com/news/hot-topics/the_facts_about_pfizer_and_biontech_s_covid_19_vaccine)

 

"Emergency Use Authorization of the unapproved product" de la FDA américaine :

(Source : https://dailymed.nlm.nih.gov/dailymed/fda/fdaDrugXsl.cfm?setid=908ecbe7-2f1b-42dd-94bf-f917ec3c5af8 (site des National Institutes of Health - NIH, gouvernement américain), archivé ici aussi : https://archive.vn/jjXmk)

 

Voici maintenant l'autorisation de Santé Canada "sous un ordre par intérim", où ils disent que les patients devraient être avisés de la nature de ce type d'autorisation qui n'est pas habituel, et donc ça veut dire que les processus normaux d'évaluation et les tests d'innocuité n'ont pas été menés comme d'habitude.

(Source : https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059112.PDF (site du gouvernement du Canada), archivé ici : https://web.archive.org/web/20201213001025/https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059112.PDF ici aussi : https://archive.is/9b4jK)

 

Toxicités non-évaluées (document de Santé Canada)

Il est très important de spécifier que dans cette autorisation "par intérim" (d'urgence) de Santé Canada, aux pp. 21-22) il est écrit :

Carcinogénécité (cancérigène) : Le potentiel cancérigène de ce vaccin n'a pas été évalué, parce qu'il a été jugé que les études de carcinogénécité n'étaient pas nécessaires.

Génotoxicité (toxicité pour les gènes / l'ADN) : Le potentiel de génotoxicité de ce vaccin n'a pas été évalué, parce qu'il a été jugé que les études de génotoxicité n'étaient pas nécessaires.

Toxicité sur le développement et la reproduction : Les études de toxicité sur le développement du foetus et de la reproduction des animaux n'ont pas été complétées.

En somme, ça veut dire que la compagnie pharmaceutique et Santé Canada acceptent de n'avoir aucune idée des effets potentiellement cancérigènes, toxiques pour le code génétique, ou toxiques pour la possibilité d'enfanter normalement.

 

 

Les essais cliniques des vaccins sont en cours et se poursuivront jusqu'en 2023

 

Les "vaccins COVID-19" sont des médicamentations expérimentales dont les études cliniques (clinical trials) n'ont pas été menées à terme ! Effectivement, les études cliniques sont encore en cours, et ce, jusqu'en octobre 2022, janvier 2023 et février 2023 ! Ces vaccins ne seraient jamais autorisés en l'état dans une situation normale, car les tests normaux d'innocuité n'ont pas été menés jusqu'au bout! Il faudrait attendre début 2023 pour que ce soit le cas. Ils ont seulement reçu "une autorisation d'urgence" en ce moment. Ce que ça signifie, c'est que :

  • les gens qui acceptent de se faire vacciner avec ça en ce moment ne comprennent pas ce qu'on leur injecte (en fait de sécurité du médicament)

  • ou ignorent carrément ce qui leur est injecté (ne savent pas c'est quoi)

  • ou bien acceptent littéralement de jouer les rats de laboratoire (cobayes) !

  • ou, encore pire... ces gens le font parce qu'ils sont entraînés malgré eux par une vague de conformisme social qui les pousse dans une certaine direction, sans plus de discernement, à adhérer aveuglément aux commandes médiatiques-politiques. "50 000 people can't be wrong!" "La TV m'a dit que c'est bon." (As seen on TV!)

 

Voici les documents venant de ClinicalTrials du gouvernement américain, ceux qui administrent les études cliniques.

Vaccin Pfizer/BioNTech (nom commercial Comirnaty, autres noms: Tozinameran ou BNT162b2)

Date de fin de l'étude clinique estimée : 31 janvier 2023

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728

 

Vaccin Moderna (autre nom: mRNA-1273)

Date de fin de l'étude clinique estimée : 27 octobre 2022

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04283461

 

Vaccin Oxford-AstraZeneca (autres noms: AZD1222, ChAdOx1, Covishield, Vaxzevria)

Date de fin de l'étude clinique estimée : 14 février 2023

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746

 

Ces trois vaccins sont les principaux dont on entend parler ici. Il y en a d'autres, qui ont les mêmes problèmes.

Janssen/Johnson & Johnson (autres noms: Ad26.COV2.S ou JNJ-78436735) Date de fin de l'étude clinique estimée : 2 janvier 2023, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04505722

Novavax/CEPI (autres noms : NVX-CoV2373 ou SARS-CoV-2 rS) : (recombinant protéine spike) nanoparticule avec Matrix-M1 - Date de fin de l'étude clinique estimée : 30 décembre 2022, https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04611802

Et il y a les autres vaccins dont on entend très peu parler ici : les vaccins russes Sputnik V, EpiVacCorona et CoviVac, le vaccin CureVac (CVnCoV), le vaccin chinois du Beijing Institute of Biological Products, Wuhan Institute of Biological Products (BBIBP-CorV), les vaccins chinois CoronaVac et Ad5nCoV, le vaccin indien BBV152. Et il y en a d'autres, comme entre autres un vaccin éventuel de la compagnie québécoise Medicago hautement financé (7 millions $) par le gouvernement du Québec et du Canada (173 millions $).

(Sources : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/quebec-accorde-7-m-a-medicago-pour-le-developpement-dun-vaccin-contre-la-covid-19/ archivé ici : https://archive.is/kUxXo

https://www.medicago.com/fr/presse/medicago-conclut-un-accord-avec-le-gouvernement-du-canada-pour-fournir-jusquu2019a-76-millions-de-doses-de-son-vaccin-recombinant-produit-sur-plantes-contre-la-covid-19/ archivé ici : https://archive.is/8Z3XM)

 

Voici malgré tout cela ce que le gouvernement du Québec dit sur son portail d'information :

(Source : https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/vaccination/vaccin-contre-la-covid-19#c79169 archivé ici : https://web.archive.org/web/20210410205039/https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/vaccination/vaccin-contre-la-covid-19#c79169)

Lorsque le gouvernement sur son site web dit que les vaccins ont été "approuvés" comme tous les autres vaccins traditionnels, c'est un mensonge car comme on l'a vu plus haut : ces vaccins ont reçu une "autorisation d'urgence", pas une approbation normale. Ils sont encore en phase expérimentale qui se termine en fin 2022 - début 2023.

Lorsque le gouvernement dit "événements indésirables" pour faire référence à des décès purs et simples, il utilise une figure de style appelée l'euphémisme, et ce faisant dans le cas présent il occulte une réalité et ment par omission. C'est excessivement grave car le gouvernement a le devoir de tenir les gens bien au courant, nous donner l'heure juste. D'ailleurs dans la liste des effets indésirables que le gouvernement produit, il n'est fait nulle mention de la possibilité de la mort (des gens sont morts DU vaccin) ni de la possibilité de développer à court, moyen ou long terme des maladies ou conditions médicales plus ou moins graves (comme dans la liste de la FDA ci-haut). Et je ne vais pas commenter la vidéo incluse sur la page du gouvernement, où le pharmachien millionnaire (lui aussi membre de l'Union des artistes, son émission oblige), nous lit le panneau qu'il a devant lui sous la caméra, qui explique exactement ce que le site explique: "vaccins approuvés avec toutes les étapes, parfaitement inoffensif, efficace... mais on garde les mesures sanitaires!"

 

"Déshabiller Paul pour habiller Jacques"

Enfin sur la sécurité des vaccins, on sait que des gens meurent ou sont marqués parfois à vie à cause du vaccin. On sait que des gens meurent à cause du virus. La question est de savoir lequel est le pire. Pour le virus, la moyenne d'âge des décès est de 82 ans. La grande majorité des décès a eu lieu en CHSLD (équivalent de EHPAD, ou nursing homes) et en résidences pour aînés (RPA). Qu'en est-il des décès du vaccin ? Et des maladies graves chroniques ? Les vaccinés sont en moyenne plus jeunes que 82 ans et, si ça se passe mal pour eux, auront soit des années de vie perdues, soit une perte de leur qualité de vie pour leur avenir.

Surtout... qu'on le verra plus bas, depuis mars 2020, on a compris que la mortalité (les Case Fatality Rate et Infection Fatality Rate selon le CDC américain sont beaucoup plus bas que ce qu'on imaginait au début) et il y a en plus de plus en plus de façons de réduire la mortalité des gens qui attrapent le virus avec des traitements ou des techniques hospitalières améliorées (comme l'oxygène OptiFlow HFNC).

Un vaccin est supposé être la voie thérapeutique choisie quand on n'a pas de traitements ou de techniques pour rendre la mortalité d'une maladie très faible.

Ce qui semble être le problème au Québec, c'est que le système de santé n'offre absolument aucun traitement aux malades avant de tomber dans du très lourd (réanimation, intubation sous coma provoqué avec respirateur artificiel, ECMO, etc.). Qu'en est-il de l'oxygène haut-débit ? Des traitements qui semblent avoir une efficacité et qui sont utilisés de par le monde ? Des anticoagulants ou des corticoïdes, etc. ? (J'en reparle à la section "Traitements") Ce qui fait qu'au Québec, on se retrouve devant une situation ubuesque qui ressemble à "vaccin ou rien".

Plusieurs scientifiques et pays dans le monde sont convaincus qu'il y a des traitements efficaces. Omerta dans nos médias.

Car... the show must go on!

 

3a. La deuxième dose est pire que la première

Dans l'autorisation par intérim de Santé Canada que j'ai citée au point 3 ci-dessus, il est présenté des tableaux des essais cliniques, pour la "Dose 1" et la "Dose 2". Voici l'un de ces tableaux, où on constate les résultats de l'étude sur les plus de 56 ans :

On remarque que dans l'étude clinique même soumise à Santé Canada, les chiffres à la Dose 2 sont augmentés par rapport à la Dose 1.

Voici le tableau pour l'étude des 18-55 ans, où l'on observe le même phénomène :

Pour les gens qui pensent que la deuxième dose sera la même chose que la première, c'est faux. Certaines personnes sont mortes ou sont devenues très malades après la deuxième dose. (Et le reste des éléments présentés sur cette page quant aux potentiels effets à long terme, etc. sont toujours valides!)

Quant à une 3ème ou 4ème dose... À l'origine, les essais cliniques des vaccins n'ont même pas prévu évaluer l'effet de doses au-delà de 2 doses.

(Source, Santé Canada, page 12 et précédentes : https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059112.PDF (site du gouvernement du Canada), archivé ici : https://web.archive.org/web/20201213001025/https://pdf.hres.ca/dpd_pm/00059112.PDF ici aussi : https://archive.is/9b4jK)

 

3b. Ingrédients des vaccins "For Research Use Only"

Pfizer-BioNTech

D'emblée, répondons à la question suivante: est-ce qu'il y a de la nanotechnologie dans les vaccins? La réponse est OUI. (Au moins pour Pfizer-BioNTech et Moderna.)

Dans les vaccins ARNm (Pfizer-BioNTech et Moderna), il y a des "LNP" (nanoparticules lipidiques) qui servent à encapsuler le brin de modRNA pour faire de la "livraison génique" (j'en reparle au point 5 de cette section). (Source : https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/nat.2018.0721)

Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, une de ces nanoparticules s'appelle ([(4-hydroxybutyl)azanediyl]di(hexane-6,1-diyl) bis(2-hexyldecanoate)), ou plus simplement ALC-0315 (Source : https://www.fda.gov/media/144414/download). C'est un lipide cationique qui a été breveté en 2019 (extrêmement récent) :  WO2019202035A1 - sous le "compound III-3" (selon la fiche de MCE, prochain lien). Sur le site de MedChemExpress (MCE), un fabricant, on peut télécharger la fiche signalétique ("datasheet") du produit : https://file.medchemexpress.com/batch_PDF/HY-138170/ALC-0315-DataSheet-MedChemExpress.pdf

BREVETS : (Parlant de brevet, c'est intéressant de voir que JUSTE avant la pandémie (2019), c'est à ce moment que le nombre de brevets dans le champ de "mRNA vaccines" a explosé, selon cet article de Nature : https://www.nature.com/magazine-assets/d41573-020-00119-8/18122018)

Sur MedChemExpress (MCE), il est écrit : "ALC-0315 is used to form lipid nanoparticle for the research of vaccination. MCE has not independently confirmed the accuracy of these methods." Traduction : "ALC-0315 est utilisé dans la recherche vaccinale. MCE n'a pas confirmé l'efficacité de ces méthodes de façon indépendante."

À la dernière page du PDF, on peut lire textuellement : "Caution: Product has not been fully validated for medical applications. For research use only." Traduction : "Le produit n'a pas été validé pour des applications médicales réelles. Pour recherche seulement." Mais... c'est exactement ce produit qui est injecté dans les bras des gens en ce moment.

 

Signification de "For Research Use Only"

Quand on s'intéresse à la signification de "for research use only", on peut arriver à cette page du gouvernement du Canada : https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/covid19-industry/medical-devices/testing/notice-research-use-only-labelling.html#a2

On peut y lire ceci : "For Research Use Only" labelling : The use of "For Research Use Only" labelling applies to a medical device in the laboratory research phase of development. It's not intended for a device represented for use in clinical trial or clinical diagnosis, screening or surveillance." Traduction : "La catégorie "Pour une utilisation de recherche seulement" s'applique aux produits médicaux de la recherche de laboratoire en phase de développement. Cela n'est pas pour des fins d'essais cliniques, diagnostics cliniques, dépistages ou de la surveillance."

 

On comprend que les molécules ou produits médicaux qui entrent dans la catégorie "For Research Use Only" ne doivent pas être utilisés dans des contextes commerciaux ou "réels", comme par exemple, dans une vaccination de masse.

 

Moderna

Pour le vaccin Moderna, une de ces nanoparticules (lipide cationique) s'appelle SM-102 (Source : https://www.fda.gov/media/144638/download https://www.hackensackmeridianhealth.org/HealthU/2021/01/11/a-simple-breakdown-of-the-ingredients-in-the-covid-vaccines/). La fiche signalétique ("datasheet") sur la molécle SM-102 est ici : https://www.caymanchem.com/msdss/33474m.pdf On peut y lire que cette molécule est encore maintenant "For research use only". Bien entendu, la question qu'on doit se poser c'est : quel potentiel de toxicité peut-il demeurer à une infime dose comme dans le vaccin ? C'est quand même ça qu'on injecte dans le bras des gens vaccinés avec Moderna.

Note : "APnews" (ou plutôt Béatrice Dupuy, qui écrivait encore récemment pour Teen Vogue), a fait un "fact-check" pour essayer de "débunker" la fiche de CaymanChem (ci-dessus), en disant que les "effets nocifs" reportés dans la fiche étaient liés au chloroforme contenu dans le produit. Pourtant, quand on lit la fiche, on voit "For Research Use Only". Le chloroforme, agissant seulement comme solvant dans cette solution, est un produit chimique connu depuis des lustres (~1831 !), alors ce n'est certainement pas de ça dont il s'agit. L'étiquette "For Research Use Only" concerne forcément le SM-102 lui-même.

 

Pfizer-BioNTech ET Moderna

Dans les deux vaccins, il y a une substance appelée DSPC (1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine). Voici ce que la fiche signalétique de CaymanChem en dit : "For research use only, not for human or veterinary use." (Traduction : Pour recherche seulement, pas pour utilisation humaine ou vétérinaire.) (Source : https://www.caymanchem.com/msdss/15100m.pdf)

 

À propos des lipides cationiques

Un lipide "cationique" est un lipide ionisé (donc ayant une charge ionique donc électrique, un ion, comme dans "cation / anion"). Une étude révisée par les pairs dit ceci : "cationic lipids still have the problem of toxicity, which has become one of the main bottlenecks for their applications." Traduction : "Les lipides cationiques ont encore un problème de toxicité, ce qui en a fait le principal obstacle à leur mise en application réelle."

(Sources : https://academic.oup.com/toxres/article/7/3/473/5545061 https://uploads-ssl.webflow.com/5fa5866942937a4d73918723/603f7c2bc3f872e7e67deb52_Potential_risk_of_cationic_lipid_in_the_Pfizer-BioNTech_vaccine.pdf https://www.bmj.com/content/372/bmj.n627/rr-1)

 

"Le diable est dans les détails quant aux nanoparticules lipidiques." -Giuseppe Ciaramella, ex-directeur maladies infectieuses de Moderna. Les lipides cationiques n'existent pas dans la nature. Ce sont des produits chimiques synthétiques :

(Source : https://cen.acs.org/pharmaceuticals/drug-delivery/Without-lipid-shells-mRNA-vaccines/99/i8)

 

Maintenant, voici ce que Radio-Canada Information (RDI) dit sur les composantes des vaccins, le 8 mai 2021 :

J'ai lu son article au complet et elle passe extrêmement vite sur les SM-102 et ALC-0315. En fait, elle fait juste dire que ce sont des "lipides" en mettant vite l'accent sur le polyéthylène glycol. Elle n'explique pas du tout les SM-102 et ALC-0315. Quand on dit que les médias endorment les gens, ce n'est vraiment pas une blague.

 

AstraZeneca (ChAdOx1)

Même si cet ingrédient n'est pas "for research use only", puisqu'on parle d'ingrédients et de leur toxicité, voici l'un des ingrédients du ChAdOx1 : le Magnesium chloride hexahydrate. (Source : https://www.fda.gov.ph/wp-content/uploads/2021/04/Package-insert-v3.0.pdf) Voici la fiche signalétique ("datasheet") : https://fscimage.fishersci.com/msds/13365.htm La fiche dit qu'il peut être dangereux pour les reins, et dangereux si avalé. Le chlorure de magnésium hexahydraté est en fait un sel lié à six molécules d'eau (MgCl2.6H2O). C'est le frère du sel qu'on met sur les routes l'hiver (MgCl2 chlorure de magnésium). C'est vrai qu'on s'en sert pour transformer le lait de soya en tofu, ou pour d'autres applications du quotidien. Pourtant, la fiche signalétique met en garde. Ce n'est pas un sel de table comme le chlorure de sodium (NaCl). Encore une fois, la question qu'on doit se poser c'est : quel potentiel de toxicité peut-il demeurer à une infime dose comme dans le vaccin ? Pour celui-ci, probablement pas grand chose mais je trouve que la question mérite d'être posée quand même.

 

4. L'anesthésiste-réanimateur Dr. Louis Fouché s'exprime très clairement sur les vaccins

Voici maintenant des segments d'entrevues importantes d'un médecin vraiment inspirant, le Dr. Louis Fouché (~42 ans), anesthésiste-réanimateur (ces médecins qui endorment des patients quand vient le temps de l'intubation sur les respirateurs artificiels) qui a sauvé des vies de patients intubés avec forme grave de covid19. Il a été sur le terrain depuis mars et voici le vidéo que j'ai monté (incluant un segment sur le conseil scientifique en France et Jean-François Delfraissy) :

Dr. Louis Fouché : "Le niveau de sécurité d'un vaccin doit être maximal, parce que vous ne devez pas rendre malades des gens qui ne sont pas malades."

Il y a un petit extrait audio aussi de Fouché invité au média CNews en France qui revient sur le cas de Pfizer condamné à 2,3 milliard:

Dr. Fouché n'est pas "anti-vaccin". Tout comme être 100% contre les vaccins ou 100% pour les vaccins est aussi absurde qu'être 100% anti-médicaments ou 100% pour les médicaments. Il y a des bons médicaments, et il y a des mauvais médicaments. Il y en a des très sécuritaires, et il y en a des dangereux. Même chose pour les vaccins. Il faut rester nuancés et ne pas tomber dans le piège de la simplification à outrance avec des étiquettes douteuses qui n'ont finalement pour effet que d'empêcher de se poser des questions très importantes.

J'ai assisté virtuellement à un séminaire vraiment très intéressant de Dr. Louis Fouché, où on le voit s'exprimer dans un contexte médical professionnel. C'était le 7 octobre 2020 et ça s'appelle "Réanimation et COVID - quelques points saillants!" et c'est possible de l'écouter sur YouTube en cliquant ici : https://www.youtube.com/embed/r1hOyShXHak

Voici d'ailleurs un extrait important de ce séminaire. Dr. Fouché et Pr. Didier Raoult (voir son CV), PhD, Directeur de l'Institut Hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-Infection et spécialiste en microbiologie et maladies infectieuses, expliquent comment ils sauvent maintenant des gens: "on a sauvé des gens qu'on n'aurait pas sauvé il y a 1 mois", en changeant la prise en charge, en évitant d'utiliser la respiration artificielle pour plutôt prioriser l'oxygénation à haut-débit OptiFlow (60 litres).

 

 

5. Technologie mRNA ou adénovirus ADN

* Ce segment a son propre URL: http://www.lecture-importante.com/mrna 

 

Peu de gens sont au courant que la technologie mRNA est une technologie encore nouvelle et selon plusieurs scientifiques de premier plan dans le monde, il est trop tôt dans le développement de cette technologie pour l'étendre à une population entière. Voici ce qu'en dit le Pr. Montagnier :

 

J'ai trouvé quelque chose de très intéressant sur la technologie mRNA utilisée dans les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna.

ADN : Premièrement, nous savons que l'acide désoxyribonucléique (l'A.D.N.), ce grand code génétique, "ce plan de la vie", qui détermine qui nous sommes et ce que nous sommes, est composé de 4 "bases", soit A C G T : les purines Adénine et Guanine, puis les pyrimidines Cytosine et Thymine.

 

ARN : Pour l'acide ribonucléique (l'A.R.N.), c'est un peu différent. La pyrimidine Thymine n'y est pas, c'est plutôt l'Uracile (U) qui prend la place. En résumé, ADN = A C G T, ARN = A C G U. Ça, c'est dans la nature.

Voici un tableau à deux colonnes pour comparer les caractéristiques de l'ADN, à gauche, et les caractéristiques de l'ARN, à droite :

On remarque que l'ADN a une structure en double hélice (bicaténaire), contrairement à l'ARN (simple hélice, monocaténaire). (Il y a des exceptions comme des virus ADN à simple brin, ou des molécules ARN double-brin, mais règle générale ce n'est pas ça qu'on retient.) Ci-dessous une autre représentation. Attention, ici, à gauche c'est la structure de l'ARN, à droite celle de l'ADN (inversé par rapport au tableau précédent).

 

Donc, si l'ADN "génomique" (notre ADN) est la longue chaîne moléculaire qui contient notre code génétique et qui siège dans le noyau de nos cellules et a bâti notre corps et le maintient en harmonie (par exemple, les cancers viennent entre autres de cellules où l'ADN a été abîmé, déréglé), l'ARN quant à lui est un code plus simple, qu'on retrouve souvent dans des organismes moins complexes, comme les virus (* je connais la théorie des exosomes mais ce n'est pas le moment d'en discuter ici).

L'ARN se retrouve par contre aussi sous forme d'ARN messager dans nos propres cellules naturellement, dont l'ADN de nos cellules se sert comme d'un signal -ou message- aux ribosomes intracellulaires (des organites -ou petits organes- dans la cellule) pour les faire synthétiser des protéines qui seront utiles à notre organisme. En d'autres mots, l'ARN messager agit comme une recette, et le ribosome comme le chef cuisinier qui prépare le plat : la protéine.

Dans les recherches de compagnies comme Moderna, certains se sont dit qu'en manufacturant des ARN messagers artificiels, on pourrait "hacker" les cellules pour les faire produire les protéines qu'on voudrait. (Source ci-dessous, ScienceMag) Comme ça, par exemple en thérapie génique, dans des maladies où le corps produit mal ou pas du tout certaines protéines à cause de maladies génétiques, on pourrait "guérir" la personne comme ça. Bien.

Les chercheurs se sont rendus compte que la cellule était capable d'identifier que l'ARN messager artificiel était un corps étranger. Résultat : apoptose (mort) de la cellule hôte et fin du processus. Échec.

Leur "hack" (piratage) du corps, c'est qu'ils ont alors altéré la composition d'un ARN messager naturel pour en faire un "ARN messager modifié", ou un MODified RNA... MODeRNA. Moderna... et oui! Qu'a-t-il de spécial ce modRNA ? À la place d'utiliser les bases Guanine, Adénine, Cytosine et Uracile, ils ont littéralement dénaturé une des bases, l'Uracile, remplacé par la "Pseudo-Uridine" (abrégé par la lettre grecque psi, qui ressemble à un trident, un chandelier de la fête juive de Hannouca, ou encore une fourche de démon : Ψ), un "analogue" de l'Uracile.

Par exemple, voici le début de la séquence du code génétique du modRNA de Pfizer-BioNTech :

On note qu'il y a des Adénines, des Guanines, et des Cytosines, jusque-là normal. Mais on voit qu'il est plein de Pseudo-Uridines ( Ψ ) partout (qui remplacent l'Uracile qu'on trouverait naturellement). C'est cette pseudo-base qui n'est pas naturelle, et elle est vraiment partout dans la séquence.

(Source : https://berthub.eu/articles/11889.doc)

 

Parenthèse, c'est fou à quel point ça me fait penser à un code hexadécimal en programmation informatique. Ci-dessous, le programme explorer.exe ouvert dans un éditeur hexadécimal dans ce qui semble être Microsoft Windows XP en "style classique" :

D'ailleurs Moderna a fait des drôles d'allusions entre "son" mRNA étant comme une "app", sa "médecine mRNA" le "logiciel de la vie", "qui fonctionne comme un système d'exploitation sur un ordinateur." (Source : https://www.modernatx.com/mrna-technology/mrna-platform-enabling-drug-discovery-development D'ailleurs considérant que Anthony Fauci et Bill Gates ont des liens avec Moderna, c'est d'autant plus "spécial" : https://www.jeremyrhammond.com/2020/09/16/fauci-gates-moderna/)

 

Dans l'image ci-dessous à gauche, on voit le modRNA, et à droite un "messenger RNA" (mRNA) naturel.

(Source : mRNA-Based Protein Replacement Therapy for the Heart, 10 avril 2019, https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1525001618305847)

Cette modification a permis à Moderna de "hacker" la cellule pour qu'elle ne détecte pas que le code est artificiel pour qu'elle traite ce modRNA comme un ARN messager normal, et qu'elle produise des protéines que le modRNA lui dit de produire.

Quand on entend dans les médias que "le vaccin c'est juste un ARN messager qui nous fait produire une protéine de surface du virus pour que notre système immunitaire développe des anticorps contre cette protéine de surface", c'est faux. Ce n'est pas un ARN messager, c'est un ARN messager modifié. C'est une technologie nouvelle, qui utilise une pseudo-base nucléique (la Pseudo-Uridine), et ça, personne n'en parle jamais. Personne le sait dans le grand public.

Comme on l'a vu plus haut, plusieurs chercheurs de premier plan sont très inquiets pour la suite des choses quant à ces vaccins qui utilisent une technologie émergente qui n'a jamais été utilisée avant massivement, et qui n'a jamais été couronnée de succès jusqu'à date.

(Sources :

https://www.sciencemag.org/news/2017/02/mysterious-2-billion-biotech-revealing-secrets-behind-its-new-drugs-and-vaccines

https://cen.acs.org/business/start-ups/mRNA-disrupt-drug-industry/96/i35

https://www.nature.com/articles/cr2014143)

 

Le même article (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1525001618305847) de ScienceDirect du 10 avril 2019 aborde aussi les vaccins à adénovirus ADN ou "viral vector vaccines" comme le AstraZeneca/Oxford ChAdOx1, et le Janssen/Johnson & Johnson, en tant que différentes méthodes de "livraison génique" (thérapie génique).

On observe dans cette image une comparaison entre la technologie Modified mRNA ["modRNA"] (Pfizer-BioNTech, Moderna) dans le milieu et Adeno-Associated Virus (AAV) en bas.

Les virus adéno-associés ne sont pas des adénovirus à proprement parler : ils cohabitent avec des adénovirus. Ce n'est donc pas exactement la même chose que par adénovirus (comme AstraZeneca/Johnson & Johnson). On peut quand même constater que pour les AAV, dans les inconvénients, il y a "intégration génomique", ce qui veut dire que le code génétique compris dans le vaccin est intégré dans le génome de la personne. Autrement dit, une altération de l'ADN. * Il faut investiguer davantage cette question. Vous avez des informations sur ce point? Écrivez-moi.

 

Nouveauté des technologies modRNA et adénovirus

Voici un autre segment de la discussion entre Eugenio Derbez et Anthony Fauci le 10 mars 2021, sur les vaccins mRNA [modRNA] (Pfizer-BioNTech, Moderna) et à adénovirus (AstraZeneca, Johnson & Johnson) :

(Pour info, le New York Times dit que le tout premier vaccin à technologie adénovirus (comme AstraZeneca et Johnson & Johnson) a été approuvé en juillet 2020 (contre Ebola), donc le "longtemps" de Fauci est à relativiser : "AZD1222 comes out of decades of research on adenovirus-based vaccines. In July, the first one was approved for general use — a vaccine for Ebola, made by Johnson & Johnson. Advanced clinical trials are underway for other diseases, including H.I.V. and Zika" Source : https://www.nytimes.com/interactive/2020/health/oxford-astrazeneca-covid-19-vaccine.html)

Pour ceux qui sont sceptiques quant à la "nouveauté" de ces technologies, lisez : mRNA vaccines — a new era in vaccinology, 19 avril 2018, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5906799/

Il y a aussi ces scientifiques qui, le 12 février 2020, disaient dans cet article de Pharmaceutics (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7076378/) : "Même si des obstacles de taille ont été résolus par la modification chimique des mRNA, la livraison intracellulaire des mRNA représente encore un défi colossal."

Parenthèse Les gens qui disent "Oui mais ça fait 30 ans que ça existe", chaque fois j'ai le goût de leur répondre : "C'est comme l'automobile à essence, ça fait 500 ans que ça existe ! Ben oui : on avait inventé la roue depuis longtemps, la charrette aussi, on savait extraire le pétrole depuis longtemps aussi." C'est le même genre de "glissement sémantique". Car effectivement : ce n'est pas parce que cette technologie a pu être à l'état embryonnaire et de recherche fondamentale pendant de nombreuses années qu'on vaccine avec ça depuis des années! C'est simplement un glissement dangereux et inexact!

 

Aussi, voici ce que le journaliste d'investigation depuis 30 ans et nominé pour un prix Pulitzer, John Rappoport, a écrit le 6 février 2020 sur ce sujet : "New vaccines will permanently alter your DNA", https://blog.nomorefakenews.com/2020/02/06/new-vaccines-permanently-alter-your-dna/ (Même si Rappoport est à contre-courant de la doxa des médias, étant journaliste d'enquête, j'inclus son analyse. Au lecteur de se positionner quant aux éléments et aux faits présentés. Biographie de Rappoport : https://nomorefakenews.com/aboutjon.html) Il est important de savoir que Rappoport cite des travaux qui parlent d'un vaccin "immunoprophylactique de transfert génique" qui n'est pas précisément (selon ce que je comprends) un vaccin modRNA, mais s'y rapprochant.

Voici un article scientifique (pre-print) parlant de SARS-CoV2 et de rétrotranscription : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.12.12.422516v1

Voici une synthèse proposée par le collectif du Dr. Fouché (réinfocovid) : "Intégration de l’ARN viral SARS-CoV-2 dans nos chromosomes", https://reinfocovid.fr/science/integration-de-larn-viral-sars-cov-2-dans-nos-chromosomes/

Dans le même ordre d'idée, voici ce que le Professeur Didier Raoult dit de la transcriptase inverse, responsable de l'intégration d'un code génétique d'ARN dans le code génétique ADN d'un être humain, par exemple :

On a appris plus haut que le modRNA se rend jusque dans les gonades (les ovaires ou testicules) où se trouvent les cellules germinales (qui donnent les ovules et spermatozoïdes), et on apprend maintenant qu'il y a un risque existant qu'ils s'impriment dans le code génétique par transcriptase inverse. On sait aussi que les modRNA sont des produits industriels contenant de la pseudo-uridine ( Ψ ). Logiquement, le pire scénario qui pourrait donc arriver avec ces paramètres est que ce modRNA (RNA modifié) s'imprime dans le code génétique d'un futur embryon et que cet humain à naître ait ce nouveau code génétique en lui.

Je le dis maintenant parce que ça m'y fait penser, mais je sais que ce qu'ils ont commencé à appeler ce qui suit la "génération Z", la génération "Alpha", comme "le renouveau". Je sais que la génération précédent la "Z" s'appelle "les milléniaux", jamais les "Y", donc c'était pas nécessaire de nommer les "Z" comme ça. Donc, je me pose vraiment la question c'est quoi l'affaire avec le nom "génération Alpha". Niveau coïncidence, il y a quelque chose. Je n'ai pas plus d'information à ce sujet, mais j'aimerais bien en avoir, si quelqu'un a quelque chose là-dessus. (Pas nécessaire de me dire "parce que ça suit Z".)

 

6. Concernant les enfants et les jeunes

Voici une petite section ajoutée début juin 2021 puisqu'on en entend beaucoup parler ces temps-ci, avec des ressources spécifiques sur ce sujet.

 

Voici un site spécifique sur ce sujet : https://www.discernaction.com/ avec une lettre ouverte.

Il y a une pétition sur le site du gouvernement du Canada spécifiquement contre la vaccination des moins de 18 ans : https://petitions.noscommunes.ca/fr/Petition/Details?Petition=e-3454

 

Enfants :

Mai 2021 : texte du médecin généraliste Dr. Eric Ménat (voir sa bio), "Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour…", https://www.aimsib.org/2021/05/23/sacrifier-des-enfants-pour-rien-ca-se-payera-un-jour/ et "Vacciner les enfants, est-ce bien éthique ?", https://reinfocovid.fr/science/covid-19-vacciner-les-enfants-est-ce-bien-ethique/ (~même texte)
 

24 mai 2021 : Dr Paul Elias Alexander, Howard Tenenbaum et Parvez Dara, "Les enfants ne doivent pas être vaccinés contre la covid19", https://reinfocovid.fr/science/les-enfants-ne-doivent-pas-etre-vaccines-contre-la-covid-19/
 

Ados :

14 mai 2021 : Forbes cite l'OMS : "WHO Chief Implores Rich Nations—Like The U.S.— To Not Vaccinate Children And Teens Against Covid And Donate Doses For Poorer Countries", https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/14/who-chief-implores-rich-nations-like-the-us--to-not-vaccinate-children-and-teens-against-covid-and-donate-doses-for-poorer-countries/?sh=34fcdbba61ae

 

24 mai 2021 : USA Today, CDC investigating cases of heart inflammation in teens, young adults who got two-shot COVID vaccine, https://www.usatoday.com/story/news/health/2021/05/24/covid-vaccine-heart-problems-teens-young-adults-what-we-know/5241271001/

 

4 juin 2021 : "Vaccination chez les jeunes: des scientifiques tirent la sonnette d’alarme", https://www.journaldemontreal.com/2021/06/04/vaccination-chez-les-jeunes-des-scientifiques-tirent-la-sonnette-dalarme

 

7. Des éléments qui font se poser beaucoup de questions

Deux nouvelles compagnies qui promettent de révolutionner la médecine, et "une ruée vers l'or" : Moderna et BioNTech

Aviez-vous entendu parler de Moderna ou BioNTech avant 2020 ? Moi jamais. Et c'est bien normal : ces compagnies n'existaient tout simplement pas encore assez récemment.

En faisant une recherche sur ces compagnies pharmaceutiques, leurs personnages-clés, et leurs "produits", je me suis rendu compte que certaines choses ne vont pas du tout.

 

Moderna, fondée en 2012 par Stéphane Bancel (un Français) à Cambridge, Massachussetts (USA), se situe juste à côté du MIT et de Harvard. Moderna n'a jamais pu faire autoriser aucun de ses produits pharmaceutiques par la FDA avant son vaccin covid19 de 2020. Notons comme on l'a déjà dit que c'est une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) et non pas une approbation. (Source : 16 décembre 2020, https://www.marketwatch.com/story/moderna-nears-its-first-ever-fda-authorization-for-its-covid-19-vaccine-11608134670)

Voilà ce que disait en 2017 NewsStat (fondé par l'un des dirigeants du Boston Globe) :

"SAN FRANCISCO — Moderna Therapeutics, the most highly valued private company in biotech, has run into troubling safety problems with its most ambitious therapy, STAT has learned — and is now banking on a mysterious new technology to keep afloat its brash promise of reinventing modern medicine." Moderna avait l'ambition de réinventer la médecine moderne mais n'arrivait pas à approuver un de ses produits : problèmes de sécurité.

(Source : https://www.statnews.com/2017/01/10/moderna-trouble-mrna/)

Il y a un article en anglais qui semble très fouillé sur le cas de la petite compagnie Moderna, avec des photos et des références ici : The Disturbing Truth About Moderna and its mRNA COVID-19 Vaccine: Part 1, https://anthonycolpo.com/the-disturbing-truth-about-moderna-and-its-mrna-covid-19-vaccine-part-1/

 

BioNTech, fondée en 2008 avec un investissement des frères Strüngmann (Mainz, Allemagne), des "serial entrepreneurs", est la petite entreprise à laquelle la big pharma Pfizer s'est associée. BioNTech développe la technologie modRNA tandis que Pfizer se charge des tests et de la logistique (montage du vaccin en masse).

De ce que j'ai recherché avec les termes ("biontech approved drugs") entre autres, je n'ai pas pu trouver un seul médicament ou vaccin de BioNTech approuvé avant l'autorisation d'utilisation d'urgence du vaccin covid19 en 2020.

 

Voici un article en 2015 sur l'extrême nouveauté des technologies mRNA : Germany, US in hot pursuit of “messenger” drug molecules, https://www.livemint.com/Politics/9DfW7XgTtr20pUiQh715pM/Germany-US-in-hot-pursuit-of-messenger-drug-molecules.html

 

Pourquoi c’est vraiment très louche ?

  • De toute l’histoire de la vaccination, AUCUN autre vaccin n’a été administré massivement à des populations générales sous le statut « Emergency Use Authorization » (autorisation d’urgence seulement). Il avait toujours été approuvé (même pour le H1N1 de 2009). (https://www.immunize.org/timeline/)
  • Aucun candidat-vaccin contre les coronavirus (notamment dans les cas du SRAS en 2003-2004 et du MERS en 2012) n’a jamais été approuvé. Ils ne passaient pas les tests de sécurité !

Et on a vu plus haut dans cette section (au point 1.) que les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement ne sont pas "légalement responsables" s'il arrive malheur aux vaccinés.

 

Il me semble qu'absolument toutes les lumières du tableau de bord clignotent en rouge dans cette affaire !




- Anthony Fauci (le directeur du NIAID américain et celui qui est en charge de la gestion de la pandémie du coronavirus aux États-Unis, l'équivalent de Horacio Arruda au Québec ou Jérôme Salomon/Olivier Véran en France) et,

- Jerome Adams (le Surgeon General américain),

disent que les vaccins-covid auraient un effet pour les gens qui développeraient des symptômes sévères, mais les vaccins n'empêchent pas l'infection et donc la contagion et la contamination. Les compagnies pharmaceutiques affirment seulement que les symptômes des cas graves (donc certaines personnes âgées ou avec comorbidités) seront moins sévères. Les gens qui seront vaccinés pourront quand même "mourir du coronavirus".

Sources:

  1. NBC, 5 mars 2021. Fauci explique que les vaccinés doivent continuer à porter un masque après le vaccin. https://www.nbcchicago.com/news/local/dr-fauci-explains-why-you-should-still-wear-a-mask-after-getting-the-covid-vaccine/2455056/
  2. Daily Mail, 14 décembre 2020. Le Surgeon General dit qu'il faut que les gens continuent le port du masque même après être vaccinés. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9051427/Surgeon-General-Jerome-Adams-says-people-need-wear-masks-vaccine.html


  3. Globe and Mail, 9 mai 2021 : Theresa Tam avertit que les vaccins n'équivalent pas à une protection complète, https://www.theglobeandmail.com/canada/article-tam-warns-canadians-that-full-vaccination-does-not-equal-full/
     

(Je cite des sources américaines parce que de toute façon c'est les mêmes vaccins. De plus, il y a une telle coordination dans le monde occidental que c'est du pareil au même. Arruda dit la même chose, en France aussi, etc.)

Dans la logique des compagnies pharmaceutiques, si l'effet protecteur "à 90 %" du vaccin consiste en ce qu'il diminuerait les symptômes graves et les visites en salle de réanimation des personnes faisant des cas graves (rares), alors ce vaccin ne concerne pas la grande majorité de la population puisque ce virus est tout à fait bénin chez la grande majorité des gens. Répétons-le : selon Fauci et Adams eux-mêmes, le vaccin n'empêche pas l'infection ni la contagion et contamination. L'idée donc, qu'on entend souvent, de le prendre "pas pour moi, mais pour ne pas le donner aux autres" est absurde, vraiment absurde, parce que ce n'est pas ce qu'ils disent que ce "vaccin" fait ! Voici un segment de discussion entre Anthony Fauci et l'acteur Eugenio Derbez qui a pu poser des questions à Fauci le 10 mars 2021, où c'est exactement ce qu'ils disent :

Lorsqu'on dit que le vaccin ne marche pas, c'est que normalement un vaccin qui marche, c'est supposé briser la transmission entre les gens. Ici, la seule chose qu'il fait (selon les essais cliniques réalisés par les compagnies pharmaceutiques), c'est probablement diminuer la gravité des symptômes des rares personnes qui développent un cas grave, donc les "personnes à risque" (comorbidités, 70 ans et plus, diabète, alzheimer, etc.).

(Source : 21 octobre 2020 : Dr. Peter Doshi, Will covid-19 vaccines save lives? Current [clinical] trials aren’t designed to tell us The British Medical Journal, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037/

18 mai 2021 : Dr. Peter Doshi, Covid-19 vaccines: In the rush for regulatory approval, do we need more data?, https://www.bmj.com/content/373/bmj.n1244)

(Sources : Journal de Québec, "97 % des victimes de la première vague avaient des comorbidités", 2 décembre 2020, https://www.journaldequebec.com/2020/12/02/97-des-victimes-de-la-premiere-vague-avaient-une-comorbidite

StatCan et la COVID-19: Comorbidités liées aux décès impliquant la COVID-19 au Canada, https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/45-28-0001/2020001/article/00087-fra.htm)

 

Voici un segment d'entrevue en France où Jean-Jacques Bourdin reçoit un médecin à propos des vaccins :

Par exemple :

31 mars 2021 : Une femme est positive après avoir reçu ses deux doses de Moderna, The New York Post, https://nypost.com/2021/03/31/covid-19-after-getting-of-vaccine/

22 avril 2021 : Un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination, Le Point, https://www.lepoint.fr/sante/un-variant-du-covid-se-propage-dans-une-maison-de-retraite-malgre-la-vaccination-22-04-2021-2423319_40.php

27 avril 2021 : Coronavirus : Deux personnes décédées en Guyane alors qu’elles avaient été vaccinées, 20minutes, https://m.20minutes.fr/amp/a/3029735

1er mai 2021 : "Plus de 500 personnes hospitalisées à cause du coronavirus après avoir reçu le vaccin", Standard (UK), https://www.standard.co.uk/news/uk/covid-vaccine-uk-500-admitted-hospital-b932792.html

Début avril 2021, en France :

Juin 2021 : Belgique. Vaccinés, douze résidents d’une maison de repos décèdent du Covid-19, https://www.marianne.net/societe/sante/belgique-vaccines-douze-residents-dune-maison-de-repos-decedent-du-covid-19

Juin 2021 : Almost 4,000 fully vaccinated people in Massachusetts have tested positive for COVID-19, https://www.foxnews.com/health/4000-fully-vaccinated-tested-positive-virus-massachusetts

 

Étant donné que les essais cliniques ont été faits pour évaluer une diminution des symptômes graves pour les populations à risque, il serait difficile de statuer sur le "bris de transmission" entre les personnes puisque comme le Dr. Doshi le dit, les essais n'ont pas été faits pour évaluer ça. Faire de la science autour de ça supposerait au minimum d'avoir des groupes de patients qu'on expose aux mêmes facteurs environnementaux et sociaux, dans le même état de santé (mêmes comorbidités, même énergie générale) et le même groupe d'âge, et qu'un groupe serait vacciné tandis que l'autre ne le serait pas. Cette étude devrait évidemment être faite par des équipes qui n'ont tout à fait aucun conflit d'intérêts, aucun lien avec l'industrie pharmaceutique ou autre organisation ayant un agenda envers ses actionnaires ou autres motivations qui sortent de la science pure.

Un peu comme avec Edward Jenner et son expérience du 14 mai 1796 sur le garçon de 8 ans avec la vaccine et la variole (la vaccine [cowpox] est une maladie de la vache qui ressemble à la variole, que les humains peuvent attraper mais qui est assez bénigne chez l'humain comparée à la variole). Pour vérifier si son "vaccin" fonctionnait, il a littéralement exposé le garçon à des fluides biologiques (du pus infecté) d'abord d'une femme ayant contracté la vaccine, puis ensuite d'un variolique plus d'un mois plus tard. Lorsqu'il s'est rendu compte que le garçon ne tombait pas malade et ne transmettait pas, il a pu conclure à une certaine efficacité dans le bris de transmission. Il faut toutefois rappeler que la variole avait un tableau clinique très caractéristique, avec un taux de mortalité de 30%. C'est-à-dire qu'on n'aurait pas pu la confondre avec une mauvaise grippe (mais on a pu confondre avec la syphilis, autrement nommée grande vérole. La variole elle, petite vérole). (Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1200696/)

 

Attention, le contenu de cette boîte bleue date du début juin 2021, et il est laissé ici dans une volonté d'archivage de l'information.

Rien n'est valide ci-dessous parce qu'il est absolument évident à l'orée de 2022 que le vaccin ne stoppe pas l'épidémie du tout et que l'"immunité collective" à 75%, 80%, 85% du taux de vaccination est un mensonge éhonté. La seule possibilité d'immunité collective passera par une immunité naturelle, mais pas par ces "vaccins".

 


 

Par exemple, fin mai 2021, il y a de plus en plus d'"études" qui sortent pour dire que le vaccin brise la transmission virale. Ces "études" proviennent surtout d'Israël et du Royaume-Uni (UK).

Ce qui est intéressant dans ce tweet de ce médecin employé du gouvernement du Québec, c'est que :

  • ces "études" proviennent pour les plus grosses directement des organes de santé publique des gouvernements israéliens et anglais (ministère de la santé, santé publique), qui cherchent le plus d'arguments possible pour que les gens se fassent vacciner. Ils ne sont donc pas indépendants dans le processus (conflits d'intérêt). (Voici l'article du Dr. Kamran Abbasi, executive editor du British Medical Journal (BMJ) : Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science - The BMJ (version française annotée ici)
  • ces "études" dans la vie réelle, comme je l'ai dit plus haut, ne sont pas randomisées, double aveugle, effectuées dans des conditions de laboratoire. Ce sont des chiffres récoltés dans la population générale dans un environnement réel, sujet à une foule de variables incontrôlables. La validité de ce genre d'études est relative et on doit donc en tenir compte. Je le redis, comme Dr Doshi : les essais cliniques n'ont pas été faits pour déterminer s'il y avait un bris de transmission.

Ce n'est pas avec des "études" faites sur le tas en population réelle par des gens ayant des conflits d'intérêt qu'on fait de la bonne science.

 




Au Québec

Mi-juillet 2020.

Lorsqu'on regarde les directives du gouvernement du Québec sur son site (https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/coronavirus-2019/reponses-questions-coronavirus-covid19/isolement-symptomes-traitements-covid-19#c59083 - (info introuvable sur leur site après octobre 2021, archivé ici) Questions "Sur quelles études se base le gouvernement pour obliger le port du masque ou du couvre-visage?" et "Est-ce que le port du masque ou du couvre-visage peut protéger contre la covid?"), et qu'on tente de savoir sur quoi il se base pour recommander et obliger le masque, il dit qu'il se base sur des "organismes de référence" dont l'OMS, le CDC américain et l'Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ). Il cite cet avis (commandé par le gouvernement qui à ce moment-là ne se cache pas de considérer rendre les masques obligatoires !) de 60 pages de l'INSPQ datant du 16 juillet 2020 (soit deux jours avant le début du décret rendant le masque obligatoire, le 18 juillet 2020) : https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/covid/2972-couvre-visage-population-covid19.pdf

Le gouvernement du Québec dit :

Le port du masque d’intervention (masque de procédure) confère une protection au porteur et aux personnes autour de lui lorsque le masque est bien positionné et recouvre le nez et la bouche. Consultez l’avis produit par l’Institut national de santé publique pour obtenir plus d’information.

Dans le dit avis de l'INSPQ, il est écrit que :

L’efficacité du port du masque médical (chirurgical ou de procédure) par la population générale à prévenir l’acquisition de maladies respiratoires a été peu étudiée et est débattue dans la littérature scientifique depuis plusieurs décennies. La qualité méthodologique des études disponibles est jugée faible et les résultats apparaissent très hétérogènes.

Ça part mal ! Alors que le gouvernement du Québec écrit sa phrase avec une grande certitude (confère une protection), l'avis de l'INSPQ sur lequel il se base pour dire ça, sur le même sujet utilise les mots : peu étudié, débattu, qualité des études jugée faible. L'INSPQ ajoute :

Le port d’un couvre-visage ou d’un masque peut également entraîner des effets indésirables, particulièrement lorsqu’il doit être porté sur de longues périodes. On peut observer des difficultés respiratoires, des problèmes cutanés et des problèmes de communication pouvant être critiques pour certaines populations (par exemple, les jeunes enfants, les aînés ayant des troubles cognitifs [...]

Enfin, au Québec, le gouvernement recommande fortement le port du couvre-visage dans les lieux publics, particulièrement lorsque la distanciation physique n'est pas possible et impose le port obligatoire dans les transports en commun, dès la mi-juillet 2020. En plus des actions gouvernementales, la mairesse de Montréal a imposé le port du masque obligatoire dans tous les lieux publics fermés, une mesure similaire à celles prises par d’autres villes canadiennes. Les autorités réitèrent que le port du couvre-visage dans les lieux publics doit obligatoirement s’accompagner des autres mesures de protection, comme l’application des mesures d’hygiène et de distanciation physique.

J'ai trouvé intéressant de constater une forme de "boucle infinie" entre le document de l'INSPQ et les directives du gouvernement, où chacun renvoie la balle à l'autre.

Rappelons que même si Arruda-Legault-Dubé vantent sans cesse l'indépendance de l'INSPQ, cet institut est quand même dans l'organigramme de la santé et des services sociaux du gouvernement, et est pleinement subventionné par le gouvernement. Il y a indépendance et indépendance.

À la question Est-ce que le port du masque ou du couvre-visage peut protéger contre la covid?, le gouvernement répond sur son propre site d'information :

Le port du couvre-visage (masque artisanal), pourrait [l'utilisation de la forme conditionnelle indique une incertitude] permettre de diminuer la transmission du virus de la COVID‑19 d’une personne infectée qui a peu ou qui n'a pas de symptômes à d’autres personnes. Il n’y a pas de données probantes qui prouvent que le port du couvre-visage dans la communauté protège la personne qui le porte.

 

21 septembre 2020.

L'Institut national de la santé publique (INSPQ) a publié une méta-analyse le 21 septembre 2020 s'intitulant : « Efficacité des méthodes barrière pour protéger contre la COVID-19 dans les environnements de travail et personnels : revue systématique de la littérature scientifique avec méta-analyses », disponible au :

(https://www.inspq.qc.ca/publications/3053-methodes-barrieres-environnements-travail-covid19)

C'est important de dire pour ceux qui ne le savent pas qu'une méta-analyse consiste à comparer des résultats d'une multitude d'études sur le sujet qu'on étudie afin d'en faire ressortir des conclusions significatives. Dans cette méta-analyse, il est dit ceci en conclusion, textuellement : « Il manque de données scientifiques fiables pour juger de l’efficacité ou de l'inefficacité du couvre-visage dans la population générale. »

Bernard Drainville a réagi à cette étude lors de son émission de radio sur les ondes du 98.5 FM à Montréal le 21 septembre 2020 :

 

 

Novembre 2020. Étude scientifique au Danemark

En novembre 2020, l'étude danoise DANMASK-19 a étudié l'effet du port du masque sur 6000 personnes. Saluée par les Professeur Carl Heneghan et Dr Tom Jefferson de l'Université Oxford en Angleterre, les savants ont répété leur inquiétude quant au manque de preuve sur l'efficacité des masques contre le COVID-19 en population générale. (Daily Mail UK, 19 nov. 2020, "Masks DON'T stop the spread of covid" : https://www.dailymail.co.uk/news/article-8966883/Masks-DONT-stop-spread-Covid-experts-criticise-troubling-lack-evidence.html)

(L'étude DANMASK-19 est consultable ici : https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/m20-6817)

 

Début 2021. Étude allemande, masque chez les enfants

Une étude allemande sortie début 2021 nommée "Co-Ki" a analysé les conséquences du port du masque chez les enfants sur un échantillon de plus de 20 000 personnes. 68 % des parents ont rapporté un effet néfaste sur leur enfant. L'étude a conclu les effets suivants du port du masque sur les enfants: irritabilité (60%), mal de tête (53%), problèmes de concentration (50%), moins heureux (49%), pas le goût d'aller à l'école/la maternelle (44%), malaise (42%) difficultés d'apprentissage (38%) étourdissements, fatigue (37%). L'étude conclut aussi ceci : « La COVID-19 est rare chez les enfants. Il n'y avait pas de preuve convaincante que les enfants sont une source significative d'infection au SARS-CoV2, ni que les enfants courent un risque important. »

(L'étude Co-Ki est consultable ici : https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v3, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33162611/)

 

Dans une autre étude parue en mai 2020 dans le journal scientifique New England Journal of Medicine, il est dit : "Nous savons que porter un masque en-dehors du système hospitalier n'offre que très peu, voire pas du tout, de protection." (Source : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372)

 

Une publication du Center for Disease Control (CDC) des États-Unis a donné lieu à cet article du California Globe, journal indépendant : "New CDC Study Finds Majority of Those Infected with COVID-19 ‘Always’ Wore Masks" (Source : https://archive.is/TdoCu) La publication dit que la majorité des gens qui ont contracté le coronavirus portaient toujours un masque, mais l'ont contracté quand même. Ça et tout ce que j'ai présenté avant, en simple, ça veut dire que ceux qui disent sans cesse que si tout le monde portait un masque 100% on arrêterait net la pandémie disent juste n'importe quoi.

 

Le 25 mai 2021, département de biologie, université de Louisville, Kentucky (USA). Un article scientifique en pre-print (non vérifié par les pairs) a été publié : "Mask mandate and use efficacy in state-level COVID-19 containment", https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.18.21257385v1

 

Avec le recul des derniers mois, et avec notamment le cas remarquable des États-Unis (où, la pandémie est gérée état par état, comme au Canada province par province), il est possible de comparer des états américains ensemble, notamment ceux qui ont eu un "mask mandate" (obligation du port du masque) avec ceux qui n'en ont pas eu. Ce qui en ressort est affligeant.

Premier graphique, de novembre 2020 à mars 2021 :

Second graphique, de mai 2020 à avril 2021 :

(Les sources sont inscrites sur les graphiques.)

On constate aux États-Unis que les courbes des états sans masques obligatoires et les états avec masques obligatoires obéissent aux mêmes tendances ascendantes ou descendantes, en même temps.

 

Voici un autre graphique similaire mais pour la situation au Japon :

 

D'autre part. Ce qui est intrigant, c'est que les "études qui montrent que le masque fonctionne" sont bien souvent faites par des chercheurs en dynamique des fluides ou des aérosols qui sont en fait des physiciens ou des chimistes qui font des modélisations, mais pas des virologues ou des épidémiologistes qui regardent les résultats finaux dans le monde réel de gens qui tombent malades ou qui décèdent.

Exemples de ces études de physiciens et chimistes :

Hydrating the respiratory tract: An alternative explanation why masks lower severity of COVID-19, (Biophysj, 120 (2021) 994-1000. doi:10.1016/j.bpj.2021.02.002)

Can face masks offer protection from airborne sneeze and cough droplets in close-up, face-to-face human interactions? (Phys. Fluids 32, 127112 (2020); doi:10.1063/5.0035072)

Puis récemment, la "source scientifique" présentée par Radio-Canada dans l'article appuyant la nouvelle mesure du gouvernement "Pourquoi porter le masque à l'extérieur?" (14 avril 2021) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1784537/port-masque-covid-coronavirus-quebec-exterieur-aerosols est Dre Parisa A. Ariya, professeure en chimie et en sciences océaniques et atmosphériques à l'université McGill.

En fait, ces chimistes, ils sont capables de modéliser et montrer que les gouttelettes sont plus stoppées par un "écran" devant le visage (un masque, un couvre-visage), que sans écran. Jusque-là... c'est assez logique. C'est que le problème n'est pas de savoir si des gouttelettes sont bloquées. Le problème, c'est de savoir si les courbes épidémiques sont très différentes avec ou sans masque : donc si le port du masque est capable de tuer une épidémie ou empêcher une courbe de monter. La réponse, selon les études, est non.

D'ailleurs, revenons à l'étude de l'INSPQ du 21 sept. 2020 juste pour l'entrée en matière du prochain sujet, en montrant la réaction de Arruda, peu après le 21 septembre 2020 :

Ce qui est vraiment intéressant, c'est qu'en fait contrairement à ce que dit Arruda, on a des exemples réels dans le monde, comme l'exemple ci-dessous.

 

La Suède, pays sans masques depuis des mois

Le meilleur exemple est la Suède qui n'a pas rendu obligatoire le masque, n'a pas fait de confinement et de couvre-feu. Ce qui est aussi super avec la Suède, c'est que c'est un pays occidental qui vit exactement comme nous, avec un climat similaire, une densité de population urbaine similaire, et une démographie similaire (même espérance de vie de 82 ans). La pyramide des âges de la Suède nous indique que comme le reste de l'Occident, c'est un pays où il y a beaucoup d'aînés. En gros, on compare des pommes avec des pommes quand on regarde la situation québécoise vis-à-vis de la situation suédoise.

Ce n'est pas vrai que culturellement, les Suédois sont des "protestants austères qui vivent d'ascétisme cloîtrés et abstinents" comme voudraient nous le faire croire certains crack-pots. Les Suédois vont au resto, vont dans des clubs, sortent, font la fête, vivent. Et eux, ils y vont encore parce qu'il n'y a pas de mesures.

Les seules mesures que le gouvernement a mises en place depuis mars 2020 en Suède ont été la limitation du nombre maximum de personnes dans certaines activités (la pire mesure pour les Suédois est genre de ne pas être plus de 8 personnes dans une habitation privée) et la recommandation de la distanciation sociale. Tout continue de fonctionner, sans masque, sans confinement, sans couvre-feu. Et devinez quoi, il n'y a pas eu d'hécatombe et la moitié du pays n'est pas morte.

Voici les données de mortalité coronavirus pour la Suède :

Voici les données de mortalité coronavirus pour le Québec :

Dans la courbe de la Suède comme celle du Québec, on voit deux bosses, la première en mars 2020, puis la seconde commençant vers octobre jusqu'à maintenant : les "deux vagues". Dans la première vague au Québec, le jour recensé avec le plus grand nombre de morts est le 29 avril avec 152 morts pour cette journée (ont-ils compté des morts d'autres journées dans ce jour, je ne sais pas) et la pire journée dans la deuxième vague est le 13 janvier 2021 avec 68 décès. En Suède, les deux vagues ont des sommets pour les pires journées autour de 120 décès (28 décembre, pire journée avec 121 morts). Il faut dire que la Suède a 10,4 million d'habitants contre 8,5 millions au Québec, donc 2 millions de moins de personnes au Québec. Sans toutes les mesures sanitaires excessives et inefficaces imposées au Québec, la Suède n'a pas connu d'hécatombe et on y observe des chiffres similaires à ceux de pays occidentaux qui vivent des mesures sévères.

La Suède a à peu près le même nombre de morts par million d'habitant (1 324 en Suède) que le Québec (1 256) ! Pour comparaison, en République tchèque c'est de 2 464 et en Belgique c'est de 1 975. Dans cette catégorie, la Suède est en 27ème place mondiale, bien après la France, le Brésil, les États-Unis, le Mexique, l'Italie, l'Angleterre, l'Espagne, le Portugal. Si le Québec était un pays, il serait à la 28ème place juste après la Suède. (Selon les chiffres de Worldometers du 31 mars 2021, https://www.worldometers.info/coronavirus/) Selon ces mêmes chiffres, si on prend les chiffres du R.O.C. (Rest of Canada) sans le Québec, le Canada quant à lui arriverait à la 73ème place avec seulement 415 morts par million d'habitants !

Pour ceux qui disent "Oui mais au Québec on a eu l'anomalie majeure des CHSLD et de la semaine de relâche" : croyez-vous sincèrement que la "semaine de relâche" existe seulement au Québec? J'espère que non. Pour les CHSLD, nos "nursing homes (care homes)" au Québec, voici quelques actualités de la situation suédoise :

8 mai 2020 : La Suède débute une enquête criminelle sur une maison des aînés à Stockholm après la surmortalité de coronavirus (Sweden Starts Criminal Probe Into Care Home After Coronavirus Deaths) https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-05-08/sweden-starts-criminal-probe-into-care-home-after-virus-deaths (C'est un peu l'équivalent de nos CHSLD genre Herron)

19 mai 2020 : Coronavirus: Qu'est-ce qui ne va pas dans les maisons des aînés suédoises? (Coronavirus: What's going wrong in Sweden's care homes?) https://www.bbc.com/news/world-europe-52704836

30 novembre 2020 : L'échec des maisons des aînés suédoises hante les proches laissés derrière (Sweden's nursing home COVID failures haunt relatives left behind), https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-sweden-nursinghome-idUSKBN28A28O

On constate que la Suède a aussi eu son "problème de CHSLD".

 

Voici une Québécoise en Suède qui raconte ce qu'elle y a vécu :

On remarque, évidemment, la note négative du média Le Devoir, en parlant d'approche "controversée" (mot ayant définitivement une connotation péjorative à l'époque actuelle).

 

Autrement sur les masques en général, le 25 janvier 2021, l'expert des États-Unis Dr. Anthony Fauci a dit: "Si tu mets 2 masques à la place de 1 masque, c'est juste le gros bon sens ("it's common sense") que ça rend ça plus efficace" (Source : https://www.webmd.com/lung/news/20210126/double-masking-makes-common-sense-fauci-says) En disant ça, il a avoué donc ne se baser sur aucune science mais sur "le gros bon sens" pour formuler cette énième "recommandation". C'est la même chose aussi en janvier avec Arruda-Legault-Dubé pour le couvre-feu, alors qu'au début ils justifiaient tout en disant que : la science dit, donc nous on suit. J'en reparle plus bas.




Le 8 avril 2021, le gouvernement du Québec a proclamé que le port du masque extérieur serait obligatoire dans les activités sportives lorsqu'on est "en groupe de 2 personnes et plus n'habitant pas à la même adresse". "Cela inclut jouer dehors, marcher, courir, jouer au golf, faire du jogging ensemble dans la rue, faire du vélo, etc." (Sources : https://www.journaldequebec.com/2021/04/09/nouvelle-regle-sanitaire-quand-faut-il-porter-le-masque-a-lexterieur

https://www.narcity.com/fr-ca/nouvelles/port-du-masque-obligatoire-lors-dactivits-extrieures-ce-que-tu-dois-savoir)

Toutefois, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a été claire que les gens ne devraient PAS porter le masque lorsqu'ils font de l'exercice. Oui, tout simplement parce que l'exercice demande au corps une respiration plus exigeante que la respiration au repos. Lorsque l'OMS parle de "respirer confortablement", c'est un euphémisme pour dire... respirer tout court.

Donc notre gouvernement suit l'OMS une fois, et cette fois-ci, va contre l'OMS. Bizarre non?!

Voici le message de l'OMS :

(L'OMS a aussi publié cette recommandation en format vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=1_AxGswGnno)

 

Voilà ce qu'un médecin chirurgien français, le Dr. Éric Loridan pense du port du masque (qu'il porte depuis des décennies) dans cette vidéo datant de août-septembre 2020 :

Dr. Loridan explique en fait que l'air du bloc opératoire est renouvelé et rafraîchi constamment par des systèmes de filtration d'air efficaces. D'autant plus les chirurgiens sont statiques : ils ne vont pas faire un marathon ou marcher. Ils restent debout ou assis, seuls leurs bras bougent. "Il n'y a pas beaucoup d'énergie physique demandée et réclamée à notre organisme". Donc pas trop d'oxygène non plus. Dr Loridan dit qu'ils sont tous en bonne santé cardiaque et respiratoire au bloc opératoire. Sitôt l'intervention chirurgicale terminée, ils baissent le masque spontanément. Dr. Loridan explique que le masque sert surtout à protéger les chirurgiens de projections de sang ou autres matières dans le visage. Il souligne que le masque ne protège pas des virus et bactéries et que si quelqu'un connaît une étude qui prouve cela, alors que cette personne le lui dise.

 

Un article scientifique de l'université de Leipzig est paru le 6 juillet 2020 dans le Clinical Research in Cardiology, s'intitulant : "Effects of surgical and FFP2/N95 face masks on cardiopulmonary exercise capacity" Il y est dit ceci :

Ventilation, cardiopulmonary exercise capacity and comfort are reduced by surgical masks and highly impaired by FFP2/N95 face masks in healthy individuals. These data are important for recommendations on wearing face masks at work or during physical exercise. [...] Medical face masks have a marked negative impact on cardiopulmonary capacity that significantly impairs strenuous physical and occupational activities. In addition, medical masks significantly impair the quality of life of their wearer. These effects have to be considered versus the potential protective effects of face masks on viral transmissions.

(Traduction : La respiration / ventilation, les capacités d'exercice cardiorespiratoire et le confort sont réduits par les masques chirurgicaux et grandement compromis par les masques FFP2/N95 chez les individus en bonne santé. Ces données sont importantes pour les recommandations de porter un masque au travail ou durant l'activité physique. [...] Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur les capacités cardiorespiratoires et compromettent de façon significative les activités physiques et de travail demandant un effort. De plus, les masques médicaux réduisent significativement la qualité de vie de ceux qui les portent. Ces effets doivent être considérés versus les potentiels effets protecteurs des masques quant à la transmission virale."

(Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7338098/)

 

Une étude scientifique de l'université Manipal College of Health Professions en Inde publiée le 22 juin 2020 s'intitulant : "Exercise with facemask; Are we handling a devil's sword?", aborde les mêmes problèmes que l'étude de Leipzig. Les figures de l'étude sont éloquentes :

Voici une figure à propos des conséquences physiologiques induites par l'exercice avec port du masque.

(Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7306735/)

Il est vraiment très important de rappeler que : plus l'exercice est intense et plus le masque est étanche, plus ces effets physiologiques seront importants. Par exemple, une marche soutenue avec un masque artisanal fait en tissu très aéré aura énormément moins d'effets qu'une course rapide avec un masque N95. Logique.

Parlant du N95, voici une vidéo du déballage de masques N95 (N95 est comme KN95 ou FFP2), avec les directives du fabricant.

Voilà les directives exactes :

Lorsqu'il n'est pas utilisé, retirer le masque du visage et le laisser suspendre autour du cou. Si la respiration devient difficile lors du port du masque ou si le masque est endommagé, cesser immédiatement l'utilisation.

Mises en garde :

1) N'éliminera pas les risques possibles de contracter des infections ou une maladie.

2) Il est nécessaire de suivre toutes les instructions d'utilisation afin de s'assurer de l'efficacité de cet article. Ne pas suivre correctement pourrait causer des blessures ou même la mort.

3) Pour des raisons de santé, il est recommandé que vous communiquiez avec les agences relatives aux normes du travail afin de confirmer que cet article répond aux normes de sécurité spécifiques à votre emploi.

4) Cet article n'est pas un masque à oxygène. Utiliser en tout temps dans un endroit bien aéré où les niveaux d'oxygène ne sont pas inférieurs à 19,5%.

5) En cas de contact avec des contaminants qui pourraient poser une menace immédiate, et qu'une menace immédiate pour la santé ou la vie est possible, cesser l'utilisation.

6) Si, au moment de l'utilisation de cet article, la respiration est compromise ou si vous éprouvez des étourdissements, quitter l'espace de travail et se rendre où il y a de l'air frais. Retirer le masque.

7) Prière de noter que les poils de barbe ou de moustache peuvent réduire l'efficacité générale du masque.

8) Le respirateur et le masque ne devraient pas être altérés ou modifiés.

9) Jeter le masque après utilisation. Utilisation unique seulement.

* Tenir à l'écart de la lumière directe du soleil.

(Voir une copie de la feuille de directives ici)

Je trouve très intéressant que le fabricant dise explicitement sur les directives d'un masque N95 qu'il n'élimine pas les risques de contracter des infections ou une maladie. Pourquoi? Et bien parce que c'est précisément ce masque qui nous est présenté comme le "top of the top" depuis des mois maintenant, (le bas de l'échelle étant le "couvre-visage artisanal", ensuite le "masque chirurgical / de dentiste", et enfin le super-ultra masque N95). Et bien, apparemment non, en tout cas pas selon ce fabricant. Et je spécifie qu'il n'est pas écrit quelque chose comme "Vous protège contre 95% des virus et bactéries!" Non, absolument rien de ça. Le fabricant n'a pas du tout l'air de présenter son produit comme étant une solution contre les infections bactériennes ou virales. Le fabricant dit aussi que dès le moment où on ressent que notre respiration devient difficile ou est compromise on doit retirer le masque et aller dehors, à l'air frais.

 

 

Chronologie du masque imposé aux enfants toute la journée

Le gouvernement Legault a dit qu'au retour de la semaine de relâche (première semaine de mars, les enfants du primaire auraient à porter toute la journée (pendant 8 heures) deux masques fournis par le gouvernement, un l'avant-midi, un l'après-midi.

Voici ce que Paul Arcand en dit le 28 février 2021, quelques jours avant la semaine de relâche :

Quelques jours après, vers le 10 mars 2021, ce que François Legault dit à propos des parents qui trouvent cela excessif pour leurs enfants :

Il dit : "Beaucoup d'autres endroits dans le monde : en Ontario, en France." (...)

Et voici enfin ce qu'on apprend, quelques jours plus tard, fin mars 2021, que parmi ces masques distribués aux enfants, certains sont rappelés parce qu'ils sont toxiques... Je n'imagine pas le genre de feeling des parents à l'écoute de cette nouvelle.

Le masque peut évidemment être nocif s'il s'avère qu'il est toxique (contenant du graphène par exemple, qui est une nanoparticule de carbone produite depuis 2004, ou autre matériau toxique)...

28 mars 2021, Journal de Montréal, "Masques toxiques dans les écoles, Québec doit interdire..." https://www.journaldemontreal.com/2021/03/28/masques-toxiques-quebec-doit-interdire-louverture-des-ecoles-qui-ne-sont-pas-en-mesure-de-fournir-des-produits-conformes-selon-un-syndicat

27 mars 2021, Le Devoir, "Québec a encore envoyé des masques non conformes aux garderies" https://www.ledevoir.com/societe/sante/597714/quebec-a-encore-envoye-des-masques-non-conformes-aux-garderies

3 avril 2021, Le Devoir, "Santé Canada rappelle des masques contenant du graphène" https://www.ledevoir.com/societe/sante/598206/sante-canada-rappelle-des-couvre-visages-contenant-du-graphene

7 avril 2021, Journal de Montréal, "Masques avec graphène, une demande de recours collectif déposée" https://www.journaldemontreal.com/2021/04/07/masques-contenant-du-graphene-une-demande-daction-collective-a-ete-deposee

 

Une autre étude fait état de présence de formaldéhyde (du formol ! très cancérigène) dans les masques, et de plastiques reliés à des dermatites : "Surgical mask dermatitis caused by formaldehyde (releasers) during the COVID-19 pandemic" (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/cod.13626) (un article compilé d'autres substances est disponible ici : https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=2374 je n'ai pas lu et vérifié ce texte d'un bout à l'autre, mais il y a des hyperliens vers les sources sérieuses pour recouper l'information.)

 

Ensuite, il ne faut pas oublier qu'au début en février-mars 2020, il y a un peu plus qu'un an seulement, Arruda disait que le masque offrait un faux sentiment de sécurité, en plus que les gens auraient de la difficulté à bien le manipuler et pourraient se contaminer en y touchant ou en le déposant sur des zones contaminées. Ce que le monde fait abondamment, d'ailleurs ! Le voici le 4 mars 2020 :

 

 

Il faut croire que les paroles de Arruda étaient copiées de l'OMS :

Pourtant c'est cette même Organisation mondiale de la santé (OMS, organe de l'ONU) qui s'est "revirée de bord" le 8 juin 2020, son directeur ayant dit :

"In areas with community transmission, we advise that people aged 60 years or over, or those with underlying conditions, should wear a medical mask in situations where physical distancing is not possible.[...] WHO advises that governments should encourage the general public to wear masks where there is widespread transmission and physical distancing is difficult, such as on public transport, in shops or in other confined or crowded environments." -Tedros Adhanom Ghebreyesus.

(Traduction: Donc, la recommandation de l'OMS était les masques pour les 60 ans et plus ou ceux à risque mettent le masque seulement quand la distanciation sociale est difficile. La recommandation était aussi le port du masque où la distanciation est difficile, comme les transports en commun, les commerces ou les lieux où il y a foule.)

(Source : https://www.webmd.com/lung/news/20200608/who-changes-stance-says-public-should-wear-masks)

Arruda-Legault-McCann ont bien suivi l'OMS sur ce coup-là, non seulement en "recommandant fortement" mais pire, en obligeant, non seulement aux 60 ans et plus et ceux à risque mais d'abord à tous les 12 ans et plus sauf aux conditions médicales. Arruda avait dit vers juin qu'il pensait que juridiquement, ce serait très difficile rendre le masque obligatoire alors ils n'iraient pas là. Quelques semaines plus tard pourtant, ils ont marché sur leur parole et sont allés là. (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1702481/coronavirus-covid-quebec-legault-arruda-masque-couvre-visage)

Ils suivent l'OMS quand ça les arrange, c'est-à-dire en d'autres mots, quand c'est le pire des scénarios pour notre qualité de vie quotidienne.




Au Québec, un couvre-feu a été imposé depuis le 9 janvier 2021 à l'ensemble(/majorité) de la population. Depuis un genre de « déconfinement », après la mi-mars (avec le changement d'heure), c'est passé à 21h30 en "zone rouge" repassé à 20h le 11 avril 2021 à Laval et Montréal, repassé le 3 mai 2021 à 21h30 (reste à 21h30 à Longueuil/rive-sud). Le couvre-feu a été enlevé par le gouvernement du Québec le vendredi 28 mai 2021 à 5h. La population n'a pas repris elle-même sa liberté. 139 jours de couvre-feu. Legault avait parlé au début de "28 jours".

Le couvre-feu a été réinstauré par Legault depuis le 30 décembre 2021, sur tout le territoire du Québec, de 22h à 5h du matin. Nouveauté : il est même dorénavant interdit de prendre une marche avec son chien. *Mise à jour : Le couvre-feu de 2022 a été enlevé de nouveau le 17 janvier 2022, donc d'une durée de presque 3 semaines.

Les confinements (en anglais: "lockdowns" ou "stay-at-home orders") sont des mesures d'exception particulièrement draconiennes. Le couvre-feu l'est d'autant plus. Ces interdictions partielles ou totales de sortir de chez soi, d'être "assigné à résidence" (on house arrest) chaque soir, faire ses activités quotidiennes (même le sport) est un empiètement majeur sur nos droits et libertés les plus fondamentaux. C'est un fait. Une partie de la population consent de bonne grâce à ces mesures d'exception parce qu'elle les croit : efficaces, motivées, fondées sur la "science", et surtout, nécessaires face à la "gravité de la situation". Si la population n'était pas convaincue de tout cela, alors elle aurait accepté de subir quelque chose de grave sans raison valable, peut-être par lâcheté ou conformisme crasse, mais en se disant que ça finirait par passer de toute façon. Mais il y a aussi une immense partie de la population qui rumine dans son coin, car il faut dire ce qui est :

Le couvre-feu n'est pas basé sur des études scientifiques. Legault l'a dit lui-même, c'est un "traitement choc", comme une mesure d'épouvante pour déstabiliser les gens, les rendre plus obéissants. (Source : https://www.infodimanche.com/actualites/covid-19/414593/confinement-et-couvre-feu-on-a-besoin-dun-traitement-choc)

  1. Dans « Couvre-feu, données probantes et analyses comparatives » de la Commission de l'éthique en science et technologie du Québec, ils disent : « Dr Arruda, de son côté, a avoué qu’il n’y avait pas "d’étude contrôlée" qui démontre l’efficacité des couvre-feux pour limiter la propagation du virus. [...] Des chercheurs en France ont d’ailleurs tenté de mesurer les effets du couvre-feu sur la propagation de la COVID-19. [...] Serait-il possible de justifier le déploiement d’une mesure au Québec en évoquant l’efficacité de celle-ci dans un autre pays? La réponse longue est complexe et nuancée, mais la réponse courte penche plutôt du côté du "non". »
  2. « On ne saura jamais » l'impact du couvre-feu sur le nombre de cas de COVID-19 (Radio-Canada: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1765499/couvre-feu-efficacite-science-covid19-quebec)
  3. Arruda au point de presse du 6 janvier 2021 dans lequel l'annonce du couvre-feu a été faite a dit : "Les mesures qu'on met pour la COVID sont cumulatives les unes avec les autres. Y a pas de science qui va être capable de vous dire que telle mesure va avoir tel pourcentage d'effet. [...] Si vous me demandez est-ce qu'il y a une étude contrôlée qui démontre ça, la réponse est non." (CPAC: https://youtu.be/bQA6djSN5WY?t=1672) Ce qui est ahurissant dans cette histoire, c'est que Arruda s'est toujours défendu depuis le début (mars 2020) de suivre scrupuleusement la sacro-sainte Science, pour formuler ses recommandations, et Legault lui-même disait qu'il suivait la sacro-sainte Science de Arruda. Maintenant quoi?


  4. Deuxième couvre-feu : Le Québec n’a pas produit d’étude sur le couvre-feu, 30 décembre 2021, Radio-Canada, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1850929/couvre-feu-quebec-etude-science-annonce-gouvernement-ministere
  5. Les contacts sociaux suivent une courbe saisonnière, avec ou sans couvre-feu, 29 avril 2021, Radio-Canada, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1788644/contacts-sociaux-maison-pandemie-covid19-quebec-couvre-feu
  6. Deuxième couvre-feu : Un couvre-feu aux effets incertains, Le Devoir, 31 décembre 2021, https://www.ledevoir.com/societe/657870/un-couvre-feu-aux-effets-incertains

 

Inversion du principe de précaution

* Ce segment a son propre URL: http://www.lecture-importante.com/principe-de-precaution 

 

Le même argument a été avancé par Legault pour justifier le couvre-feu disant que, "par principe de précaution", en ajoutant des mesures sur des mesures, ça ne peut que contribuer à augmenter les chances de ne pas se passer le virus entre nous. Cependant, le principe de précaution consiste justement à faire l'inverse: si on n'est pas absolument certains de l'innocuité d'une mesure ou de l'immense bénéfice d'une mesure contraignante, alors par précaution, on ne doit pas la faire. C'est exactement l'inverse de ce qu'ils font. Là ils disent quelque chose comme : "Bon, on sait pas, mais ça va peut-être faire quelque chose, donc allons-y." C'est fou et inacceptable parce que logiquement ça ouvre la porte à tout.

Jacques Lapierre, un virologue retraité a dit à TVA/LCN le 18 avril 2021 : "On ne prendra jamais assez de précautions contre la covid". Cet état d'esprit est extrêmement dangereux et est précisément l'inversion du principe de précaution. Pourquoi ?

Parce que n'importe quoi peut être empilé sur les mesures déjà existantes "parce que ça pourrait avoir un effet potentiel". Surtout compte tenu de l'immense contrainte que cela impose sur chaque personne au Québec et sur leurs libertés fondamentales, depuis 4 mois! "Oui mais ça va peut-être sauver des vies." Par exemple, pourquoi ne pas porter deux masques tout le temps, dans la maison avec nos proches, et tant qu'à y être partout, avec une visière, et au diable la visière pourquoi pas une combinaison hermétique pour être vraiment certain, puis avec ça un couvre-feu de 15h à 6h pour vraiment s'assurer que personne ne prenne même une collation ensemble, puis pourquoi ne pas déployer dans les rues des drones, des militaires, etc. ? Voyez-vous ce que je veux dire ? Dans cette avenue du "peut-être que ça aidera", il n'y a pas de fin.

C'est surtout sans compter la détresse psychologique que ça entraîne dans une immense proportion de la population de tous âges, qui craignent la police après 20h ou 21h30 (ou ne veulent tout simplement pas à avoir à se justifier), ne doit pas être écartée de l'équation comme cela semble trop être le cas. La qualité de vie d'un très grand nombre de personnes est très fortement menacée par cette mesure (ce n'est pas tout le monde qui se couche à 20h ou passe ses soirées entouré de ses chats ou hypnotisé devant sa TV depuis déjà des années).

Au Québec, c'est une mesure arbitraire donc tyrannique, improvisée, garochée, en fait... copiée sur le gouvernement Macron en France qui impose un couvre-feu depuis l'automne 2020 en France.

Le couvre-feu est une fantaisie qu'on n'avait plus vue depuis les années de guerre (ironiquement, il était souvent imposé par l'occupant à la population occupée pour mieux contrôler les risques d'insurrection nocturne), sauf dans de rares cas d'émeutes dans certains pays. Et encore! que ça ne durait pas des mois. Voici une carte des pays où il y a effectivement eu un couvre-feu. Rappelons que "couvre-feu" est différent de "confinement": le couvre-feu est une période la nuit où il est interdit de se trouver dehors, même pour prendre une marche, même pour faire une promenade seul dehors. On est littéralement enfermés en-dedans ! Alors sur la carte, en vert, c'est où il n'y a pas du tout eu de couvre-feu. En orange et rouge, c'est où il y en a un en ce moment. En jaune verdâtre, c'est où il y en a eu un court mais ils l'ont ôté.

Il y a un nombre impressionnant de pays dans le monde, surtout parmi ceux qu'on considère dans nos médias des "dictatures", qui n'ont pas osé empiéter à ce point sur les libertés fondamentales de leurs citoyens, pour quelque raison que ce soit. Ça a fait maintenant plus de 12 semaines qu'on a vécu avec la crainte de la police dans les rues à partir de 20h. Je suis estomaqué de constater qu'on est les seuls en Amérique du Nord qui avons subi un couvre-feu pendant ~5 MOIS !!! Quoi qu'en dira Legault, les chiffres bougent partout à peu près à la même vitesse, même où il n'y a pas de couvre-feu (https://www.theglobeandmail.com/canada/article-why-the-number-of-covid-19-cases-is-dropping-globally/ archivé ici: https://archive.is/V0nLs).

Cette mesure doit être enlevée, MAINTENANT. Cette mesure a été enlevée.

 

Pour mémoire, voici ce que François Legault et Arruda disaient d'eux-mêmes sur la notion de "couvre-feu" le 16 mars 2020 en conférence de presse :

(Source : CPAC 16 mars 2020 https://www.youtube.com/watch?v=JD3ycOkeyYc&t=872s)




Les confinements, ou lockdowns, sont non seulement nocifs, mais en plus ils sont inutiles.

Le 5 janvier 2021, une équipe dirigée par un éminent chercheur de l'Université Stanford, l'épidémiologiste John Ioannidis (voir son CV), l'un des scientifiques les plus cités au monde (en 52ème place, toutes disciplines confondues, https://www.webometrics.info/en/hlargerthan100), a publié un article scientifique qui a prouvé qu'il n'y a eu aucun avantage dans les endroits où il y a eu confinement par rapport aux endroits où il n'y en a pas eu : les confinements sont inutiles. Voici ce qu'ils disent : "We do not find significant benefits on case growth of more restrictive NPIs. Similar reductions in case growth may be achievable with less restrictive interventions." (traduction : Nous n'avons trouvé aucun bénéfice aux "interventions non-pharmaceutiques sévères". Des réductions de nombre de cas peuvent être atteintes avec des interventions moins sévères.)

(Source : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/eci.13484)

Couvre-feu, confinement, etc. Il n'y a pas de bénéfice significatif. Rien d'étonnant dans ce que les endroits qui n'ont rien fait de tout ça comme la Suède, la Biélorussie et un nombre important de pays n'aient pas connu d'hécatombe puisque ça ne change pas les bilans de coronavirus.

Une autre étude scientifique a été publié dans Nature Scientific Reports, intitulé : "Stay-at-home policy is a case of exception fallacy: an internet-based ecological study" (Source : https://doi.org/10.1038/s41598-021-84092-1), où ils disent : "With our results, we were not able to explain if COVID-19 mortality is reduced by staying at home in ~98% of the comparisons" (traduction : Incapables de constater que la mortalité covid serait réduite par le confinement dans 98 % des cas.)

Une autre étude scientifique s'appelle : “A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes” Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi. EClinicalMedicine (The Lancet) 25 (2020) 100464, 21 juillet, 2020 qui a dit : “Full lockdowns and wide-spread COVID-19 testing were not associated with reductions in the number of critical cases or overall mortality.” (traduction: "Les confinements et les tests covid19 effectués à grande échelle n'ont pas été associés à des réductions du nombre de cas critiques ou de la mortalité en général."

 

Voici le texte d'un grand chercheur de Stanford, Jay Bhattacharya, qui dit que les confinements (lockdowns) sont la plus grande erreur de santé publique jamais commise, dans Newsweek : https://www.newsweek.com/stanford-doctor-calls-lockdowns-biggest-public-health-mistake-weve-ever-made-1574540

 

Banque d'autres références sur les confinements (lockdowns) : 19 décembre 2020, AIER, https://www.aier.org/article/lockdowns-do-not-control-the-coronavirus-the-evidence/

 

 

Arruda et la "santé publique" générale du peuple

Arruda, le directeur national de la santé publique du Québec, et le seul "scientifique" dans le conseil de crise du Québec sur le coronavirus composé de 18 personnes. (Source : https://www.journaldequebec.com/2020/03/28/voici-la-cellule-de-crise-du-gouvernement-legault)

Il a dit, le 24 septembre 2020 : "C'est la santé qui est la priorité numéro 1." (Conférence de presse 24sept 2020)

En tant que directeur de la santé publique de toute la population, Arruda pense-t-il simultanément à la santé physique et mentale, immédiate et à long terme, des 8,5 millions de personnes qui habitent au Québec ? Est-il trop concentré sur les "décès covid" en oubliant tout le reste de ce qui fait "la santé publique" ? Quand il parle des "effets pervers", les voici :

 

1. Confinement = moins d'activité physique = augmentation du stress

On sait que les mesures sanitaires ont eu des conséquences très importantes sur l'activité physique et le stress des gens.   (Sources :

2 juin 2020 : Québec Science "Troubles de concentration, Le stress de la pandémie en cause", https://www.quebecscience.qc.ca/sante/concentration-stress-pandemie/)

31 juillet 2020 : Radio-Canada "Les jeunes Québécois bougent moins", https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1723721/quebecois-sport-activite-sante-poids-covid-19moins-actifs


3 novembre 2020 : Radio-Canada "Les médecins sonnent l'alarme pour la santé des Québécois", https://ici.radio-canada.ca/sports/1746744/medecins--sport-exercice-activites-physiques-alarme-sante--quebecois-covid-19


18 février 2021 : Journal de Québec "Une pandémie qui fait mal à la santé physique des Québécois", https://www.journaldequebec.com/2021/02/18/une-pandemie-aux-consequences-negatives-sur-lactivite-physique-des-quebecois


21 avril 2021 : Ottawa Citizen, Kids are not doing well (Les enfants ne vont pas bien), https://ottawacitizen.com/news/local-news/kids-are-not-doing-well-pediatricians-raise-alarm-bells-about-impact-of-pandemic-on-children

 

On sait que le stress (stress chronique) est le produit d'une réponse du système nerveux sympathique (relié au système endocrinien) qui peut engendrer à long terme de la haute pression, des maladies cardiaques, une inhibition de la croissance, des problèmes de santé mentale, et un dysfonctionnement du système immunitaire. (Source : Carlson, Neil R. (2013). Physiology of Behavior (11th ed.). Boston: Pearson. pp. 602–6)

Bref, le stress chronique éloigne de la santé. Toutes ces mesures sanitaires ont eu l'effet d'augmenter le stress chez les gens. On sait qu'elles ont aussi empêché les gens de faire autant d'activités sportives qu'avant.

On peut ici conclure que ces mesures sanitaires ont eu un effet très négatif sur notre bien-être immédiat et peut-être à long terme. Compte tenu de la gravité de ces faits, si elles n'ont pas été justifiées (en étant tout à fait certains que ça aurait un impact global positif réel), alors c'est encore bien pire.

 

16 avril 2021, selon une étude menée aux États-Unis et parue dans le British Journal of Sports Medicine : "Bouger, faire de l'activité physique permet d'éviter les formes graves de covid19." (Source : https://bjsm.bmj.com/content/early/2021/04/07/bjsports-2021-104080)

 

Statistique Canada a publié ceci le 10 mars 2021 :

"Au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre hebdomadaire de décès en surnombre et celui des décès causés par la COVID-19 étaient étroitement liés et touchaient principalement les populations plus âgées, ce qui laisse penser que la COVID-19 elle-même a joué un rôle important dans la surmortalité au Canada. Toutefois, plus récemment, le nombre de décès en surnombre a été plus élevé que celui des décès attribuables à la COVID-19. Ces décès touchent des populations plus jeunes, ce qui laisse supposer que d'autres facteurs, y compris les effets indirects possibles de la pandémie, entrent en jeu. [...] au cours de l'automne 2020, les jeunes ont été plus durement touchés par la surmortalité puisque 35 % de ces décès concernaient des personnes de moins de 65 ans, en hausse par rapport aux 14 % enregistrés au printemps. [...] Étant donné que ces changements entraînent une augmentation du nombre de décès qui ne sont pas directement causés par la COVID-19, il est important de noter que certains décès peuvent être attribuables aux répercussions indirectes de la pandémie. [En tout,] le Québec n'a pas enregistré de surmortalité significative depuis juin [2020]."

Les effets dont ils parlent sont attribuables aux mesures sanitaires et à la gestion chaotique gouvernementale : éloignement les uns des autres (ne pas se toucher, s'embrasser, se donner des câlins), des faillites, un accroissement des inégalités sociales, etc. etc.

(Source : https://www150.statcan.gc.ca/n1/fr/daily-quotidien/210310/dq210310c-fra.pdf)

 

Le 19 octobre 2020, en Angleterre, voici ce que le journal The Telegraph a publié, quant à un excès de décès non-covid de 100 décès de plus par jour : "One hundred extra deaths at home a day are occuring from non-COVID illnesses, new figures have revealed." https://www.telegraph.co.uk/news/2020/10/19/alzheimer-heart-disease-deaths-home-soaring-coronavirus-pandemic/

 

Le 4 mai 2020, Andrew Glen, Ph.D. et James D. Agresti ont publié : "Anxiety From Reactions to Covid-19 Will Destroy At Least Seven Times More Years of Life Than Can Be Saved by Lockdowns", https://www.justfacts.com/news_covid-19_anxiety_lockdowns_life_destroyed_saved

 

2. Confinement = prise de poids

Aux États-Unis, chaque mois de confinement nous a fait prendre 2 lbs en plus, WebMD, 23 mars 2021, https://www.webmd.com/lung/news/20210323/lockdown-weight-gain-study

La Presse a fait un article sur des chiffres publiés en France, environ 58 % des Français ont pris 5lbs pendant le premier confinement : https://www.lapresse.ca/societe/sante/2020-05-06/prendre-des-kilos-en-confinement

Ce n'est qu'une moyenne, car certaines personnes ont pris bien plus que 5lbs. D'autres ont pu trouver le moyen de ne pas prendre une livre.

Le plus grave derrière ceci, c'est le manque d'activité physique comme on en a parlé précédemment, car cela induit souvent une "spirale de déconditionnement" :

(Source de cette figure : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Synthese_PNNS_-_Activite_physique_et_obesite_de_l_enfant.pdf)

Ce document a d'abord été écrit pour la situation chez l'enfant ou l'adolescent, mais en fait, il s'applique tout aussi bien à la réalité des adultes. On parle de la biologie du corps humain.

Chaque étape de cette spirale amène à l'étape d'après, qui fait que le corps se déshabitue, en perd et en perd encore plus jusqu'à finalement être essoufflé au moindre effort. Essoufflé au point que certains efforts un peu plus intenses puissent même devenir dangereux (le coeur qui lâche, etc.)

La question de santé publique que je poserais ici est : combien sur les 8,5 millions de personnes au Québec sont entrées ou se sont enfoncées encore plus dans cette spirale de déconditionnement, à cause des mesures ?

Ce qui est intéressant, c'est quand même que cette spirale peut être inversée, en allant étape par étape dans le chemin inverse, sans sauter les étapes (possiblement même consulter un médecin avant de s'entraîner à moyenne-haute intensité, si ça fait longtemps que vous avez fait de l'exercice) :

C'est certain qu'avec le gouvernement qui interdit une bonne partie des activités physiques, ça devient effectivement très difficile pour la population.

 

3. Confinement = troubles en amour et sexualité

27 juillet 2020, dans The Atlantic : Le nombre de mariages a diminué : https://www.theatlantic.com/family/archive/2020/07/pandemic-marriage-out-of-reach-americans/614506/

6 décembre 2020. La BBC dit ceci : "Divorce rates are increasing around the world, and relationship experts warn the pandemic-induced break-up curve may not have peaked yet." Selon cet article, le taux augmente. (https://www.bbc.com/worklife/article/20201203-why-the-pandemic-is-causing-spikes-in-break-ups-and-divorces)

31 décembre 2020. Selon cet article, aux USA le taux de divorce est un des plus bas depuis des décennies (tendance déjà amorcée avant 2020 par contre) : https://ifstudies.org/blog/number-1-in-2020-the-us-divorce-rate-has-hit-a-50-year-low Est-ce qu'en comparant par exemple 2020, 2021 à 2017-2019, on verrait une accélération, peut-être. Enfin, ce n'est pas clair si le confinement a fait augmenter drastiquement le nombre de divorces, même si certains couples se sont divorcés à cause du confinement qui a donné le coup final à leur relation.

12 février 2021. Il y a quand même Radio-Canada qui a titré ceci : La pandémie a tué a libido (lire : la pandémie le confinement, les mesures sanitaires, le couvre-feu) : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1770382/libido-pandemie-sexualite-sexe-baisse-desir-covid-stress Les couples se touchent beaucoup moins qu'avant, l'envie n'est pas là.

18 mars 2021. Selon la BBC, les confinements n'ont pas causé de "baby boom", mais un "baby bust" (le contraire) : https://www.bbc.com/news/world-56415248

23 mars 2021. Financial Times : Covid lockdown is tough on couples, https://www.ft.com/content/cd26b729-951e-4a39-bb1e-fb4e3b91e7f5

 

Et bien sûr pour les gens qui veulent rencontrer, c'est beaucoup moins évident qu'avant (pas de resto, pas vraiment de cinéma, tout ferme à 19h30-20h, etc.)

Tout ça a un immense impact sur la qualité de vie des gens.

 

4. Confinement = impact négatif sur les finances = stress

Le confinement a des effets désastreux sur les inégalités sociales et sur la santé financière des plus pauvres et de la classe moyenne.

Beaucoup d'entre eux ont pourtant tout de même perdu de l'argent en comparant aux années précédentes. Ils se sont encore plus appauvri. Certains sont littéralement dans la misère. En Colombie-Britannique par exemple au niveau provincial, les plus pauvres ont eu droit à un paiement de 500 $. (Source : https://www2.gov.bc.ca/gov/content/covid-19/info/benefits)

Aux États-Unis, les plus pauvres qui avaient fait leurs impôts avaient droit à 1000 $. Au Québec ? Zéro.

Plusieurs personnes ont subi une baisse de revenus substantielle à cause des mesures sanitaires. Le nombre d'itinérants à Montréal a doublé passant de 3000 à 6000.

Tout le monde qui a fait un cours ou deux en santé publique connaît les 12 déterminants de la santé. On sait que dans notre type de société, le déterminant de santé le plus important, le numéro 1, c'est le revenu. Les gens qui n'ont vraiment pas assez d'argent en subissent les conséquences sur leur santé, sont souvent plus malades et meurent souvent plus jeunes. (Source : https://quebec.huffingtonpost.ca/jacques-benoit/le-revenu-est-le-premier-determinant-de-la-sante_a_23340492/)

 

 

Lorsque Arruda parle de protéger la santé comme objectif numéro 1, je constate qu'en tant que directeur de la santé publique qui devrait avoir une vision d'ensemble de la santé (avec les 12 déterminants), avec toutes les mortalités au Québec, en n'évaluant pas juste les morts coronavirus mais les morts de toutes causes, l'état général de la population, les maladies mentales. ("Selon une enquête effectuée au début de septembre par des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un Québécois adulte sur cinq affiche des symptômes tenant d’une dépression majeure ou d’un trouble d’anxiété généralisé. À Montréal, c’est une personne sur quatre." https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2020-10-05/sante-mentale/l-epidemie-silencieuse.php Les gens n'en regagnent pas plus les jours passent. J'ai la vive impression que Arruda n'a pas une vision d'ensemble.

Je veux aussi absolument dire que c'est possible de mourir de peur, ou mourir d'un trop grand stress soudain (surtout quand on est vieux et affaibli) :

"Pouvons-nous vraiment mourir de peur? La réponse: Oui. En fait, n'importe quelle réaction émotionnelle très forte peut enclencher une quantité fatale de substances telles que l'adrénaline. Ce risque est rare mais arrive le plus souvent aux gens avec des conditions préexistantes." -Encyclopedia Britannica (https://www.britannica.com/story/can-you-really-be-scared-to-death)

Est-ce que des gens, par exemple au mois de mars 2020, ont pu avoir disons très très peur avec la situation de confinement, d'isolation sociale, de "fermeture de la société" (et fermeture encore plus dans les CHSLD, allant jusqu'à l'interdiction même de sortir de sa propre chambre) ? J'en suis profondément convaincu.

C'est aussi possible de finir par mourir ou devenir très malade d'un manque d'affection. Et surtout d'un manque de toucher les autres et se faire toucher soi-même. Sources :

"Tout ce qui promeut l'amour, l'intimité amène la guérison; tout ce qui promeut l'isolation, la séparation, la solitude, la perte, l'hostilité, la colère, le cynisme, la dépression, l'aliénation, et les sentiments reliés à ça amène souvent la souffrance, la maladie, et la mort prématurée de toute cause."

Original: "Anything that promotes feelings of love and intimacy is healing; anything that promotes isolation, separation, loneliness, loss, hostility, anger, cynicism, depression, alienation, and related feelings often leads to suffering, disease, and premature death from all causes"

(Dean Ornish, chercheur et médecin, Love and Survival, 1998, p. 29).

Psychology Today. Touching Empathy: Lack of physical affection can actually kill babies. https://www.psychologytoday.com/us/blog/born-love/201003/touching-empathy

Voici un film de 1952 sur les bébés privés d'affection et l'impact majeur que ça a eu sur eux : https://archive.org/details/PsychogenicD

New York Times, Evidence That Little Touches Do Mean So Much, https://www.nytimes.com/2010/02/23/health/23mind.html?scp=3&sq=touch&st=cse

Et un article faisant un lien avec le "confinement"/"distanciation sociale" : The Touch-Deprived New Normal, https://movementum.co.uk/journal/touch-deprived

 

Parlant des enfants, voici quelques articles révoltants sur le concept de lockdown et ses effets sur les enfants dans le monde :

13 mai 2020 : Unicef warns lockdown could kill more than Covid-19 as model predicts 1.2 million child deaths, https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/unicef-warns-lockdown-could-kill-covid-19-model-predicts-12/

9 septembre 2020 : COVID-19 could reverse decades of progress toward eliminating preventable child deaths, agencies warn, https://www.who.int/news/item/09-09-2020-covid-19-could-reverse-decades-of-progress-toward-eliminating-preventable-child-deaths-agencies-warn

4 mars 2021 : Mental health alert for 332 million children linked to COVID-19 lockdown policies: UNICEF / ONU, https://news.un.org/en/story/2021/03/1086372

 

 

4 octobre 2020. La Déclaration de Great Barrington (Massachusetts) donne la solution : la protection focalisée

La Déclaration de Great Barrington est une déclaration écrite et signée le 4 octobre 2020 par les épidémiologistes renommés suivants:

  • Le Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
  • Le Dr. Sunetra Gupta, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
  • Le Dr. Jay Bhattacharya, professeur à l’Ecole Médicale de l’université de Stanford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

Ces trois experts épidémiologistes de Harvard, Oxford et Stanford, préconisent la "protection focalisée" plutôt que les confinements. Ils constatent en tant qu'experts des résultats désastreux et alarmants des confinements sur la santé générale de la population, et proposent que la majorité des gens vivent normalement immédiatement, étant donné que la majorité des gens n'est à risque de rien. La majorité ne serait pas en contact avec le virus de toute façon ou ferait donc sa petite forme asymptomatique et une petite portion tomberait un peu malade avec un peu de fièvre et de toux. Les gens auxquels il faudrait offrir une "protection focalisée" seraient les aînés aux multiples comorbidités et les personnes à risque, selon leur volonté individuelle d'être beaucoup ou peu protégés. Mais pour prendre connaissance de la Déclaration exacte, le site est : https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/

 

Un médecin albertain de Edmonton, le Dr. Roger Hodkinson, diplômé de Cambridge en Angleterre et pathologiste certifié du Royal College du Canada, entre autres (voir son CV) a pris la parole à la mi-novembre 2020 en parlant de la déclaration de Great Barrington, notamment. Il n'y est pas allé de main morte avec les autorités de santé publique.

Un autre épidémiologiste, Harvey Risch de l'université Yale, a dit le 20 avril 2021 que les confinements sont contre-productifs. (https://www.newsweek.com/yale-professor-lockdowns-1585070)

 

9 octobre 2020: L'OMS elle-même a recommandé d'éviter au maximum le confinement

L'envoyé spécial sur le coronavirus de l'OMS, Dr. David Nabarro, a donné une entrevue à Andrew Neil du journal britannique The Spectator, où il dit ceci :

Même TVA/LCN (!) a fait un topo sur ce sujet :

 

Chronologie du "confinement no. 2" non-assumé au Québec

Arruda-Legault-Dubé ont d'abord annoncé les nouveaux "codes de couleur par région" (comme en France et en Angleterre), et ensuite le "défi 28 jours" de Dubé pour le mois d'octobre en date du 24 septembre 2020 : "J'pense que si on réussit ça là, la maudite courbe on va y donner un grand coup. [...] C'est pas si long que ça 28 jours quand on y pense. Une journée à la fois. [...] J'aimerais mieux qu'on aille pas au restaurant mais faut y aller pour garder un certain contact." (https://www.journaldequebec.com/2020/09/25/en-direct-covid-19-le-ministre-christian-dube-fait-le-point)

On a pu ensuite constater que le gouvernement a voulu ramener honteux, par la porte d'en arrière, un autre "confinement", sans jamais le nommer. Encore pire que la première fois : avec un couvre-feu cette fois-ci. Avec la fermeture des gyms, des restos, etc. bref, de tout ce qui met de la couleur dans la vie.

Puis évidemment, ceci dans l'Actualité "Le défi 28 jours n'a pas suffi, Québec prolonge les mesures." (https://lactualite.com/actualites/le-defi-28-jours-na-pas-suffi-quebec-prolonge-les-mesures-sanitaires/)

Puis des promesses (un "contrat moral") pour Noël, puis finalement pas de contrat mais campagne de peur pour dire qu'on va défoncer avec un télé-mandat les portes des maisons qui oseront quand même recevoir à Noël avec des amendes très salées. Bref, une séquence mars-avril-mai 2020 x2, mais de début octobre 2020 à ~début juin 2021 environ, avec en plus couvre-feu, masques aux enfants, etc. Beaucoup de souffrance inutile, selon ce qu'on a pu lire depuis le début de ce texte.

 

Un mot ou deux sur la "distanciation sociale"

C'est le New York Times (NYT) itself qui le dit.

"The idea has been around for centuries. But it took a high school science fair, George W. Bush, history lessons and some determined researchers to overcome skepticism and make it federal policy. [...] And it had some unexpected detours, including a deep dive into the history of the 1918 Spanish flu and an important discovery kicked off by a high school research project pursued by the daughter of a scientist at the Sandia National Laboratories. [...] In February 2007, the C.D.C. made their approach — bureaucratically called Non-Pharmaceutical Interventions, or NPIs — official U.S. policy."

(Source : https://www.nytimes.com/2020/04/22/us/politics/social-distancing-coronavirus.html)

En gros selon le NYT, l'idée de la distanciation sociale vient d'une "découverte importante" faite par une ado dans son projet à l'école secondaire, repris par des chercheurs du gouvernement américain. Le CDC a inclus cette "mesure d'intervention non-pharmaceutique" au code américain en février 2007. Et nous voici maintenant en 2020-2021.

Autre chose intéressante sur la "distanciation sociale", saviez-vous qu'elle est variable dans le monde? Des endroits, c'est 6 pieds (ou 1,8 mètre, aux USA), d'autres c'est 1 mètre (recommandation de l'OMS), d'autres c'est 2 mètres (au Québec), d'autres 1,5 mètre (Allemagne, Australie, Belgique Grèce, Italie, Espagne, Portugal). Et oui.

N'oublions pas non plus qu'un bon nombre de pays n'ont jamais formellement dit à leur population d'appliquer la "distanciation sociale".

(Sources : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-distance-explainer-idUSKBN23U22W https://www.stripes.com/news/europe/one-meter-six-feet-how-social-distancing-guidelines-vary-across-countries-1.625118)




Le test-covid, ou le "test avec le long bâton dans le nez" (ou dans la gorge, etc.), s'appelle en fait un test PCR (ou RT-PCR). PCR veut dire Polymerase Chain Reaction en anglais. Au Québec, il est aussi appelé le TAAN pour Test d'Amplification des Acides Nucléiques.

C'est l'invention de cette méthode (la PCR) qui a valu au chercheur et biochimiste américain Kary Mullis son prix Nobel (voir son CV). Kary Mullis a lui-même déclaré : "PCR is just a process that allows you to make a whole lot of something out of something. It doesn’t tell you that you are sick, or that the thing that you ended up with was going to hurt you or anything like that." (traduction: "La PCR fait juste multiplier une quantité de quelque chose. Ça ne va pas vous dire si vous êtes malade ou si ce que vous avez en vous va vous faire du mal." Extrait ici : https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/)

Voici ce que Kary Mullis a dit sur Anthony Fauci (le "Horacio Arruda" des États-Unis) :

Voici en gros ce que dit Kary Mullis dans ce vidéo :

"Fauci, je lui dirais devant sa face : il ne sait rien de rien. Le gars pense qu'on peut prendre un échantillon de sang, le mettre dans un microscope électronique et s'il y a un virus dedans on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique, il ne comprend pas la médecine et il ne devrait pas être dans la position où il est. La plupart de ces gars au sommet sont totalement des gens d'administration et ils ne savent rien de ce qui se passe au bas de l'échelle. Ces gars ont un agenda, qui n'est pas celui qu'on voudrait qu'ils aient, considérant qu'on les paye pour qu'ils prennent soin de notre santé. Ils ont un agenda personnel, font leurs propres règles à mesure, les changent quand ils veulent. Ça ne dérange pas Fauci d'aller à la télévision et mentir en direct devant la caméra, aux téléspectateurs qui payent son salaire. Vous ne pouvez pas vous attendre que les moutons (the sheep) respectent les meilleurs et les plus brillants (the best and the brightest)... ils ne savent pas faire la différence. J'aime les humains, ne vous méprenez pas, mais en gros, il y a une grande majorité des gens qui ne possèdent pas la capacité de juger (départager) qui est, de qui n'est pas un bon scientifique. C'est un problème majeur avec la science de ce siècle parce que la science est jugée et financée par des gens qui ne comprennent pas. À qui faire confiance, Fauci? Fauci ne sait pas assez, vous savez... Si Fauci voulait aller à la télévision avec quelqu'un qui en sait un peu sur ce sujet pour débattre, il le pourrait parce qu'il se l'est fait proposer. Plusieurs personnes, dont le président de l'Université de Caroline du Sud, ont demandé que Fauci se rende à l'université pour débattre avec moi (Kary Mullis) sur la scène devant le corps étudiant. Je voulais quelqu'un qui débattrait, quelqu'un de l'autre côté de la médaille. Fauci ne voulait pas le faire."

D'ailleurs, fait intéressant, Anthony Fauci est l'individu qui touche le plus haut salaire de tout le gouvernement américain : https://www.forbes.com/sites/adamandrzejewski/2021/01/25/dr-anthony-fauci-the-highest-paid-employee-in-the-entire-us-federal-government/

 

Dans la littérature scientifique qui aborde ce test PCR et sa fiabilité, on en vient toujours à parler du nombre de cycles d'amplification, ou "cycle treshold" ("la valeur CT", ou "le CT"). C'est-à-dire que lorsque je prends par exemple un échantillon de substance biologique et que je l'amplifie une fois, je lui ai fait faire un cycle. Deux fois, deux cycles. L'amplification est exponentielle à chaque cycle. Les chercheurs ont déterminé qu'en bas d'un certain seuil de cycles, lorsqu'on voit une trace du virus qu'on recherche, c'est qu'alors la personne est très infectieuse. En haut d'un certain seuil, les tests ne détectent à peu près plus rien ou des fragments, et il y a alors beaucoup de faux-positifs. Au Québec, les tests sont calibrés à 45 cycles.

Ci-dessous, un extrait d'un document du Laboratoire de la santé publique du Québec qui montre que la valeur CT utilisée au Québec est de CT = 45 cycles : https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/demandes_acces/pr-bm-131_0.pdf

 

Voici un document préparé par un médecin de laboratoire (Dr Bertrand Pellegrin, laboratoire BIO-VSM LAB le 16 novembre 2020) à propos de l'intérêt de la valeur du CT dans le test PCR du SARS-CoV2 : http://www.biovsm.fr/bim.asp?page=45 Il y est dit qu'une valeur CT plus grande que 25 donne lieu à des résultats où la quantité d'ARN viral est très faible.

Voici une étude scientifique sur le CT des tests PCR : https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603 où il est dit qu'avec un CT plus grand que 35, il y a moins de 3 % des cultures qui sont positives.

Dans Paris Match, voici un article du 24 novembre 2020 du Dr. Phillippe Gorny : "Les tests PCR contestés." Cet article commence avec la phrase suivante :  "La validité de ces tests est de plus en plus critiquée par les experts car ils produisent un grand nombre de faux positifs."

Il poursuit avec plusieurs éléments très importants :

La polymérisation en chaîne [crée] des millions de copies de ces fragments viraux, jusqu’à les rendre détectables. Mais attention, trop de cycles génèrent des faux positifs ! [...]

Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a fait savoir à la terre entière qu’il avait secrètement envoyé des échantillons provenant d’une papaye, d’un mouton et d’une chèvre à un laboratoire de dépistage du Covid. Tous sont revenus positifs! [...]

L’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts. [...]

Un laboratoire bostonien a suspendu ses tests de dépistage après la découverte de 400 faux positifs en une seule journée. [...]

Le docteur Mike Yeadon, qui fut directeur scientifique de Pfizer pendant seize ans, a récemment déclaré : « Plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être des faux, voire potentiellement tous. » [...]

Des scientifiques de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston) [ont] dénoncé l’inutilité des tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement [...]

[Des] personnes testées positives n’avaient que des traces infimes d’ARN viral, en aucun cas infectantes. On imagine les conséquences que le confinement inutile de telles personnes peut avoir sur l’économie et leur vie professionnelle ou sociale [...]

Le 30 octobre dernier, lors d’une interview, le célèbre docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et maladies infectieuses (une branche des National Institutes of Health), a expliqué qu’au-delà de 35 cycles d’amplification, tous les PCR sont des faux positifs, liés à des débris viraux, non cultivables en laboratoire et non contagieux. [...] Aux Etats-Unis, pourtant, la routine pousse souvent l’amplification au-delà de 40 cycles, et c’est la même chose en France ! [...]

Certains experts s’en inquiètent : la PCR serait-elle intentionnellement utilisée pour multiplier le nombre de cas ? Et si oui, dans quel but ? [...]

Le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a déclaré : « Avec la pratique des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. »

(Source : https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289)

Le Professeur Didier Raoult affirmait le 14 septembre 2020 qu'il repérait 44 % des tests qui s'avéraient être des faux-positifs quand il les retestait. (Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/coronavirus-cas-covid-faux-positifs-quatorzaine-tests-mutations-du-virus-professeur-raoult-fait-point-1873012.html)

 

Nouvelles importantes sur le test PCR

Le 27 novembre 2020, la validité des tests PCR remise en question par des juges portugais : https://www.theportugalnews.com/fr/nouvelles/2020-11-27/la-fiabilite-du-test-pcr-covid-est-douteuse-les-juges-portugais/56962

Début avril 2021, un tribunal en Autriche a déterminé que les tests PCR ne sont pas fiables : https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/

Le 20 janvier 2021 (le jour même de l'investiture de Joe Biden), l'Organisation mondiale de la santé a publié un mémo avertissant des problèmes avec les tests PCR et apportant un correctif des protocoles : https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

 

Le professeur Carl Heneghan de l’université d’Oxford, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine d’Oxford, écrit dans un article de juillet 2020 « Combien de diagnostics COVID sont des faux positifs ? » (Source : https://www.spectator.co.uk/article/how-many-covid-diagnoses-are-false-positives-)

« En partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. » (même phrase que dans l'article de Paris Match, recoupage)

Il voulait dire par là que tant qu'il y aura un nombre résiduel de faux-positifs, donc de ces "cas asymptomatiques", on ne retombera jamais à zéro.

C'est-à-dire que considérant qu'il y a un bon nombre de faux-positifs par nombre de tests effectués, plus on teste, plus il y a des faux positifs, qui sont en fait des faux cas. Si on effectue par exemple 30 000 tests, on pourrait facilement trouver 1000 faux positifs. Si on n'y fait pas attention, on pourrait crier partout qu'on a "1000 cas malades" alors que finalement ces personnes sont des faux positifs, donc pas du tout malades.

 

Il y a aussi le New York Times qui a sorti l'article : "Your Coronavirus Test Is Positive. Maybe It Shouldn’t Be." https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html où on peut lire entre autres : "Any test with a cycle threshold above 35 is too sensitive, agreed Juliet Morrison, a virologist at the University of California, Riverside. “I’m shocked that people would think that 40 could represent a positive,” she said."

 

En 2007, le New York Times a publié un article "Faith in Quick Test Leads to Epidemic That Wasn’t" où il est dit qu'un test inadéquat a été utilisé pour diagnostiquer des cas qui finalement se sont avérés tous faux-positifs. Enfin, on a cru à une épidémie et c'était faux. Oui c'est déjà arrivé dans le passé. "In their 2007 story the New York Times cited a prescient quote from Dr. Elizabeth Talbot, deputy state epidemiologist for the New Hampshire Department of Health and Human Services, who said: "One of the most troubling aspects of the pseudo-epidemic is that all the decisions seemed so sensible at the time."

(Source : https://www.nytimes.com/2007/01/22/health/22whoop.html)

 

Risques du test nasal

Académie nationale de médecine (France), 8 avril 2021, "Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque", https://www.academie-medecine.fr/les-prelevements-nasopharynges-ne-sont-pas-sans-risque/

Une femme "atteinte d'une condition rare" qui s'est faite faire le test coronavirus nasal s'est faite percer la plaque cribriforme (juste avant la barrière hémato-encéphalique) qui sépare les sinus du cerveau, avec fuite du liquide céphalorachidien. (https://medicalxpress.com/news/2020-10-covid-brain-fluid-leak-patient.html) Donc si vous vous demandiez si le test nasal peut endommager votre cerveau? La réponse est : c'est au moins arrivé une fois!

Voici ce qu'en dit la généticienne Dr. Alexandra Henrion-Caude (post-doctorat à la Harvard Medical School), chercheure à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (l'INSERM, analogue aux NIH américains) en France (voir ce document de l'INSERM qui fait sa biographie en 2013 - voir sa biographie actuelle) :

Parlant de test nasal qui va profond dans la tête, voici des articles assez mystérieux du 21 octobre 2020 où il est dit qu'on a découvert un nouvel organe dans la tête (!), justement dans la région où le test nasal est inséré.

https://www.sciencemag.org/news/2020/10/you-may-have-new-organ-lurking-middle-your-head https://www.nytimes.com/2020/10/19/health/saliva-glands-new-organs.html

Avec tout ça, je me pose une question, surtout avec l'avènement des tests salivaires ou de culture de gorge : Pourquoi on continue malgré tout à utiliser ce test nasal si on a des tests beaucoup moins désagréables et souffrants, et qui ont une "fiabilité" similaire ? Par exemple, pour le test de la culture de gorge, on utilise aussi un écouvillon, on ne l'insère juste pas au même endroit. Il existe même un test salivaire.

 

Nanoparticules sur le test nasal ? J'ai lu ça-et-là que l'écouvillon (le q-tips) du test PCR qu'on entre profondément dans le nez pouvait lui-même être rempli de nanoparticules et que c'est ça qu'on déposait dans le fond sur la plaque cribriforme pour que ces nanoparticules - peut-être des puces ou des robots - passent dans le cerveau. Honnêtement, je n'ai pas trouvé de source convaincante sur ce sujet. Si vous en avez, veuillez me contacter. (Notez que, bien évidemment, si c'était par exemple un vrai projet mais classé secret militaire, ce serait très difficile de trouver des sources là-dessus.)

Cependant, j'ai trouvé un texte de janvier 2021 où on parle d'un test nasal fabriqué avec des nanofibres : "Ultra-absorptive Nanofiber Swabs for Improved Collection and Test Sensitivity of SARS-CoV-2 and other Biological Specimens", https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.nanolett.0c04956 Ce n'est fort probablement pas ce test qui est utilisé depuis mars 2020. Cette recherche spécifique mériterait un approfondissement.

Il y a un texte du 25 novembre 2020 de l'Université Johns Hopkins, intéressant, sur une nanotechnologie appelée "theragrippers" capable de livrer des molécules : https://hub.jhu.edu/2020/11/25/theragripper-gi-tract-medicine-delivery/ On y voit une image de ces nanoparticules sur le bout d'un coton-tige (écouvillon). Ça ne prouve aucunement qu'il y ait des nanoparticules sur les écouvillons des tests covid. Néanmoins, c'est intéressant de constater que, à l'époque actuelle, tout ceci n'est plus du tout de la science-fiction.

 

Test nasal et oxyde d'éthylène

On a su récemment que le test nasal covid est stérilisé avec de l'oxyde d'éthylène (ETO), une substance reconnue comme étant très cancérigène. Certains sont partis en peur là-dessus, d'autres tempèrent en disant que l'oxyde d'éthylène après la stérilisation ne s'est pas accumulé sur l'écouvillon (le bâton q-tip) et que donc c'est sans danger. Enfin, je n'ai pas trouvé un endroit où un labo aurait fait le test indépendant d'ouvrir un écouvillon pour faire l'analyse de quantités restantes d'oxyde d'éthylène. Je pense que c'est quand même une information valide, sans partir en peur. Le CDC donne la procédure de stérilisation avec l'ETO ici :  https://www.cdc.gov/infectioncontrol/guidelines/disinfection/sterilization/ethylene-oxide.html en recommandant bien que l'instrument stérilisé devrait être aéré un bon moment pour que le gaz ETO se dissipe complètement :

ETO is absorbed by many materials. For this reason, following sterilization the item must undergo aeration to remove residual ETO. Guidelines have been promulgated regarding allowable ETO limits for devices that depend on how the device is used, how often, and how long in order to pose a minimal risk to patients in normal product use. [...] ETO toxicity has been established in a variety of animals. [...] ETO has been linked to spontaneous abortion, genetic damage, nerve damage, peripheral paralysis, muscle weakness, and impaired thinking and memory."

La question que je me pose sur ce point est : est-ce que les usines qui stérilisent ces écouvillons respectent la procédure à 100 % en prenant bien soin de laisser se dissiper l'ETO complètement, ou ils emballent les produits à la va-vite ? C'est d'autant plus envisageable puisqu'une pléthore d'autorisations d'urgence ont été accordées dans les derniers mois, augmentant de beaucoup les risques d'anomalies et défectuosités dans les produits. On l'a vu notamment au Canada avec des gels hydroalcooliques qui se sont avérés finalement toxiques et plus récemment des masques aussi. (Gels hydroalcooliques, 145 items dans la partie 1... https://canadiensensante.gc.ca/recall-alert-rappel-avis/hc-sc/2020/73385a-fra.php http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2020-07-30/gels-hydroalcooliques-toxiques-avis)

 

 

Autrement, (j'en parle parce que c'est une information liée aux tests PCR), les Chinois ont quant à eux commencé à tester les gens dans l'anus (!) https://www.ctvnews.ca/health/coronavirus/china-deploys-anal-swabs-to-test-for-covid-19-1.5283930

 

Le coût des tests PCR

On a appris de cet article (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1745029/cout-prix-test-depistage-covid-quebec) que : "Chaque test de COVID-19 coûte, au bas mot, entre 55 et 102 $ au Trésor public." On peut observer sur les données ci-dessous de l'INSPQ que le nombre de tests en laboratoire est maintenant de 3 346 523. Si on multiple par 55 ou par 102$ par test, les tests covid au Québec ont un coût total allant d'environ 184 à 341 millions de dollars à date (ceci au début avril 2021). (Et dire qu'en 2005, les étudiants s'étaient battus collectivement pendant des mois et des semaines de grève générale illimitée pour un montant de... 103 millions.)

 

Petite chronologie des tests PCR au Québec :

À partir du 27 avril 2020, le gouvernement a voulu faire du dépistage massif avec 30 000 tests par jour. (Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1697878/depistage-tests-arruda-legault-quebec-coronavirus)

Le 1er mai 2020, Arruda a décidé de changer sa stratégie de dépistage et tester plus de monde. (Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1699145/coronavirus-tests-pandemie-cliniques-arruda-immunite-anticorps)

Le 30 juin 2020, Arruda a expliqué que les tests étaient ouverts à tous, qu'il ne fallait empêcher personne de se faire dépister indépendamment de leur profil clinique et leur historique. (Source : https://www.journaldequebec.com/2020/06/30/tests-de-depistage-il-ne-devrait-pas-y-avoir-de-refus-martele-le-dr-arruda)

Vers le 20 décembre 2021, des tests rapides (pas PCR) sont disponibles dans les pharmacies gratuitement (programme du gouvernement qui paye les pharmaciens) Les tests PCR sont supposés à partir de début janvier 2022 être réservés à certains cas de figure, et moins à la population générale.




Le 28 janvier 2020, Anthony Fauci directeur du NIAID en charge de la réponse au coronavirus aux États-Unis, a dit que dans toute l'histoire des virus respiratoires, les asymptomatiques n'ont jamais été la cause des éclosions épidémiques. ("In all the history of respiratory-borne viruses of any type, asymptomatic transmission has never been the driver of outbreaks. The driver of outbreaks is always a symptomatic person.")

(Source, conférence de presse 28 janvier 2020 : https://youtu.be/w6koHkBCoNQ?t=2653)

Le 8 juin 2020, dans une conférence de presse de l'OMS, une experte du coronavirus (Maria Van Kerkhove, cheffe de l'unité des maladies émergentes et zoonoses de l'OMS) a dit que les cas asymptomatiques ne transmettent à peu près jamais ("très rare"), ne sont pas contagieux.

(Segment de la conférence de presse de l'OMS : https://www.youtube.com/watch?v=NQTBlbx1Xjs)

Le lendemain, il y a eu un tollé dans les médias chez certains "experts" parce que tout le monde avait compris que si les "asymptomatiques" étaient vraiment inoffensifs, ça voudrait dire : absolument aucune justification pour la distanciation sociale, l'isolement social, le confinement, les masques pour tous, la peur collective et tout le branle-bas de combat. Donc le retour à la normale, car il ne faudrait cibler que les symptomatiques avec les mesures, autrement dit, les malades (comme on le fait habituellement).

 

Voici un étrange passage de Karl Weiss à TVA réagissant à cela avec Mario Dumont :

L'OMS, le 9 juin a fait "volte-face", selon les médias. À vrai dire, l'experte de l'OMS a juste précisé que ce qu'elle avait dit n'était pas "une recommandation officielle de l'OMS" mais qu'elle ne faisait que répondre à une question de conférence de presse. C'est là le point important : pourtant, ce qu'elle a dit n'en demeurait pas moins exact. (Source : https://www.cbc.ca/news/health/who-covid-19-asymptomatic-spread-1.5604353)

 

Août 2020, l'étude A study on infectivity of asymptomatic SARS-CoV-2 carriers a été publiée dans Respiratory Medicine, qui statuait :  "Infectivity of some asymptomatic SARS-CoV-2 carriers was probably weak." (Traduction : "Le potentiel infectieux des porteurs asymptomatiques du SARS-CoV2 était probablement faible.") (Source : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0954611120301669)

 

De août, les mois ont passé jusqu'au 20 novembre 2020, où une étude chinoise a été publiée dans la revue scientifique Nature, avec un échantillon de 10 millions de personnes, dont le titre est : "Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China". (Source : https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w)

Cette étude conclut qu'après avoir analysé les allées et venues de 10 millions de personnes, en suivant les malades, les asymptomatiques ne sont pas contagieux donc ne propagent pas le virus. ("There were no positive tests amongst 1,174 close contacts of asymptomatic cases." C'est-à-dire: il n'y a pas eu de cas positifs parmi les 1 174 contacts rapprochés des asymptomatiques.")

Cette étude aurait dû faire grand bruit comme une bonne nouvelle importante et qui change tout. Mais... the show must go on.

 

Petit bonus intéressant

L'hebdo d'information Forum de l'Université de Montréal sorti le 5 décembre 2005 contenait un article où des médecins comme le médiatique Karl Weiss ou l'infectiologue Denis Phaneuf s'expriment s'intitulant : "Faut-il éviter les baisers à Noël ?" Pour l'histoire, c'est un peu plus d'un an après le dernier cas de coronavirus du SRAS recensé (vers la mi-2004). Il y avait encore de petites chances qu'il coure, donc. Voici ce qu'ils disent :

«Ne vous privez pas de ce plaisir, répond le Dr Karl Weiss, infectiologue et immunologiste à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. On ne vit pas dans un monde stérile et c’est tant mieux.» [...]

Même réaction du Dr Denis Phaneuf, microbiologiste et infectiologue au CHUM: vivre, c’est prendre des risques, dit-il. [...]

Relatant une étude menée à l’Université du Michigan dans les années 80, le Dr Phaneuf affirme que même le baiser mouillé (french kiss) est un assez mauvais vecteur du rhume. «Seule 1 personne sur 15 avait contracté le rhume après un tel baiser, alors que 13 sur 15 en avaient été atteintes après un échange tactile.» [...]

L’expérience menée à Ann Arbor s’appuyait sur l’expérimentation en conditions contrôlées d’un rhinovirus bien identifié chez une jeune adulte. La personne infectée devait tenter de transmettre son rhume de trois façons: par les mains, la bouche ou les airs. Dans une pièce fermée, trois groupes de 15 hommes se sont succédé auprès d’elle. Avec le premier, elle devait mettre un masque et frotter les mains de chacun de ses invités pendant une minute. Ceux-ci, masqués aussi, devaient se toucher les yeux et le nez après le contact. Dans le deuxième groupe, les invités portaient des gants de caoutchouc, mais ils devaient, tour à tour, embrasser longuement la jeune fille. Enfin, dans le dernier groupe, il n’y avait aucun contact direct: les sujets se limitaient à jouer aux dames. «Cette étude démontre que le nez et les yeux sont des portes d’entrée idéales pour le virus du rhume, alors que la bouche ne l’est que rarement. Quant à la transmission par l’air, c’est un facteur négligeable», explique le Dr Phaneuf. [...]

Le médecin croit qu’on peut limiter la propagation des virus et bactéries en adoptant des mesures très simples. «Il faut se laver les mains plus souvent qu’à l’ordinaire, car le risque d’infection augmente en proportion du nombre de contacts. [...]

Le ministère de la Santé et des Services sociaux a récemment distribué des informations sur la «politesse respiratoire» visant à prévenir la prolifération des maladies infectieuses. Mais ces mesures se heurtent à une culture de l’individualisme. «Au Japon, dès qu’une personne se croit contagieuse, elle fait le nécessaire pour ne pas infecter ses concitoyens. Ici, les gens ne se préoccupent que des risques qu’ils courent.»

On sait que parmi les virus qui causent le rhume (common cold), figurent entre autres les coronavirus humains communs. La phrase disant que la "transmission par l'air est un facteur négligeable" m'a particulièrement interpellé.

(Sources : http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/2005-2006/20051205/capsule_science.html https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3416289/ https://www.merckmanuals.com/en-ca/home/infections/respiratory-viruses/common-cold https://www.the-scientist.com/news-opinion/common-cold-coronaviruses-tied-to-less-severe-covid-19-cases-68146)




Les compagnies pharmaceutiques ("big pharmas") sont tellement puissantes qu’elles font elles-mêmes les tests d’innocuité de leurs médicaments et vaccins, les essais cliniques, et qu’elles ont assez de pouvoir de lobbying pour influencer les agences de régulation gouvernementales, des chercheurs et des médecins.

Ce n'est pas moi qui le dit c'est Dr. Marcia Angell dans son texte "Big Pharma, mauvaise médecine. Comment les dollars des pharmas corrompent la recherche et l'éducation". J'en reparle dans les prochaines lignes.

Les big pharmas sont les entreprises aux plus hautes marges de profit.

(Sources : https://www.healtheuropa.eu/pharma-companies-are-more-profitable-than-most-sp-500-companies/98229/

https://www.newsweek.com/big-pharma-companies-profits-industries-study-1490407

https://www.forbes.com/sites/leahrosenbaum/2021/05/13/worlds-largest-healthcare-companies-2021-big-pharma-and-insurers-profit-through-the-pandemic/

https://www.andruswagstaff.com/blog/big-pharma-has-higher-profit-margins-than-any-other-industry/

https://www.bbc.com/news/business-28212223)

 

En science, lorsqu'on a deux médecins en face de nous et que les deux disent quelque chose, si on sait que l'un est un professeur émérite dans une grande université, puis que l'autre en est à sa première année avec son permis de médecine, les deux ont beau être médecins mais rapidement on saura qui a quelle crédibilité. Cela devrait couler de source, pour tout le monde. De la même manière, lorsqu'on se rend compte que quelqu'un qu'on met en position de critiquer, disons Pfizer, fait lui-même partie de "la Chaire de recherche Pfizer en ...", alors de grandes lumières rouges devraient nous allumer. C'est un conflit d'intérêt.

 

Entrevue de Dr. Turcotte

Avant tout, je veux présenter une entrevue très importante du docteur québécois Fernand Turcotte au micro de Franco Nuovo à Dessine-moi un dimanche, le dimanche 17 mai 2015 au 95.1 FM à Montréal, donc il y a déjà presque six ans! Dr. Turcotte, mort en 2020 à 78 ans, était expert en santé publique, professeur émérite et cofondateur du Département de médecine sociale et préventive de l'Université Laval créé en 1971.

Je suggère d'arrêter momentanément la lecture de mon texte pour écouter l'entrevue en y accordant toute votre attention parce qu'il y a beaucoup d'idées vraiment très importantes.

Suite à l'entrevue de Dr. Turcotte, toujours le 17 mai 2015, Normand Baillargeon a fait sa chronique en lien direct avec "big pharma", le lobbying et l'idée que nos institutions démocratiques se fassent tordre le cou, et que c'est très grave.

(Quand je réécoute cette entrevue en 2022, j'ai peine à imaginer que c'est le même chroniqueur Baillargeon qui a pu dire des choses si justes sur les pharmas en 2015. Le climat délétère de censure actuelle et de pensée unique a pourri énormément de monde.)

(Voir la page originale de cette entrevue de 2015 sur le site de Radio-Canada en cliquant ici. - archivé ici)

 

 

Docteurs Marcia Angell et Arnold Relman, éditeurs du New England Journal of Medicine

Maintenant, intéressons-nous aux docteurs Arnold Relman et Marcia Angell, encore sur le sujet de la corruption de la science par l'industrie pharmaceutique.

Angell a dit ceci en janvier 2009 dans l'article "Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption" (Source : https://web.archive.org/web/20151208022937/https://www.nybooks.com/articles/2009/01/15/drug-companies-doctorsa-story-of-corruption/) publié dans le le New York Review of Books :

«Ce n'est tout simplement plus possible de croire la plupart des recherches cliniques publiées, ou se fier sur le jugement de médecins de confiance ou des lignes directrices faisant autorité en médecine. Je n'éprouve aucun plaisir à tirer cette conclusion, à laquelle je suis arrivée lentement et avec dédain, après avoir passé deux décennies en tant qu'éditrice du New England Journal of Medicine

(Original en anglais: It is simply no longer possible to believe much of the clinical research that is published, or to rely on the judgment of trusted physicians or authoritative medical guidelines. I take no pleasure in this conclusion, which I reached slowly and reluctantly over my two decades as an editor of The New England Journal of Medicine.)

Voici deux textes de Marcia Angell, MD (ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, NEJM. Membre du Department of Global Health and Social Medicine et Faculty associate au Center for Bioethics de Harvard) dont les titres sont très évocateurs :

"Big Pharma, Bad Medicine. How corporate dollars corrupt research and education" (2010) Boston Review,

https://bostonreview.net/archives/BR35.3/angell.php (archivé ici: https://archive.is/Qpb1b et version française annotée ici)

Voici un texte de Arnold Relman, MD (editor du New England Journal of Medicine de 1977 à 1991, et professeur émérite à la Harvard Medical School), et un texte le citant, celui-là de Joseph S. Alpert, MD, et rédacteur en chef du American Journal of Medicine:

Arnold Relman, "Dealing with Conflicts of Interest" (1984) New England Journal of Medicine,

https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJM198405033101809 (archivé ici: https://archive.is/HUhAZ et version française annotée ici)

Joseph S. Alpert, "Doctors and the drug industry: How can we handle potential conflicts of interest? " (2005) American Journal of Medicine,

https://www.amjmed.com/article/S0002-9343(04)00751-X/fulltext (archivé ici: https://archive.is/E8Z0L et version française annotée ici)

Dans le premier article de Dr. Angell (Is Academic Medicine for Sale?, 2000), elle dit quelque chose qui m'a frappé tellement c'est important:

«Pourquoi les chercheurs cliniques ne devraient-ils pas avoir de liens étroits avec l'industrie? Une préoccupation évidente est que ces liens vont biaiser la recherche, à la fois sur le type de travail effectué et sur la manière dont il est présenté. Les chercheurs peuvent entreprendre des études en se demandant s'ils peuvent obtenir un financement de l'industrie, et non si les études sont scientifiquement importantes. Cela signifierait davantage de recherches sur les médicaments et les dispositifs et moins conçues pour mieux comprendre les causes et les mécanismes de la maladie. Cela fausserait également la recherche vers la découverte de différences insignifiantes entre les médicaments, car ces différences peuvent être exploitées à des fins de marketing. La possibilité que les liens financiers puissent influencer les résultats des études de recherche est encore plus préoccupante.»

Un autre nom de premier plan, Richard Horton, l'éditeur scientifique de la revue médicale britannique The Lancet justement, a écrit ceci en 2015 dans le texte "What Is Medicine’s 5 Sigma?’, The Lancet 385: 1380":

«L'argument contre la science est l'évidence même : la majorité de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est probablement fausse. Affligée par des études aux petits échantillonnages, aux petits effets, aux analyses non valides, et aux conflits d'intérêts flagrants, avec une obsession pour les tendances de l'heure qui restent d'une importance très relative, la science a pris un tournant dans la noirceur.»

(Original en anglais: The case against science is straightforward: much of the scientific literature, perhaps half, may simply be untrue. Afflicted by studies with small sample sizes, tiny effects, invalid exploratory analyses, and flagrant conflicts of interest, together with an obsession for pursuing fashionable trends of dubious importance, science has taken a turn towards darkness.)

(Source : https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(15)60696-1/fulltext)

 

 

Il y a tellement d'autres médecins et scientifiques, même des députés, qui ont sonné l'alarme. En voici quelques autres.

 

Le 18 mai 2021, donc très récemment, voici ce que la députée ('congresswoman' à la Chambre des représentants du Congrès américain) Katie Porter avait à dire à ce gestionnaire de la compagnie pharmaceutique AbbVie :

 

Voici un petit aperçu d'un documentaire de journalisme d'enquête du média Arte (une chaîne de télévision franco-allemande) sur le lobbying "tout-puissant" des compagnies pharmaceutiques :

 

Voici un segment de l'émission C à vous (émission rarement pertinente) à France5 (une des chaînes de télévision de l'État français), où un médecin ne mâche pas ses mots dans ce qu'il a à dire sur les dynamiques de l'industrie pharmaceutique :

 

Voici un segment très important d'un discours du Professeur Didier Raoult, directeur de l'Institut hospitalo-universitaire de Marseille, sur le rôle des pharmaceutiques aujourd'hui :

 

Voici une petite synthèse proposée par le média en ligne AJ+, présentant notamment des médecins (le Dr. Even) et pharmaciens :

 

Autre exemple, en 2018, CNBC a sorti un article au titre absolument abracadabrant : "Goldman Sachs asks in biotech research report: ‘Is curing patients a sustainable business model?’" (traduction: "Goldman Sachs se demande si guérir les patients représente un modèle d'affaires viable") Désolé je me rassois parce que je viens de tomber en bas de ma chaise. En passant, Goldman Sachs est une des plus grosses banques d'affaire du monde. (Source : https://www.cnbc.com/2018/04/11/goldman-asks-is-curing-patients-a-sustainable-business-model.html)

 

Bonus : En faits de scandales pharmaceutiques, voici un article très intéressant publié le 23 septembre 2019 dans le journal français Les Echos intitulé : "Mediator, Distilbène, sang contaminé… ces scandales sanitaires qui ont marqué la France", https://www.lesechos.fr/amp/1133993

 

 


 

Et pendant ce temps... pendant que ces docteurs et chercheurs courageux disent ce qui est, voici un exemple de ce qui est dégueulé dans la face de nos concitoyens à journée longue sur le média TVA (LCN), par exemple :

C'était un extrait de Caroline Quach qui parlait sur TVA/LCN le 15 janvier 2021, une pédiatre aux milles affectations dans le réseau québécois de la santé. En plus d'être sur tous les plateaux télé et radio (Radio-Canada, TVA), elle est à Sainte-Justine, l'UdeM, McGill, l'INSPQ, etc. Elle est même dans le bottin de l'Union des artistes! Mais le plus grave, c'est qu'elle est présidente du Comité consultatif national de l'immunisation du Canada (CCNI), organe fédéral qui donne son feu vert (ou non) pour les vaccins covid-19!

Je pense que si on avait à faire un genre de synthèse de toutes ces informations, c'est que nous le peuple, on est quand même assez dans la merde. C'est la pensée conséquente qui nous l'impose : à la lumière de toutes ces informations de très grande qualité, on ne peut plus faire aveuglément confiance aux instances de régulation en santé, ni évidemment pas aux compagnies pharmaceutiques, ni aux trop nombreux professionnels qui sont en conflits d'intérêts, incluant les médias qui sont ceux dont la responsabilité se situe au niveau de transmettre ces informations tronquées, trompeuses, influencées. Il faut donc dorénavant devenir vigilants et se faire notre propre tête sur ces sujets. C'est ce pourquoi j'essaie de contribuer, à la hauteur de toutes mes capacités en écrivant ces mots. Comme Dr. Kamran Abbasi l'a dit (dans Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science version française annotée ici): "Quand la bonne science est supprimée par le complexe médico-politique, les gens meurent". Cela doit cesser.

 

 

Il y a aussi des scandales de corruption, avec de lourdes condamnations notamment avec Pfizer, Johnson & Johnson, AstraZeneca, etc.

Voici une nouvelle récente : "Talc et cancer: Johnson & Johnson définitivement condamnée à payer 2,1 milliards de dollars", https://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/talc-et-cancer-johnson-et-johnson-definitivement-condamnee-a-payer-21-milliards-de-dollars/625331

Pfizer condamné à 2,3 milliard en 2009 que Fouché a mentionné (voir section sur Dr. Louis Fouché) : https://violationtracker.goodjobsfirst.org/parent/pfizer

 

 

Inversion : la campagne marketing de Pfizer

Lorsque j'ai vu cette campagne la première fois, sachant ce que je sais notamment après avoir pris connaissance des informations dans cet énoncé sur les big pharmas, un immense sentiment de malaise m'a traversé le corps.

"Science will win" : la science va gagner. On a compris que les big pharmas ont tout retourné et corrompu le système, alors en définitive ils sont l'inverse de la science, ils sont la "bad science" mauvaise science, c'est-à-dire la science dévoyée au service du gros fric (ou la "$cience"). Ces multinationales qui sont capables de manipuler des gouvernements, des universités, des médias, avec du lobbying, des enveloppes.

Je reste optimiste en me disant que la science va gagner, oui, mais pas celle que Pfizer croit. La science, la vraie, va reprendre sa place.

 

Voici un autre exemple écoeurant impliquant Pfizer :

Comprenne qui pourra. (Indice: conflit d'intérêts. Pfizer finance une émission, met de l'argent dans une émission. Comment cette émission pourrait-elle être authentiquement critique envers Pfizer? Surtout quand il s'agit de "combattre la méfiance envers la science"!!! C'est tellement ridicule que ça a l'air trop gros pour être vrai.)




Dans cette section  :

 

Depuis janvier 2020, certains comme Fauci ont déjà commencé à parler de vaccination mRNA (Moderna) et de remdesivir, etc.

Mais, depuis le mois de février 2020, on a eu des espérances de trouver un traitement qui diminuerait massivement les cas graves de la maladie et amènerait le taux de mortalité à environ zéro. Un médicament a fait grand bruit fin février et durant le mois de mars : l'hydroxychloroquine (le Plaquenil, nom commercial).

Petit aparté : il y a aussi des techniques hospitalières améliorées depuis le début de 2020. Les protocoles de réanimation ont été revus et on intube moins les gens qu'au début (ce qui faisait mourir certains). Plutôt, l'oxygène à très haut-débit (à 60 litres) est préféré (voir la section sur les explications de l'anesthésiste-réanimateur Dr. Louis Fouché ici).

 

Hydroxychloroquine (hcq)

Dans le monde francophone, le Professeur Didier Raoult (voir son CV), PhD, Directeur de l'Institut Hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée-Infection et spécialiste en microbiologie et maladies infectieuses, a rapidement dit avoir soigné des malades à son centre hospitalier et constaté une récupération beaucoup plus rapide chez ses patients traités à l'HCQ. L'HCQ est dérivée de la quinine, elle-même une molécule naturelle provenant de l'écorce du quinquina, un arbre. (On la retrouve d'ailleurs en petite quantité dans l'eau tonique qu'on met dans les gin tonic!) Remède connu depuis des siècles, efficace dans bien des maladies, il a déjà été considéré comme une panacée (un médicament qui guérit à peu près tout).

Dr. Raoult a découvert que l'HCQ prise avec de l'azythromycine (l'antibiotique, ne pas confondre avec l'AZT aussi appelée zidovudine !) et du zinc (l'HCQ est un ionophore du zinc), donnait des résultats très encourageants. Le protocole du Dr. Zelenko de la communauté juive orthodoxe de New York est à peu près le même. L'équipe du Dr. Raoult a fait une méta-analyse de dizaines d'études et il a pu montrer que les études sans conflit d'intérêt avec les pharmaceutiques donnaient toutes des résultats positifs avec l'HCQ. Parmi les études qui disaient que l'HCQ ne donnait rien, la majorité étaient financées par la pharmaceutique Gilead (qui fabrique le remdesivir, molécule concurrente).

Ce qui est ironique et triste dans cette histoire, c'est que Dr. Angell (que j'ai citée dans l'énoncé sur big pharma) dénonce dans le New England Journal of Medicine un phénomène qu'elle voit grandir, et que c'est le New England Journal of Medicine (et surtout The Lancet) qui sont embourbés 20 ans plus tard en 2020 dans un scandale d'article scientifique frauduleux qui a menti sur l'hydroxychloroquine pour la discréditer (aussi parfois appelé le "Lancet Gate").

 

Voici ce que le Professeur Luc Montagnier (virologiste, professeur émérite, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus VIH, voir son CV ici) pense, sur le même sujet :

 

Pour ceux que les grands médias ont fait douter de la crédibilité et de l'expertise du Professeur Didier Raoult, directeur de l'Institut hospitalo-universitaire de Marseille (IHU) spécialisé en maladies infectieuses, voir cette vidéo de l'IHU de Marseille du 28 février 2020 où il explique bien ce qu'est un expert : https://www.youtube.com/embed/mJl2nPHAo2g où il dit :

"Un expert pour une télévision ou pour un groupe c'est une chose. Un expert pour la science c'est une autre chose. Je suis indifférent au fait que les uns les autres pensent qu'ils sont des experts, cela m'indiffère. Cela étant, il y a des manières de quantifier le niveau scientifique des gens qui est facile à évaluer. Il suffit de regarder qui est quoi dans un domaine donné scientifique."

Je suis allé consulter ExpertScape pour confirmer que le Pr. Raoult est bien l'expert numéro 1 le 27 février 2020 :

(Source : http://archive.is/RBu6l)

 

Au mois de mai 2021, le Professeur Raoult a eu gain de cause sur ses diffamateurs : https://www.entreprendre.fr/le-professeur-didier-raoult-porte-plainte-contre-ses-diffamateurs-et-obtient-gain-de-cause/

En plus de cela, le Professeur Raoult a été honoré par l'Académie française, entre autres, pour ses travaux.

Dr Raoult, fin novembre-début décembre 2020, a fait une entrevue sur Sud Radio où il donne son avis sur l'idée d'un "vaccin covid" :

« J’ai dit que le vaccin relevait de la science fiction pour moi ; je ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées mais prenez l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à le stabiliser et encore à l’heure actuelle il n’est pas fiable à 100%. Et là, pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains laboratoires nous sortent des résultats à plus de 90% ! Non mais franchement, qui peut croire une chose pareille ? D’ailleurs où sont les études sur ces vaccins parce que je cherche et je n’ai rien trouvé !

Non ce n’est pas sérieux du tout, certains vont devenir milliardaire avec cette connerie qui est rabâchée par les médias alors quand on me demande ce que je pense du vaccin et de sa réussite, je dis que je ne joue pas en Bourse, je pense que les Français comprendront, ils sont moins bêtes que ce que les Politiques veulent croire… »

 

Dr. Raoult a été fait le 31 mars 2021 Commandeur de l'Ordre national du Lion au Sénégal par le président : https://twitter.com/raoult_didier/status/1377193289212964865 une façon de le remercier de ses recherches sur l'HCQ notamment, abondamment utilisée en Afrique contre le paludisme depuis des lustres.

Source sur l'HCQ :

Liste des études sur l'HCQ dans le monde : https://c19hcq.com/

Étude randomisée de plus de 3000 patients : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33864917/

 

Carte de l'utilisation de l'hydroxychloroquine dans le monde :

On remarque que l'usage de l'HCQ est massif dans le monde. Il est limité ou interdit dans les Five Eyes (UK, USA, Canada, Australie/Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud), la France, la Suède et le Chili.

Le cas de l'Algérie est intéressant :

Dans Ouest-France le 26 mai 2020 : "L'Algérie ne compte pas renoncer à l'utilisation de la chloroquine" https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-l-algerie-ne-compte-pas-renoncer-la-chloroquine-6847007

Puis... le 29 mars 2021, voici ce que titrait Le360, média marocain : "Le miracle s'est produit en Algérie, le pays immunisé sans vaccins." https://afrique.le360.ma/algerie/societe/2021/03/29/33991-covid-19-le-miracle-sest-produit-en-algerie-le-pays-immunise-sans-vaccins-33991

 

 

Ivermectine

L'ivermectine fait beaucoup l'actualité début 2021 parce que son efficacité serait très élevée. Le Professeur Satochi Omura, biochimiste japonais, également prix Nobel pour ses travaux, a comparé l'ivermectine à la pénicilline à l'époque où ce médicament a été une découverte très importante dans la lutte contre certaines maladies. ("There are few drugs that can seriously lay claim to the title of ‘Wonder drug’, penicillin and aspirin being two that have perhaps had greatest beneficial impact on the health and wellbeing of Mankind. But ivermectin can also be considered alongside those worthy contenders, based on its versatility, safety and the beneficial impact that it has had." Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3043740/pdf/pjab-87-013.pdf)

Sources :

- https://c19ivermectin.com/

Carte de l'utilisation de l'ivermectine dans le monde :

 

Artémisia (à Madagascar)

L'artémisia a été étudiée par l'Institut Malgache de Recherche Appliquée (IMRA) pour ses propriétés actives contre le coronavirus. Elle est administrée en tisane sous le nom de COVID-Organics.

 

L'Institut Max Planck (Max-Planck Gesellschaft) en Allemagne a testé l'artémisia COVID-Organics et a effectivement démontré une efficacité in vitro. (Sources : https://www.mpg.de/14663263/artemisia-annua-corona-virus https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.02.14.431122v1.full.pdf)

À propos de l'artémisia et ses grandes vertus contre le paludisme, France 24 a fait un documentaire s'intitulant : "Malaria business, les laboratoires [pharmaceutiques] contre la médecine naturelle" (Voir : https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ)

L'OMS félicite Madagascar pour sa réponse au coronavirus : https://www.aa.com.tr/en/africa/who-commends-madagascars-fight-against-covid-19/1848550

Le COVID-Organics a été critiqué par la BBC ou CTV News, même si les Malgaches sont convaincus d'une efficacité de leur traitement. N'en reste pas moins que d'une façon ou d'une autre, Madagascar enregistre seulement 14 décès par million d'habitants, ce qui fait que ce pays est à la 171ème place sur environ 220 pays et territoires. Ce qui est très enviable.

Plusieurs pays ont fait des ententes avec Madagascar pour se procurer le traitement :

La Tanzanie, la Guinée-équatoriale, la République centrafricaine, République du Congo, la République démocratique du Congo, le Libéria, la Guinée-Bissau ont déjà reçu des milliers de doses de COVID-Organics sans frais, (https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-madagascar-idUSKBN22K1HQ) en plus du Sénégal, Nigéria, Chad, le Niger, le Ghana, Haïti, les Comores.

 

Renforcer l'immunité et s'éloigner des immunosuppresseurs

1. Bien manger : Certains aliments sont bourrés de bonnes choses, d'autres non. Certaines activités, certaines attitudes aussi.

2. Éviter toute carence en nutriments, vitamines et minéraux (sans surdoser!) : Des taux normaux de toutes les vitamines, mais en particulier :

la vitamine D et la vitamine C, assurent le bon fonctionnement du système immunitaire. Il est important de ne pas abuser de la vitamine D car une hypervitaminose est possible (une dose normale quotidienne est de 1 000 UI, à 4 000 UI selon le document ci-dessous).

Assez de Zinc, de Fer, de Magnésium, etc.

Les légumes ont une foule de propriétés protectrices et réparatrices pour l'organisme alors il est bon d'en manger souvent, de toutes les couleurs. (Concombre, poivron, laitue, épinards, cresson, ail, oignons, carottes, patates, betteraves, céleri, etc.) Il est aussi important de manger assez de protéines. (Attention. Pour les gens qui ont des problèmes de coagulation, évitez de prendre de la vitamine K avant d'avoir parlé à votre médecin car elle s'appelle K pour Koagulation en allemand. Elle joue un rôle dans la coagulation.)

Sources :

https://vitamindforall.org/letter_FR.pdf

https://www.dailymail.co.uk/news/article-9257521/amp/Study-finds-Vitamin-D-reduces-Covid-deaths-60.html

https://vdmeta.com/

https://c19vitaminc.com/

 

3. Déstresser! On sait que le stress est immunosuppresseur (car il active dans le corps le système nerveux sympathique - dont je parle dans l'énoncé sur le confinement). Le contraire du stress est la méditation : savoir respirer profondément, oublier tous les soucis, se recentrer, faire le vide. Tout ceci active l'autre système : le système parasympathique. Un sommeil suffisant aide aussi à ce que le corps se répare durant le sommeil et le système immunitaire soit en forme pour affronter la multitude de microbes qu'il croise chaque jour.

Concrètement, ça peut passer par : s'accorder des moments de détente, de déconnexion, de relaxation, de méditation, s'écouter un de nos films préférés, une de nos activités préférées, jaser avec quelqu'un avec qui on adore jaser, etc.

 

4. Arrêter de s'en faire pour tout, tout le temps. Éteindre son angoisse et son anxiété perpétuelle. Bien dormir.

 

Autres médicaments potentiels

Il y a aussi eu l'étude sur la colchicine à Montréal (Colcorona) qui s'est apparemment soldée avec des résultats assez encourageants mais qui a tout de même été rapidement étouffée. Une étude sur la quercétine (un flavonoïde présent dans l'ail et les oignons entre autres) par le Dr. Michel Chrétien est aussi apparemment tombée dans l'oubli.

Il y a aussi plus récemment le laboratoire Phytobôkaz, fondé en 2005 qui a travaillé avec l'herbe à pic en Guadeloupe et qui semble efficace, qui bloquerait la réplication virale du coronavirus.

(Source : https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/38925/herbe-a-pic-covid-19-enrayer-epidemie)

 

Il y a aussi des médicaments corticoïdes comme la doxaméthasone qui permettent de calmer la tempête cytokinique qui arrive chez les malades très aggravés. (Source : https://www.nature.com/articles/d41586-020-01824-5)

 

Dès le mois de mai 2020, le budesonide (nom commercial : Pulmicort), une pompe à asthme dite "de traitement" à corticostéroïde, a été identifié comme ayant un potentiel par le docteur Richard Bartlett du Texas (USA). Début 2021, il a été découvert qu'il avait le potentiel de réduire les admissions à l'hôpital de 90 % et raccourcir les temps de convalescence, selon des chercheurs de l'Université d'Oxford.

(Sources : Étude : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.04.21251134v1

9 février 2021 : https://www.dailymail.co.uk/news/article-9242771/Common-asthma-drug-cuts-need-send-Covid-patients-hospital-90-Oxford-says.html

https://www.newswest9.com/article/news/local/local-doctor-believes-he-has-found-silver-bullet-for-covid-19/513-8cd065d2-dbb5-4814-9cdd-5bb0dae77703

https://budesonideworks.com/

This Could Have Saved 450 000 lives [in USA] : https://rumble.com/vedwk3-this-could-have-saved-450000-lives.html

https://www.youtube.com/watch?v=205Unk4TQXI

https://www.texasstandard.org/stories/some-texas-doctors-are-treating-covid-patients-with-a-silver-bullet-drug-that-hasnt-been-fully-tested/

Et une synthèse du collectif du Dr. Fouché (réinfocovid) : https://reinfocovid.fr/science/budesonide-et-covid/)

 

Un antibiotique nommé la doxycycline est souvent cité aussi comme thérapie complémentaire contre le coronavirus.

Doxycycline as a potential partner of COVID-19 therapies, 6 juin 2020, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7298522/

Doxycycline treatment of high-risk COVID-19-positive patients with comorbid pulmonary disease, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32873175/

 

Il y a aussi eu des recherches sur des champignons aux propriétés antivirales au Népal (https://www.nepjol.info/index.php/NJST/article/view/29767). Il y a eu des tas de recherches sur des tas de substances prometteuses et souvent naturelles.

Mais... si ces traitements avaient été reconnus comme ayant une efficacité suffisante, ça aurait été la "fin de la pandémie". Et... "la fin des vaccins".

Sauf que... the show must go on!




La grippe saisonnière (influenza) a complètement disparu depuis le mois de mars 2020. Au Québec : aucun cas, zéro, pendant la saison 2020-21.

"L'administratrice en chef de la santé publique du Canada, la Dre Theresa Tam, affirme que les mesures de santé publique en place pour ralentir la propagation de la COVID-19 ont aidé à éloigner la grippe. [...]

À cette période de l'année, le Canada enregistre normalement en moyenne plus de 43 000 cas confirmés de grippe.

Mais cette année, l'Agence de la santé publique du Canada affirme qu'il n'y avait eu au total que 66 cas confirmés en date du 20 mars."

(Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1781435/grippe-saisonniere-rare-canada-covid)

Aux États-Unis, même chose : "Nationally, 666 people of all ages have been diagnosed with influenza A or B less than a week out from Christmas." (https://kutv.com/news/coronavirus/while-covid-19-cases-surge-flu-cases-are-way-down)

Arruda a même dit le 6 janvier 2021 "Actuellement, y a pas de grippe au Québec. Si vous avez des symptômes qui s'apparentent à la grippe, c'est probablement du covid19."

(Source : CPAC 6 janvier 2021 https://youtu.be/bQA6djSN5WY?t=1768)

La déclaration de Theresa Tam et de Arruda, rien de plus fou et mensonger. Pourquoi ? Parce que ça n'a rien à voir avec les mesures sanitaires, et la grippe n'a pas pu "disparaître" comme ça. On n'a jamais vu ça ! La grippe revient chaque hiver, bon an mal an. Si la grippe a "disparu" cette année, c'est tout simplement parce qu'ils ont arrêté de tester le monde pour la grippe en mars 2020 et ça continue depuis. Dans le graphique ci-dessous, on constate que les tests au Québec sont passés à ~0.

Ce tableau de l'INSPQ est disponible ici : https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20202021/2020-34.pdf

 

En effet, pour faire des statistiques sur la grippe, il faut faire des tests. Pas de tests = pas de grippe.

Voici ce que l'Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ) dit à ce sujet :

"Une diminution importante du nombre de tests effectués par les laboratoires sentinelles." Pas de tests = pas de grippe.

(Source : https://www.inspq.qc.ca/influenza archivé ici : https://archive.is/MBjP7)

 

Voir ici l'évolution du nombre de tests de grippe de 2016 à 2021 :

(Vous pouvez aussi voir cette animation en format GIF en cliquant ici.)

(Sources : https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20162017/2017-34.pdf

https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20172018/2018-34.pdf

https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20182019/2019-34.pdf

https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20192020/2020-34.pdf

https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20202021/2021-19.pdf (dernière semaine disponible en date du 19 mai 2021)

https://inspq.qc.ca/sites/default/files/documents/influenza/20172018/2018-19.pdf (comparatif de mai 2021 avec mai 2018))

 

Comme Arruda le dit, "c'est probablement du covid". Il est fort à parier en fait que tous les "syndromes d'allure grippale" ont été classés "covid" et non "grippe" cette année. À ce sujet, voici ce qu'un médecin français dit sur un plateau de télévision (Cnews en direct) :

Puisque le tableau clinique du coronavirus ressemble beaucoup au tableau de la grippe (le "syndrome d'allure grippale"), on peut se dire que plusieurs cas qui auraient été classés "grippe" les années passées ont cette année été classés "covid-19".

 

Ci-dessous est ce qu'on trouve sur le site du gouvernement du Québec quant à la grippe, depuis le début de la saison de grippe 2020-2021 (https://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/maladies-infectieuses/grippe/)

Il y a eu somme toute zéro cas de grippe, pas 10, pas 100, non, ZÉRO. Comme dans "nulle".

À l'hiver 2021-2022, début janvier 2022, moment de l'année où habituellement la saison grippale est au plus fort, la page du gouvernement indique encore "activité grippale nulle".

 

Même chose en France, dans le journal Le Parisien le 8 décembre 2020, alors que normalement la saison de grippe saisonnière commence à être très active (pic vers le Jour de l'An), 6 cas selon ce journal :

 

Aux États-Unis, le CDC a inventé une nouvelle catégorie statistique de décès, le "PIC" (Pneumonia, Influenza, Covid19), où ils comptent dans la même catégorie ces trois maladies, depuis 2020. Pourtant officiellement, le nombre de morts de la grippe (influenza) est autour de zéro depuis mars 2020.

(Source : https://gis.cdc.gov/grasp/fluview/mortality.html)

 

On voit dans ce graphique de l'OMS (de leur FluNet) que le pic grippal "mondial" revient chaque hiver :

(Source : https://www.who.int/flunet/ pour régénérer ce tableau, aller ici : https://apps.who.int/flumart/Default?ReportNo=10 et sélectionner les années 2000 à 2021)

On remarque par contre qu'à droite, pour la première fois, il y a un pic inexistant : la saison grippale 2020-2021 n'existe pas, c'est plat, nul. On remarque aussi qu'en 2009, il y a un gros pic, c'est la "pandémie" de la grippe "porcine" AH1N1 de 2009. On remarque que la H1N1 est revenue chaque hiver depuis 2009, et on n'en a pas fait une pandémie pour ça. Elle est restée parmi nous et continue de rester, et c'est rendu banal. On ne l'a pas éradiquée. Pourtant la "pandémie" de 2009 est finie depuis longtemps...

Enfin, ce qui est paradoxal, c'est que le pic de 2017 est beaucoup plus élevé que celui de 2009 ! Pourtant... il n'y a pas eu de pandémie en 2017.

Chaque année au Québec, les urgences débordent toujours l'hiver (Voir l'énoncé Les hôpitaux peinent depuis des décennies). La grippe est en partie responsable, mais il y a, en démographie un phénomène dit "le pic de décès hivernal" : l'hiver plus de gens meurent car la santé est moins forte dans ces mois froids et sombres.

Effectivement, il y a des années où la grippe frappe plus fort. Au Québec, on a pu le ressentir justement dans la saison grippale 2014-2015, comme Le Soleil le dit :

«Décembre et janvier ont fracassé les records. C'était au plus fort de l'attaque du virus de l'influenza A-H3N2. [L]e démographe Frédéric F. Payeur [écrit:] Le sommet de 223 décès par jour atteint en janvier 2015, pour un total de 6900 décès durant le mois, représente d'ailleurs le plus grand nombre de décès enregistré en un seul mois dans l'histoire récente du Québec.»

(Source: https://www.lesoleil.com/actualite/sante/une-grippe-devastatrice-lhiver-dernier-14022a104b2290f895a90f968d3c9b87)

Attention, rappelons que 223 décès par jour toutes causes confondues, pas de la grippe seulement. Pourtant, c'est vrai que 6900 décès pour le mois de janvier c'est beaucoup en 2015 (il faut toujours rapporter au nombre de population de l'année en cours, donc 6900 en 2015 c'est plus gros qu'en 2021).

Pourtant, on n'en a pas fait tout un plat en 2015 de ces grands chiffres. C'était "normal".

 

Par contre quand on regarde les stats de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) ci-dessous, on se rend bien compte que ça fluctue d'une année à l'autre et que chaque nombre a un "domaine d'incertitude" assez élevé, dans lequel on considère qu'il n'y a pas beaucoup d'excès de décès, ou en tout cas, dans une marge qui reste "normale" et non "pandémique".

Il y a quelque chose de louche dans les données de l'ISQ ceci dit. Lorsqu'on observe les stats de décès de 2020 ET 2021 (2 ans!) on se rend compte que ça reste des "estimations provisoires" en attente des chiffres exacts. Hum... 2 ans (2020), c'est long non ? (Il faut que je dise que les données définitives pour 2019 ont été finalisées vers la fin de 2021.) *Même si ce sont des chiffres dits "provisoires", c'est certain qu'on demeure quand même dans ces ordres de grandeur, donc ces chiffres demeurent fiables.

(Tableau consulté le 6 janvier 2022. Source : https://statistique.quebec.ca/fr/produit/tableau/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec)

Une autre chose à remarquer est le nombre de décès en 2019. Habituellement, le nombre de décès augmente chaque année. En 2019, le chiffre provisoire dit qu'il y a eu environ 1000 morts de moins qu'en 2018 ! (En 2016 il y a eu 500 morts de moins qu'en 2015 aussi). Mais le 74 550 provisoire de 2020 s'en trouve comme encore plus gonflé parce qu'on passe de 68K à 74K d'un coup, à la place par exemple de passer de 71K à 74K. Ce que je remarque dans ces chiffres, c'est que c'est 74 000 décès, mais pas 740 000 décès. Il y a un certain excès de décès, mais assez proche des années précédentes encore. Une chance que "la grippe a disparu".

Ces chiffres nous montrent en tout cas une chose, et confirment ce que Stat Can dit dans son rapport (j'en parle dans l'énoncé "Même le confinement ne marche pas", cliquez ici pour aller directement là où je parle du rapport), à l'effet qu'il n'y a pas eu de surmortalité depuis le mois de juin 2020, donc en fait, pas de deuxième vague de décès.

 

Voici les chiffres des hospitalisations pour pneumonie-grippe dans les hôpitaux du Québec pour la saison 2017-2018.

(Source: https://web.archive.org/web/20180325060835if_/http://www.msss.gouv.qc.ca:80/professionnels/documents/grippe/indicateurs-activite-grippale.pdf)

Le chiffre le plus élevé de grippe en 2017-2018 arrive à la Semaine 1 (vers le Jour de l'An), à 1500 hospitalisations, puis tournant autour de 1250 jusqu'au mois de mars. Le chiffre le plus élevé d'hospitalisations pour le covid19 saison 2020-2021 a été le 13 janvier 2021 avec... 1525 hospitalisations, à peu près le même sommet qu'en 2018. Voir le graphique ci-dessous de l'INSPQ où on voit les deux vagues d'hospitalisations (avril 2020 et 2020-2021):

 

 

Covid-19 versus Grippe (Influenza)

Covid long, mais grippe longue aussi

Un des arguments qui revient souvent est cette histoire de "covid long", par exemple : "Les jeunes, oui ils n'en meurent peut-être pas mais il y en a beaucoup qu'on sait pas ce qu'il va arriver dans des mois ou des années, et il y en a qui ne reviennent pas comme avant, qui restent faibles."

Il faut absolument dire que souvent, pour le covid19 comme pour la grippe, ce qui menace la santé pulmonaire à long terme est l'attaque sévère des poumons, donc souvent quand on atteint la pneumonie (virale ou bactérienne). Lorsque le corps se répare et cicatrise, il y a un risque de fibrose pulmonaire. Ce sont des séquelles temporaires ou permanentes. (https://poumonquebec.ca/maladies/fibrose-pulmonaire/)

Évidemment, lorsque les poumons ont une fonction amoindrie, l'énergie vitale est amoindrie aussi parce que les échanges gazeux (oxygène / dioxyde de carbone) se font moins efficacement. L'essoufflement arrive plus vite et la fatigue aussi. Cet état de "maladie allongée" peut durer plus ou moins longtemps. Il y a probablement des façons d'aider à remonter la pente. Mon point n'était pas ici de faire cette recherche en particulier, mais simplement de dire que des séquelles à plus ou moins long terme, ça existait déjà avec la grippe, avant le "covid long".

(Sources : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/la-grippe-pourrait-compromettre-la-sante-du-cerveau

http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2009-11-29/grippe-a-h1n1-quels-sont-les-symptomes-et-les-risques-de-complications-graves)

 

Perte d'odorat, avec la grippe aussi

Voici ce que dit la fiche-ressource de la compagnie pharmaceutique Merck sur l'anosmie (perte d'odorat) : "Une infection des voies respiratoires supérieures, notamment l’influenza (grippe) est une autre cause fréquente d’anosmie. La grippe est responsable de près d’un quart des hyposmies ou des anosmies".

(Source : https://www.merckmanuals.com/fr-ca/accueil/troubles-du-nez,-de-la-gorge-et-de-l%E2%80%99oreille/sympt%C3%B4mes-des-troubles-du-nez-et-de-la-gorge/perte-de-l-odorat)

Il y a des gens qui n'ont plus retrouvé leur odorat comme avant, après une grippe.

Ce qui me pose problème, c'est que depuis le mois de mars-avril 2020, on nous terrifie avec la perte d'odorat, comme si ça n'avait jamais existé avant. C'est une erreur, puisque la grippe qu'on côtoie depuis qu'on est petits occasionne des anosmies elle aussi. Qu'on se le dise.

 

Les autres coronavirus

Il y a au moins 4 coronavirus dits "coronavirus humains communs" (CHC, common human coronaviruses) appelés OC43, HKU1, 229E et NL63, qui sont responsables de petits rhumes (common cold), ou infections respiratoire des parties supérieures la grande majorité n'étant pas graves. (Le SARS-CoV1 et le MERS ne circulent plus.) Le scientifique Michael Yeadon entre autres, et l'article cité ci-dessous, expliquent que ceux qui ont été infectés récemment par un CHC ont fait un covid19 beaucoup moins sévère parce que le CHC leur avait conféré une certaine immunité.

Pour beaucoup d'experts, il n'est plus vraiment envisagé d'éradiquer le coronavirus SARS-CoV2 de la surface de la planète. Ils s'attendent plutôt à ce que ce coronavirus devienne "endémique" et devienne banal comme les 4 autres qui nous donnent des rhumes de temps en temps.

(Source : https://www.the-scientist.com/news-opinion/common-cold-coronaviruses-tied-to-less-severe-covid-19-cases-68146 article scientifique : https://www.jci.org/articles/view/143380)

 

 

Petit segment "hypothèse"

Je sais qu'on nous a pas mal bassinés avec les mots "new normal", "nouvelle normalité", "le monde d'avant c'est fini", "on ne retournera jamais à la normalité" (Je reparle de ces citations, avec sources, dans une prochaine page de ce site. Restez à l'antenne!), bref, ces idées qui impliqueraient un changement dans notre façon de vivre ! On nous a aussi laissé parfois entendre que les masques étaient là pour rester des années. Certains ont même dit que ça resterait pour toujours. Un espèce de monde d'humains-bulles ne se touchant plus, ne s'approchant plus jamais (ou six mois par année) dans les pires scénarios. Bref, j'ai pu tomber sur une entrevue à Radio-Canada, sur la "disparition" de la grippe ! J'ai fait un lien, mais qui reste au stade de l'hypothèse. L'émission était le 16 mai 2021, Les années lumières à Radio-Canada. Sophie-Andrée Blondin, Gino Harel. (https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/les-annees-lumiere/episodes/533121/rattrapage-du-dimanche-16-mai-2021/4) L'"invité" était Vincent Gosselin Boucher (~30 ans), candidat au doctorat en psychologie, affilié au centre de médecine comportementale (behavioral medicine) de Montréal, qui a fait avec la médiatique Kim Lavoie, entre autres, une "étude" de psychologues essentiellement : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2021.628479/full

Vincent Gosselin Boucher, pour savoir qui qui parle.

 

Bon maintenant qu'on a fait les présentations, voici ce qu'il a dit à Gino Harel :

Il dit "afin d'optimiser et de garder les comportements de la population" Gino : "Il faudrait peut-être considérer le recours à certaines pratiques ["mesures sanitaires"] pour lutter contre l'influenza." Il redit : "L'idée de garder ces comportements-là, dans certains lieux, d'avoir des règles sanitaires précises et les garder."

N'oublions pas que Gosselin Boucher orbite dans le monde de la médecine comportementale, donc de la "modification des comportements vers une meilleure santé" si on peut dire. Modifier. Comportements. On se comprend?

Gino ajoute à la fin : "Une des raisons, c'est peut-être qu'il s'est fait moins de tests pour l'influenza en raison de la covid19, les laboratoires ont peut-être eu des priorités qui ont été modifiées et il faut en tenir compte, mais ça ne peut pas tout expliquer." Peut-être, tu dis ? Plutôt dire : certainement !

Et bien, oui, justement, ça peut tout expliquer, les tests. Pas de tests, pas de grippe. Pour en avoir le coeur net, il faudrait avoir pris une cohorte et l'avoir testée pour la covid-19 et pour l'influenza (avec des tests aussi fiables qu'en 2016-2017-2018-2019), pour voir l'évolution des chiffres. Difficile de dire quoi que ce soit sans ça. Et pourtant, il y a des places dans le monde où il y a eu très peu de mesures, voire pas du tout de mesures sanitaires. FluNet donne quand même une "courbe mondiale" d'environ zéro (voir plus haut). Bizarre non ?

Sinon selon la santé publique suédoise, en Suède où il n'y avait pas de masque, pas de restrictions abusives comme au Québec, même genre de courbe qu'ici. Je dirais la même courbe. (Encore) bizarre non ?

(Source : https://www.folkhalsomyndigheten.se/publicerat-material/publikationsarkiv/i/influenza-in-sweden-2019-2020-season/?pub=80782 )

Donc enfin mon hypothèse, c'est quoi ? C'est autour de la raison pour laquelle on nous martèle depuis des mois que "la grippe a disparu"! C'est tout simplement qu'il est en train d'être sécrété de la mauvaise science pour faire "entrer dans les moeurs" (psychologie comportementale) les cochonneries de masques, distanciation et tout le reste, durant les mois froids voire plus. "Ouiiiii mais on pourrait sauver des vies en maintenant les mesures!" Vincent, Kim et al., désolé mais c'est non. Et Radio-Canada évidemment encore dans le coup.




Avant de parler de covid, d'abord un mot sur les chiffres de décès normaux

Au Québec : en 2019, il y a eu 186 décès par jour. (~67 800 morts dans l'année, https://statistique.quebec.ca/fr/document/deces-le-quebec/tableau/deces-et-taux-de-mortalite-quebec)

En France : en 2019 et 2020, il y a eu 1679 décès par jour (613 243 morts dans l'année, https://www.insee.fr/fr/statistiques/2383440#tableau-figure1)

Aux États-Unis : en 2019 il y a eu 7 821 morts par jour (2 854 838 morts dans l'année, https://www.cdc.gov/nchs/fastats/deaths.htm)

Dans le monde entier : En ~2019, chaque jour, il y a eu 161 644 décès dans le monde (environ 59 millions de décès dans l'année). (Source : OurWorldInData+Université Oxford : https://ourworldindata.org/births-and-deaths)

 

Comme on peut le constater ici, il y a pas mal de monde qui nous quittent chaque jour. Il faut avoir ça à l'esprit quand on pense aux chiffres covid. Il faudrait toujours penser à ces chiffres quand on se fait annoncer "le bilan quotidien des décès covid". Par exemple : "Ok oui il y a eu 4 morts au Québec aujourd'hui mais il y en a aussi eu 182 morts d'autre chose, et en plus, 'ZÉRO morts de la grippe' !" Ou en France : "Oui il y a eu 250 morts covid aujourd'hui mais aussi 1 429 d'autres causes." Etc.

 

Le taux de létalité du coronavirus

Grosso modo, le taux de létalité est notre chance de mourir lorsqu'on est malade.

La valeur du taux de létalité, ou en anglais l'Infection Fatality Rate (IFR), est de 0,05 % pour les 70 ans et moins, et de 0.23 % pour les 70 ans et plus. Autrement dit, toujours pour les 70 ans et moins, le taux de survie (survival rate) est de 99,95%. Le taux de survie pour les 70 ans et plus est de 99,77 % (source ci-dessous).

* L'Infection Fatality Rate (IFR) est différent du Case Fatality Rate (CFR) en ce que l'IFR compte les malades, alors que le CFR compte les asymptomatiques aussi et les cas "non-détectés". L'IFR est donc toujours plus élevé que le CFR.

Voici un extrait d'un article recensé par la Santé publique Ontario et l'OMS : "The median infection fatality rates of COVID-19, after adjusting for variations in sample size, was estimated at 0.23% overall (range = 0.00%–1.54%); and at 0.05% for people <70 years of age (from 40 locations with data)."

(Sources : Ioannidis JPA. Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data. Bulletin World Health Organization (WHO/OMS). 2020 October 14 : https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/research/2020/12/synopsis-ioannidis-studies-covid-19-infection-fatality-rates.pdf?la=en)

TRÈS IMPORTANT : Ces données ont été compilées avant l'arrivée des variants. Le britannique (ou alpha), vers le mois de mars-avril 2021 au Québec, le variant indien (ou Delta), vers juillet jusqu'à décembre 2021, et Omicron (d'Afrique du Sud) vers la fin décembre 2021 début 2022. Ces variants ont tous en commun le fait d'être moins dangereux que le virus original de 2020. Le taux de létalité s'en trouve donc encore davantage diminué !!!

 

Est-ce que le taux de létalité du coronavirus est plus élevé que pour la grippe saisonnière ?

Pour l'éminent chercheur médical Peter C Gøtzsche : "Le taux de létalité (IFR) semble être à peu près le même que pour la grippe." (Original: "The infection fatality rate seems to be about the same as for influenza") (Source : https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4509/rr)

 

Donc à la lumière de ces informations : est-ce que le coronavirus tue des gens? Oui. Est-ce que le coronavirus tue extraordinairement ? Non.

 

Au début en mars 2020, avec les chiffres qui nous arrivaient de Chine depuis janvier 2020, on pensait avoir à faire à une mortalité de 3 à 5 %, ce qui était effrayant. Par exemple, un article de Vox rapportait ceci le 5 mars 2020 :

Environ 3,4 % des cas de covid-19 sont décédés dans le monde, selon le directeur de l'OMS.

Original: “Globally, about 3.4 percent of reported COVID-19 cases have died,” said WHO Director-General Tedros Adhanom Ghebreyesus at a press briefing"

(Source : https://www.vox.com/2020/3/5/21165973/coronavirus-death-rate-explained)

On s'est bien rendus compte que ces chiffres étaient inexacts. Tout le branle-bas de combat qui a eu lieu depuis mars 2020 était plutôt justifié au début pour ce genre de chiffres. Maintenant qu'on sait que les chiffres sont beaucoup plus bas, cela aurait logiquement dû avoir des conséquences dramatiques sur notre rapport au virus et notre façon de "gérer" la pandémie. En effet, les mesures auraient dû être automatiquement amoindries voire abrogées. Il n'en a pourtant été rien. The show must go on!

(Contradicteur untel : "Oui mais c'est parce qu'on a fait toutes les mesures qu'on a eu des chiffres bas finalement!" Réponse : Ça n'a rien à voir, parce que le taux de létalité est une proportion établie parmi des gens qui sont malades seulement, donc indépendamment du nombre de malades par rapport à la population générale. Aussi, cliquez ici pour se rendre compte de l'exemple suédois, entre autres exemples qui démontre que les mesures sanitaires n'ont rien à voir. Voir aussi les sections sur le masque, le confinement, le couvre-feu, etc. ci-haut.)

 

Les nombres de décès pour 2020 et l'excès de décès

Mars 2021 : Au Québec, pas de surmortalité significative depuis juin 2020 selon Statistique Canada. La deuxième vague (environ novembre 2020 à janvier 2021) était donc une vague de "cas" (a "casedemic"). (Voir la section "Même le confinement ne marche pas", où je cite un rapport du 10 mars 2021 de Statistique Canada qui dit : "Le Québec n'a pas enregistré de surmortalité significative depuis juin." Source : https://www150.statcan.gc.ca/n1/fr/daily-quotidien/210310/dq210310c-fra.pdf en moitié de la page 2.)

 

31 janvier 2021 : Pierre Brisson, ancien consultant et expert-formateur à l'Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ, voir l'un de ses rapports ici), ancien chargé de cours à l'université de Sherbrooke (voir son CV), a analysé les chiffres de la mortalité en 2020. Il a pu conclure qu'il n'y a pas eu de surmortalité significative en 2020. Je vous suggère de regarder son explication qui dure un peu plus de 6 minutes.

Texte important écrit par Pierre Brisson le 14 avril 2021 : "La face cachée des dommages collatéraux [du covid]", https://infolibre.ca/la-face-cachee-des-dommages-collateraux/
 

20 mai 2021. voici ce que disait Ouest-France : Covid-19. Le nombre de cas surestimé en France depuis des mois, le taux d’incidence revu à la baisse, https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/le-nombre-de-cas-de-covid-19-surestime-depuis-des-mois-le-taux-d-incidence-revu-a-la-baisse-150e7098-b964-11eb-a0fd-a22b595c4b48

 

Fin novembre 2020 : Aux États-Unis, Geneviève Briand, PhD, chercheure de l'université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, USA) (http://omba.wsu.edu/briand/ https://advanced.jhu.edu/directory/genevieve-briand/) a fait un travail sur les données de mortalité de mars 2020 jusqu'au début de l'automne 2020. Elle a surtout travaillé sur les mois d'avril 2020 et de mai 2020, où la mortalité covid est visible.

Elle a trouvé que les chiffres covid sont trompeurs ("misleading") (https://youtu.be/3TKJN61aflI?t=2449).

Elle a analysé les données de mortalité mois par mois, pour se rendre compte qu'en fait, comme Arruda l'avait annoncé au Québec, il y a des "morts covid" qui ont été comptés comme tels, alors qu'ils auraient dû être comptés dans d'autres catégories. (Arruda : https://www.youtube.com/watch?v=ysH40P8MiTE) Cela a eu pour effet sur les chiffres de diminuer anormalement d'autres catégories de décès. Mme Briand explique tout ça ici : https://youtu.be/3TKJN61aflI?t=2015

Après avoir fait ce séminaire, l'université John Hopkins a censuré le travail de Mme Briand, invoquant un prétexte de divergence. Après avoir suivi le raisonnement de Mme Briand, qui est valide, à partir de sources officielles, on ne peut conclure qu'à de la censure. Triste époque pour la liberté académique.

https://web.archive.org/web/20201126223119/https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19

https://www.aier.org/article/the-censorship-of-dr-briand/

https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19

 

D'autres causes que le covid menant à une augmentation des chiffres de mortalité pour les mois de avril et mai 2020

1) Le gros choc psychosomatique initial

Étant donné que dans toute l'histoire récente une telle situation n'était jamais arrivée, et s'est ensuivie d'une "épidémie de peur" à partir du 13 mars 2020, cet espèce de choc psychologique a été tellement fort que je suis certain que plusieurs personnes plus fragiles ont claqué à cause de ça (les plus fragiles physiquement sont les personnes âgées, surtout dans les maisons de soins). Le simple fait de troubler leur routine quotidienne peut les rachever. Combien sont-ils morts de ça?

 

2) Les morts évitables de la tragédie des CHSLD

Au Québec, près de 6700 morts étaient évitables selon une étude (si les gens avaient été soignés, nourris, avaient pu boire de l'eau, être lavés) : "Le Québec aurait pu épargner près de 6700 vies fauchées par la COVID-19, si le gouvernement Legault n’avait pas décidé de transférer les patients des hôpitaux vers les CHSLD en sous-effectif chronique." (https://www.journaldemontreal.com/2021/04/08/pres-de-6700-morts-evitables-au-quebec-1),

"Décès en CHSLD: les aînés ne sont pas tous morts de la COVID-19, dit la coroner", https://www.lesoleil.com/actualite/covid-19/deces-en-chsld-les-aines-ne-sont-pas-tous-morts-de-la-covid-19-dit-la-coroner-d8e3b31bfce2095ded2c3ab7576c6e98

"Mourir de soif en 2020", Le Devoir, https://www.ledevoir.com/societe/577661/mourir-de-soif-au-quebec-en-2020

(Il y a déjà eu des gens - moins - qui sont morts de soif dans les CHSLD avant la pandémie en 2019... https://www.lapresse.ca/actualites/enquetes/2019-09-07/bavures-medicales-fatales)

 

Il est intéressant de se rendre compte que selon les chiffres de l'Institut de la statistique du Québec (le tableau est disponible dans la section "La grippe a disparu", cliquez ici pour aller au tableau directement), la différence de mortalité entre 2019 (de 67 800) et 2020 (de 74 550) est de 6 750 décès (une hausse sous 3 000 est considérée normale). Ça coïncide parfaitement avec les 6 700 décès de l'étude ! C'est-à-dire que sans la tragédie des CHSLD (en avril-mai 2020) et de ces "morts évitables", il n'y a LITTÉRALEMENT AUCUN EXCÈS DE DÉCÈS AU QUÉBEC. ZÉRO.

 

3) La directive de non-réanimation

Cette directive a duré six mois, de avril 2020 à septembre 2020. Pendant ces six mois, la directive approuvée par Danielle McCann a été de laisser mourir quelqu'un qui était en arrêt cardiaque depuis plus de deux minutes. Normalement, les procédures de réanimation sont pratiquées par les ambulanciers jusqu'à 10 minutes après l'arrêt cardiaque. Pendant six mois au Québec, la directive était en bas de 2 minutes. Combien de gens sont-ils morts de ce genre de mesure, ajoutant à la mortalité ?

24 novembre 2020 :  Tollé contre la directive de non-réanimation, Le Devoir, https://www.ledevoir.com/societe/sante/590321/coronavirus-tolle-contre-la-directive-de-non-reanimation

25 novembre 2020 :  "Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a été informé de la directive il y a «quelques jours», selon son attaché de presse. Et ce, même si la directive est restée en vigueur jusqu’au 21 septembre, soit trois mois après son arrivée en poste."

"Légalité mise en doute
L’avocat spécialisé dans la défense des droits des patients, Me Jean-Pierre Ménard, remet quant à lui en question la légalité même de la directive controversée, qu’il juge contraire aux principes défendus par la Loi sur les services de santé et les services sociaux. « On a fait fausse route. Ça oblitère le droit de tous les patients à recevoir les mêmes services de santé, où qu’ils soient dans le réseau de la santé, à moins qu’ils n’y renoncent », fait-il valoir.
Selon ce dernier, ce protocole exceptionnel n’aurait pu être défendable que dans le seul cas où les unités de soins intensifs étaient bel et bien débordées, ce qui n’a jamais été le cas dans la métropole [Montréal], même au plus fort de la pandémie."

Dans l'article : Une rescapée «horrifiée» par la directive limitant les soins de réanimation, Le Devoir, https://www.ledevoir.com/societe/sante/590391/coronavirus-une-rescapee-horrifiee-par-la-directive-limitant-les-soins-de-reanimation

 

4) Les urgences vides (le gouvernement conseille d'éviter les urgences)

Le gouvernement a gouverné par la peur, en parlant notamment de "traitement choc" (lors de l'instauration du couvre-feu le 6 janvier 2021), en allant au pire, au scénario potentiel catastrophe. On sait que la peur rend docile, surtout la peur de mourir. Un professeur de marketing a écrit le 14 mars 2021 : "Pandémie: comment la peur est utilisée comme stratégie politique", (https://www.lesoleil.com/actualite/covid-19/pandemie-comment-la-peur-est-utilisee-comme-strategie-politique-01dc88a98f439232f561e8179dc39e07).

C'est cette peur, surtout d'attraper le coronavirus qui a fait se détourner du chemin des urgences des hôpitaux près d'une personne sur trois en 2020 (par rapport à 2019).

« Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a enregistré une baisse de 906 039 visites dans les urgences du Québec entre avril 2020 et février 2021, comparativement à la même période l’année précédente, a appris Le Devoir. De 3 164 862, le nombre de visites a dégringolé à 2 258 823. Une diminution de 29 %, qui est loin de signifier que les Québécois sont en meilleure santé.

Trop de patients ont tardé à se présenter aux urgences, de peur de contracter la COVID-19, selon la Dre Annie Lavigne, intensiviste à l’hôpital Charles-Le Moyne, situé à Greenfield Park. Comme cette dame, victime d’une douleur à la poitrine, décédée en fin de semaine, malgré les soins intensifs qui lui ont été prodigués, raconte-t-elle. "On a réussi à débloquer son artère, mais son état avait trop dégénéré. Elle ne s’est jamais réveillée après l’opération." »

(Source : Près d’un million de visites en moins aux urgences en 2020, Le Devoir, 23 février 2021, https://www.ledevoir.com/societe/sante/595745/pres-d-un-million-de-visites-en-moins-aux-urgences)

3 avril 2020 : Coronavirus: la peur pourrait empêcher des personnes d’aller à l’hôpital, https://journalmetro.com/actualites/montreal/2434855/coronavirus-la-peur-pourrait-empecher-des-citoyens-daller-a-lhopital/

19 novembre 2020 : Les urgences canadiennes à moitié vides durant la première vague, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1750675/urgences-canada-hospitalisations-donnees-icis-cihi-pandemie-coronavirus

19 janvier 2021 : Les Ontariens évitent les urgences par peur de contracter la COVID-19, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1764081/urgence-urgentologue-peur-covid-virus-crainte-comportement-ontario




Comme Arruda l'a dit au tout début en janvier 2020, "la peur là, ça fait faire des affaires qui ont pas de criss de bon sens." (https://twitter.com/le1518/status/1222982399757365252?lang=en)

Au début, Caroline Quach a laissé entendre aux gens que le "modèle épidémiologique" prévoyait 400 000 hospitalisations au Québec, 200 000 aux soins intensifs :

 

Il était aussi dit que la courbe serait exponentielle (doublement du chiffre chaque 2-3 jours.) Mais c'était faux finalement. C'était "vrai" juste un peu après la mi-mars 2020, quelques jours.

 

Ensuite, on a dit que le système pourrait finir par lâcher sous la pression de l'afflux de malades. C'était faux, et ce même si le système de santé du Québec peine depuis des décennies (voir la section "Les hôpitaux peinent depuis des décennies", ci-dessous)

Ensuite, il faudrait peut-être choisir à qui on donnerait des soins. On devrait choisir les plus jeunes ou ceux ayant le plus de chance de survie. C'est ce qu'ils appellent le "protocole de triage" (https://www.journaldequebec.com/2020/06/03/triage-des-malades-de-la-covid-19-cest-degueulasse-deplore-la-deputee-liberale-jennifer-maccarone https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1766725/protocole-triage-priorisation-soins-intensifs-hopitaux-covid-ethique-criteres-valeurs) Ils ont terrifié les gens qui s'imaginaient qu'il n'y aurait pas de place pour eux à l'urgence, qu'ils ne seraient pas soignés par manque de place.

 

11 janvier 2021 : "Des patients risquent d'en subir les conséquences", "Il pourrait y avoir dépassement de la capacité des lits d'hospitalisation.", https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-01-11/situation-tres-critique-dans-les-hopitaux/des-patients-risquent-d-en-subir-les-consequences.php

 

17 septembre 2020 : COVID-19 et messages du gouvernement Legault : «Leur objectif, c'est de nous faire peur» -Bernard Drainville (Source : https://www.985fm.ca/nouvelles/politique/333213/covid-19-et-messages-du-gouvernement-legault-leur-objectif-cest-de-nous-faire-peur-bernard-drainville)

 

19 avril 2021 : "François Legault me fait peur", https://www.journaldemontreal.com/2021/04/19/francois-legault-me-fait-peur

Extrait :

"En résumé, la semaine dernière, on comptait moins de personnes de moins de 60 ans admises à l’hôpital à cause de la COVID-19 que dans la semaine du 19 avril 2020, celle où a été enregistré le pic des hospitalisations de la première vague. Pour ce qui est de la tranche d’âge de 0-29 ans, on compte seulement une personne de plus.

Quand notre premier ministre tente de faire peur aux plus jeunes en sous-entendant des faits erronés, ça va vraiment trop loin."

 

Dans la même veine de cette "fake news" reprise par nombre de "médecins-médiatiques", et dont certains de mes proches m'ont rabâché les oreilles bien trop souvent alors que je savais pertinemment que c'était peanuts : "Non, il n'y a pas beaucoup plus de jeunes hospitalisés", Journal de Montréal, https://www.journaldemontreal.com/2021/04/17/non-il-ny-a-pas-beaucoup-plus-de-jeunes-hospitalises

 

14 mai 2021 : le journal The Telegraph (UK) titrait : Use of fear to control behaviour in Covid crisis was ‘totalitarian’, admit scientists, https://www.telegraph.co.uk/news/2021/05/14/scientists-admit-totalitarian-use-fear-control-behaviour-covid/

10 février 2021 : Le gouvernement allemand a enrôlé des scientifiques pour semer la peur du coronavirus, BusinessAM avec Newsweek, https://fr.businessam.be/le-gouvernement-allemand-a-enrole-des-scientifiques-pour-semer-la-peur-du-coronavirus/

 

J'ai trouvé un petit tableau très intéressant sur les étapes de la peur dans cette pandémie depuis mars 2020. Je vous le mets ici, vous l'acceptez ou pas, libre à vous. Moi j'ai trouvé ça éclairant.

Intéressant non ? Pourtant il ne faut jamais se résigner. Il faut se lever. Entrer dans l'action. Gueuler fort, sortir les poubelles, et surtout, en finir avec la peur et l'injustice. Se dire d'abord que tout est possible. Tout peut changer. Jamais se résigner.




Il y a encore des gens qui lavent leur épicerie. Il faut arrêter ça. Le 25 mars 2020 il y a un an, Radio-Canada a publié un guide pour bien laver ses légumes et ses aliments au savon à vaisselle... (Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1687727/covid-19-coronavirus-epicerie-decontamination-aliments-produits-savon)

Vers le début avril 2020 il y a un an, plusieurs ont dit d'arrêter ça. Voici un exemple.

Dans le journal Le Droit : "Inutile de savonner vos fruits, légumes, conserves et sacs de nouilles. On lave les fruits et légumes frais en les frottant sous l’eau avant de les manger et on se lave les mains avec de l’eau et du savon régulièrement, notamment au retour de l’épicerie, après avoir rangé ses courses et avant de cuisiner et de manger." (Source : https://www.ledroit.com/actualites/science/desinfecter-son-epicerie-pour-se-proteger-du-coronavirus--7659fc4f95bcb081aa7112f3427d10ea)

En somme, il suffit de manipuler notre épicerie comme on le fait normalement (comme en 2019 et avant), donc laver nos fruits et légumes avant de les manger, c'est tout.

Le 15 janvier 2021, Radio-Canada s'est rétracté (peut-être avant, mais ce que j'ai trouvé date du 15 janvier) :

"Le gouvernement du Québec et Santé Canada abondent dans le même sens. Selon leurs recommandations, il n’est pas nécessaire de désinfecter nos achats lorsqu’on revient de l’épicerie. C’est le lavage des mains qui prévaut sur toutes les autres mesures. On se lave les mains lorsqu’on rentre à la maison, on range les aliments et on se relave les mains en terminant. Et, par-dessus tout, on évite en tout temps de se toucher le visage."

(Source : https://ici.radio-canada.ca/mordu/1443/laver-aliments-retour-lepicerie)




Ça, c'est l'argument majeur du justificatif des décrets du gouvernement : "nos anges gardiens, les infirmières, les préposés, les médecins des hôpitaux sont fatigués. Ils sont au bout du rouleau donc pour l'amour, aidez-les et respectez nos mesures sanitaires."

Ça fait au moins 15 ans que j'entends ça périodiquement en boucle dans l'actualité. Dans mes cours à l'université, j'ai côtoyé des infirmières qui m'ont expliqué la situation de long en large.

Les professionnels de la santé des hôpitaux qui doivent travailler sur des horaires de jour, de soir, de nuit, de fin de semaine, qui doivent souvent faire du temps double. On entend qu'ils travaillent parfois 16 heures et plus par quart. Pensez-vous que cette situation soit nouvelle ? Pas du tout. Le système de santé est "à bout'" depuis des années.

 

Ça fait maintenant des années que les médias disent que les urgences débordent l'hiver :

 

Vous ne le savez certainement pas, mais selon les données de la Banque mondiale (la Banque mondiale est un des grands organismes de l'ONU et compile des données réputées) et du CIA World Factbook, en nombre de lits d'hôpitaux par 1000 habitants dans le monde en 2020, le Canada est à la 96ème place avec seulement 2,5 lit pour 1000. Par contre, en comparaison et toujours selon la Banque mondiale, la Corée du Nord est l'un des premiers pays avec 13,2 lits pour 1000, le Japon avec 13 p. 1000, la Corée du Sud avec 12,4 p. 1000, la Biélorussie avec 10,8 p. 1000, l'Allemagne avec 8 p. 1000, et la Russie avec 7,1 p. 1000. La France est à 5,9 p. 1000, l'Italie avec 3,1 p. 1000, les États-Unis à la 85ème place avec 2,9 p. 1000.

Pour les lits au Canada (donc ça inclut le Québec), l'historique depuis les années '60 montre que le nombre n'a fait que diminuer, encore et encore, comme on le voit sur ce graphique :

Au Canada, on observe clairement le sommet vers 1970 avec 7 lits par 1000 habitants. C'est en 1990 que ça baisse abruptement, en passant de 6 lits pour 1000, 3,6 lits pour 1000 en l'an 2000, et 2,5 lits pour 1000 vers 2015.

Dans le monde en général, de 1970 à 2021, le nombre de lits a atteint son sommet vers 1985 avec 4,1 lits pour 1000, puis a baissé pour atteindre un genre de plateau se situant autour de 2,7 pour 1000 depuis l'an 2000 :

(Source : https://donnees.banquemondiale.org/indicateur/SH.MED.BEDS.ZS?most_recent_value_desc=true&locations=CA)

La même logique a eu lieu dans plusieurs pays occidentaux, avec dans les années 1980 le virage "néolibéral" et les idéologies de la privatisation.

Voici ce que Patrick Pelloux, médecin urgentiste à l'APHP samu de Paris en France, a dit à propos de ça :

« Les Français doivent savoir qu’en 10 ans, les gouvernements successifs ont supprimé 100 000 lits d’hôpitaux. Voilà la vraie raison de nos difficultés à soigner et à sauver des vies aujourd’hui. » (Source : Cnews 27/03/2020, 11h30)

D'ailleurs en France, voici ce que le Canard enchaîné publiait le 17 février 2021 :

Selon le Canard, aucun nouveau lit de réanimation n'a été ouvert depuis mars 2020, presque un an plus tard.

Voici ce que le célèbre philosophe Edgar Morin ajoute à cela. (https://twitter.com/edgarmorinparis/status/1337718589420400643)

 

Autrement dit, les gouvernements occidentaux expliquent actuellement que la population doit suivre des mesures sanitaires parce qu'il faut "sauver le système de santé" ("Save the NHS" comme dit le britannique Boris Johnson). En fait, si le système de santé est en train de couler depuis des années, c'est aucunement la faute de la population, mais celle de ces mêmes gouvernements qui sont là maintenant.

L'idée même de remettre cette charge sur le peuple est donc non seulement révoltante, mais est une insulte à l'intelligence. La décence voudrait que ces gouvernements fassent un mea culpa et réinvestissent massivement, même dès mars 2020, dans le système de santé aux bonnes places. L'ont-ils fait ? Non. Quand je dis "aux bonnes places", une des questions centrales des débats politiques en santé dernièrement était d'augmenter le salaire des médecins spécialistes qui étaient déjà immensément surpayés en comparaison avec le reste de la population. C'est vraiment un monde sans dessus dessous.

(Sources : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1146753/revenu-moyen-nombre-medecins-specialistes-omnipraticiens-quebec "Le salaire des médecins a augmenté de 48 % entre 2006 et 2013" : https://careers.workopolis.com/fr/advice/le-salaire-des-medecins-a-cru-de-48/ https://www.ledevoir.com/societe/sante/561966/l-institut-du-quebec-preconise-un-gel-de-la-remuneration-des-medecins)

N'oublions jamais que, par exemple, François Legault a été ministre de la santé et des services sociaux du Québec en 2002-2003 après avoir été ministre de l'éducation de 1998 à 2002.




Un document de la Commission européenne est disponible sur Internet, qui a été publié dans le "Q3 2019", donc vers la fin de l'été ou en automne en 2019. Le problème, c'est qu'à ce moment-là, personne ne savait qu'il y aurait une pandémie en janvier 2020.

(Source: https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf archivé ici : https://archive.is/BC298)

Selon cet URL d'archivage (https://web.archive.org/web/20190528070711/https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf), le premier "backup" de ce PDF a été effectué le 28 mai 2019. C'est donc dire qu'au moins SEPT mois avant le début du coronavirus (qui a commencé au début janvier 2020), la Commission européenne avait le projet d'implanter un passeport vaccinal dans les pays européens à l'horizon 2022. Question : sans une "pandémie", comment aurait-elle pu avoir le momentum pour essayer d'implanter ce genre de mesure liberticide ? Mais une "pandémie" est arrivée! Qui aurait pu dire ça en mai 2019 ?

 

Ce qui est très intéressant, c'est qu'en ce moment, ils poussent le passeport vaccinal et comptent sur l'adhésion de la population justement dans le cadre de la pandémie de coronavirus. "Pour le temps de la pandémie" disent-ils. Pourtant, la Commission européenne avait déjà un agenda pour l'implantation d'un passeport vaccinal européen commun, sans demander l'avis de la population comme toujours. C'est ça, la démocratie !

Ça commence à sentir "le complotisme" pas à peu près. Comme le plan échafaudé à l'ombre dans les coulisses. Et pourtant la preuve, le document officiel est juste là, devant votre face.

Le passeport vaccinal est une véritable boîte de Pandore. Mettre la main là-dedans libérerait tous les fléaux. Il ne doit jamais voir le jour parce qu'il créerait, dans notre société libre et démocratique, des castes sociales ayant droit à des privilèges selon leur capacité, en premier, de se faire vacciner ou non. Ensuite, pourquoi pas, on ajouterait des critères dans ce "passeport" comme les informations personnelles, et pourquoi pas comme en Chine, un crédit social, avec des notes accordées aux citoyens pour bonne conduite ? C'est non.

 

D'ailleurs, pour ceux qui s'imaginaient qu'un petit vaccin et allez hop! c'était fini, puis qu'on annulerait le passeport vaccinal une fois la pandémie terminée, voici des articles très à propos :

Radio-Canada, 3 avril 2021, "COVID-19 : devrons-nous recevoir le vaccin chaque année?", https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1782139/virologue-vaccin-chaque-annee-covid-variants

Le Figaro, 15 avril 2021, "Une troisième dose du vaccin Pfizer sera probablement nécessaire", https://www.lefigaro.fr/sciences/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire-20210415

Journal de Montréal, 15 avril 2021, "Une troisième dose du vaccin Pfizer sera probablement nécessaire", https://www.journaldemontreal.com/2021/04/15/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire

(Oui oui, c'est littéralement le même article. Convergence des médias.)

 

M. Bruno Leclerc, président du Comité d'éthique sur la santé publique à l'Institut national de santé publique (INSPQ) a dit en entrevue à Radio-Canada que "de toute façon le passeport immunitaire serait temporaire" et qu'il serait enlevé après la pandémie. Il a aussi dit que de grandes organisations internationales comme l'OMS ou l'Union européenne donnent le la. (https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/premiere-heure/segments/entrevue/349756/passeport-immunitaire-vaccinal-covid-inspq) Foutaise. Quand on prend connaissance justement du document de la Commission européenne (de l'Union européenne) ci-dessus, on se rend bien compte que ce plan en est un qui n'a rien de temporaire et qui est plutôt planifié depuis déjà un moment.

Rappelons que par le passé lorsque le gouvernement a parlé de "temporaire", de "projet-pilote", ça s'est souvent avéré permanent. Des exemples :

- 1917 au Canada : instauration d'un impôt sur le revenu temporaire. En 2017, on a "célébré" le 100ème anniversaire de cet impôt sur le revenu. Aujourd'hui, bon nombre de gens croient tout à fait acceptable l'existence de cet impôt sans jamais le remettre en question. La pilule a bien passé. Pourtant, quand on y pense... (Radio-Canada International : https://www.rcinet.ca/en/2017/07/25/canada-history-july-25-100-years-of-temporary-tax/)

- 1971 aux États-Unis : le président Nixon dit que la convertibilité du dollar sera suspendue temporairement. En 2021, cette "suspension" est encore en vigueur.

- 2001 aux États-Unis : le PATRIOT Act, mesure d'état d'urgence "temporaire" donnant des pouvoirs démesurés au gouvernement quant la violation des droits fondamentaux de tous les citoyens quant à leur vie privée et à l'habeas corpus. Ce PATRIOT Act est encore en vigueur.

- 2015 en France : état d'urgence "temporaire" dans la foulée des attentats de janvier et novembre, loi Renseignement, et volonté de Macron d'incruster ces mesures d'exception dans "la loi normale".

Je vais m'arrêter là mais il y a d'autres exemples.

 

Nos droits nous protègent contre le passeport vaccinal

Étant donné que notre démocratie nous protège avec un contre-pouvoir qui s'appelle La Constitution (du Canada, en plus de la Charte des droits et libertés du Québec), en plus du droit international de la Charte universelle des droits de l'homme, et la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 à la Révolution française, et qui donc limite le champ d'action du gouvernement, nous sommes protégés contre ce genre de dérives totalitaires. En Israël par exemple, qui est systématiquement pris comme exemple pour vanter le passeport vaccinal, il n'y a pas de constitution et il n'y a donc pas de charte des droits et libertés gravée dans la constitution. (Source : https://knesset.gov.il/constitution/ConstIntro_eng.htm archivé ici : https://archive.is/PozDv)

Ici, il y en a une. Notre gouvernement n'a pas le pouvoir, ni l'autorité, ni la légitimité, de créer un régime d'apartheid avec deux classes de citoyens, la première classe ayant le droit de fréquenter certains lieux, la seconde n'ayant pas le droit de fréquenter ces lieux. Les "juges" ou les juristes qui approuveraient une telle chose seraient complices de la dérive tyrannique du gouvernement, parce que nos droits et libertés sont inaliénables : ils ne peuvent pas nous être enlevés.

(Pour ceux qui disent "oui mais j'ai le droit à la vie", notre droit à la vie ne peut pas annuler durablement les autres droits et libertés, entendu? Rendez-vous bien compte de l'absurdité du truc. D'autant plus que ceux qui sont morts du vaccin ont été beaucoup privés de leur droit à la vie aussi.)

Le principe de la liberté thérapeutique, le code du Tribunal de Nuremberg, les règlements de l'ONU, nous protègent contre le fait d'être forcés ou contraints à une médication ou un vaccin auquel on ne consent pas clairement et de façon éclairée (le consentement éclairé ne peut se faire qu'en étant pleinement informé de tous les aspects du médicament, incluant qui le fait, comment il a été fait, comment il a été autorisé, et surtout quels risques réels ou probables y sont associés). Le passeport vaccinal est une méthode de coercition de la population. En clair, le gouvernement veut tordre le bras des gens pour les forcer à se faire vacciner, d'abord. Ensuite, une fois le système implanté, le gouvernement pourrait tordre le bras de toute la population, chaque année, d'aller se faire faire sa petite piqûre. On ne peut pas imaginer le genre d'avenir fucké que ça donnerait, la porte que ça ouvre. En gros, ça donne au gouvernement sur nos corps le pouvoir d'y injecter périodiquement quelque chose auquel on n'aurait plus le choix de consentir. (Mon corps mon choix.)

 

En 2019...

Rappelons-nous de l'actualité en 2019 au Québec. Que se passait-il au Québec en 2019 ? Et d'ailleurs, pas qu'au Québec, puisque c'est le genre de projet qui est amorcé à peu près en même temps à travers l'Occident. Alors, vous savez ? Oui, ça vous dit quelque chose, "le grand chantier de l'identité numérique" ? Éric Caire ? Une identité numérique pour tous les citoyens québécois. Mais, ça mange quoi en hiver, ça ? En fait, c'est une centralisation des données des gens : données de santé, données d'automobiliste, données d'impôts, données d'emploi, sky's the limit. (Source : "Une identité numérique pour les Québécois d'ici 2021", 11 décembre 2019, Radio-Canada, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1427120/identite-numerique-citoyens-quebec-fraude-vol-cybersecurite-eric-caire)

Macron, aussi en 2019, avait les mêmes lubies délirantes, genre un identifiant numérique personnel qui permettrait d'accéder à des sites web du gouvernement facilement, en plus de pouvoir se connecter aux sites pornos (!) (20 novembre 2019, Numerama, https://www.numerama.com/politique/573771-comment-macron-veut-empecher-les-mineurs-dacceder-aux-sites-pornographiques.html).

Le ministre caquiste Éric Caire avait l'ambition d'un identifiant unique pour se connecter à tout le système du gouvernement aussi. Une centralisation, où toutes les branches du gouvernement s'échangent nos informations personnelles, qui repose sur une infrastructure de IBM ou les big techs américains (Amazon Web Services, etc.) Évidemment, que les données soient ouvertes à ce point-là les rend, quoi qu'en disent les big techs, vulnérables à toutes les attaques et hack possibles, ce qui se fera sans aucun doute. "Hon, désolés." Le délire a fait les manchettes en août 2020 avec ce titre : "Québec veut attirer les pharmaceutiques avec les données de santé de la RAMQ", 21 août 2020, Le Devoir, (https://www.ledevoir.com/politique/quebec/584542/quebec-veut-attirer-les-pharmaceutiques-avec-les-donnees-de-la-ramq) On parle de nos données personnelles de santé, ici.

Tout ce système, qui viole allègrement notre vie privée donc notre liberté (et qui en fait la grande célébration de ce qu'il appelle "le big data"), qui veut se mettre en place insidieusement, n'était évidemment pas bien vu par un bon nombre de gens. Les autres sont rendus trop lavés pour même savoir vraiment la valeur de la notion de vie privée, hélas. Ceci étant dit, je ne peux pas m'empêcher de voir l'ombre atroce de ce projet d'identité numérique dans le passeport vaccinal, car c'est ce dont il s'agit. Une identité numérique (sous forme de QR code) qu'on porte sur soi et qui nous permet d'aller et venir (ou pas) dans la société. En passant, le code QR est juste une itération japonaise plus récente d'un autre type de code bien connu, le "code barre" :

 

 

Il y a une pétition contre le passeport vaccinal à l'Assemblée nationale du Québec. Cliquez ici pour aller la signer : https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-9069/index.html  (Cette pétition s'est terminée.)

 

On nous prend vraiment pour des débiles. Pour beaucoup d'entre nous malheureusement, nous le sommes. Moi-même j'ai déjà été débile, quelqu'un qui ne s'intéresse pas, qui ne veut pas savoir, surtout qui ne remet pas en question, mais un jour j'ai décidé d'arrêter. J'ai décidé de me poser des questions, parce que je trouvais que les choses ne pouvaient plus continuer comme ça. La seule façon d'arrêter d'être débile c'est de vouloir constamment s'en sortir. C'est Jacques Brel qui disait que la connerie (être stupide) vient d'abord de la paresse.




Dans cette section :

 

J'ai juste besoin de dire une chose sur ces gens-là : toutes les informations que j'ai énoncées dans cette page web que vous êtes en train de lire, ils l'occultent, ils la dissimulent, n'en parlent pas, ou quand ils sont forcés d'en parler alors ils la banalisent, ils font comme si c'était rien, c'était pas grave ou encore pire s'en moquent, la ridiculisent. Parfois même c'est encore pire, ils vont jusqu'à insinuer que certains grands scientifiques qui ont consacré leur vie à la science sont des moins que rien ou indignes d'être entendus.

Logiquement, comprendre et réaliser cela, vous informe que les médias sont soit des vendus, soit des idiots. C'est une déduction purement logique. (Si... Alors... [if, then]) Des vendus parce que si c'est volontaire, alors ils sont des traîtres et travaillent directement dans le sens des intérêts des multinationales (pharmaceutiques et autres corporations) et des intérêts qui ne sont pas ceux de la population parce que nos intérêts c'est de savoir les choses graves et importantes quand il y a des choses graves et importantes, surtout qui peuvent avoir un impact sur notre santé et notre vie tout court. Des idiots, parce que s'ils ne savent pas ces informations, c'est parce qu'ils ne savent pas faire leur métier et chercher comme il faut, et se poser les questions qu'il faut se poser.

L'un ou l'autre, ça importe peu parce que pour les deux cas, la solution est simple et est la même : il faut impérativement, profondément et immédiatement se débrancher de ces gens vendus ou idiots.

Ce qui les trahit, c'est qu'ils ne parlent jamais, jamais, jamais des études qui vont à l'encontre de leur parti pris (du "cherry-picking", tel que mentionné dans l'article du Dr. Kamran Abbasi que je mentionne dans l'énoncé sur les big pharmas). Le public-captif de ces médias[un "public-captif" est un public qui n'a absolument pas d'autres bases pour se représenter le monde réel que celle qui leur est proposée par les médias] n'est même pas au courant de l'existence même de ces études, de leur importance et de la crédibilité de celles et ceux qui les signent.

 

Jim Morrison (1943-1971) le chanteur des Doors, avait dit : "Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits." ("Whoever controls the media, controls the mind.")

Malcolm X (1925-1965) disait aussi : “Les médias sont l'entité la plus puissante sur terre. Ils ont le pouvoir de transformer un innocent en coupable, et un coupable en innocent. C'est du pouvoir, parce qu'ils contrôlent les esprits des masses [populaires]." ("The media's the most powerful entity on earth. They have the power to make the innocent guilty and to make the guilty innocent, and that's power. Because they control the minds of the masses.”)

Nicolas Machiavel (1469-1527), considéré comme l'un des fondateurs de la science politique moderne, aurait dit dans son opus magnum Le Prince : "Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes."

« Ce n’est pas que le citoyen raisonne mal avec des informations justes. C’est que le citoyen raisonne bien mais avec des informations erronées. » - ?

Toutes ces citations amènent au moins deux questions fondamentales : a) Comment exactement fonctionnent les médias (comment est trouvée, triée et filtrée l'information qu'ils traitent?), et surtout, b) QUI contrôle les médias ?

 

Voici quelques segments de ce qu'en pense Julian Assange, le célèbre lanceur d'alerte fondateur de WikiLeaks (attention, ne pas confondre avec Wikipédia, les deux n'ont aucun lien) :

 

Parlant de médias vendus (convergence des médias par les multinationales de la finance), voici une compilation inquiétante :

* Il est important de noter que ce sont des réseaux concurrents (ABC, NBC, Fox, etc.)

 

Et ce n'est pas parce qu'ils ne font plus leur job que les médias n'ont pas déjà fait (au moins un peu) leur job dans le passé, tel qu'en témoigne ce segment de TVA (!) vers 1994-1995 :

Quand on regarde aller Sophie Thibault et Pierre Bruneau ces temps-ci, il y a un monde... Il faut dire que c'était avant la convergence des médias, et avant que Quebecor rachète TVA en 2001 (et Vidéotron en l'an 2000 avec l'aide de la Caisse de dépôt).

 

Ce qu'on pourrait me dire : "Oui mais comment ça se fait que tu cites abondamment les médias dans ton texte si tu les exècres tant ?" Réponse : souvent, je les cite pour mieux les critiquer. Mais parfois, c'est qu'ils laissent couler certains petits morceaux qui ont de l'allure ! C'est ça leur technique. S'ils mentaient à 100 % tout le temps, ce serait facile éventuellement de s'en rendre compte, donc ils mélangent de la merde avec des pierres précieuses. Mon travail est de repérer ces pierres précieuses. Mais toujours, ils commettent la faute logique appelée de "non sequitur", c'est-à-dire qu'ils prennent des arguments, des faits, qui logiquement nous amèneraient à conclure quelque chose, alors qu'ils finissent par donner une conclusion fallacieuse. Exemple de non sequitur : l'étude du Lancet/NEJM démolissant l'hydroxychloroquine était finalement une fraude grossière dans laquelle tous les médias et les gouvernements ont embarqué. Pourtant, malgré que ça ait été reconnu comme une fraude, l'effet "démolissant" continue quand même après. Les éléments factuels auraient dû logiquement influencer la conclusion. Mais, non sequitur.

 

2. Le rideau de fer médiatique et le rôle des médias

La situation que l’on vit actuellement au Québec n’est pas de tout repos bien sûr, et je dirais qu’en bonne partie ce qui se passe dans notre beau presque-pays est très préoccupant. Comme le rappelle gravement une phrase célèbre qu'on attribue à George Orwell : « En période de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ». Et un autre suivait en disant que « la révolution ne sera pas télévisée ».

Les médias sont un élément important de la construction de la réalité, du moins de notre façon de la percevoir et de la comprendre. C’est après tout ce « quatrième pouvoir » (quand il fonctionne) qui nous renseigne sur ce qu’il se passe, qui ose critiquer, dénoncer, bref, dévoiler la vérité aux citoyens. Or, au Québec, notamment avec la « convergence des médias » qui a eu lieu depuis le début des années 2000, puis de la "crise des médias" qui s'en est suivi, les médias sont devenus de plus en plus frileux et ont couvert de moins en moins de sujets, en disant toujours de plus en plus les mêmes choses en chœur. Ce phénomène malsain et dangereux pour la démocratie – il faut bien le dire – est arrivé à son apogée dans la crise actuelle, où au Québec, le pouvoir exécutif gouvernemental est devenu comme tout-puissant, parfaitement supporté par ces médias en chœur, rabrouant vigoureusement la pensée critique, les vraies questions. Il faut aussi dire que les médias ont été subventionnés à coups de dizaines de millions de dollars par le gouvernement ces quelques dernières années.

On peut même poser l'hypothèse que si le gouvernement décidait de couper ses publicités ou les subventions à un média, celui-ci ne survivrait peut-être pas, ou alors avec des salaires misérables. Mécaniquement, cela a pour effet logique d'entraîner une plus grande soumission des médias au gouvernement, une moins grande indépendance, parce que sous une épée de Damoclès en permanence.

À l'émission Mordus de politique à Radio-Canada (RDI), Dimitri Soudas a lancé à Jean-François Lisée le 14 avril 2021 "On va perdre les revenus de publicité, Jean-François" parce que Lisée disait que de toute façon cet été les gens vont se remettre à se voir et manger ensemble d'une façon ou d'une autre :

Ne dit-on pas que derrière une blague il y a un fond de vérité ? Ça a au moins le mérite de nous renseigner un peu sur le climat qui règne dans la tête de ces gens-là.

Parlant de ça, il y a quelques rares médias au Québec qui osent critiquer ou seulement remettre en question le récit gouvernemental, dont le plus connu est Radio X à Québec. Le 26 septembre 2020, le gouvernement du Québec voulait faire passer une publicité "anti-complotiste" sur Radio X (pub faite pour Radio X seulement). Radio X a refusé, et le 28 septembre 2020, le maire de Québec Régis Labeaume a retiré son contrat publicitaire, suivi du gouvernement du Québec, Mercedes-Benz de Québec (selon qui Radio X ne "respecte pas les valeurs de l'entreprise" !), Paquet Nissan, Industrielle Alliance, Desjardins, Hydro-Québec, Pizza royale. Sol Zanetti député de Québec Solidaire, a incité à boycotter Radio X. Pourtant, lorsqu'on prend le temps d'écouter 2 ou 3 minutes Dominic Maurais ou Jeff Fillion entre autres, on se rend compte qu'ils sont à peu près les seuls à parfois inviter des gens qui "pensent différemment" (du récit au Québec), des pointures de la trempe du Dr. Louis Fouché par exemple comme le Dr. Jean-François Toussaint, épidémiologiste du sport en France reçu le 7 octobre 2020. C'est un des rares médias où on pense un peu différemment. La "meute" veut le faire fermer!

https://radiox.com/choi981/annulation-du-sport-un-non-sens-scientifique-et-sanitaire/2020/10/07/

https://www.journaldemontreal.com/2020/09/28/choi-radio-x-quebec-solidaire-demande-le-retrait-des-publicites-gouvernementales

https://www.lapresse.ca/affaires/medias/2020-09-28/de-nombreux-annonceurs-larguent-radio-x.php

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1736745/publicite-choi-radiox-quebec-covid19-theories-complots

 

Autrement, le Dr. Lawrence Rosenberg, médecin PDG du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’île-de-Montréal a formulé l’idée que selon les données scientifiques maintenant disponibles, on sait depuis au moins cet automne qu’on a à faire statistiquement à une maladie qui a un taux de mortalité qui ressemble à peu près à celui de la grippe saisonnière. (Ce qu'il a dit exactement à l'antenne de CTV News Montréal (Source : https://montreal.ctvnews.ca/video?clipId=2034958 à la mi-septembre vers le 15-16 sept. 2020) : “It is a respiratory virus much like the seasonal flu,” “What we've learned is it probably isn't much more dangerous than seasonal flu. It's probably equally as transmissible as seasonal flu.” traduction : "C'est un virus respiratoire qui ressemble beaucoup à la grippe saisonnière. On a pu apprendre qu'il n'est probablement pas vraiment beaucoup plus dangereux que la grippe saisonnière. C'est probablement à peu près autant contagieux que la grippe saisonnière.")

Christian Dubé, ministre de la Santé de Legault, l'a pris à partie personnellement! Le Journal de Québec a mis sous presse avec le titre: "Dubé dénonce les propos «complètement inappropriés» du PDG d’un CIUSSS." Pour moi, c'est absolument une campagne d'intimidation de la part d'un ministre, une ingérence, un faux-pas. C'est aussi ignorer qui s'exprime. Si un médecin PDG de CIUSSS dit ce qu'il pense, et ce, avec la documentation qui est la sienne, alors un ministre, même de la Santé, ne doit pas sortir pour qualifier d'inappropriée l'expression des idées de ce médecin. Il y a la liberté d'expression, et il y a aussi la liberté académique, la liberté de la science. Quand le politique contrôle le discours scientifique, on est foutus. Rappelons que M. Dubé n'a qu'une formation de comptable, n'est en aucun cas médecin ni chercheur. Il aurait eu le droit de faire une sortie critique, mais autrement.

Rappelons aussi que Dubé a été l'objet récemment d'articles faisant état de problèmes d'éthique (conflit d'intérêts). Par exemple, sa femme est sur le conseil d'administration du Panier bleu, projet qui a coûté 4 millions au gouvernement. On l'oublie : Dubé a été président du Conseil du Trésor, mais auparavant vice-président de la Caisse de dépôt et placement du Québec en 2018. Le Parti québécois et le Parti libéral lui ont alors demandé des explications au sujet, encore une fois, de problématiques de conflit d'intérêts impliquant sa femme. (Source : https://www.journaldemontreal.com/2018/09/15/letonnant-trou-de-memoire-de-dube https://www.lapresse.ca/actualites/elections-quebec-2018/201809/13/01-5196502-dube-et-la-caisse-de-depot-se-defendent-le-pq-et-qs-attaquent.php)

 

Au chapitre des gens à qui l'on brime la parole, il y a un autre exemple récent, pas clair, celui de l'animateur Daniel Melançon de Salut Bonjour à TVA, qui a été remercié vers le 23 octobre 2020. Il a fait une sortie pour expliquer que ce n'était pas sa décision. Il est aussi l'un des très rares dans les médias actuellement qui posait de timides questions.

 

Enfin, il y a eu plusieurs exemples réels tels que ceux-ci ces derniers mois.

Par conséquent, quelque chose de très grave se passe au Québec : le pluralisme des avis et des arguments ne passe pas l’espèce de rideau de fer médiatique hissé autour du Québec. Le Québec est dans une bulle ! Pour avoir accès à l'extérieur de la bulle, il faut vraiment savoir où aller sur Internet (principalement dans les médias internationaux et les médias plus indépendants). Alors en dépassant le rideau de fer, on se rend compte qu’il y a de vrais docteurs, de vrais scientifiques très sérieux, bardés de diplômes et parfois de Nobel, des Américains, Français, Anglais, Allemands, Belges, etc. qui disent des choses qu’on n’entend jamais au Québec. On comprend rapidement que ce n’est pas parce que nos journalistes n’ont pas accès à ces informations puisque moi j’y ai accès. C’est sans doute parce que le gouvernement et/ou les gestionnaires des médias ne veulent pas que ça passe dans les médias parce que ça va carrément à l’encontre du récit qu’ils veulent entretenir à tout prix. Logiquement, je ne vois pas d’autre explication, parce qu’autrement ils lanceraient au moins ces arguments dans le débat. Là, c’est l’omertà pure et simple.

Depuis mars 2020 la façon de procéder des médias est simple : répéter en choeur quelque chose sans amener la contradiction et sans vraiment donner de sources scientifiques exhaustives (c'est simple, tous leurs "experts" penchent toujours du même bord, et ce bord est toujours en adéquation avec les intérêts pharmaceutiques et les ordres -décrets- gouvernementaux!).

Les médias au Québec, à la suite des gouvernements caquiste québécois et trudeauiste canadien, ont convaincu une partie de la population d'une telle chose: l'ultime gravité de la situation, et aussi de l'ultime efficacité des mesures. Le pire, c'est que les gens qui tentent de comprendre et de penser ces questions sont pointés du doigt comme des idiots ("covidiots", ce néologisme passera à l'histoire comme le témoignage du crétinisme en phase terminale de nos spin-doctors médiatiques). Donc, le gouvernement et les médias se gardent toujours de citer des études, des chercheurs, lorsqu'ils ventent les mérites des mesures. Ils se basent plutôt sur leurs "experts maison" (des gens qui sont sur le pay-roll, disons, toujours les 4-5 mêmes "experts médiatiques" qui sont invités sur tous les plateaux) qui eux-mêmes disent se baser sur "la Science", qui en deviennent presque l'incarnation. On a pu constater dans cette page web que certaines études -très scientifiques- leur font la vie dure.

Il est facile de tomber dans une espèce de transe en écoutant ou lisant ces chroniqueurs ou ces bulletins de nouvelles quotidiennement sans avoir d'appel d'air extérieur. Il ne faut pas oublier que ces animateurs et chroniqueurs des médias ne sont pas des scientifiques et qu'ils sont empêtrés eux-mêmes dans des problématiques d'obéissance bien décrites dans ce texte.

Il ne faut jamais oublier que les médias comptent beaucoup sur l'un des plus grands défauts de l'être humain: sa mémoire s'efface trop rapidement et est écrasée par la nouveauté. Par la "nouvelle". Ce qu'il fait que la suite des actualités s'enchaîne à une vitesse telle que les médias (et les gouvernements) ne sont jamais redevables de rien! Ils ont fait une erreur? Dit quelque chose de faux? Pour eux, pas grave, parce que c'est déjà de l'histoire ancienne. Il faut absolument arrêter cette impunité, cette déresponsabilisation.

L'une de leurs méthodes les plus efficaces est de mettre intensément le focus sur un autre sujet, ce qui fera oublier le premier sujet, l'important. C'est la technique de l'écran de fumée. Par exemple, lorsqu'on devrait parfaitement être concentrés sur les déboires des mesures sanitaires, on se met à nous parler du péril du français, ou de la loi sur la laïcité. Ce n'est juste pas le temps. Mais ça va faire oublier les mesures sanitaires aux gens. C'est là cette technique je dirais assez malhonnête.

En effet, en n'y prenant pas garde, les vérités énoncées dans ce texte vont s'effacer de votre mémoire dans quelques jours ou semaines et seront remplacées par ce que les médias disent à l'unisson du matin au soir si vous les laissez vous remplir. Ils pratiquent le matraquage, ils martèlent sans arrêt les mêmes mots-clés. C'est pour ça que je suggère de garder cette page web proche et la relire encore, quitte à en faire un outil de référence, et de faire de la "distanciation critique" face aux médias. Et surtout, arrêter de les regarder sans esprit critique. Arrêter de les regarder et les écouter tout court, en fait, serait le mieux.

 

3. Totalitarisme et délire collectif

Rarement mais parfois, il y a encore une éclaircie dans les médias. Voici une entrevue rafraîchissante à l'émission "Bien entendu" du 30 décembre 2020 à la première chaîne de Radio-Canada avec l'animateur Stéphan Bureau et Ariane Bilheran, née en 1978 et diplômée de l'École normale supérieure, docteure en psychologie clinique et psychopathologie, qui a enseigné à l'Université Aix-Marseille et donné des conférences à l'Université de Montréal. Ils y parlent du "totalitarisme étant le moment où le collectif entre dans un délire paranoïaque" entretenu par le gouvernement et les médias. C'est une entrevue extrêmement importante. Mme Bilheran démontre concrètement que certaines des actions posées par le gouvernement et les médias ces derniers mois entrent dans la catégorie du totalitarisme.

 

Parlant de délire et de totalitarisme, le lieutenant-gouverneur du Québec s'est inquiété de la tangente empruntée depuis mars 2020, qui rapidement le 22 avril 2020 a publié un article où il dit que la covid19 est dangereuse pour notre démocratie. Dans le texte, il dit notamment : « Big Brother de 1984 de Orwell, il est chez nous, il est arrivé. »

(Source : https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-04-22/la-covid-19-dangereuse-pour-la-democratie-dit-le-lieutenant-gouverneur)

 

3 avril 2021 : "Un an de gouvernance par décret : « une faille gigantesque » dans la loi", https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1782015/gouvernance-decret-quebec-covid19-etat-urgence-sanitaire-droit

13 mai 2021 : "COVID-19 : le Québec se distingue des autres provinces par son approche répressive", https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1792674/quebec-repression-pandemie-covid19-rapport-libertes-civiles-canada

 

26 mai 2021 : Déclaration de la Ligue des droits et libertés – Il faut mettre fin à l’état d’urgence au Québec, https://liguedesdroits.ca/declaration-fin-etat-urgence-quebec/

 

Un des marqueurs importants de l'installation d'une dictature ou du totalitarisme est la censure des oppositions. L'une des oppositions ou des agoras critiques de la société québécoise en 2012 sont les réseaux sociaux, où les gens, parfois maladroitement, expriment leurs critiques. Le 22 avril 2021, un article fait état du fait que le gouvernement Legault "nettoie" les commentaires critiques sur ses pages : https://www.journaldequebec.com/2021/04/22/des-messages-qui-critiquent-le-gouvernement-sont-effaces-sur-le-facebook-de-francois-legault

 

« Les monstres existent, mais ils sont trop peu nombreux pour être vraiment dangereux ; ceux qui sont plus dangereux, ce sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires prêts à croire et à obéir sans discuter. »

— Primo Levi, 1947

 

« C'est tellement incroyable, je n'aurais jamais cru que j'aurais à me battre à nouveau contre les mêmes personnes que j'ai combattues il y a 80 ans... »

— Vera Sharav, survivante de l'Holocauste à propos des événements de 2020-2021

 

« Le monde ne sera sauvé, s'il peut l'être, que par des insoumis. »

— André Gide

 

 

3a. Des personnages médiatiques sont en train de perdre le nord

Benoît Dutrizac a interviewé Éric Duhaime vers le 16 avril 2021. Dutrizac a tenu des propos absolument dégueulasses. Il traite le gouverneur De Santis (Floride, USA) de réactionnaire mais à l'écouter on n'est clairement pas devant un "progressiste".

Richard Martineau, ancien acolyte de l'autre (Dutrizac), a lui aussi été très "démocratique" :


 

Sophie Durocher, la femme de l'autre (Martineau), poursuit la tradition "démocratique" familiale. Avec la diaphane Caroline St-Hilaire, ex-mairesse de Longueuil recyclée comme tant d'autres dans le tordeur médiatique, toujours parfaitement consensuelle :

Elle gagnerait beaucoup à lire l'énoncé de cette page web sur le passeport vaccinal.

 

Guy A Lepage avec Rachid Badouri avec Jean-Philippe Wauthier à Bonsoir Bonsoir vers le 26 mai 2020 qui encouragent la dénonciation.

Rachid Badouri qui dit aux gens de "mettre un masque, fermer leur "yeule" (gueule), ça va aller plus vite" (pour éviter la 2ème vague), vers le 21 juillet 2020, trois jours après l'entrée en vigueur de l'obligation (attention ça crie) :

Un autre "humoriste", Arnaud Soly, est aussi magnanime que Badouri quelques jours avant le 18 juillet 2020 (attention ça crie) :

 

Mario Dumont avec Jean-François Guérin le 15 mai 2020, a utilisé des mots comme "en bas de la lie de l'humanité", "n'en laissez plus passer, si c'est votre frère, votre beau-frère quitte à couper les liens dans la famille, barrez-le sur twitter, sur facebook, dites-lui consulte, fais-toi soigner." "Des gens qui vont pas bien." Jean-François Guérin, un autre diaphane, de renchérir : "Qui ont le monopole de la vérité souvent, faut peut-être se remettre en question des fois, ptsk."

C'est vraiment spécial parce que je croyais que ceux qui adoraient avoir "le monopole de la vérité" en la "produisant" jour après jour, c'était justement les médias. Et ceux qui ne se remettent à peu près jamais en question, c'est justement... les médias.

Dumont a aussi écrit deux semaines avant, le 1er mai 2020, un texte où il dit ceci :

"Mais les tragédies provoquées par ce damné virus sont trop lourdes pour qu’on accepte de laisser courir, magasiner et travailler parmi nous ceux qui refuseraient le vaccin.

Rouvrir Gagnon pour leur créer un habitat en circuit fermé ? Je blague à peine. Dans le difficile équilibre entre libertés individuelles et obligations envers la collectivité, le cas présent est extrême.
[...]

Quelle patience aurons-nous pour le beau parleur qui dira non au vaccin en jouant à l’intéressant informé ? Celui qui a lu sur internet une histoire saugrenue sur le site d’un Américain détraqué qui écrit des conspirations dans son sous-sol.

Apprendre que son voisin de bureau croit que la Terre est plate, ça peut être comique. Apprendre que son voisin de bureau refuse le vaccin de la COVID-19 dû à ses croyances bizarres, ça risque de moins bien passer."

(Source : https://www.journaldemontreal.com/2020/05/01/rouvrez-gagnon)

Pour Mario Dumont, quelqu'un qui refuse le vaccin parce qu'il a des appréhensions a des "croyances bizarres". Mario Dumont propose une ségrégation, avoir des citoyens de seconde zone, et carrément d'ouvrir un camp de concentration (un lieu isolé où on concentre des gens). Ces deux interventions de Mario Dumont confirment que c'est une personne carrément dangereuse, et/ou délirante.

 

Yves Boisvert, de La Presse :

 

D'autres interventions dans les médias, tout aussi préoccupantes, comme lorsque les intervenants médiatiques sont plus catholiques que le Pape. Autrement dit, quand au lieu de tempérer, critiquer, analyser, ils en redemandent, ils en veulent encore plus! Ils se font encore plus sadiques. Mi-avril 2021 avec les masques extérieurs, voici ce que ça donne avec Sébastien Bovet, Françoise Boivin, Jean-François Lisée, Pierre Moreau, Dimitri Soudas le 14 avril 2021 à Radio-Canada :

(La "lettre en F", c'est "frencher" (comme french kiss). Mme Boivin pète un câble en appelant ça "la lettre en F".) Donc au diable les considérations scientifiques, Bovet, Boivin et Lisée! "On va y aller avec le gros bon sens, la simplification". On en a rien à foutre de la qualité de vie des gens! "Ça peut aider, pis même si ça fait rien dans le fond, au moins ça aura été préventif". Non! Qu'en disent les études? Qu'en dit la population? Les gens sont PU capables! Cette belle brochette n'en a rien à faire.

 

Puis les autres délirants, qui parlant de "nouvelle normalité" (Sophie Durocher), "civilisation post-covid", retour à la normale en 2025-2026 (le médecin médiatique Karl Weiss) avec le très consensuel Patrice Roy, avec à la carte fake news carabinée :

2025-2026... imaginez.

Mais c'est le genre de manipulation classique : par exemple, s'ils veulent mener ça jusqu'en 2022, alors ils disent 2025 pour que 2022 semble raisonnable. La vérité, c'est que même 2021 n'est pas raisonnable.

 

4. Analyse des médias, Noam Chomsky, conformisme

Voici ce que Noam Chomsky (que je n'aime pas toujours mais là c'est cristallin) a à dire sur ces chers médias (je traduis en français après l'image):

Toute la page est importante en fait, mais voici ma traduction de ce que j'ai souligné et entouré :

«Le truc est de ne pas être isolé - si vous êtes isolé comme Winston dans 1984, alors tôt ou tard vous allez craquer, et il a finalement craqué. C'était là le point de toute l'histoire de Orwell. En fait...

...toute la tradition de contrôle de la population est exactement ceci : garder les gens isolés les uns des autres, parce que si vous pouvez les garder isolés assez longtemps, vous pouvez leur faire croire n'importe quoi. Par contre, quand les gens se mettent ensemble, alors toutes sortes de choses deviennent possibles. [...]

Souvenez-vous que les médias ont deux fonctions de base. L'une d'elles est d'endoctriner l'élite, de s'assurer qu'ils ont les "bonnes" idées et qu'ils sachent comment servir le pouvoir. En fait, habituellement les élites sont les plus endoctrinées du corps social parce qu'elles sont celles qui sont les plus exposées à la propagande et prennent part aux processus de la prise de décision. Pour celles-ci, il y a le New York Times, le Washington Post, le Wall Street Journal, etc. Mais autrement, il y a aussi les médias de masse dont la fonction principale est juste de se débarrasser du reste de la population - de les marginaliser et les éliminer, comme ça ils n'interfèrent pas avec la prise de décision. La presse qui remplit cette fonction n'est pas le New York Times ou le Washington Post, mais plutôt les téléséries à la télévision, le National Enquirer, le sexe et la violence, les bébés à trois têtes, le football, bref ce genre de choses.»

Lorsque Chomsky parle des '"élites" qui sont les plus endoctrinées, on comprend qu'il parle de cette caste de larbins serviteurs du pouvoir. Ceux qui sont proches du haut de la pyramide, mais qui pour bon nombre demeurent des outils. Les personnages médiatiques font partie de ces "élites" décrites par Chomsky. Un de leur point commun est souvent d'être partis d'une famille ordinaire et faire maintenant beaucoup d'argent.

Les médias, au Québec, c'est quoi... deux-cent personnes sur 8 millions et demi de personnes? Je veux dire, ceux qu'on voit et qu'on entend à journée longue, surtout les journalistes, chroniqueurs et humoristes (parfois les trois en même temps) Céline Galipeau, Guy A. Lepage, Mario Dumont, Patrice Roy, Anne-Marie Dussault..., (les "A", comme Pierre Lapointe les appelle...

...lors de son passage à Tout le monde en parle le 24 avril 2016) c'est à peu près deux-cent personnes. Disons qu'en arrière, il y ait encore deux-cent "journalistes" et chroniqueurs. Le reste, c'est des dépêches d'agences de presse étrangères : Agence France Presse, Reuters, Associated Press (AP), etc. C'est-à-dire que pour former l'esprit de 8,5 millions de personnes, ça n'en prend qu'une infime poignée, en proportion.

Ça veut donc dire qu'on peut, à leur insu, convaincre des millions de personnes qu'en majorité, elles pensent ci ou ça. Si par exemple il y a un dysfonctionnement majeur disons dans le système médiatique et qu'il dévie de sa mission fondamentale d'informer rigoureusement et honnêtement au meilleur de ses capacités, alors si les deux-cent s'y mettent fort, ils peuvent convaincre des millions d'une inexactitude. Ils peuvent donner l'illusion qu'ils constituent une opinion majoritaire, voire manipuler la représentation de la réalité. C'est-à-dire qu'ils peuvent convaincre une majorité, malgré elle, qu'elle penserait en majorité quelque chose alors que la réalité est tout le contraire. Comment donc cette minorité ferait-elle ça? En invitant systématiquement des gens qui disent à peu près la même chose, et en n'invitant jamais, systématiquement aussi, les gens qui disent tout le reste.

 

5. L'expérience de Solomon Asch sur le conformisme social

L'expérience de Solomon Asch (publiée en 1951) en sociopsychologie est vraiment révélatrice. Voici une courte vidéo sur le sujet.

Résumé de l'expérience : un participant doit répondre ce qu'il croit être vrai, par exemple en donnant la longueur d'un trait sur une feuille. Il est entouré de ce qu'il croit être d'autres participants. Ce sont des gens recrutés par le chercheur qui sont payés pour mentir et systématiquement donner la même réponse ensemble. Le participant sent rapidement la pression de la conformité sociale, et finit par répondre comme le groupe aux réponses, en allant avec le groupe, plutôt qu'avec sa conscience quitte à être en rupture avec le groupe.

Dans le cas par exemple des vaccins, ce serait qu'une personne se pose des questions, mais face à ce qu'elle ressent être la pression de conformité du groupe (où les "participants payés" seraient des personnages médiatiques surtout), alors elle aura tendance à taire les objections légitimes qu'elle aurait eu, comme : Oui mais, c'est une nouvelle technologie jamais utilisée, c'est un vaccin encore expérimental, on ne sait pas ce que ça provoquera dans le corps des gens d'ici des mois ou des années. C'est ça aussi l'expérience de Asch, c'est en quelque sorte d'enfermer le participant seul avec une gang de corrompus. Si le participant avait eu un complice qui avait répondu comme lui, ça aurait été plus facile pour lui. Des complices comme des médecins ou scientifiques, comme ceux que j'ai présentés dans cette page web.

Dr. Louis Fouché connaît lui aussi l'expérience de Asch et a dit quelque chose de très beau à ce sujet (sur les Gardiens).

L'expérience de Asch est donc une expérience de conformité (aveugle) au groupe social. Beaucoup de gens, comme on le voit dans l'expérience de Asch, vont suivre ce qu'ils perçoivent être "la majorité" des avis des médias, même si cette majorité, comme dans l'expérience de Asch, est fausse: les gens sont payés pour donner la même réponse dans l'expérience. De la même façon, la structure des médias de masse est ainsi faite qu'il y a une "ligne de pensée" indépendante des employés des médias qu'ils doivent suivre malgré eux. Leur liberté de penser et leur authentique individualité ne leur appartient plus, ils se confondent dans ce qu'ils perçoivent comme une norme stricte et parfois tacite de leur groupe social.

Autrement dit, une bonne façon de se sortir de ce trait de l'esprit grégaire humain est premièrement d'en prendre conscience, et deuxièmement de se souvenir de cette phrase de Samuel Langhorne Clemens, dit Mark Twain (1835-1910) :

"À chaque fois que vous vous retrouvez du côté de la majorité, il est temps de faire une pause, et de réfléchir."

Une autre phrase très à propos est celle-ci: "Les gens ordinaires font des choses complètement folles quand les choses complètement folles deviennent ordinaires" (c'est le titre d'une chanson du groupe punk Propaghandi sortie le 6 février 2001: Ordinary People Do Fucked-Up Things When Fucked-Up Things Become Ordinary). Cessez d'être des gens ordinaires, maintenant! Reprenez votre sens critique. Remettez les choses en question! Cessez de donner votre confiance aveuglément à ce que vous considérez l'autorité! Obéissance aveugle, autorité: ce sont des concepts très limites en démocratie!

Je pense qu'il est maintenant temps d'appliquer cet adage : "Incarne le changement que tu veux voir arriver dans le monde" (en anglais : "Be the change you want to see in the world.") Autrement dit: il faut se changer soi-même pour que le monde change. Je suis profondément convaincu que ce monde peut changer si les gens changent eux-mêmes: arrêter d'être si passifs face au monde réel. Si les pharmaceutiques ont pu corrompre autant le système, je crois que c'est parce que la plupart des gens sont littéralement ignorants de ce qui se passe dans le monde réel. Ils sont hypnotisés par des préoccupations secondaires: des téléséries de fiction dont ils se gavent, des téléromans, des documentaires médiocres, bref, du contenu largement abrutissant des grands médias (quand ce n'est pas des émissions de cuisine, c'est des jeux télévisés ou des téléréalités. Où sont les vrais débats? Les avis contradictoires?). Quand les médias ne "divertissent" pas, leur plus grande préoccupation est d'éteindre la pensée, endormir le téléspectateur : "circulez - y'a rien à voir". Oui, les grands médias. J'en veux pour preuve : s'ils faisaient vraiment leur job, tout ce que j'ai écrit dans mon texte, tout le monde serait au courant. Au cas où ils l'auraient oublié, leur job c'est être le 4ème pouvoir, par nature un contre-pouvoir, qui surveille les trois autres pouvoirs (exécutif, législatif, judicaire). Donc, si job était faite, la population serait au courant, aurait une pensée structurée, serait capable de penser avec nuance à ces questions. Non. Actuellement, il y a rarement un documentaire-dilué par ci par là, quelque chose de furtif, rapide comme un flash, qui fait qu'on s'indigne pendant une heure le mardi ou le jeudi soir et après, ça s'évanouie dans l'oubli du divertissement. Ça ne doit pas fonctionner comme ça, les gens doivent prendre leur monde en mains. Et ce monde est situé dans le monde réel et ses problèmes. Ils doivent pour de bon refuser de se faire servir la soupe par les médias, refuser d'obéir, de rentrer dans leur petite case de consommateur-passif, pour devenir un citoyen-actif. On le sait, ce genre de dossier de corruption, quand on laisse faire, ça se termine en queue de poisson après une commission d'enquête qui dure une éternité. Rien ne change jamais, personne n'est inquiété. Il n'y a jamais de responsable clair, et tout recommence quelques mois ou années plus tard! Les gens doivent se lever debout pour tenir les escrocs en respect, et surtout, ne plus jamais arrêter de les surveiller et les sanctionner. C'est en posant ce genre d'actions dans nos vies personnelles, ce genre de choix, que je pense que ce n'est comme ça qu'on peut avancer.

Quelqu'un de normalement constitué ne se fait pas berner deux fois en en redemandant. "Si tu m'exploites une fois, honte à toi. Si tu m'exploites une deuxième fois, honte à moi." ("Fool me once, shame on you. Fool me twice, shame on me.") Les gens doivent apprendre à ne plus donner leur confiance à n'importe qui. Une fois qu'on se rend compte qu'on a été berné, alors on n'y retourne pas: on ne redonne pas notre confiance à celui qui nous a mené en bateau. Les médias ne méritent manifestement plus notre confiance. Personnellement, eux et moi, pour ce qui est de la confiance aveugle ou à peu près, c'est fini à vie. Lorsque je les consulte maintenant, c'est rapidement, du coin de l'oeil, et seulement que pour les critiquer. Oui c'est vrai, il arrive qu'il y ait de rares pépites comme un diamant égaré dans une bouse de vache. On est entré au Québec dans un univers médiatique vraiment malsain depuis la "convergence des médias" où Quebecor a racheté la moitié des médias, où Radio-Canada est l'autre gros morceau, avec l'empire Bell (qui a mangé Astral et TQS-V maintenant), et Cogeco ou Corus de l'autre côté. Il ne faut pas oublier que même Le Devoir a un temps été sauvé par Québécor (Source : https://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/280782/la-naissance-du-devoir-inc) ! Je pense qu'il faut se rappeler que ces empires corporatifs, et ces empires de subventions, ne devraient pas avoir le statut qu'on leur donne dans nos têtes. À l'époque, il y a longtemps, un média était financé par ses lecteurs qui achetaient leur abonnement ou leur édition du jour en argent comptant. Les lecteurs faisaient vivre le journal (avant que les publicitaires éventuellement, eux aussi, se mettent à exercer des pressions indues sur les rédacteurs en chef). Bref, c'était une autre façon de voir les médias. Aujourd'hui au Québec, on voit nos médias comme des "éternels", des structures qui ne peuvent plus disparaître. Comme le journal Montréal-Matin (1930-1978), ou même le Allô-Police (1953-2003).

Je pense que si un média devient pourri de corruption, jusqu'à nous embobiner à longueur de temps, il est juste logique que les lecteurs le désertent, et qu'il disparaisse. Bref ce que je veux dire, c'est qu'il faut recommencer à avoir le gros bout du bâton en tant que peuple et choisir nos médias. Et donc, choisir qu'on n'en écoutera plus certains. Radio-Canada dit: "Il n'y a pas de diffuseur public sans public." La réaction qui vient naturellement est: "Il n'y aura pas de public tant que vous ne serez pas à la hauteur de votre mission. On voit ce que vous faites." Être à la hauteur de la mission, c'est inviter tous les experts et les gens qui ont une opinion sérieuse (documentée, recherchée) sur les plateaux, pas juste les experts d'un côté de la question. C'est laisser libre cours au débat, le vrai, la libre expression, la libre pensée, bref, celle qui fait qu'on échange des idées réellement contradictoires, qu'on est pas d'accord du tout et que ça vient nous chercher profondément. Pas un show en surface où tout le monde finit d'accord à la fin parce que tout le monde était d'accord au début.

(Ah, vous ne le saviez sûrement pas, parce que Radio-Canada fait l'omertà sur ça, mais il y a un mouvement de citoyens qui demandent à Radio-Canada de faire un débat public sur tout ce qui entoure le coronavirus où justement il y aurait les experts (et même des citoyens sérieusement documentés) de tous les côtés (des gens comme Dr. Didier Raoult, Dr. Louis Fouché), Radio-Canada refuse ce débat public.)

Comme Dr. Louis Fouché l'a proposé dans son "ordonnance" : il est temps de fermer la télé et le cellulaire, et de se reconnecter aux humains. Ou du moins, dire NON!, refuser de se laisser remplir sans discernement par les médias, reprendre sur nous cette faculté de penser, d'être intelligents, de se poser TOUTES les questions qu'on doit se poser, avec autant de nuances qu'il le faudra.

 

6. Pierre Falardeau sur les médias

Il y a quelques années je n'aurais jamais cru dire cela, et j'ai de la peine en le disant, mais les séquences suivantes sont une représentation parfaite de la situation actuelle :

Dans le film Elvis Gratton 3 (2004), Gratton a fondé Télé-Égout et a pu avec ses amitiés avec Jean Chrétien et Paul Desmarais, mettre la main à prix d'ami sur Radio-Canada, La Presse et une multitude d'autres magazines et médias. Dubuc est selon moi un clin d'oeil direct à André Pratte, ancien éditorialiste de La Presse (les deux se ressemblent beaucoup physiquement).

 

Ça me fait penser qu'en 2021, à "Radio-Cadenas", La Presse, Le Devoir, l'empire Quebecor (Journal de Montréal TVA etc.), tout le monde à qui est donnée la parole est ultra "pro-vaccin", "pro-mesures", pro tout ça. "5-0" comme dit Gratton. Ce qui est de plus en plus inquiétant, c'est que de plus en plus ils disent que ceux qui ne sont pas "alignés" sur ces diktats sont juste "fous" ou "complotistes". Ils ne supportent plus la contradiction, pour eux tout le monde doit marcher dans une pensée unique sans débat. Mais je vais en reparler.

 

"S'agit de bien les choisir et les dompter jeunes. Y'a toujours quelques-uns enragés dans le lot mais on arrive généralement à les faire plier. Ceux qui se rebiffent on les casse."

"La qualité première d'un journaliste c'est pas l'intelligence, c'est la capacité de marcher au pas."

"Pour les dompter, on s'assure qu'ils aient de la bouffe en permanence dans leur écuelle. [...] Le fouet c'est nécessaire au début seulement. Ensuite juste avec la bouffe, ils obéissent au doigt et à l'oeil. [...] Font toutes les pirouettes demandées."

"Nommer les bonnes personnes aux bons postes".

 

"À partir de rien, on fabrique du solide, du réel, même à partir du vide le plus abyssal."

"Pendant qu'on parle de ça [les jeux gay, etc. etc.], on a le beau jeu si vous me passez l'expression de laisser dans l'ombre des sujets comme les scandales à répétition autour de M. Gagliano, les magouilles de la mafia, le monopole des compagnies de pétrole américaines en Afghanistan."

"Si on n'en parle pas, c'est que ça n'existe pas. C'est ça, le pouvoir des médias."

Cette phrase résume bien l'idée que les médias ont le pouvoir de créer un monde artificiel qui n'existe pas si on n'y fait pas attention, mais qui a l'air bien réel dans la conscience de leur public. La seule façon de vérifier le caractère artificiel de ce monde inventé par les médias, c'est avec des faits confirmés, comme ce que nous faisons dans ce texte. En montrant qu'ils ne montrent pas ce qu'ils ne montrent pas, on les disqualifie.

Sinon dans le dernier extrait, on comprend que dès 2004 Falardeau critiquait déjà la montée lentement mais sûrement du mouvement "woke" et l'une de ses "utilités" dans le débat public : occuper l'espace médiatique, occulter le reste. Tout le monde en parle, ce qui fait qu'à côté de ça, il y a une foule de choses dont on ne parle jamais.

 

"Ça fait des années qu'on est dans marde. [...] Est dans ta tête la marde."

"Ta caméra est plein de marde, ton micro est plein de marde, pis toi avec té plein de marde."

"La TV le câble le satellite cé juste d'la marde. Toutes vos journaux vos radios vos magazines là, c'toute d'la coliss de marde. Tout c'que vous faites cé d'la marde. C'que vous dites cé d'la marde c'que vous montrez cé d'la marde de l'asti de marde du matin au soir 24h par jour 7 jours par semaine 365 jours par année cé d'la marde en canne criss d'la marde en bâton d'la grosse marde en spray. Une osti de montagne de marde."

"Ce qui est rassurant, c'est qu'un jour vous allez crever dans votre marde. Vous allez vous neyer dedans. Vous allez mourir étouffés par votre propre marde."

C'était donc des extraits du film de Pierre Falardeau (Elvis Gratton 3, 2004) avec Julien Poulin.

 

7. Suggestions et bouffées d'oxygène

"OK mais... on va faire comment pour écouter les nouvelles?"

Bonne question, mais il faut aller sur Internet. Multiplier les sources d'information, remettre en question ce que les gens vous disent, demander des sources. Par exemple moi maintenant, disons si j'écoute une émission de média traditionnel, à chaque sous-sujet je me demande en quoi la tournure du sujet pourrait être propagandiste.

Il faut aller sur des sites ou des "comptes" qui présentent toute l'information, pas une version édulcorée ou biaisée de l'information. (Je suggère de boycotter les GAFA apple, facebook (et instagram), twitter et youtube (de google) amazon, parce qu'ils sont tombés ces derniers temps dans une censure de l'information et on ne doit jamais, jamais accepter ça, sinon c'est la fin de notre liberté de nous exprimer et de penser.)

Vous pouvez venir sur mon site (www.lecture-importante.com). Je vais continuer les mises à jour périodiquement.

Je vais tenter de faire une liste de ressources en ligne à consulter pour mieux s'informer.

Je peux déjà en donner quelques-unes maintenant à consulter périodiquement :

Je suggère aussi de se tourner vers des documentaires sélectionnés. (S'éloigner le plus possible des documentaires qui ne sont pas indépendants, en tout cas rester vigilant)

Voici des documentaires à écouter absolument, ce soir tout de suite maintenant et avec un carnet pour noter les informations importantes ! Dès que vous pouvez, cliquez dessus pour aller écouter. Peu importe ce que vous avez pu entendre sur ces documentaires, la majorité est fausse pour vous désintéresser de les écouter. Écoutez-les, en silence, attentivement, avec une feuille et un crayon. Ces documentaires font appel à un grand nombre de personnalités. Ce qui est important, c'est de rester attentif aux arguments, aux idées, et rester critique.

À propos du coronavirus ou des vaccins :

Sur d'autres sujets très importants :

 

Je suggère aussi de lire des livres en papier. Plus c'est vieux, mieux c'est.

 

Si vous voulez écouter des divertissements mais qui vous feront aussi réfléchir, je vous conseille ces films :

  • V pour Vendetta (2005, couvre-feu, pouvoir central autoritaire, virus, notre monde ressemble dangereusement à ça en ce moment)
  • La constance du Jardinier (2005, histoire vraie, corruption des compagnies pharmaceutiques Pfizer et Apotex)
  • La Matrice (la trilogie, sujet monde faux / monde réel)
  • Terminator 2 (1991, sujet robots et IA)
  • Erin Brockovich (2000, tiré d'une histoire vraie sur de la corruption corporative et de la dissimulation de preuves sur l'empoisonnement de toute une population)
  • L'avocat du diable (1997, un jeune avocat arriviste, assoiffé par l'argent et l'ascension sociale, finit par raser de vendre littéralement son âme au diable)
  • Demolition Man (1993, société "utopique" qui est finalement un enfer sur terre, passé sur les ondes de Télé-Québec en 2020)
  • i Robot (2005, sujet robots et IA)
  • Idiocratie (2006 sur le crétinisme, ressemble beaucoup à où on est rendus en ce moment)
  • Le Seigneur des Anneaux (la trilogie)
  • 2001 l'odyssée de l'espace (1968, le monolithe, et quand une IA déconne)
  • La belle verte (beau film français, belles leçons, années '90)
  • Amélie Poulain (film français, 2001, beau film sur l'altruisme et la bonté et la belle vie)
  • 1984 (film de 1984, tiré du livre de George Orwell de 1949)
  • Élysium (2013, dystopie où les ultra-riches règnent sur la planète à partir d'une station orbitale en forme de pentacle)
  • Bienvenue à Gattaca (1997, dystopie eugéniste/génétique où il y a deux classes d'humains, les modifiés ayant les privilèges, et les naturels, laissés pour compte.)
  • À la poursuite de demain (Tomorrowland) (2015, Disney, il n'y a pas qu'un futur sombre possible.)
  • Les femmes de Stepford (1975 ou 2004, dystopie technologique dans une communauté fermée)
  • Antitrust (2001, film sur de jeunes programmeurs qui finissent dans une grosse corporation, où il se passe des choses "étranges". Plusieurs critiques ont vu dans ce film une allusion directe à Microsoft et Bill Gates, - que certains appellent Micro$oft - aux pratiques concurrentielles discutables)
  • La famille Jones (2006, cette famille a quelque chose de très étrange. L'apogée du concept "quasi-social" et de l'horrible cauchemar du néolibéralisme où vraiment tout se marchande.)

La plupart de ces films ont quelque chose en commun. Ils décrivent parfois des histoires vraies, parfois des univers de fiction, mais tous sont très, très proches d'une façon ou d'une autre de notre monde actuel, soit parce qu'ils le décrivent presque exactement, soit parce qu'ils sont de graves mises en garde à ne pas ignorer.

 





Quand on fait une recherche, la question du pourquoi est la plus difficile des questions entre le "quoi", le "comment", le "quand" et le "où". Le "pourquoi" est la pire des cinq questions parce qu'elle est plus abstraite. Elle implique des motivations personnelles, et il faut nécessairement demander directement à la personne ou l'organisation (et avoir confiance en cette personne ou organisation qu'elle nous dise la vérité), donc le vrai pourquoi, la vraie raison. Si cela n'est pas possible, il est aussi possible d'hypothétiser le pourquoi, quand on ne peut pas demander à la personne ou l'organisation. En logique, c'est avec le raisonnement par abduction : qu'est-ce qui serait le plus plausible, en se basant sur des éléments fiables qu'on possède déjà ? De la même façon que l'abduction est utilisée en médecine pour établir un diagnostic, on peut l'utiliser en sociologie, etc. Il faut cependant avoir des faits fiables sur lesquels se baser en pour établir la cause la plus vraisemblable.

Alors "pourquoi le gouvernement fait ce qu'il fait" ? La question la plus criante que je me pose souvent depuis des mois en observant la situation aller, c'est : est-ce qu'il y a un gouvernement au Québec ? En effet, j'ai souvent l'impression que notre triumvirat (notre "aigle à trois têtes") n'est qu'un fusible, un relais de transmission de directives qui viennent d'ailleurs (instances de décision internationales/transnationales, dont l'ONU et autres). Je n'ai pas l'impression qu'on a un gouvernement qui décide vraiment au Québec : c'est-à-dire qui pourrait réellement dire librement soit oui soit non à telle ou telle mesure si démocratiquement c'était la volonté. C'est plutôt comme un poisson mort qui va et vient au gré du courant mondial. J'ai plutôt l'impression d'une équipe qui copie tantôt en France, en Ontario, en Californie, à New York, en Allemagne, en Angleterre. Je sais en tout cas qu'il n'y a plus vraiment de députés ni de parlement parce que quand ça, ça existe, il y a des débats et des gens en désaccord et ça, ça n'existe plus en ce moment. Ils sont tous en rang, bien dociles. Il n'y a qu'un exécutif avec des décrets. Et à la tête de cet exécutif, Legault. Qui est à la tête de Legault?

Je ne peux pas m'empêcher de penser à des articles sur Legault, qui s'est fait immensément critiquer par d'autres politiciens avant qu'il prenne le pouvoir, comme des mises en garde :

Bernard Landry a en 2012 dit que Legault n'est qu'un arriviste rongé par l'ambition : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/574413/caq-francois-legault-arriviste-ronge-ambition-bernard-landry

Jean Charest "John James/Patapouf 1er" a dit en 2011 que Legault prépare des gestes brutaux et radicaux. https://www.ledevoir.com/politique/quebec/330153/francois-legault-prepare-des-gestes-radicaux-et-brutaux-selon-jean-charest

François Legault lui-même avait dit de la CAQ que ce serait le parti d'un seul mandat et qu'il quitterait le pouvoir après un mandat. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/528393/francois-legault-outaouais Fait intéressant : Macron en 2017 a dit la même chose que Legault. Comme quelqu'un qui a une job à faire pour ensuite se tailler rapidement.

Alors s'il y a une once de vraisemblance dans les propos de deux anciens premiers ministres, Landry et Charest, on pourrait se demander si Legault est un arriviste (qui veut se rendre au sommet à tout prix, pour se rendre au sommet), dans un ego trip d'ambition, et qui peut poser des gestes brutaux et radicaux. Très mauvais pour nous et pour la démocratie québécoise. Un arriviste, pour monter, cherche à plaire à ceux à qui il faut plaire pour monter, c'est logique. Legault serait donc surtout bon à plaire aux pouvoirs des coulisses et des lobbys.

 

Il y a d'autres institutions de la société québécoise qui pourraient débattre, émettre des critiques, analyses, réserves, objections, comme par exemple le Collège des médecins. Mais niet, comme ce docteur retraité le dit dans cet article du 29 mars 2021 (je n'aime pas La Presse mais exceptionnellement elle a publié un texte de Robert Béliveau (attention de ne pas confondre avec le médecin-médiatique Richard Béliveau ! Pas du tout la même chose.), un médecin retraité qui a de l'allure donc voici) :  https://plus.lapresse.ca/screens/b70dbbd5-4ad6-4cc6-8614-cfac48066d81__7C___0.html

Voici une entrevue radio du 30 mars 2021 de ce même docteur Robert Béliveau :

Dr. Robert Béliveau a cité cette étude du New England Journal of Medicine du Dr. Cohen en 1991 sur l'effet du stress sur l'efficacité des défenses immunitaires et sur le fait que des gens stressés, lorsqu'ils croisent le virus de la grippe, ont plus de chances de tomber malades (les autres ont plus de chances de ne rien développer) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM199108293250903

 

Tant que le pouvoir legauïste exerce ses décrets sans le moindre contre-pouvoir, alors pourquoi quoi que ce soit arrêterait ? Chaque semaine, ils nous sortent de nouveaux éléments, des nouvelles raisons de toujours plus reconfiner. Pourtant quand on regarde les mesures qui ont court dans le reste du monde, le Québec est un ilôt où la vie est arrêtée, où une immense portion des gens est dans une psychose hypnotique, pendant qu'ailleurs, eh bien, on vit. Juste penser ça me rend malade. Ce n'est pas ce genre de société distincte que je voulais, cette société du pire des politiquement corrects et d'un gouvernent tellement préoccupé par notre sécurité que c'est en train de nous rachever toute la gang.

 

Le gouvernement refait la même chose qu'avec la grippe H1N1 en 2009

"La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat différent."

– Albert Einstein

Pourquoi cette phrase de Einstein ? On va le comprendre dans un instant. Dans un article paru dans le Journal de Québec le 8 février 2010 intitulé "Fausse pandémie et conflits d'intérêt", dans lequel on peut lire ceci:

«Des experts québécois et européens accusent l'Organisation mondiale de la santé (OMS) d'avoir exagéré l'importance de la grippe A (H1N1) et d'avoir favorisé volontairement l'enrichissement de l'industrie pharmaceutique.

Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d'avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.

Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l'éclosion du virus, l'OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette «hystérie pandémique»

«C'est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe.»

Selon Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine :

«On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s'est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d'argent.» ( http://www.journaldequebec.com/2010/02/08/fausse-pandemie-et-conflits-dinteret, archivé ici : https://archive.is/wrisN)

 

Voici un article du 2 septembre 2010 publié dans La Presse intitulé : "A-t-on crié au loup pour rien?". Extrait :

Et il était temps, car plus on regarde les bilans mondiaux, plus on réalise que notre campagne coûteuse et générale était en fait exagérée.
La France, qu'on peut citer en contre-exemple, a en effet adopté une attitude totalement différente en laissant ses citoyens choisir eux-mêmes s'ils voulaient se faire vacciner, ce qui fait que seulement 10% de la population l'a été. Et y avez-vous observé une déferlante de décès évitables?
Non.

Ce qu'on voit plutôt en Europe, en ce moment, ce sont des interrogations au sujet des vaccins et de leurs effets secondaires. [...]

Cela n'empêche personne, toutefois, d'avoir l'humilité d'admettre aujourd'hui, collectivement, qu'il y a eu un élément de panique dans notre réaction.
Le gros bon sens, admettons-le, a parfois été écarté.
Et bien des appels au calme qui auraient dû être lancés ne l'ont jamais été. Appels au calme et nuances, aussi. [...]

Car en réagissant aussi fortement devant une maladie qui n'a jamais été aussi grave que prévu, les autorités de la santé publique ont perdu, malheureusement, un peu de leur force d'impact auprès du public. Et le cynisme, lui, s'est trouvé de nouveaux clients.
Comme dans la bonne vieille histoire du gars qui criait au loup trop souvent.

(Source : https://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201009/02/01-4311874-a-t-on-crie-au-loup-pour-rien.php)

 

Le Devoir a publié le 12 juin 2010 un texte intitulé : "Pseudo-pandémie d'A(H1N1), alarmisme et gaspillage de fonds publics.", où il est écrit :

"Plusieurs scientifiques, surtout en Europe, ont sévèrement critiqué cet alarmisme: l'ancien patron de la Croix-Rouge française, Marc Gentilini, a parlé d'une «pandémie de l'indécence». Plus récemment, la gestion de ce dossier par l'OMS a été durement critiquée dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et dans un rapport déposé le 4 juin dernier à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. En présentant ce rapport, le député britannique Paul Flynn a affirmé que «cette pandémie n'a jamais vraiment existé». [...]

Médiatisation indécente

Selon la firme Influence Communications, le poids médias de cette grippe fut en 2009 de 6,7 % au Québec, de 2,4 % au Canada et de 1,4 % dans l'ensemble de 159 pays. Presque 7 % des nouvelles, pendant un an, c'est énorme et sans précédent dans le domaine de la santé!

On a eu droit à une médiatisation indécente de la mort de toute personne infectée par l'A(H1N1) 2009, comme s'il s'agissait du seul agent infectieux en circulation au Québec. On a assisté à une psychose collective qui a été alimentée par la Direction de la santé publique, qui tenait à la réussite de sa mégacampagne de vaccination. Les médias, pour la plupart, ont agi comme des amplificateurs d'une perception du risque totalement déformée: c'était comme si la mort venait d'être inventée!"

(Source : https://www.ledevoir.com/opinion/idees/290727/pseudo-pandemie-d-a-h1n1-alarmisme-et-gaspillage-de-fonds-publics)

Personnellement, j'ai l'impression de lire un texte qui aurait pu être écrit ce matin. Vous ?

 

Alors, pourquoi tout ça ? Pourquoi avoir déclenché une fausse pandémie ? Pourquoi le gouvernement du Québec et du Canada ont-ils suivi comme des petits chiens de poche ?

Juin 2013 : Un article de recherche intitulé "Risques sanitaires et crises politiques au Canada : La pandémie de H1N1, les politiques de santé publique au Canada et la gouvernance globale de la santé" publié par le chercheur Gabriel Blouin Genest de l'Institut québécois des hautes études internationales en juin 2013 met le doigt sur le bobo.

Le bobo, c'est le Règlement sanitaire international adopté en 2005 (https://www.who.int/ihr/9789241596664/fr/), donnant depuis des pouvoirs extraordinaires à l'OMS. Non seulement ce nouveau règlement permet de déclencher une pandémie avec des critères beaucoup moins stricts qu'avant 2005, mais il permet aussi à l'OMS d'exercer un pouvoir démesuré sur les décisions des États-nations. Voici quelques extraits :

(Source : https://www.erudit.org/en/journals/ei/2013-v44-n2-ei0754/1017535ar/)

 

Voici un segment de l'émission de radio "Bouchard en parle" de 2010 qui fait un retour sur le fiasco de la fausse pandémie de grippe porcine A(H1N1) :

 

En 2009, lorsque ce fiasco est arrivé, Yves Bolduc était le ministre libéral de la Santé au Québec. Voici Bolduc avec son bras droit :

Et oui. Horacio Arruda, en 2009. Encore lui, celui qui permet au gouvernement d'agir en "légitimité scientifique", celui dont la responsabilité dans l'action est engagée au plus haut point. Celui qui rend tout cela possible, la courroie de transmission. Alors si Einstein a raison et que la folie est de se comporter de la même manière et attendre un résultat différent, alors on a un beau cas de figure au Québec. Ce qui s'est passé en 2009, dans toute son exagération, a passé par Arruda, par les politiciens, et aussi par des médias à la botte. C'est-à-dire qu'ils n'ont fait que relayer docilement le message sans distanciation, sans s'arrêter, prendre une grande respiration, réfléchir, se poser de questions, quitte à faire différemment. Tout a coulé tranquillement avec ce que l'on sait maintenant, une "pandémie" en 2009 qui a été surestimée, qui a coûté très cher, et a surtout occasionné un branle-bas de combat inutile coûteux et souffrant pour pas grand chose. Étant donné que depuis 2009-2010 on n'a pas modifié le système pour qu'à l'avenir on s'épargne ce genre de débordements, alors il n'y a absolument aucune raison de penser que ça ne recommence pas! Qui plus est, en gardant des gens comme Arruda aux commandes, le cirque de 2009 ne peut que revenir, c'est Einstein qui le dit !

Parlant de Arruda...

Je sais aussi que la "pin" (épinglette) que Arruda arbore avec fierté depuis le tout début sans à peu près jamais y déroger est vraiment plus que suspecte. J'y vois un "statement" certain. Elle représente les "Buts globaux du développement durable de l'ONU" signés en 2015. C'est une référence au pouvoir de l'ONU, pas au Québec, et ça n'a directement rien à voir avec l'OMS ou la santé publique, et c'est pour ça que la question se pose. Mais je vais en reparler.

 

 

Pour ceux qui pensent que les gouvernements occidentaux sont des gentils nounours inoffensifs qui ne veulent que le bien de la population, et bien, c'est faux.

Pour ces personnes, vous ne connaissez sans doute pas ces faits :

- L'expérience MK-Ultra de la CIA qui s'est déroulée en partie à l'université McGill à Montréal au Québec. MK-Ultra était un programme secret qui a enrôlé de force des gens pour faire des expériences sur le contrôle mental, la programmation mentale, le brainwashing (MK pour Mind Kontrol, aussi appelé le projet monarque.)

(Voir:

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1333961/experieces-secretes-cia-canada-mcgill-lsd-compensation-familles

https://www.cbc.ca/news/canada/canadian-government-gag-order-mk-ultra-1.4448933

(Voir aussi les films: The Manchurian Candidate (2004) ou Salt (2010))

 

- L'expérience de Tuskegee aux États-Unis. De 1932 à 1972, 600 hommes noirs ont été enrôlés dans une expérience supposée durer 6 mois au début, qui a finalement duré 40 ans. La Santé publique leur a menti en leur cachant qu'il existait un traitement efficace dès 1947, les observant aller à leur mort jusqu'en 1972.

(Voir ce site de l'Université de Tuskegee: https://www.tuskegee.edu/about-us/centers-of-excellence/bioethics-center/about-the-usphs-syphilis-study)

 

- L'opération Northwoods en 1962 : Le Joint Chiefs of Staff de l'armée américaine avait envisagé de couler (donc abattre) un bateau plein de Cubains, orchestrer une campagne de propagande de peur dans la région de Miami en parlant de terroristes communistes, tout ça pour avoir une justification pour une intervention militaire à Cuba.

(Voir ce site de l'Université George Washington à Washington DC: https://nsarchive2.gwu.edu/news/20010430/)

 

Il y a beaucoup d'autres cas de ce genre dans l'histoire récente, mais je ne ferai pas une liste exhaustive, je voulais juste montrer quelques exemples avérés et bien réels pour étayer mon affirmation. Ceci n'a strictement rien de farfelu et c'est tout ce qu'il y a de plus sérieux. Ça ne date pas de l'an passé mais les gouvernements n'ont pas du tout été "purgés" de ce genre de pratiques depuis 50-60 ans et leurs méthodes, s'il en est, n'ont pu que s'affiner à ces niveaux-là. En fait, il n'y a absolument aucune raison logique pour que ces pratiques se soient arrêtées d'elles-mêmes. Les exemples ci-haut visent des civils sur les territoires du Canada et des États-Unis. Autrement, un exemple militaire plus récent qui me vient spontanément sont les prisons secrètes de la CIA ou le scandale des tortures odieuses de déshumanisation à la prison militaire américaine de Abou Ghraïb en 2004 en Irak.

N'oublions pas que pendant que ces opérations souvent top secrètes ont cours, la population qui en souffre n'en sait la plupart du temps absolument rien. C'est des années plus tard que les documents sortent, quand le mal est fait depuis longtemps. Et ceux qui savent pendant que ça se passe, pendant que c'est le moment de faire quelque chose dont qui ont un pouvoir d'arrêter ça, se font appeler "complotistes".

Tout ça a été fait soit directement par le gouvernement, par la santé publique elle-même, et par des universités prestigieuses. Arrêtez de croire qu'il n'y a que des nounours gentils au gouvernement et qu'ils ne veulent que votre bien. C'est le plus grand des cadeaux que vous pourrez vous offrir depuis longtemps.








Alors en conclusion,

Imaginez si le vaccin ne marche pas, le vaccin n'est pas sécuritaire, le masque ne fonctionne pas, le masque peut être nocif, le couvre-feu ne sert à rien, même le confinement ne marche pas, le test-covid produit des faux cas, les asymptomatiques ne sont pas dangereux, les big pharmas corrompent, il existe des médicaments qui aident, la grippe a "disparu", les hôpitaux sont sur le bord de s'effondrer depuis des décennies, le passeport vaccinal était planifié à notre insu, les médias sont soit des vendus ou des idiots...

Alors en tant que peuple, ça commencerait pas à être le temps de faire quelque chose ? Genre, se sortir la tête du sable ? S'impliquer?

C'est Legault lui-même qui le dit vers l'an 2000 :

 

Voici un résumé des promesses brisées et mensonges perpétuels de Legault :

 

Voici ce que l'humoriste Fabien Cloutier disait en entrevue en 2016. Je trouvais sa phrase très à propos en cet instant.

 

On ne peut plus accepter ça sinon on ne s'en sortira plus jamais. On doit rapidement se mobiliser et arrêter cette folie. Qui dure pour certains points depuis trop d'années. Comment on a pu laisser faire ça en restant aussi passifs ? Les émissions genre America's Got Talent (et toutes les autres) nous ont bien endormis hein!

Nous devons arrêter direct ce cirque.

 

Ce que nous devons faire concrètement, par étapes :

  1. Nous devons accepter, dans notre propre esprit, personnellement, que notre monde est pourri de corruption

  2. Nous devons barrer les médias de nos vies, parce que c'est eux qui sont responsables de nous donner une version des faits qui est tronquée, biaisée, mensongère, qui dissimule, et qui finit par nous endormir tranquillement mais sûrement

  3. Nous devons réapprendre à être des citoyens vigilants et libres, arrêter de nous complaire dans des émissions de télé, de radio, ou de magazines et livres qui nous rendent stupides et nous empêchent de réfléchir

  4. Nous devons nous mettre ensemble et agir collectivement, nous devons jaser ensemble même si nous n'avons pas tous les mêmes idées, nous devons confronter nos idées, chercher la vérité, être ouverts aux autres idées, rester rationnels mais aussi empathiques et altruistes et accepter que personne n'est parfait et n'a la vérité absolue

  5. Il faut absolument arrêter de chercher ce qui nous divise entre nous au Québec. Nous devons nous unir pour dire NON à tout ça

  6. Ensuite nous devons définir un plan de sortie.

Et le meilleur plan pour se sortir de tout ça est comme je l'ai dit d'abord de changer nos mentalités d'humains serviles et obéissants, sans courage, et comprendre où notre monde est rendu en ce moment. Ce qu'est la réalité ! Tant qu'autant de gens vont continuer à "dormir" (être ignorants de tant de morceaux de la réalité), ça bougera jamais.

Un des plus gros problème des gens qui ne dorment pas (ceux qui savent plus de faits que les autres sur notre monde), c'est qu'ils gardent ces informations pour eux-mêmes et n'osent pas en parler à leur entourage, souvent par manque de courage pour éviter la confrontation. On s'entend que ça à partir de tout de suite, C'EST FINI ! C'est super grave ce qui est en train de se passer ! Si vous avez des infos cruciales : partagez-les, oui sur Internet mais surtout dans le monde réel à des vrais gens que vous côtoyez ! MAINTENANT ! Parlez-en à vos parents, vos enfants, vos frères vos soeurs, vos oncles vos tantes, vos amis, vos collègues. "Là faut qu'on se parle j'ai quelque chose de vraiment important à te dire et ça peut pas attendre." Avec des sources sérieuses, pour être audible ! Et avec des photocopies et des DVD aux gens qui n'aiment pas les ordinateurs.

Il est temps d'en finir avec ça, il faut briser cet espèce de barrage qui existe entre nous tous, il faut libérer les eaux. Il faut que chaque personne qui soit éveillée à ces réalités se tienne debout et dise haut et fort ces réalités à ceux qui ne veulent rien savoir sur rien de rien. Il faut dénoncer, il faut crier. Sources à l'appui ! Il faut le faire avec beaucoup de sérieux, et beaucoup d'honnêteté. Il faut surtout arrêter d'être indulgents avec nos proches qui veulent se vautrer dans l'ignorance crasse des problèmes de notre monde, qui disent que ça ne les intéresse pas. On est tous concernés, on a tous besoin de s'impliquer maintenant. Pas dans 10 ans.

Il faut montrer aux "dormeurs" que "c'est eux qui vivent dans un putain de rêve". Je tire cette phrase de ce film :

Sarah Connor dans le film Terminator 2 (1991), où effectivement, c'est elle qui a raison mais se fait enfermer en psychiatrie pour ça. C'est elle qui a raison.

Si vous n'avez pas encore acquis la certitude que les sources que j'ai présentées dans ce document sont vraies et démontrent qu'on vit dans un cirque, alors relisez mon texte. Au complet.

 

Évidemment : tout ça doit se faire absolument sans violence. La violence (symbolique et physique) est systématiquement utilisée contre nous le peuple par l'État.

 

Enfin, ce qu'il faut faire, après avoir compris mentalement ce qui arrive, c'est reprendre notre liberté collectivement, sans demander son reste à MM. Legault-Arruda-Dubé. Comment? Ça ne peut pas se faire sans une adhésion massive et collective.

Il faut qu'une immense partie des gens, après avoir cessé d'écouter aveuglément les médias et leur campagne de peur, refassent des liens sociaux entre eux. C'est-à-dire qu'un nombre immense, massif de gens :

  1. vont sortir de l'emprise des médias et vont s'informer autrement à partir de maintenant
  2. vont développer une vigilance accrue et permanente face au gouvernement, aux médias et aux pharmaceutiques
  3. ne vont pas accepter ce vaccin expérimental

Ça c'est la première étape du plan de sortie. D'abord, réveiller le monde. Ça doit se faire maintenant par contre. La suite du plan viendra après.

 

Si MM. Arruda-Legault-Dubé veulent continuer leur cirque de la peur et du contrôle absolu, grand bien pour eux. Qu'ils se rendent donc compte que leurs conneries sont en train de nous tuer de toute façon. À moins que ce soit ça qu'ils veulent ? Avec toutes les informations que j'ai amassées, je suis rendu que je pourrais penser que c'est une hypothèse pas si folle que ça.

 

La seule façon de gagner l'adhésion massive des gens est en leur présentant des arguments fondés, sourcés, logiques. Ne pas faire dans l'émotif, dans l'égo. Rester dans les sources, les arguments, et aussi le raisonnement abductif : identifier les failles et les incohérences pour montrer l'absurdité de la situation.

Ensuite il n'y aura qu'à déterminer une date où on recommence à vivre comme avant... mais en version plus solidaires et humains les uns des autres.

Il faut réveiller nos entourages pour de bon. Allez. Au travail. Aujourd'hui.















Moi dans cette histoire ce n'est pas très important, ce qui est important c'est les grands noms scientifiques que je cite et leurs argumentaires.

Mais en gros :

  • Je suis diplômé universitaire des cycles supérieurs (les cycles sup. = maîtrise/doctorat).

  • J'ai eu des cours de santé publique, d'éthique de la recherche scientifique, d'épistémologie de la recherche, des formations en recherche documentaire (rigueur dans le choix des sources), de biologie dont biologie humaine. Je me suis pleinement impliqué dans mes études et j'ai acquis une pensée critique totale. Je questionne tout et je fais bien attention pour ne pas tomber dans des dogmes ou des paranoïas. Le critère de démarcation (falsifiabilité de la science) est une de mes boussoles.

  • Je ne suis affilié à rien : aucun parti politique, aucune association, aucune organisation. La seule chose que je veux au fond, c'est le bien de mon peuple. Et des autres peuples.

  • Je suis très, très loin d'être riche. J'ai en ce moment un petit boulot à temps plein sans lien avec mon diplôme qui me vole beaucoup de mon temps, m'empêchant donc de mettre mes énergies à la bonne place.

  • J'aimerais vous inviter à réfléchir au fait que des gens comme moi mettent des centaines d'heures (plus de 500 à date sur ce site) gratuitement à travailler d'eux-mêmes sur des projets comme cette page web. Je pense que le fait que des gens comme moi (diplômé et intellectuel) aient tant de difficulté à survivre économiquement n'est pas étranger au climat absolument toxique, médiatiquement et intellectuellement, de l'époque actuelle où, pour avoir un bon salaire, il faut être stipendié par le gouvernement ou les grosses corporations et alors dire des choses qui vont dans leur sens quitte à piler sur notre intégrité. "On a les 'élites' qu'on mérite." C'est pour ça que le peuple doit absolument encourager financièrement de son argent personnel les gens "intellectuels", pour leur acheter l'indépendance de penser et de dire les choses.

Aidez-moi, aidez-nous tout le monde, en partageant cette page web, ou les informations de cette page web. Recopiez-les, vérifiez-les, recoupez-les, bref, les gens doivent être mis au courant car... ce qui m'a poussé à mettre toutes mes énergies à créer ce site et écrire ce texte, c'est  que les gens connaissent les documents des médecins et des scientifiques qui disent que ce qui se passe n'est pas exactement ce que notre gouvernement et nos médias en disent. Les gens ont le droit d'avoir toute l'information, pas seulement "une version de l'histoire", et "ils ont le droit d'être intelligents" (comme le dit le Pr. Raoult). (Comme il y a deux côtés à une médaille, il y a deux côtés -et plus- à une histoire. Always two sides to a story.) Le Québec (et la France, les USA) sont des endroits où le peuple est souverain et libre. Il n'y a pas de roi ici, les députés ne sont pas nos boss et ils ne sont que nos représentants (ils nous représentent, nous et nos intérêts). Et puisqu'ils nous représentent si mal ces derniers temps, il faut se lever, et le dire. Et surtout, surtout, quand on a des sources sérieuses pour le démontrer.

 

"Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage, vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : polissez-le sans cesse et le repolissez ; ajoutez quelquefois, et souvent effacez."

    - Nicolas Boileau, L'Art poétique (1674)

 

J'ai relu des dizaines de fois mon texte, à tête reposée. Toutefois, je reste humain donc imparfait, alors si vous avez croisé une information inexacte, une faute de français, ou vous pensez qu'une de mes analyses est tendancieuse, alors s.v.p. dites-le moi en me montrant le passage de mon texte et la source concernés, avec votre argument logique. N'oubliez jamais que parmi les centaines d'informations contenues dans ce texte, si l'une d'entre elles n'est pas exacte, cela n'annule pas les autres. Je réitère quand même que selon mes recherches rigoureuses, toutes les informations montrées ici sont exactes.

Pour me contacter par courriel : contact@lecture-importante.com

 

 

 

 


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